COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Les fantômes libertins (3/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2018 dans la catégorie A dormir debout
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Les fantômes libertins (3/5)
Je viens d’épouser le Comte Edgar de la Motte, devenant par la même Anne Comtesse de la Motte, je viens d’avoir 20 ans.
Nous habitons son château en Vendée terre de la chouannerie dont le Comte est l’un des descendants.
Dernièrement, un fait étrange s'est produit, le Comte était endormi à mes côtés pour une fois quand dans la nuit j’ai entendu une musique venant de notre salle de réception.
J'ai secoué le Comte qui dormait du sommeil du juste, bien que sa semence n’arrive pas à me féconder depuis notre mariage.
J'ai pris l’initiative de descendre malgré ma grande peur.
La salle était remplie de femmes et d’hommes nus, qui forniquaient dans tous les coins au rythme d’un orchestre dont les musiciens étaient aveugles, certainement pour se protéger des ragots, les choses vont si vite dans nos contrées.
J’ai eu une expérience sexuelle avec un jeune palefrenier s’appelant Gaston qui est fertile, contrairement au Comte frappé par une malédiction portée sur sa famille.
J’étais en 1602 !
C’est Miss Adam, directrice de mon école en Suisse, du moins une de ses ancêtres, qui m'a reçu et m’a expliqué tout ce que je dois savoir sur ma nouvelle famille.
Elle m'a aussi montré une porte que certaines personnes franchissaient et par laquelle je pourrais passer quand je me sentirais prête, a-t-elle dit.
J’ai appris en une nuit plein de choses sur le sexe et surtout j'ai connu l’orgasme quand Gaston m'a prise sur l’un de nos canapés en "levrette", un mot qu’à l’école on avait oublié de nous apprendre dans nos cours d’éducation sexuelle.
Au matin, à mon réveil dans le lit conjugal, le Comte en a fait autant et il m’a honoré, il me trouvait prête à le recevoir, tellement j'étais mouillée.
Du moins le croyait-il car en réalité il nageait dans l’océan de foutre que m’avant déversé Gaston.
"Foutre", d’où me vient ce mot ?
J’ai dû l’entendre dans cette nuit de débauche et d’infidélité devant, si j’en crois Miss Adam, m’apporter rapidement une progéniture que le Comte est incapable de me faire.
Je me rappelle tout cela quand on frappe à ma porte.
C’est Lison ma femme de service qui m’a été affectée la veille de mes noces et qui m’a aidée à me préparer pour ce grand jour pour moi et surtout pour mes parents.
- Bonjour madame, avez-vous bien dormi ?
Je me sens à l'aise avec elle.
J’ai pris l’habitude avec Lison, cette jeune fille très naturelle, de parler très librement.
Elle est fiancée au majordome du Comte qui a plus de 50 ans, elle qui n’a pas encore 19 ans !
Dans une confidence, ce matin, elle m’avoue être secrètement amoureuse de Louis, le jeune palefrenier de Monsieur le Comte comme elle l’appelle, mais que ses parents lui ont choisi Arthur, l'homme mûr dont je viens de parler.
Encore un cocu en puissance, même si c’est pour le simple plaisir des futurs jeunes amants !
- Madame, si je vous pose cette question, c’est que ce matin, je suis passée dans la grande salle.
J’ai trouvé votre chemise de nuit déchirée sur un fauteuil.
Je me fiche que vous ayez des rendez-vous nocturnes mais faites attention, il se dit des choses étranges sur la Comtesse dont j’ai oublié le nom, qui vivait ici vers l’an 900, à la construction du château.
Elle aurait trompé le Comte avec un palefrenier et aurait été emmurée vivante derrière l’un des murs du Château.
Soyez sans crainte, j'ai brûlé votre chemise de nuit dans la cuisinière en même temps que je l’allumais.
- Je vais te faire une confidence, Lison, hier, j’ai entendu du bruit, je suis descendue, le Comte était là, il m’a honoré sur ce fauteuil.
