COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le génie maléfique (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE.  Le génie maléfique (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2021 dans la catégorie A dormir debout
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le génie maléfique (2/2)
Ça fait presque deux mois que j’ai frotté la lampe ressemblant à celle de mon enfance dans le dessin animé Aladin et la lampe merveilleuse ou magique.
Un génie m’est apparu et m’a fait faire trois vœux.
Grosse bite bandante chaque fois que je rencontre une femme sans jamais débander.
Au bout d’un moment, cette trique permanente, c’est emmerdant et fatiguant.
Pour être satisfait, il faut que je me masturbe de plus en plus fréquemment en plus des chattes de mes maîtresses si je veux arriver à m’endormir.
Malgré ça, j’ai réussi à baiser tous les soirs comme le stipulait mon deuxième vœu et ayant tout bien fait, l’argent rentre régulièrement chaque mois.
Parmi les femmes que j’entraine dans mon lit où le leur, certaines sont à la limite d’être des beautés fatales.
C’est nécessaire, car j’ai en mémoire la réserve mise par mon génie si un soir j’oublie ou je refuse ma couche à l’une d’entre elles.
Surtout que cette bite enflammée se décompresse un peu chaque fois que j’éjacule sans pour autant débander.

Dans deux jours, les 10 000 € arriveront pour retrouver les 5 104 € qui restent sur mon compte.
Je vais devoir aller ouvrir un livret de caisse d’épargne, pour que ça me rapporte si je continue à être raisonnable.
Ma plus grosse acquisition, c’est un briquet Dupont en or à près de 1 000 € et divers restaurants où j’emmène mes conquêtes d’un soir.
À ce jour, le briquet est toujours resté dans la poche de ma veste, mais je l’ai et ça peut servir.

Baiser, c’est bien, c’est ce que je voulais, mais récupérer, c’est mieux pour ce soir retrouver ma prochaine maîtresse.
Comme d’hab, je vais aller chercher dans un de mes terrains de chasse favoris, les bars ou autres discothèques de notre ville.
Je finis par m’endormir.

D’un coup je me réveille, 22 heures, merde il y a au moins une heure que le chasseur que je suis devenue devrait traquer sa proie du soir.
Surtout que je savais où me rendre, j’en avais repéré une alors que j’en avais une à porter de ma bite.
Elle m’a regardé d’un air gourmand, avec un peu de chance ce soir elle aurait été là et elle aurait constitué un joli trophée sur mon tableau de chasse.
C’est à ce moment qu’assis nu dépitée au pied de mon lit, que l’on frappe à ma porte.
Je passe mon boxer, me rendant plus présentable et je vais ouvrir.

• Je m’excuse de venir vous déranger, ça fait plusieurs jours que j’hésite à monter jusque chez vous.
Nous avons une amie en commun, s’appelant Isabelle.
Souvenez-vous, elle vous avait rencontré dans un bar du centre-ville.

Depuis l’aide du génie, la plupart des gonzesses que j’ai amenées ici ou qui m’ont amené chez elle, c’est dans un bar que je les ai levées.

• À votre air, je vois que vous vous interrogez sur mon amie Isabelle.
Si je vous dis rousse avec forte poitrine, les rousses naturelles de surcroit, c’est plutôt rare !
Un dernier point qui va vous faire comprendre de qui je parle, elle a trompé son mari avec vous pendant qu’il était en voyage.
• Je vois très bien de qui tu parles, pourquoi c’est toi qui es là et non elle ?
• Car, lorsqu’elle est rentrée, Paulo son mari était déjà là.
Elle a tenté de le baratiner, mais il a senti ton odeur sur elle.
Elle a ramassé la volée de sa vie, c’est un Espagnol très colérique, alors elle est bloquée pour venir te voir.
Elle m’a expliqué le moment passé avec toi et j’aimerais connaître les mêmes plaisirs, si tu es d’accord.

Sympa mon génie, lorsqu’il voit que je suis bloqué, c’est lui qui doit susurrer à toutes ces salopes que ma bite est à leur disposition.
Je baisse mon boxer, toujours prêt comme les anciens disaient lors de leur service militaire à la salope de femme de leur commandant en la saluant.
Hélas, l’armée est devenue mixte, ce qui aurait pu être intéressant pour un mec comme moi.
Mais s’engager et rester en galère pendant cinq ans de ma vie pour sauter la salope de femme de mon commandant très peu pour moi.

• Isabelle m’avait dit qu’elle était grandiose, elle était nettement en dessous de la vérité.
Ça existe vraiment un engin comme ça.
• Suis-moi dans ma chambre, je vais te faire voir qu’elle est bien réelle.
Comment t’appelles-tu, si tu pars comme une fusée comme Isabelle, je mettrai un nom sur ton joli minois ?
• J’arrive seulement et tu parles déjà de mon départ, mon cul t’indiffère !
• T’aurais-je emmené vers mon pieu pour rencontrer mon pieu si tu m’indifférais.
Donne-le-moi ?
• Annabelle.
• Annabelle suce et soit belle, ma jolie négresse.

Oui, j’oubliais de dire que cette fille est black, une nouvelle fois, merci génie, tu m’as gatté !
Ce qu’il y a de bien chez les filles de couleur, ce sont leur bouche, grande et profonde.
Comme avec Isabelle, je me défoule dans sa bouche et je déverse mes traits de sperme qu’elle avale goulument.
On commence à me connaître, toujours d’attaque après une fellation, je suis tout de suite en pleine forme et jusqu’à minuit tout y passe, cunnilingus, chatte défoncée et pour finir en apothéose, ma première sodomie.
Lorsque je me branle pour essayer de diminuer la tension, de mon sexe, je regarde des pornos.
J’ai souvent fantasmé d’enfiler ma queue dans le cul d’une gonzesse, avec Annabelle, je suis servi, il est aussi profond que sa bouche.

