COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. La foudre (6/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. La foudre (6/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(6.0 / 10)

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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. La foudre (6/6)
J’ai suivi les instructions qui m’ont été données après une nuit blanche, je me pose des questions sur ce que me veut Emmanuelle, même si je suis attiré par elle, jusqu’à maintenant mes complices sexuelles n’ont été que des complices alors que je sens qu’au fond de moi là, c’est autre chose.
Je quitte mon taxi, j’avance vers une porte ou il est marqué « Club Privé », aucune sonnette où Juda, mais je suis à peine à la porte le point en avant quand la porte automatique se déclenche.
Je la pousse et j’entre dans un vestibule avec un comptoir vide et un rideau que je pousse me retrouvant dans une sorte de vestiaire, la lumière est feutrée tirant sur le rouge.

• Bonjour Jennifer, bien venue dans le palais de tes plaisirs, enlève tes vêtements et avance jusqu’à la porte face à toi, un casier est à ta disposition.

La voix qui me parle me tombe sur les épaules alors que personne ne se trouve dans la pièce.

• Je savais que tu étais belle et je vais prendre plaisir à m’occuper de toi, si tu te décides à ouvrir cette porte.
Attention si tu l'as franchie, ce sera de façon définitive, si tu rentres dans mon univers, c’est parce que tu acceptes d’être mon objet, ma chose et tu verras, pire encore, tu vois, je suis franche, rien ne t’est imposé.

Il doit y avoir des caméras, des haut-parleurs très bien dissimulés, mais la technique est une chose, ma décision en est une autre, je dois reconnaître que le monde qui semble être derrière cette porte m’émoustille.
Une nouvelle fois, mon cerveau s’embue et c’est tout naturellement que j’appuie sur la poignée ouvrant la porte.
C’est le noir complet, j’avance sans savoir où je suis, la lumière tamisée s’allume me montrant un monde étrange du moins pour moi, un projecteur s’allume la lumière tombant sur une femme debout.

• Entre Jennifer, ou plutôt « Dolly » à partir de ce moment, tu seras Dolly, ma petite chienne, mets-toi à quatre pattes !

La femme qui me parle est bien Emmanuelle, elle porte un haut comme en portaient les amazones tout en cuir avec un de ses seins dénudés.
Elle a un short en même cuir noir laissant apparaître ses parties intimes entièrement épilées, ses cheveux sont libres et son casque blond est magnifique avec le contraste du noir de son costume de ses gants montant jusqu’aux coudes.
Mais ce qui me fait le même effet, ce sont ses cuissardes avec des talons d’au moins vingt centimètres de haut dont l’un repose sur les couilles d’un homme allongé au sol avec un collier bleu où une laisse est attachée qu’elle tient dans l’une de ses mains.
Sa bouche est obstruée par une boule, elle est aussi bleue, attachée derrière sa tête.
Pour compléter son personnage, elle tient une cravache à la main.

• Avance chienne Dolly que mon toutou te mette un collier, tu as accepté d’entrer, tu as reconnu qui je suis et tu vas être ma chienne favorite comme « Rol » l’est déjà, tu viens d’accepter de m’être entièrement soumise, ta vie m’appartient, viens !

Incroyable, je me suis fait sauter par ce porc à Colmar alors que j’aurais dû fuir, chez ma maîtresse, j’avance le plus rapidement que je peux sur cette moquette pour venir la rejoindre.
Assez près, je vois que le talon aiguille qu’elle pose sur Rol, Roland son mari en réalité entre dans sa verge le faisant bander.
Elle enlève son pied et une trace rouge apparaît, il s’agenouille prend, un collier rouge avec une laisse de couleur identique me le place autour du cou et donne la laisse à sa maîtresse, pour finir, il me place une boule identique à la sienne m’obstruant la bouche.

• C’est bien, j’ai trouvé mon couple de chiens, Rol, je vois que tu bandes, tu peux saillir ta chienne, comme tu l’as faite dans les toilettes du restaurant à Colmar.

Sans s'occuper de nous, elle avance nous obligeant à la suivre et s’installe sur un siège plus près du trône que d’un simple fauteuil.
Mon mâle sans attendre me monte sur le dos et c’est avec une chatte dégoulinante qu’il me saillit comme la chienne que je suis devenue, ses coups de reins, si puissants que sans aucun problème, je jouis.