J’ignore si ton galant t’honore lui aussi, mais le Comte est très expéditif dans nos rapports, c’est lui qui l’a arrachée dans sa précipitation.
- Ah Madame, merci de me confier ce moment intime avec votre mari.
N’ayez crainte, je saurais me taire.
Quant à un galant pour moi, détrompez-vous, je suis vierge et seul Arthur, même s’il est vieux, aura mon corps.
Monsieur le curé nous le répète tout le temps, si nous trompons les maris qui nous sont choisis, nous mourrons dans les flammes de l’enfer.
Dans la journée, je suis intriguée par ce que j'ai vécu et par les dires de Lison.
Je suis près du mur, j’ai un dilemme.
Lison parle d’une femme emmurée et dans la nuit j’ai vu une porte franchie par des hommes mais surtout par des femmes.
Où est-elle ?
Il y a un mystère que je voudrais bien élucider, surtout quand on ajoute les fantômes baisant des jeunes femmes pour les féconder.
- Ma mie, que faites-vous ?
Pourquoi passez-vous vos mains sur ce mur de pierre ?
Quelqu’un vous aurait-il parlé de la légende de mon ancêtre emmurée après avoir fauté avec un bel étalon qui était palefrenier ?
Ça s’est passé en l’an 902, mais venez, je vais vous faire voir un livre, pardon deux livres.
L’original est écrit dans une vieille langue d'oïl parlée dans ces années-là et voici la traduction que j'ai fait faire par un spécialiste de cette époque.
C’est très instructif.
Mais vous savez ma mie, c’est de la littérature écrite certainement par un malade, il y en a toujours eu, à chaque époque.
Il prend deux livres dans le haut de notre bibliothèque.
L’un est une relique, je n’ose pas y toucher, l’autre me prend presque deux heures pour le lire.
Je découvre ce que le narrateur connaît de l’histoire de cette jolie femme, un peu simplette, à ce qu’il explique, qui se retrouvait piégée à la sortie d’une forêt en tombant de son cheval.
Le palefrenier de la ferme voisine serait venu la ramasser, mais elle était blessée à un genou.
Elle était en pantalon, il le lui a enlevé pour voir ce qu’elle avait et lui avait défoncé la chatte.
Un autre garçon de ferme avait été prévenir le mari qui était sur le chantier de son château que la Comtesse Clotilde était couchée dans la masure de son amant.
Il était venu sur son fidèle destrier noir et avait transpercé de son épée manant qui avait osé baiser son épouse.
Cette dernière avait été attachée par les bras et tirée jusqu’au château où il l’avait descendue vivante dans une oubliette de la cave murant l’entrée pour qu’elle y reste jusqu’à ce qu’elle meure.
Le palefrenier, lui, n’était pas mort.
Il était un peu sorcier et il avait tué celui qui, pour toucher une pièce d’or, était venu prévenir le Comte.
Il avait jeté un sort à son ennemi ainsi certaines nuits, le garçon se transformait en porte et si des femmes ou des hommes la franchissaient, elle se refermait sur eux, les obligeant à descendre tenir compagnie à la Comtesse.
- Ma mie, vous avez fini, venez vers le grand escalier.
Je suis mon mari qui s’arrête devant un premier portrait.
- Voici un tableau qui représente le Comte Philibert, mari de Clotilde.
Elle venait d’accoucher d’un fils, Florent, qui est représenté là sur ce tableau. Deux portraits plus hauts, c'est son petit-fils Geoffroy ayant eu pour épouse Mathilde qui aurait disparu dans les marais.
Là encore la légende dit qu’elle serait passée par cette porte éphémère.
Deux autres de mes ancêtres, dont le couple Alphonse que tu vois là ainsi que son épouse Jeanne aurait franchi la porte et disparu de notre terre.
Là encore, elle venait d’enfanter.
C’étaient mes arrière-grands-parents, mais des ossements trouvés dans un étang que les métayers avaient curé étaient venu contredire cette version.
Ils seraient morts la main dans la main.
Je suis quelqu’un de très pragmatique, je ne crois pas en ces légendes, ça reste des légendes.
