COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. La porte mystérieuse (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2411 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 039 039 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-06-2020 dans la catégorie A dormir debout
Cette histoire de sexe a été affichée 2 865 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. La porte mystérieuse (1/1)
- Jean, pourquoi as-tu voulu que je regarde ce film d’horreur, tu m’avais dit que c’était bon enfant ?
Tu es fou, l’héroïne finit par se faire sauter par tout ce qui bouge, allant même jusqu’à se taper le garçon de ferme dans l’étable les fesses dans les bouses de vache.
Non seulement c’est dégueulasse mais en plus c’est complètement immoral.
- C’est un film, le scénariste a mis ses pensées et ses images les plus abjectes.
Viens allons au lit.
- Incroyable, ça t’a fait envie !
- Il faut voir, je te sens un peu trop coincer depuis que nous sommes ensemble !
- Tu voudrais quoi, une pute dans ton lit ou au moins une belle salope ?
Tu m’excuseras si mes parents m’ont inculqué quelques principes.
Non, laisse-moi, rêve à tes saloperies, je me demande si je vais rester dans cette maison tenue par un dépravé.
- Bibiche, ce que je te disais s’était pour dire quelque chose, je t’aime, évite de faire des bêtises.
Nous nous couchons comme ça nous arrive de temps en temps, le cul tourné, bientôt sept ans de mariage, l’âge critique pour un couple.
J’ai horreur d’avoir tort et comme Jean aussi aucun de nous fait le premier pas pour une réconciliation sous l’édredon.
Il met du temps à s’endormir mais contrairement à moi, vingt-trois, minuit et une heure du matin sonne dans la salle à manger sur l’horloge comtoise.
« Pourquoi ce mur, pourquoi je suis ce mur sans voir son sommet ?
Je reconnais mon jardin, quand avons-nous construit ce grand mur ?
Je le suis, impossible de sortir, ça fait deux fois que je fais le tour aucune porte me permettant de sortir.
Le carré d’hortensias, il doit y en avoir deux car j’en ai déjà croisé un.
Comptons les murs.
Un, je tourne.
Deux, je tourne.
Trois, je tourne.
Quatre, les hortensias !
Tient à droite une porte est ouverte, elle brillait par son absence les autres fois.
- Avance, passe la porte et ta vie sera chamboulée.
- Qui êtes-vous jeune homme, que faite vous chez moi ?
- Je suis celui qui va te permettre de changer ta vie ou de te laisser dans les conditions de ta vie actuelle.
Pour cela il te suffit de lui tourner le dos, elle disparaîtra.
Si tu la passes, je la laisserai ouverte quelques jours.
Si ta nouvelle vie t’est indifférente, tu la repasseras définitivement et tu retrouveras ta vie qui commence à être une vie de merde.
Surtout pour ton mari. »
Une hésitation un instant et je franchis le pas vers la lumière intense qui se trouve derrière cette porte.
« Quelques jours, je te donne quelques jours. »
La grande lumière me réveille, nous couchons toujours les volets ouverts.
Nous sommes dans la lumière du lever du soleil et se faire réchauffer la chatte le matin, pour moi, c’est un de mes rares plaisirs.
- Jean, réveille-toi, si tu veux on fait la paix.
Je repense à mon rêve un peu idiot, comment une porte que je semble avoir franchie devrait faire de moi une salope.
- Tu es prête à reconnaître tes torts ?
- Tu as de la chance que nous sommes pressés, laisse-moi faire.
Je récupère sa verge dans ma main et sans me poser plus de question, je sors ma langue pour la sucer.
- Chérie, tu sais ce que tu fais.
- Une fellation, tu as quelque chose contre ?
- Non, mais c’est surprenant après autant de temps de mariage et le nombre de fois que je l’ai espéré.
Salope, tu pompes divinement !
- Tu te fais pomper souvent ?
- Non, mais j’ai vu des pornos sur Internet et tu fais ça aussi bien que celles qui se font filmer.
- Crache ton sperme, nous verrons plus tard pour baiser.
- Ah ! Ah ! Ah !
Il me crache son sperme au fond de la gorge, je l’avale avec délice.
Il prend le drap, se sèche la queue et me quitte, il est l’heure de son boulot.
Dans mon lit, je rêvasse, après ce que je viens de faire, la porte existe-t-elle ?
On sonne, quelles heures, dix heures, Jean revient pour me baiser, je suis prête à ce qu’il me défonce, ma chatte dégouline d’envie.
Je mets mon peignoir en voile léger et je vais à la porte.
