COLLECTION FANTASME. J’ai fantasmé sur la sodomie (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION FANTASME. J’ai fantasmé sur la sodomie (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FANTASME. J’ai fantasmé sur la sodomie (1/2)
C’est dans mon village natal, que cette aventure, qui a conditionné notre vie avec ma femme, a débuté.

J’ai bientôt quarante ans, marié deux enfants, volant de leurs propres ailes, ma femme à 36 ans, je l’ai connu, elle avait dix-sept ans.
Je suis revenu pour une vicissitude de ma vie, maman étant décédée me laissant seul avec comme héritage, la ferme familiale.
Je devrais dire le corps de ferme, dans ce village du centre-est de la France, pour survivre, les agriculteurs doivent regrouper les terres.
Quand mon père est décédé, maman a loué les nôtres, ce qui lui rapportait de quoi survivre jusqu’à, il y a dix jours.
Ma femme est venue avec moi jusqu’à la fin de la cérémonie où une réunion importante dans la société qu’elle dirige l’a obligée de repartir pour Paris.
Je suis son bras droit, ce qui me permet de rester quelques jours afin de régler toute la succession.
Depuis toutes ces années, à part pour l’enterrement de mon père, ou je suis venu le temps de le mettre en terre, repartant pour des rendez-vous importants, je voyais maman chaque année.
C’est elle que je récupérais gare de Lyon pour Noël, le 1er de l’an et de Pâques.
Pour les grandes vacances, c’est ma femme Rose qui les conduisait pour quelques jours.

Nous avons décidé de garder la maison typique de la région bressane et de la faire rénover pour y venir en vacances et pour nos vieux jours.
Pour les dépendances, trop de travail et trop de frais, nous décidons de les détruire.
On nous a conseillé de prendre une entreprise qui fera le travail et qui se payera en grande partie avec les matériaux.
Brique qui constitue la plus grande partie des maisons d’ici, et surtout poutres anciennes intérieures et en façade.
Elles sont très prisées surtout des résidents Suisses, venants en voisins qui aiment en mettre dans ces maisons typiques qu’eux aussi achètent et rénovent.