Si une porte existait, pourquoi je ne l’ai jamais vue ?
Vous savez ma mie, je ne crois que ce que je vois.
Je l’avais quitté sur ces propos.
Songeuse.
Et trois jours plus tard, en pleine nuit, la musique m’a réveillée.
Le Comte ne m’avait pas honoré ce soir là, pourtant, pour la première fois, j'avais ouvert la porte de sa chambre et la veilleuse allumée me l’a montré dormant.
Je suis descendue, ai poussé la porte de notre grande salle.
L’estrade était là et d’autres musiciens, toujours aussi aveugles, jouaient.
La première chose que j’ai remarquée c’était qu’ils y avaient de nombreuses femmes et que les hommes n’étaient que des vieillards.
Tous avaient plus de 60 ans, du moins c’était l’impression qu’ils me donnaient.
Une femme inconnue de moi est venue vers moi.
- C’est la première fois que nous nous rencontrons.
Je suis miss Élisabeth la directrice de notre école londonienne, j’ai très bien connu votre mère, je crois qu’elle a fait un beau mariage avec un magistrat.
Si vous la voyez, vous la rappelez à mon bon souvenir.
Se peut-il que maman ai participé avec Papa à ces fêtes orgiaques ?
- Vous vous demandez pourquoi les beaux hommes qui étaient à votre disposition, si vous êtes déjà venue dans une de nos soirées pour vous faire remplir la chatte espérant avoir un garçon pour pallier la stérilité de vos maris, sont absents ce soir.
Nous sommes en 1792, la France s'est rebellée contre notre roi, les sans-culottes viennent de lui couper la tête.
La reine Marie-Antoinette est retenue prisonnière aux Tuileries et attend ce que les insurgés vont faire d’elle.
Tous nos jeunes hommes défendent la Vendée.
Nous restons fidèles au roi et à la reine, voilà pourquoi vous ne voyez que leurs pères ce soir, mais amusez-vous, certains sont encore verts.
Un homme aussi grand que Gaston vient vers moi, je me laisse faire, la porte est là, je vois une femme l’ouvrir.
J’ai envie d’aller lui dire de ne pas descendre, mais l’homme ayant de beaux restes vient de me placer en levrette sur mon canapé et m’appuyant sur le dos, il me force à creuser mes reins.
Son sexe, sans que je n’aie besoin de le stimuler tellement il est dur, me pénètre, m’apportant le début de mon plaisir dès qu’il est au fond de moi.
La pensée de ce que m’avait dit l’ancêtre de miss Adam en 1602 me rappelle que je suis peut-être déjà enceinte d’un fils, mais que je n’ai rien à craindre de cette bite.
Je sens une langue venir lécher mon anus, je tourne la tête.
Miss Élisabeth s'est placée sous l’homme qui me besogne et c’est sa langue que je viens de sentir.
Je suis pilonnée, mon amant très violent me claquant les fesses, me faisant hurler de plaisir surtout que la langue vient toucher ma petite excroissance qui allonge et durcit encore.
Mes cours m’ont appris que c’était mon clitoris qu’elle stimule.
Tout a une fin, je me réveille, comme pour mon premier voyage au pays des fantômes, Lison m’amenant mon petit déjeuner, je me demande si j'ai rêvé ou si ce fut la réalité !
Je m’étire comme une chatte, satisfaite de ma nuit, surtout de la langue de la miss anglaise.
Car quand le vieil homme m’avait donné sa semence, il nous a laissé entre nous et la belle Élisabeth, m’a appris ce que le mot lesbienne voulait dire.
Être sous les caresses d'une femme, ce fut nouveau pour moi, mais si merveilleux !
J’aime les bites des hommes, mais je découvre que les chattes des femmes ne me sont pas insensibles.
Quelques jours plus tard, je suis chez mon gynécologue avec ma mère. Mon mari n’a pas voulu venir, ce qui m’arrive est une affaire de femme.
- Madame la Comtesse, vous pourrez dire à monsieur le Comte que dans quelques mois il va être père.
- Un garçon ou une fille ?
