COLLECTION FANTASME. Femme de petite taille. (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FANTASME. Femme de petite taille. (1/1)
Pour un tombeur comme moi, il y a des situations que l’on espère vivre, baiser une none en lui enlevant ses vêtements tout en gardant la cornette sur sa tête, la prendre en levrette surplombant son couvre-chef est l’un de ces fantasmes.
Baiser une prof dans sa salle de classe après les cours au risque de se faire prendre par le proviseur.
Baiser la femme de son pote dans la cuisine pendant qu’il regarde un match de football avec passion, plus un fantasme, je l’ai fait le mois dernier.
Baiser une gendarmette dans l’exercice de ses fonctions sur le siège arrière de sa voiture de police, c’est possible la semaine prochaine, j’ai rendez-vous avec Ginette, elle m’a promis de passer me chercher, je suis à pied.
Et il y en a un que je viens de réaliser, je vous le conte.
Je suis assis au bar de cette cave à vins du 3ème arrondissement, je suis perché sur un siège haut sirotant un whisky.
À mon côté, un couple quitte le bar, la femme est amoureuse, depuis quelques minutes l’homme lui passait la main sous sa jupe.
Il était temps qu’ils partent, je commençais à bander, je sens que l’on me touche le cul en même temps qu’une voix me parle.
• Peux-tu m’aider à m’asseoir beau gosse ?
Je tourne la tête, personne, entendrais-je des voix ?
• Baisse un peu ta tête, couillon, je suis là.
Je fais ce que la voix me dit et je découvre une naine, pardon une femme de petite taille, pas plus haute que trois pommes, si je me lève, elle sera à bonne hauteur, mais baiser une naine même si ça fait partie des fantasmes de beaucoup d’hommes, il y a un immense pas à franchir.
• Regarde, c’est impossible pour moi de m’asseoir seule, j’ai envie de boire un whisky.
Je la prends sous les bras, l’installant sur le tabouret.
• Enlève tes mains baladeuses, arrête de me peloter, j’en sentis que tu me touchais les seins, je rigole, merci de m’avoir aidé.
• John, donnez un whisky à la demoiselle.
• Susy, tu es là, depuis combien de temps ?
• Fiche-toi de ma gueule, si je comptais sur toi pour boire un verre, je serais rapidement un pruneau sec.
• Adrien, prends soin de Susy, c’est notre petite mascotte.
• Fiche-toi de moi, mais c’est vrai que j’aime venir ici malgré tes tabourets qui sont immenses, je vais te faire un procès pour obstruction à personne de petite taille.
• Susy, on calme le jeu, Adrien pour te servir, je vais te donner mon numéro de portable, si tu as le moindre problème avec ta taille, tu appelles, j’accours.
• T’es beau gosse, mais crois-tu que j’aie besoin d’un homme pour me débrouiller dans ma vie, depuis la petite école, il a fallu que j’apprenne à me débrouiller seul.
Tu vois ce tabouret de bar, j’en ai escaladé des milliers, le mobilier est fait pour les gens normaux pas pour nous.
• Pourquoi m’as-tu demandée de t’aider à t’asseoir ?
• Crois-tu que nous serions en train de boire un whisky ensemble si je m’étais assise en escaladent ce tabouret, beau black ?
J’ai oublié de dire que je suis réunionnais, île que je connais par les livres et les images dans des films, mes parents étant venus avant ma naissance, je suis né à Vincennes près du château.
• Puis-je te poser une question ?
• Je sais, suis-je difforme comme le sont de nombreux noirs, ai-je une trompe à la place de ma bite.
• J’aurais dit la chose d’une autre manière, mais c’est un peu ma pensée, tu sais, j’ai beau être de petite taille, je baise fréquemment, pas vrai John.
Le barman semble être sourd, mais le regard en coin qu’il porte à Susy me montre que ce qu’elle dit est vrai, a-t-il honte d’avoir couché avec cette petite femme ?
• Pour répondre à la question, non formulée, au foot, quand j’étais jeune sous la douche, j’avais une longueur d’avance sur mes coéquipiers.
Je peux seulement parler de sa longueur au repos, il est rare que dans un vestiaire les garçons se masturbent aux yeux de tous afin de comparer nos mensurations quand le sang afflue.