• C’est bien, je vois que tout est prêt pour l’ouverture du club, mes amis que j’ai choisis pour la réouverture de votre lieu de plaisir et qui attendent dans le vestibule, vous allez pouvoir retrouver vos jeux préférés, le club à retrouver une chienne digne de ce nom, mes toutous sont à vous.

Sur un côté, une lumière tamisée s’allume et une barmaid en tenue de cuir se tient derrière.
Des petits projecteurs à lumière bleutée éclairent cette grande pièce qui dans le noir relatif où nous étions me cachait les divers appareils dignes du film de Fernandel dans François Ie où il passe dans tout un tas d’engins de torture.
Un couple s’approche de moi et m’entraîne vers des chaînes, ils prennent des cordes et je me retrouve saucissonné attaché au palan et soulevé dans les airs, ma chatte et mes seins sont à leur disposition et je me retrouve avec des pinces sur mes seins où ils suspendent des poids.
Comme à leur habitude, mes fraises s’enflamment et je regarde intensément Emmanuelle qui me fixe espérant que je vais baiser les yeux.

• Mes amis, regarder Dolly, elle me défit, je suis un peu fatigué pour venir la corriger, avant de vous occuper de son vagin, une petite flagellation avec ses magnifiques chats à neuf queues que nous avons mises à votre disposition s’impose.

Mes amis, regarder Dolly, elle me défit, je suis un peu fatigué pour venir la corriger, avant de vous occuper de son vagin, une petite flagellation avec ses magnifiques chats à neuf queues que nous avons mises à votre disposition s’impose.

• Emmanuelle où devrais-je dire Maîtresse Emmanuelle, car je baisse définitivement les yeux ayant compris que je suis née pour être soumise et que la foudre a été simplement le révélateur de ce qu’aurait dû être ma vie, dirige son club de main de maître.

Le noir, j’aime, je jouis dès le premier coup qui a frappé de haut en bas sur mes seins faisant balancer les poids entraînant une douleur juste supportable, mais que j’apprécie au plus au point.
Une dernière chose, bander lui les yeux, j’adore l’idée qu’elle reçoive cette première punition sans voir où et quand vous allez frapper.

• Mes fesses assouvissent leur envie d’être maltraitées, Maître Emmanuelle a su déceler mes besoins cachés, j’ai aimé monter avec les clients de Véronique calmant provisoirement la foudre qu’il y a en moi.

Détaché là, et enlevez-lui le bandeau, amenez-moi ma petite Dolly préférée et faîte là s’allonger devant mon trône.
J’ai compris que ma position pour me déplacer est celle où je suis en ce moment et je m’allonge le long de la marche où Maîtresse Emmanuelle me domine, elle fait descendre ses deux pieds bottés sur mon corps.

• Un de ces talons effilés vient se poser sur un de mes seins sans le pénétrer, car comme les autres fois la partie extérieure de mon corps est insensible.

Je m’exécute, la pointe de son talon doit me déchirer, car je sens une légère douleur, je sens sa présence au-dessus de moi la sentant me dominer comme jamais, je l’ai été, quand elle fait descendre de nouveau, ses pieds, l’un sur mon mont de Vénus et l’autre à la hauteur de ma bouche.

• Lèche mes bottes, nettoie-les avec ta langue, tu as bien fait de franchir ma porte, nous allons très bien nous entendre et mes clients seront satisfaits.

Le médecin m’a dit que les effets de la foudre risquaient de disparaître un jour, c’est loin d’être le cas et un des moments que je préfère, c’est quand Maîtresse autorise Rol à me sauter devant le parterre de sadiques, qui nous regardent.
Vivre pleinement ma vie de petite chienne sous la houlette de Maîtresse Emmanuelle me permet de retrouver un équilibre dans la douleur et surtout la soumission à ma Maîtresse.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
j'ai adoré l'histoir de la foudre comment Jennifer se découvre et prend du plaisir à la soumission j'aimerais bien une suite maintenant qu'elle est Dolly

Ouf, j'avais peur que certains n'aimes pas...

Histoire Erotique
J'ai attendu la fin de l'histoire pour inscrire un commentaire...
J'aime bien la progressivité de la déchéance qui conduit Jennifer à Dolly.
Bravo... Belle histoire très exciante.



Texte coquin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. La foudre (6/6)
Histoire sexe : Une rose rouge
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