- Le fétu est trop petit, je le vois bien, il est là et bien accroché, à votre prochaine écographie je vous le dirais…
Merci à Anne pour ses corrections.
Nous habitons son château en Vendée terre de la chouannerie dont le Comte est l’un des descendants.
Dernièrement, un fait étrange s'est produit, le Comte était endormi à mes côtés pour une fois quand dans la nuit j’ai entendu une musique venant de notre salle de réception.
J'ai secoué le Comte qui dormait du sommeil du juste, bien que sa semence n’arrive pas à me féconder depuis notre mariage.
J'ai pris l’initiative de descendre malgré ma grande peur.
La salle était remplie de femmes et d’hommes nus, qui forniquaient dans tous les coins au rythme d’un orchestre dont les musiciens étaient aveugles, certainement pour se protéger des ragots, les choses vont si vite dans nos contrées.
J’ai eu une expérience sexuelle avec un jeune palefrenier s’appelant Gaston qui est fertile, contrairement au Comte frappé par une malédiction portée sur sa famille.
J’étais en 1602 !
C’est Miss Adam, directrice de mon école en Suisse, du moins une de ses ancêtres, qui m'a reçu et m’a expliqué tout ce que je dois savoir sur ma nouvelle famille.
Elle m'a aussi montré une porte que certaines personnes franchissaient et par laquelle je pourrais passer quand je me sentirais prête, a-t-elle dit.
J’ai appris en une nuit plein de choses sur le sexe et surtout j'ai connu l’orgasme quand Gaston m'a prise sur l’un de nos canapés en "levrette", un mot qu’à l’école on avait oublié de nous apprendre dans nos cours d’éducation sexuelle.
Au matin, à mon réveil dans le lit conjugal, le Comte en a fait autant et il m’a honoré, il me trouvait prête à le recevoir, tellement j'étais mouillée.
Du moins le croyait-il car en réalité il nageait dans l’océan de foutre que m’avant déversé Gaston.
"Foutre", d’où me vient ce mot ?
J’ai dû l’entendre dans cette nuit de débauche et d’infidélité devant, si j’en crois Miss Adam, m’apporter rapidement une progéniture que le Comte est incapable de me faire.
Je me rappelle tout cela quand on frappe à ma porte.
C’est Lison ma femme de service qui m’a été affectée la veille de mes noces et qui m’a aidée à me préparer pour ce grand jour pour moi et surtout pour mes parents.
- Bonjour madame, avez-vous bien dormi ?
Je me sens à l'aise avec elle.
J’ai pris l’habitude avec Lison, cette jeune fille très naturelle, de parler très librement.
Elle est fiancée au majordome du Comte qui a plus de 50 ans, elle qui n’a pas encore 19 ans !
Dans une confidence, ce matin, elle m’avoue être secrètement amoureuse de Louis, le jeune palefrenier de Monsieur le Comte comme elle l’appelle, mais que ses parents lui ont choisi Arthur, l'homme mûr dont je viens de parler.
Encore un cocu en puissance, même si c’est pour le simple plaisir des futurs jeunes amants !
- Madame, si je vous pose cette question, c’est que ce matin, je suis passée dans la grande salle.
J’ai trouvé votre chemise de nuit déchirée sur un fauteuil.
Je me fiche que vous ayez des rendez-vous nocturnes mais faites attention, il se dit des choses étranges sur la Comtesse dont j’ai oublié le nom, qui vivait ici vers l’an 900, à la construction du château.
Elle aurait trompé le Comte avec un palefrenier et aurait été emmurée vivante derrière l’un des murs du Château.
Soyez sans crainte, j'ai brûlé votre chemise de nuit dans la cuisinière en même temps que je l’allumais.
- Je vais te faire une confidence, Lison, hier, j’ai entendu du bruit, je suis descendue, le Comte était là, il m’a honoré sur ce fauteuil.
J’ignore si ton galant t’honore lui aussi, mais le Comte est très expéditif dans nos rapports, c’est lui qui l’a arrachée dans sa précipitation.