Veux-tu la voir ?
• Chaque chose en son temps, es-tu marié ?
• Je l’ai été, maintenant je vis seul.
• La baisais-tu mal ?
• Tu es obsédée, non, incompatibilité d’humeur, on se déchirait pour un rien.
• Je suis obsédée, tu rigoles, je suis assise sur ce tabouret avec un homme qui me plaît et j’ignore si dans cinq minutes ou dans une heure, quand il serait bien bourré, il me proposera de me baiser.
• Arrête ton cinéma, je bois un verre par jour, le soir à la sortie de mon travail, c’est la première fois que je viens ici, mon bar habituel à deux rues d’ici est fermé.
• Chez toi ou chez moi ?
• Chez toi, je voudrais voir comment tu te débrouilles, je pense que le mobilier est classique, question, comment fais-tu à manger ?
• Aide-moi à descendre.
• Fiche-toi de moi, tu m’as dit que tu savais te démerder.
Prestement, elle saute au sol, je me lève, elle me prend la main, j’ai l’impression d’avoir ma petite fille au bout du bras.
• Amuse-toi bien, Susy ?
• Merci John.
• Adrien, souviens-toi de ce que je t’ai dit, prend bien soin de notre amie.
Elle habite à deux pas et du bar et de chez-moi, trois étages sans ascenseur, elle saute de marche en marche malgré ses petites jambes et est déjà en train d’ouvrir sa porte quand j’arrive bien essoufflé.
• Il va falloir que tu te remettes au sport beau gosse, voyons voir ce que tu as à me proposer.
C’est bien comme je le pensais, elle défait ma ceinture, fait tomber mon pantalon à mes pieds.
• Pas mal, c’est vrai que c’est la plus grosse que je vois, soit serein, je suis petite, mais mon corps acceptera facilement un tel morceau, pour commencer ma bouche.
Elle commence à me pomper dans son vestibule, elle devait avoir très faim, j’ai peur qu’elle n'avale tout sans rien me laisser, elle me fait une gorge profonde, rare sont mes amantes qui en ont mis autant dans leur bouche.
• Offres-moi un verre, petite cochonne, tu es la meilleure pompeuse que j’ai eue au bout de mon sexe.
• Je croyais que tu te cantonnais à un verre par jour.
Elle me regarde en levant les yeux, la différence avec ma femme ou mes autres, c’est qu’elle est debout, les autres s’agenouillant.
• L’eau ça existe, voir un jus de fruits.
Nous allons dans sa cuisine, certaines choses sont adaptées, devant l’évier et la cuisinière des sortes de marches est placée, une fois le jus d’orange avalé, je la prends dans mes bras et nous nous embrassons, elle met les bras autour de mon cou.
• Où est ta chambre ?
• À droite dans le couloir après la porte d’entrée, je sens ta bite qui tape mes fesses, je vais me régaler.
Une fois en chambre, je la repose, ouvre sa robe, enlève son soutien-gorge découvrant ses seins aussi bien foutus que ceux des femmes que j’ai baisées au fil de ma carrière de tombeur.
Je la couche sur son lit après avoir fait glisser sa petite culotte, je trouve son clito qui comme ses seins est réceptif et dans la normale de ceux que j’ai aspirés dans ma bouche, elle est très sensible.
Quand je la pénètre, j’oublie complètement qu’elle est une femme de petite taille, j’ai une amoureuse comme j’espérais en rencontrer une un jour, a un détail prêt, ses jambes trop courtes l’empêchent de me coincer en entourant ma taille.
Conclusion de notre rencontre, 3 ans de mariage, 3 enfants, un par an, 2 garçons de taille normale, ma fille, mon petit bouchon, de petite taille, mais les trois d’une jolie couleur chocolat au lait.
Tous les jours, quand je rejoins mon foyer, je trouve un verre de whisky servi par l’amour de ma vie, j’ai libéré mon logement celui de Susy étant déjà adapté pour elle.
La seule chose qui m’a posé un problème, ce sont toutes ces marches devant l’évier, la cuisinière et autres salles de bains, les premiers temps, je me prenais les pieds dedans allant même jusqu’à de jolis soleils.