Tout calculé, nous pensons pouvoir mettre une piscine où nos petits-enfants pourront venir s’ébattent quand nous en aurons.
Tous les matins, pour tenir ma forme, à Paris, je fais du jogging dans le parc Montsouris en face de notre appartement.
Pourquoi déroger à la règle, depuis que maman repose, je sors à six heures pétante courir une dizaine de kilomètres, je traverse, le village remplit de souvenir ?
La quincaillerie, avec la grosse Berthe, laide comme un pou, mais salope intégrale.
Elle m’a dépucelé comme bon nombre de mes copains.
Elle était à la limite d’être la pute de notre village, son mari ayant les plus belles cornes de la commune.
La mairie, j’ignore qui est maire aujourd’hui, je le saurais à 14 heures.
J’ai rendez-vous avec lui pour voir le plan d’occupation des sols afin que je monte mes dossiers pour la succession et les travaux de la maison.
Comme on dit, en ce temps-là monsieur, c’était Léon qui était maire, il avait une femme de presque 20 ans sa cadette.
Ils avaient eu une fille, voyons voir, à oui, Antoinette que j’ai dépucelée lors d’un bal du 14 Juillet.
Avant de la dépuceler, c’est sa mère que j’ai sautée dans la salle du conseil.
Georgette faisant office de secrétaire de mairie bénévole notre commune était officiellement pauvre alors que les paysans de notre région sont appelés, les ventres jaunes.
Lorsqu’ils allaient au marché aux poulets de Louhans où Bourg-en-Bresse, ils avaient autour de leur taille une ceinture ou ils cachaient leurs Louis d’or.
Un jour maman m’a demandé d’aller chercher un certificat de naissance, je suis arrivé à vélo.
De loin, j’ai vu Georgette ouvrir la porte de la mairie, je suis entrée dans le secrétariat, elle brillait par son absence.
Je l’ai appelé, elle m’a demandé de monter à l’étage, ou se trouvait la grande table du conseil.
C’était la première fois que j’y entrais.
Elle avait une robe boutonnée sur le devant, qui me montrait une belle partie de ses seins, moins avenant que ceux de Berthe, mais semblants fort jolis.
Je passe le début de la conversation, jusqu’au moment où elle a lâché la boîte de trombones qu’elle avait en main.
Elle était en train de classer des papiers pour le conseil qui se tenait le soir.
Nous étions à quatre pattes et nous avions presque terminé le ramassage quand mon regard s’est porté sur le décolleté que la robe me présentait.
Je voyais l’intégralité d’un de ses seins et la moitié de l’autre.
Je me suis mis à bander comme un fou, inutile de dire que je me suis retrouvé très couillon quand il s’est agi de me relever.
Les choses se sont faites naturellement comme dans un rêve, différemment qu’avec Berthe qui a cette époque était la seule femme que j’avais baisée.
Avec elle, on venait à la quincaillerie, quand elle voyait nos joues toutes rouges, elle savait ce que nous étions venus chercher.
Elle fermait la boutique et pendant que son mari était dans la cuisine dans l’impossibilité de bouger après son attaque, elle nous dépucelait dans la salle à manger.
Pour Georgette, c’est un mouvement mutuel qui nous a animés, elle a vu ou portait mon regard et que j’hésitais à me relever.
Elle m’a aidé et m’a elle-même embrassé, je baisais Berthe sur la table de sa cuisine, il en fut de même avec Georgette sur celle du conseil.
La salope, j’ai appris plus tard au café du village en écoutant les anciens que la place où je l’avais baisé était la place où le maire s’asseyait pour officier.
Plus spécifiquement sur le sous-main avec un grand buvard qui est resté marqué de plusieurs gouttes de cyprine sortie de sa chatte poilue.

En courant ce matin ayant fait le tour à gauche vers le centre du village, je décide de partir à droite vers des fermes isolées, comme celles de maman.
Pour autant, sans être au fin fond de la commune.
De loin, je remarque une femme courbée sur son sarcloir, me rapprochant, je vois que ce sont des patates qu’elle butte.
M’entendant, elle se redresse, me regarde et éclate de rire.

• Christophe, je savais que tu étais là, mon mari me l’a dit.
J’espérais te voir, mais là alors que je butte mes patates et que toi tu coures à six heures du matin, c’est plutôt insolite.
C’est avec lui que tu as rendez-vous à la mairie.
C’est le maire, il a pris la succession de son père, même s’il est con comme un manche.
Nous sommes la plus grosse exploitation de la commune.
• Antoinette, moi aussi je suis content de te retrouver.
Je pense de temps en temps à toi, quand je m’engueule avec ma femme.
• C’est sympa, tu penses à moi après une engueulade avec madame, tu pourrais trouver mieux pour parler de nos retrouvailles.
Et pourquoi vous engueulez-vous ?
Tu me diras ça à l’intérieur, je vais me faire un café, en veux-tu un ?

J’entre, elle nous sert le café.