- Ah Madame, merci de me confier ce moment intime avec votre mari.
N’ayez crainte, je saurais me taire.
Quant à un galant pour moi, détrompez-vous, je suis vierge et seul Arthur, même s’il est vieux, aura mon corps.
Monsieur le curé nous le répète tout le temps, si nous trompons les maris qui nous sont choisis, nous mourrons dans les flammes de l’enfer.
Dans la journée, je suis intriguée par ce que j'ai vécu et par les dires de Lison.
Je suis près du mur, j’ai un dilemme.
Lison parle d’une femme emmurée et dans la nuit j’ai vu une porte franchie par des hommes mais surtout par des femmes.
Où est-elle ?
Il y a un mystère que je voudrais bien élucider, surtout quand on ajoute les fantômes baisant des jeunes femmes pour les féconder.
- Ma mie, que faites-vous ?
Pourquoi passez-vous vos mains sur ce mur de pierre ?
Quelqu’un vous aurait-il parlé de la légende de mon ancêtre emmurée après avoir fauté avec un bel étalon qui était palefrenier ?
Ça s’est passé en l’an 902, mais venez, je vais vous faire voir un livre, pardon deux livres.
L’original est écrit dans une vieille langue d'oïl parlée dans ces années-là et voici la traduction que j'ai fait faire par un spécialiste de cette époque.
C’est très instructif.
Mais vous savez ma mie, c’est de la littérature écrite certainement par un malade, il y en a toujours eu, à chaque époque.
Il prend deux livres dans le haut de notre bibliothèque.
L’un est une relique, je n’ose pas y toucher, l’autre me prend presque deux heures pour le lire.
Je découvre ce que le narrateur connaît de l’histoire de cette jolie femme, un peu simplette, à ce qu’il explique, qui se retrouvait piégée à la sortie d’une forêt en tombant de son cheval.
Le palefrenier de la ferme voisine serait venu la ramasser, mais elle était blessée à un genou.
Elle était en pantalon, il le lui a enlevé pour voir ce qu’elle avait et lui avait défoncé la chatte.
Un autre garçon de ferme avait été prévenir le mari qui était sur le chantier de son château que la Comtesse Clotilde était couchée dans la masure de son amant.
Il était venu sur son fidèle destrier noir et avait transpercé de son épée manant qui avait osé baiser son épouse.
Cette dernière avait été attachée par les bras et tirée jusqu’au château où il l’avait descendue vivante dans une oubliette de la cave murant l’entrée pour qu’elle y reste jusqu’à ce qu’elle meure.
Le palefrenier, lui, n’était pas mort.
Il était un peu sorcier et il avait tué celui qui, pour toucher une pièce d’or, était venu prévenir le Comte.
Il avait jeté un sort à son ennemi ainsi certaines nuits, le garçon se transformait en porte et si des femmes ou des hommes la franchissaient, elle se refermait sur eux, les obligeant à descendre tenir compagnie à la Comtesse.
- Ma mie, vous avez fini, venez vers le grand escalier.
Je suis mon mari qui s’arrête devant un premier portrait.
- Voici un tableau qui représente le Comte Philibert, mari de Clotilde.
Elle venait d’accoucher d’un fils, Florent, qui est représenté là sur ce tableau. Deux portraits plus hauts, c'est son petit-fils Geoffroy ayant eu pour épouse Mathilde qui aurait disparu dans les marais.
Là encore la légende dit qu’elle serait passée par cette porte éphémère.
Deux autres de mes ancêtres, dont le couple Alphonse que tu vois là ainsi que son épouse Jeanne aurait franchi la porte et disparu de notre terre.
Là encore, elle venait d’enfanter.
C’étaient mes arrière-grands-parents, mais des ossements trouvés dans un étang que les métayers avaient curé étaient venu contredire cette version.
Ils seraient morts la main dans la main.
Je suis quelqu’un de très pragmatique, je ne crois pas en ces légendes, ça reste des légendes.
Si une porte existait, pourquoi je ne l’ai jamais vue ?
Vous savez ma mie, je ne crois que ce que je vois.