- Bonjour madame, c’est le facteur, j’ai un colis pour vous.
- Entrez jeune homme, venez dans la cuisine, je vais vous donner une pièce.
- Merci madame, c’est inutile.
Mon peignoir se détache, je devrais le remettre, mais je reste comme ça.
La bosse sous le pantalon du jeune garçon m’intéresse.
J’avance ma main, l’attrape, il bande.
- Je suis sûr que tu as envie de me baiser !
- Oui madame.
- Alors vas-y peux-tu t’occuper de mes seins.
La porte cette nuit, ai-je franchi une porte ?
Ce qu’il y a de sûr c’est qu’il me couche sur la table et entre directement sa verge en moi.
La porte, cette nuit m’a-t-elle permis de lâcher les vannes.
Il décharge trop vite, une nouvelle fois je suis à moitié frustrée.
Je me retrouve seule, mon téléphone sonne, c’est Jean.
- Es-tu réveillée ?
- Oui mon chéri puisque je te réponds
- Merci pour ce matin, nous pourrons recommencer.
- Bien sûr mon chéri, tu voulais avoir une petite salope pour femme. J’essaye de te satisfaire.
- Je viens d’avoir mes parents, je les ai invités à manger ce soir.
- Tu as bien fait, je les adore, je vais descendre faire des courses.
Je vais faire mon gigot aux olives ton père l’adore et surtout il aime beaucoup le découper.
À ce soir, j’y vais.
Je m’habille, je vais à la boucherie.
Le boucher me fait du gringue chaque fois que je viens chez lui.
Il me met le plus beau morceau disponible surtout quand sa femme est absente.
C’est le matin à l’ouverture et le soir après 16 heures qu’elle va chercher son garçon à l’école, c’est à cette heure que je viens.
Un regard pour lui sur mes seins.
J’ai mis un chemisier très serré permettant à mes seins libres de toute entrave d’être prêt à lui sauter à la figure.
Hélas, malgré l’heure, elle est là.
Tout est prêt pour l’arrivée de mes beaux-parents.
Viens l’heure du gigot à découper.
- Veux-tu un coup de main papa ?
- Non, ma bru va venir m’aider continue à parler avec ta maman.
C’est si rare que vous vous voyez.
Je suis beau-papa dans la cuisine, je lui passe un tablier de cuisinier.
Ma main comme pour le petit facteur traîne à hauteur de sa verge.
- Dis-moi, tu te promènes souvent la chatte à l’air ?
- Comment vois-tu ça beau-papa ?
- Tu mets cette robe certaines fois quand nous venons ou que vous venez chez nous.
Chaque fois, je constate que l’élastique est disgracieux.
- Met ta main sous ma robe, tu verras si j’ai le vagin à l’air.
C’est sans problème, écoute-les, ils parlent de nos prochaines vacances.
Ton fils travaille depuis des semaines sur les îles grecques, il est intarissable.
Beau-père soulève ma robe, ma chatte est en feu, je suis devant l’évier, il a fini de couper le gigot.
Il doit sortir sa queue et comme la salope que le jeune garçon près de la porte m’a promis que je deviendrais, il me plante divinement.
- Un coup de main chérie.
- Inutile reste avec ta maman, papa fait ça très bien.
Je suis en train de récupérer le jus dans la saucière.
Jean, la sauce, ça coule, ça coule et ça coule encore.
Inutile de dire quand mon beau-père me pilonne comme jamais, comment mon corps s’enflamme.
Quand son sperme coule, coule et coule encore en l’orgasme prodigieux que je ressens.
La situation normale récupérée, nous retournons dans la salle gigot et sauce vers nos moitiés respectives.
Je suis la seule à ressentir le sperme de beau-papa coulé le long de mes jambes.
Je m’empresse de m’asseoir.
Au moment où ils vont partir, beau-papa laisse traîner sa main sur ma chatte.
Je fille à la douche et nous nous couchons.
- Non, demain matin mon amour, ce repas m’a un peu fatiguée.
Rapidement je dors, à un moment je me retrouve le long du mur franchi la nuit dernière par la porte mystérieuse.
Le jeune homme est là, à ses côtés, béant, attendant comme il me l’a dit là que je retourne dans ce trou noir.
De mon côté la lumière, de l’autre la nuit sombre qu’était ma vie d’avant.
- Alors que choisis-tu ?
Je me retourne, je préfère la lumière à la nuit.
Quand je me réveillerais demain matin, je serais à l’heure à la boucherie.