• Alors pourquoi des engueulades dans votre couple ?
• J’ai du mal à en parler, j’ai un fantasme et elle refuse de le réaliser.
C’est difficile de l’évoquer devant une autre femme surtout que tu es partie prenante.
• Tu me fais marrer, quand tu m’as sauté me dépucelant dans le pré du père François le soir du 14 juillet, t’es-tu posé moins de questions ?
En parlant de fantasme, je savais pour la grosse Berthe, tous les garçons du village parlaient de la pute.
Je savais aussi pour maman, je l’avais entendu parler avec la Janine de toi et de ce que vous aviez fait, elle lui disait que tu étais un bon coup.
C’est pourquoi je t’ai choisi pour être mon premier.
Je voulais que ce soit l’amant de ma mère qui me déflore.
Quelque part c’était une petite vengeance pour un différend qui nous avait opposés.
• Toi aussi, tu es une salope, j’avais cru que c’était par béguin pour moi que tu m’avais cédée.
• Ce soir-là a été la seule.
Je savais que mon père voulait me marier au fils des Édouard, ils avaient le double de fermage que vous à cette époque.
• Pourquoi l’avoir refusé ?
• On était con quand nous étions jeunes.
Adèle, ma copine avait été dépucelée par Raoult et elle en avait gardé un très mauvais souvenir.
Il l'a prise par la chatte et l’ayant retournée, il l’a enculée sans aucune précaution.
C’est à cause de tout cela que je t’ai choisi, je savais que tu me ferais ça bien.
J’avais raison, il m’a sodomisé, mais contrairement à elle, j’ai beaucoup aimé.
• Justement, c’est là mon fantasme, dans le pré, tu t’es plainte que la rosée se faisait froid dans le dos.
• Je m’en souviens, tu as été prévenant et m’as fait placer en levrette.
J’avais vu, maman, se faire prendre par le facteur au milieu de la cuisine dans cette position.
Je savais donc qu’il était possible pour un homme de prendre une femme comme cela

Quelle famille, mais surtout quel village, tout le monde semblait coucher avec tout le monde.
Mais est-ce bien différent dans la plupart des petits villages de France !

• Alors, tu dois te souvenir que c’était une nuit de pleine lune, il faisait presque jour.
• Et alors ?
• J’ai vu ton cul, tu sais tes belles pommes bien rondes, juteuses à souhait tellement tu mouillais.
• Et alors ?
• J’ai eu envie de t’enculer, te dépucelant des deux côtés.
Quand je me suis marié, j’ai voulu pointer ma femme, ça fait des années que régulièrement, je me présente à sa petite porte.
Hélas, elle m’est irrémédiablement fermée.
• Si c’est ton fantasme, veux-tu le réaliser ?
• Comment ?
• Tu m’as dépucelé me permettant d’échapper à mon con de mari qui a cru être le premier.
Je t’offre mon cul, Raoult est en préfecture pour préparer les Présidentielles, passons un bon moment.

Très naturellement elle enlève son tablier, sa jupe m’apparaissant nu, sans culotte.
Extra, je discutais avec ma maîtresse alors qu’elle avait le cul à l’air, avec qui fornique-t-elle pour être toujours prête.
Le facteur comme sa mère, je l’ai vu passer hier, c’est une femme, bien que les lesbiennes cela existe.
Je la couche sur la table, lui relève les jambes amenant ma convoitise à la bonne hauteur de mon sexe qui est de nouveau tout gonflé.

• Pour me préparer, fais-moi une feuille de rose.
• Tu te fiches de moi.
• Pourquoi ?
• Ma femme s’appelle Rose.

Nous éclatons de rire, sans oublier mon but, je la lèche entrant même ma langue dans son anus, jusque dans son vagin, plus spécifiquement son clitoris.
J’ignorais qu’elle en avait un aussi long, trois centimètres à moins qu’il se soit développé avec le temps.

• Va met moi, prends-moi le petit, ça va glisser comme dans du beurre, réalise ton fantasme.

Je prends ma queue en main et je présente mon gland à son anus.
Avant d’entrer, je vois qu’il a des mouvements comme pourrait l’avoir la bouche d’un calmar attrapant ses proies.
Je suis au fond, elle a raison, elle a tellement été enculée que je baigne dans un océan de douceur.
Il m’est difficile de résister et je crache littéralement mon sperme remontant certainement dans ses intestins.
C’est bon, j’ai déchargé et Antoinette de son côté malgré l’opération brève semble avoir trouvé cela bon…

Les avis des lecteurs

J'aime beaucoup! c'est asser bon! j'aime les histoires comme ca :)
J'attends la suite ;)



Texte coquin : COLLECTION FANTASME. J’ai fantasmé sur la sodomie (1/2)
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