Je l’avais quitté sur ces propos.
Songeuse.
Et trois jours plus tard, en pleine nuit, la musique m’a réveillée.
Le Comte ne m’avait pas honoré ce soir là, pourtant, pour la première fois, j'avais ouvert la porte de sa chambre et la veilleuse allumée me l’a montré dormant.
Je suis descendue, ai poussé la porte de notre grande salle.
L’estrade était là et d’autres musiciens, toujours aussi aveugles, jouaient.
La première chose que j’ai remarquée c’était qu’ils y avaient de nombreuses femmes et que les hommes n’étaient que des vieillards.
Tous avaient plus de 60 ans, du moins c’était l’impression qu’ils me donnaient.
Une femme inconnue de moi est venue vers moi.
- C’est la première fois que nous nous rencontrons.
Je suis miss Élisabeth la directrice de notre école londonienne, j’ai très bien connu votre mère, je crois qu’elle a fait un beau mariage avec un magistrat.
Si vous la voyez, vous la rappelez à mon bon souvenir.
Se peut-il que maman ai participé avec Papa à ces fêtes orgiaques ?
- Vous vous demandez pourquoi les beaux hommes qui étaient à votre disposition, si vous êtes déjà venue dans une de nos soirées pour vous faire remplir la chatte espérant avoir un garçon pour pallier la stérilité de vos maris, sont absents ce soir.
Nous sommes en 1792, la France s'est rebellée contre notre roi, les sans-culottes viennent de lui couper la tête.
La reine Marie-Antoinette est retenue prisonnière aux Tuileries et attend ce que les insurgés vont faire d’elle.
Tous nos jeunes hommes défendent la Vendée.
Nous restons fidèles au roi et à la reine, voilà pourquoi vous ne voyez que leurs pères ce soir, mais amusez-vous, certains sont encore verts.
Un homme aussi grand que Gaston vient vers moi, je me laisse faire, la porte est là, je vois une femme l’ouvrir.
J’ai envie d’aller lui dire de ne pas descendre, mais l’homme ayant de beaux restes vient de me placer en levrette sur mon canapé et m’appuyant sur le dos, il me force à creuser mes reins.
Son sexe, sans que je n’aie besoin de le stimuler tellement il est dur, me pénètre, m’apportant le début de mon plaisir dès qu’il est au fond de moi.
La pensée de ce que m’avait dit l’ancêtre de miss Adam en 1602 me rappelle que je suis peut-être déjà enceinte d’un fils, mais que je n’ai rien à craindre de cette bite.
Je sens une langue venir lécher mon anus, je tourne la tête.
Miss Élisabeth s'est placée sous l’homme qui me besogne et c’est sa langue que je viens de sentir.
Je suis pilonnée, mon amant très violent me claquant les fesses, me faisant hurler de plaisir surtout que la langue vient toucher ma petite excroissance qui allonge et durcit encore.
Mes cours m’ont appris que c’était mon clitoris qu’elle stimule.
Tout a une fin, je me réveille, comme pour mon premier voyage au pays des fantômes, Lison m’amenant mon petit déjeuner, je me demande si j'ai rêvé ou si ce fut la réalité !
Je m’étire comme une chatte, satisfaite de ma nuit, surtout de la langue de la miss anglaise.
Car quand le vieil homme m’avait donné sa semence, il nous a laissé entre nous et la belle Élisabeth, m’a appris ce que le mot lesbienne voulait dire.
Être sous les caresses d'une femme, ce fut nouveau pour moi, mais si merveilleux !
J’aime les bites des hommes, mais je découvre que les chattes des femmes ne me sont pas insensibles.
Quelques jours plus tard, je suis chez mon gynécologue avec ma mère. Mon mari n’a pas voulu venir, ce qui m’arrive est une affaire de femme.
- Madame la Comtesse, vous pourrez dire à monsieur le Comte que dans quelques mois il va être père.
- Un garçon ou une fille ?
- Le fétu est trop petit, je le vois bien, il est là et bien accroché, à votre prochaine écographie je vous le dirais…
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