Malgré qu’il soit gros comme un boucher l’est souvent, il m’emmènera directement dans son frigo pour que je continue à être la salope que je suis devenue.
Je crois que ma vie vient de prendre un virage décisif pour mon épanouissement sexuel.
Tu es fou, l’héroïne finit par se faire sauter par tout ce qui bouge, allant même jusqu’à se taper le garçon de ferme dans l’étable les fesses dans les bouses de vache.
Non seulement c’est dégueulasse mais en plus c’est complètement immoral.
- C’est un film, le scénariste a mis ses pensées et ses images les plus abjectes.
Viens allons au lit.
- Incroyable, ça t’a fait envie !
- Il faut voir, je te sens un peu trop coincer depuis que nous sommes ensemble !
- Tu voudrais quoi, une pute dans ton lit ou au moins une belle salope ?
Tu m’excuseras si mes parents m’ont inculqué quelques principes.
Non, laisse-moi, rêve à tes saloperies, je me demande si je vais rester dans cette maison tenue par un dépravé.
- Bibiche, ce que je te disais s’était pour dire quelque chose, je t’aime, évite de faire des bêtises.
Nous nous couchons comme ça nous arrive de temps en temps, le cul tourné, bientôt sept ans de mariage, l’âge critique pour un couple.
J’ai horreur d’avoir tort et comme Jean aussi aucun de nous fait le premier pas pour une réconciliation sous l’édredon.
Il met du temps à s’endormir mais contrairement à moi, vingt-trois, minuit et une heure du matin sonne dans la salle à manger sur l’horloge comtoise.
« Pourquoi ce mur, pourquoi je suis ce mur sans voir son sommet ?
Je reconnais mon jardin, quand avons-nous construit ce grand mur ?
Je le suis, impossible de sortir, ça fait deux fois que je fais le tour aucune porte me permettant de sortir.
Le carré d’hortensias, il doit y en avoir deux car j’en ai déjà croisé un.
Comptons les murs.
Un, je tourne.
Deux, je tourne.
Trois, je tourne.
Quatre, les hortensias !
Tient à droite une porte est ouverte, elle brillait par son absence les autres fois.
- Avance, passe la porte et ta vie sera chamboulée.
- Qui êtes-vous jeune homme, que faite vous chez moi ?
- Je suis celui qui va te permettre de changer ta vie ou de te laisser dans les conditions de ta vie actuelle.
Pour cela il te suffit de lui tourner le dos, elle disparaîtra.
Si tu la passes, je la laisserai ouverte quelques jours.
Si ta nouvelle vie t’est indifférente, tu la repasseras définitivement et tu retrouveras ta vie qui commence à être une vie de merde.
Surtout pour ton mari. »
Une hésitation un instant et je franchis le pas vers la lumière intense qui se trouve derrière cette porte.
« Quelques jours, je te donne quelques jours. »
La grande lumière me réveille, nous couchons toujours les volets ouverts.
Nous sommes dans la lumière du lever du soleil et se faire réchauffer la chatte le matin, pour moi, c’est un de mes rares plaisirs.
- Jean, réveille-toi, si tu veux on fait la paix.
Je repense à mon rêve un peu idiot, comment une porte que je semble avoir franchie devrait faire de moi une salope.
- Tu es prête à reconnaître tes torts ?
- Tu as de la chance que nous sommes pressés, laisse-moi faire.
Je récupère sa verge dans ma main et sans me poser plus de question, je sors ma langue pour la sucer.
- Chérie, tu sais ce que tu fais.
- Une fellation, tu as quelque chose contre ?
- Non, mais c’est surprenant après autant de temps de mariage et le nombre de fois que je l’ai espéré.
Salope, tu pompes divinement !
- Tu te fais pomper souvent ?
- Non, mais j’ai vu des pornos sur Internet et tu fais ça aussi bien que celles qui se font filmer.
- Crache ton sperme, nous verrons plus tard pour baiser.
- Ah ! Ah ! Ah !
Il me crache son sperme au fond de la gorge, je l’avale avec délice.
Il prend le drap, se sèche la queue et me quitte, il est l’heure de son boulot.
Dans mon lit, je rêvasse, après ce que je viens de faire, la porte existe-t-elle ?
On sonne, quelles heures, dix heures, Jean revient pour me baiser, je suis prête à ce qu’il me défonce, ma chatte dégouline d’envie.
Je mets mon peignoir en voile léger et je vais à la porte.
- Bonjour madame, c’est le facteur, j’ai un colis pour vous.
- Entrez jeune homme, venez dans la cuisine, je vais vous donner une pièce.
- Merci madame, c’est inutile.