Oui, le dernier point le moins bien adapté pour moi, les WC, la cuvette avant que j’emménage avait été remplacée par une cuvette identique à celle des écoles maternelles, vous pouvez comprendre mon problème.
Baiser une prof dans sa salle de classe après les cours au risque de se faire prendre par le proviseur.
Baiser la femme de son pote dans la cuisine pendant qu’il regarde un match de football avec passion, plus un fantasme, je l’ai fait le mois dernier.
Baiser une gendarmette dans l’exercice de ses fonctions sur le siège arrière de sa voiture de police, c’est possible la semaine prochaine, j’ai rendez-vous avec Ginette, elle m’a promis de passer me chercher, je suis à pied.
Et il y en a un que je viens de réaliser, je vous le conte.
Je suis assis au bar de cette cave à vins du 3ème arrondissement, je suis perché sur un siège haut sirotant un whisky.
À mon côté, un couple quitte le bar, la femme est amoureuse, depuis quelques minutes l’homme lui passait la main sous sa jupe.
Il était temps qu’ils partent, je commençais à bander, je sens que l’on me touche le cul en même temps qu’une voix me parle.
• Peux-tu m’aider à m’asseoir beau gosse ?
Je tourne la tête, personne, entendrais-je des voix ?
• Baisse un peu ta tête, couillon, je suis là.
Je fais ce que la voix me dit et je découvre une naine, pardon une femme de petite taille, pas plus haute que trois pommes, si je me lève, elle sera à bonne hauteur, mais baiser une naine même si ça fait partie des fantasmes de beaucoup d’hommes, il y a un immense pas à franchir.
• Regarde, c’est impossible pour moi de m’asseoir seule, j’ai envie de boire un whisky.
Je la prends sous les bras, l’installant sur le tabouret.
• Enlève tes mains baladeuses, arrête de me peloter, j’en sentis que tu me touchais les seins, je rigole, merci de m’avoir aidé.
• John, donnez un whisky à la demoiselle.
• Susy, tu es là, depuis combien de temps ?
• Fiche-toi de ma gueule, si je comptais sur toi pour boire un verre, je serais rapidement un pruneau sec.
• Adrien, prends soin de Susy, c’est notre petite mascotte.
• Fiche-toi de moi, mais c’est vrai que j’aime venir ici malgré tes tabourets qui sont immenses, je vais te faire un procès pour obstruction à personne de petite taille.
• Susy, on calme le jeu, Adrien pour te servir, je vais te donner mon numéro de portable, si tu as le moindre problème avec ta taille, tu appelles, j’accours.
• T’es beau gosse, mais crois-tu que j’aie besoin d’un homme pour me débrouiller dans ma vie, depuis la petite école, il a fallu que j’apprenne à me débrouiller seul.
Tu vois ce tabouret de bar, j’en ai escaladé des milliers, le mobilier est fait pour les gens normaux pas pour nous.
• Pourquoi m’as-tu demandée de t’aider à t’asseoir ?
• Crois-tu que nous serions en train de boire un whisky ensemble si je m’étais assise en escaladent ce tabouret, beau black ?
J’ai oublié de dire que je suis réunionnais, île que je connais par les livres et les images dans des films, mes parents étant venus avant ma naissance, je suis né à Vincennes près du château.
• Puis-je te poser une question ?
• Je sais, suis-je difforme comme le sont de nombreux noirs, ai-je une trompe à la place de ma bite.
• J’aurais dit la chose d’une autre manière, mais c’est un peu ma pensée, tu sais, j’ai beau être de petite taille, je baise fréquemment, pas vrai John.
Le barman semble être sourd, mais le regard en coin qu’il porte à Susy me montre que ce qu’elle dit est vrai, a-t-il honte d’avoir couché avec cette petite femme ?
• Pour répondre à la question, non formulée, au foot, quand j’étais jeune sous la douche, j’avais une longueur d’avance sur mes coéquipiers.
Je peux seulement parler de sa longueur au repos, il est rare que dans un vestiaire les garçons se masturbent aux yeux de tous afin de comparer nos mensurations quand le sang afflue.
Veux-tu la voir ?
• Chaque chose en son temps, es-tu marié ?
• Je l’ai été, maintenant je vis seul.