De nouveau seule, j’ai un doute d’avoir perdu mon argent si en restant dans ma chambre, le génie était étranger à la venue d’Annabelle.
Je me branle, me promettant de sortir demain, ce que je fais vers 18 heures.
Dans le bar où j’ai l’habitude de lever mes femmes d’une nuit, des hommes, rien que des hommes, jusqu’à 22 heures ou la patronne d’une soixantaine d’années nous annonce qu’elle ferme.

• Adam, ma serveuse est absente, veux-tu m’aider à ranger la salle, je t’invite au restaurant, j’ai réservé une table et j’ai horreur de manger seule.

Soixante, c’est la plus vieille que je baise depuis que j’ai trouvé la lampe dans le grenier de mes grands-parents.
Comme l’on dit, c’est dans de vieux pots que l’on fait la meilleure soupe, je vérifie le dicton, je passe l’une de mes meilleurs nuit.

Ouf, ma paye est arrivée, Annabelle a bien fait partie du panel des femmes que je devais baiser.
Dans le mois qui a suivi Lucette, la patronne de bar est remplacée par une femme de 72 ans, comme l’autre fois personne à baiser et la soirée s’avançait.
Le plus dur à encaisser ça a été lorsque dans sa chambre, elle a enlevé son dentier et qu’elle s’est mise nue.
Ses seins tombaient au niveau de sa chatte et sa toison grise était plus épaisse que les buissons de la place de la mairie.
C’est elle qui m’a saisi par le derrière de ma tête et qui me l’a fourré dans sa bouche.
Une vraie salope, vieille et salope, mais le plus grave, c’est que rapidement le fait de bander vingt-quatre heures sur vingt-quatre est devenu insupportable.
Je baisais jeunes ou vieilles et malgré cela je devais me masturber plus de vingt fois par jour.
Ma verge par moments me faisait tellement mal que j’avais envie de me la couper.
Le cocktail, vieille et priapisme devenait insupportable.
Ce soir, je récupère la lampe sur la cheminée et je la frotte.
Rien que dalle, le génie est aux abonnés absent.
Plusieurs fois, je recommence et par chance d’un coup, il sort de la lampe.

• Il sera dit qu’il y aura toujours un con pour m’emmerder dans cette ville.
Dis-moi Adam, pourquoi me réveilles-tu, t’ai-je trompé sur ce que je t’avais promis ?
Le fric, mes adjoints te l’ont versé !
• Oui, je les ai sur mon compte et j’ai réussi à faire des économies.
• Je vois, ton problème, ce sont les filles !
J’ai donné l’ordre de t’en faire rencontrer des belles, mais quelquefois c’est la fin du stock que nous sommes obligés de te fournir.
Crois-tu que tu es le seul à avoir besoin de mes services.
Si tu savais par jour le nombre de mecs qui frotte ma lampe avec l’envie de baiser.
• Des lampes tu en as plusieurs en service !
• J’ai assez d’emmerde avec une, je suis continuellement dérangé pendant ma sieste.
• Je te comprends génie, fait un effort tout de même, pour m’en faire rencontrer des canons !
• Donc tout va bien, je peux y aller.
• Non, mon plus gros problème, c’est cette verge toujours bandée, j’ai des envies de me la couper.
• Je vois ton problème, je vais faire une exception pour toi Adam, un voeux de plus, c’est rare de ma part.
Après, je disparaitrais à jamais et je retournerai dormir.

Je débande instantanément, ouf, ça fait du bien.

• Au merci je te serais toujours redevable génie.

A-t-il entendu ces mots, il est parti très rapidement.

• Adam,que fais-tu coucher dans le vieux lit à barreaux de tes grands-parents en te frottant la verge avec une vieille lampe à huile.
Tu es devenu fou, descends ton père t’attend pour faire un dernier voyage vers la Déchetterie !

Ouf, j’ai rêvé tout ça et ma verge est bien flasque.
Heureusement, que j’avais débandé quand maman est entrée dans le grenier, même si elle l’a vue si souvent quand j’étais petit.
Tout le déménagement est fini, je rentre chez moi.
Je m’allonge et je veux voir comment tout ça fonctionne, je me pignole, c’est la Berezina, impossible de bander.
Je continue à insister, rien.
Ce con il a encore mal compris et m’a complètement émasculé.
Mais pourtant c’était un rêve !
Ça sonne à la porte, je vais ouvrir.

• Non, pardon, les vieilles j’en ai soupé, quel âge as-tu ?
• 95 ans et plus une seule dent, c’est ma sœur qui m’envoie, il paraît que tu baises divinement, fais-moi retrouver les élans de ma jeunesse !
• Je voudrais bien te satisfaire, mais regarde, je montre pavillon bas !
• Sans problème, tu as une bouche et des doigts si ta queue te fait défaut.
Avec tes doigts, tu pourras même me fister, en m’entrant ta main jusqu’au poignet.
J’étais pute dans ma jeunesse, si tu savais le nombre de bites que j’ai vu défiler !

Merde quand maman m’a réveillé, je croyais à un rêve.
Non, ma mémère est bien réelle et attend son plaisir.
Elle entre, se dirige vers ma chambre comme en terrain conquis.
Combien y a-t-il de ces vieilles pouvant se donner le mot dans notre ville sans que j’aie besoin d’aller les chercher ?
Mais dans quelle galère me suis-je fourré !

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