Mon peignoir se détache, je devrais le remettre, mais je reste comme ça.
La bosse sous le pantalon du jeune garçon m’intéresse.
J’avance ma main, l’attrape, il bande.
- Je suis sûr que tu as envie de me baiser !
- Oui madame.
- Alors vas-y peux-tu t’occuper de mes seins.
La porte cette nuit, ai-je franchi une porte ?
Ce qu’il y a de sûr c’est qu’il me couche sur la table et entre directement sa verge en moi.
La porte, cette nuit m’a-t-elle permis de lâcher les vannes.
Il décharge trop vite, une nouvelle fois je suis à moitié frustrée.
Je me retrouve seule, mon téléphone sonne, c’est Jean.
- Es-tu réveillée ?
- Oui mon chéri puisque je te réponds
- Merci pour ce matin, nous pourrons recommencer.
- Bien sûr mon chéri, tu voulais avoir une petite salope pour femme. J’essaye de te satisfaire.
- Je viens d’avoir mes parents, je les ai invités à manger ce soir.
- Tu as bien fait, je les adore, je vais descendre faire des courses.
Je vais faire mon gigot aux olives ton père l’adore et surtout il aime beaucoup le découper.
À ce soir, j’y vais.
Je m’habille, je vais à la boucherie.
Le boucher me fait du gringue chaque fois que je viens chez lui.
Il me met le plus beau morceau disponible surtout quand sa femme est absente.
C’est le matin à l’ouverture et le soir après 16 heures qu’elle va chercher son garçon à l’école, c’est à cette heure que je viens.
Un regard pour lui sur mes seins.
J’ai mis un chemisier très serré permettant à mes seins libres de toute entrave d’être prêt à lui sauter à la figure.
Hélas, malgré l’heure, elle est là.
Tout est prêt pour l’arrivée de mes beaux-parents.
Viens l’heure du gigot à découper.
- Veux-tu un coup de main papa ?
- Non, ma bru va venir m’aider continue à parler avec ta maman.
C’est si rare que vous vous voyez.
Je suis beau-papa dans la cuisine, je lui passe un tablier de cuisinier.
Ma main comme pour le petit facteur traîne à hauteur de sa verge.
- Dis-moi, tu te promènes souvent la chatte à l’air ?
- Comment vois-tu ça beau-papa ?
- Tu mets cette robe certaines fois quand nous venons ou que vous venez chez nous.
Chaque fois, je constate que l’élastique est disgracieux.
- Met ta main sous ma robe, tu verras si j’ai le vagin à l’air.
C’est sans problème, écoute-les, ils parlent de nos prochaines vacances.
Ton fils travaille depuis des semaines sur les îles grecques, il est intarissable.
Beau-père soulève ma robe, ma chatte est en feu, je suis devant l’évier, il a fini de couper le gigot.
Il doit sortir sa queue et comme la salope que le jeune garçon près de la porte m’a promis que je deviendrais, il me plante divinement.
- Un coup de main chérie.
- Inutile reste avec ta maman, papa fait ça très bien.
Je suis en train de récupérer le jus dans la saucière.
Jean, la sauce, ça coule, ça coule et ça coule encore.
Inutile de dire quand mon beau-père me pilonne comme jamais, comment mon corps s’enflamme.
Quand son sperme coule, coule et coule encore en l’orgasme prodigieux que je ressens.
La situation normale récupérée, nous retournons dans la salle gigot et sauce vers nos moitiés respectives.
Je suis la seule à ressentir le sperme de beau-papa coulé le long de mes jambes.
Je m’empresse de m’asseoir.
Au moment où ils vont partir, beau-papa laisse traîner sa main sur ma chatte.
Je fille à la douche et nous nous couchons.
- Non, demain matin mon amour, ce repas m’a un peu fatiguée.
Rapidement je dors, à un moment je me retrouve le long du mur franchi la nuit dernière par la porte mystérieuse.
Le jeune homme est là, à ses côtés, béant, attendant comme il me l’a dit là que je retourne dans ce trou noir.
De mon côté la lumière, de l’autre la nuit sombre qu’était ma vie d’avant.
- Alors que choisis-tu ?
Je me retourne, je préfère la lumière à la nuit.
Quand je me réveillerais demain matin, je serais à l’heure à la boucherie.
Malgré qu’il soit gros comme un boucher l’est souvent, il m’emmènera directement dans son frigo pour que je continue à être la salope que je suis devenue.
Je crois que ma vie vient de prendre un virage décisif pour mon épanouissement sexuel.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...