• La baisais-tu mal ?
• Tu es obsédée, non, incompatibilité d’humeur, on se déchirait pour un rien.
• Je suis obsédée, tu rigoles, je suis assise sur ce tabouret avec un homme qui me plaît et j’ignore si dans cinq minutes ou dans une heure, quand il serait bien bourré, il me proposera de me baiser.
• Arrête ton cinéma, je bois un verre par jour, le soir à la sortie de mon travail, c’est la première fois que je viens ici, mon bar habituel à deux rues d’ici est fermé.
• Chez toi ou chez moi ?
• Chez toi, je voudrais voir comment tu te débrouilles, je pense que le mobilier est classique, question, comment fais-tu à manger ?
• Aide-moi à descendre.
• Fiche-toi de moi, tu m’as dit que tu savais te démerder.
Prestement, elle saute au sol, je me lève, elle me prend la main, j’ai l’impression d’avoir ma petite fille au bout du bras.
• Amuse-toi bien, Susy ?
• Merci John.
• Adrien, souviens-toi de ce que je t’ai dit, prend bien soin de notre amie.
Elle habite à deux pas et du bar et de chez-moi, trois étages sans ascenseur, elle saute de marche en marche malgré ses petites jambes et est déjà en train d’ouvrir sa porte quand j’arrive bien essoufflé.
• Il va falloir que tu te remettes au sport beau gosse, voyons voir ce que tu as à me proposer.
C’est bien comme je le pensais, elle défait ma ceinture, fait tomber mon pantalon à mes pieds.
• Pas mal, c’est vrai que c’est la plus grosse que je vois, soit serein, je suis petite, mais mon corps acceptera facilement un tel morceau, pour commencer ma bouche.
Elle commence à me pomper dans son vestibule, elle devait avoir très faim, j’ai peur qu’elle n'avale tout sans rien me laisser, elle me fait une gorge profonde, rare sont mes amantes qui en ont mis autant dans leur bouche.
• Offres-moi un verre, petite cochonne, tu es la meilleure pompeuse que j’ai eue au bout de mon sexe.
• Je croyais que tu te cantonnais à un verre par jour.
Elle me regarde en levant les yeux, la différence avec ma femme ou mes autres, c’est qu’elle est debout, les autres s’agenouillant.
• L’eau ça existe, voir un jus de fruits.
Nous allons dans sa cuisine, certaines choses sont adaptées, devant l’évier et la cuisinière des sortes de marches est placée, une fois le jus d’orange avalé, je la prends dans mes bras et nous nous embrassons, elle met les bras autour de mon cou.
• Où est ta chambre ?
• À droite dans le couloir après la porte d’entrée, je sens ta bite qui tape mes fesses, je vais me régaler.
Une fois en chambre, je la repose, ouvre sa robe, enlève son soutien-gorge découvrant ses seins aussi bien foutus que ceux des femmes que j’ai baisées au fil de ma carrière de tombeur.
Je la couche sur son lit après avoir fait glisser sa petite culotte, je trouve son clito qui comme ses seins est réceptif et dans la normale de ceux que j’ai aspirés dans ma bouche, elle est très sensible.
Quand je la pénètre, j’oublie complètement qu’elle est une femme de petite taille, j’ai une amoureuse comme j’espérais en rencontrer une un jour, a un détail prêt, ses jambes trop courtes l’empêchent de me coincer en entourant ma taille.
Conclusion de notre rencontre, 3 ans de mariage, 3 enfants, un par an, 2 garçons de taille normale, ma fille, mon petit bouchon, de petite taille, mais les trois d’une jolie couleur chocolat au lait.
Tous les jours, quand je rejoins mon foyer, je trouve un verre de whisky servi par l’amour de ma vie, j’ai libéré mon logement celui de Susy étant déjà adapté pour elle.
La seule chose qui m’a posé un problème, ce sont toutes ces marches devant l’évier, la cuisinière et autres salles de bains, les premiers temps, je me prenais les pieds dedans allant même jusqu’à de jolis soleils.
Oui, le dernier point le moins bien adapté pour moi, les WC, la cuvette avant que j’emménage avait été remplacée par une cuvette identique à celle des écoles maternelles, vous pouvez comprendre mon problème.
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