COLLECTION FANTASME. Mon mari m’offre à son copain (1/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 2407 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
  • • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 027 649 visites.
Récit libertin : COLLECTION FANTASME. Mon mari m’offre à son copain (1/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 9 526 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(1.0 / 10)

Couleur du fond :
COLLECTION FANTASME. Mon mari m’offre à son copain (1/4)
• Ma chérie, à la veille de nos dix ans de mariage, peux-tu me dire les frustrations que tu ressens ?
• Frustrations, non, seulement un peu trop la routine dans nos rapports sexuels.
Tu me connais trop et je te connais trop moi aussi.
Lorsque nous sommes seuls, les enfants regardant la télé ou jouant dans le jardin et que tu t’approches de moi venant me coller.
Je sais que si je passe ma main sur ta braguette, je vais trouver un machin tout dur.
Je vais me baisser, tu regarderas si les garçons jouent dans notre piscine et je te sucerais jusqu’à te faire jouir dans ma bouche.
Tu te souviens les premiers jours où nous étions ensemble, je rechignais à le faire à cause de mon éducation.
Maintenant lorsque tu décharges au fond de ma gorge, je suis frustrée lorsque la source se tarit.
La piscine, depuis que tu me l’as offerte lors de mon trentième anniversaire, chaque fois que nos enfants dorment, l’été, j’adore lorsque nous la rejoignions, que nous nous dénudons et que nous prenons un bain de minuit.
J’adore lorsque tu viens derrière moi me coinçant sur la margelle et que ta bite vienne me prendre fougueusement.
Et maintenant dans notre lit, lorsque je vois ta queue dressée, que je vais m’empaler et que je vais monter jusqu’au plafond, comment pourrais-je parler de frustration.
Tu viens de me payer ma nouvelle voiture, nous avons en banque de quoi payer les études des enfants jusqu’à ce qu’il puisse s’assumer, tu es le mari dont petite fille j’ai toujours rêvé.
Tu me fais parler de mes frustrations, tu dois avoir une idée derrière la tête, quelles sont-elles ?
Ou alors as-tu des fantasmes à réaliser que tu m’aurais caché ?
• Non, rien de tout ça, si un seul, mais on en a déjà parlé avoir une fille or la nature a voulu que nous ayons deux garçons, j’aurais aimé avoir le choix du roi quand Yvon est né.
• Tu sais bien que c’est l’homme qui détermine le sexe des enfants, il te fallait te démerder pour m’envoyer des chromosomes X et Y au lieu de double X.
• Tu as raison, mais ça restera mon fantasme, comme nous avons décidé de nous arrêter à deux.
• Comme tu as décidé que nous nous arrêterions à deux mon chéri.

Quelques jours passent, nous sommes à table, Christian est rentré de la salle de sport ou il va deux fois par semaine après son travail à sa banque.

• Chéri, je t’ai parlé de mon copain que je me suis fait à la salle de sport, samedi les garçons sont chez ta mère comme un week-end par mois afin que nous ayons un moment à nous !
• Oui, j’avais pensé manger vers la piscine en amoureux, j’ai regardé le temps, ils annoncent une nuit douce et chaude sans risque d’orage.
• J’ai regardé aussi, c’est pour cela que j’ai invité Freddy à manger avec nous, ça te dérange !
• Non, tu me parles de Freddy depuis si longtemps, que je me suis même dit un moment que vous étiez PD et que tu le vois en douce pour l’enculer ou te faire enculer.

C’est samedi, on sonne à la porte.

• Je pense que vous êtes Freddy !
• Et vous Sophie, la belle Sophie.
• Merci pour ce magnifique bouquet de roses.
Je vais vous dire qu’il était inutile de faire une telle folie, mais ces fleurs sont si belles que si nous nous connaissions mieux, je vous aurais fait la bise.
• Ma foi, j’entends tellement parler de vous, l’homme aux plaquettes de chocolat, que vous faites un peu partie de la famille, on peut se faire la bise.
• Et moi, la femme de la vie de Christian, il parle de vous comme de son joyau, lorsqu’il m’a invité il fallait que je vienne le découvrir.

Il sent un parfum discret, j’aime les hommes parfumés avec discrétion.
Au début de notre relation avec Christian, son parfum était entêtant, j’ai été à deux doigts de le rembarrer, mais j’ai su discrètement lui imposer celui dont il se sert maintenant poivrer, mais plus discret.
Une fraction de seconde, il se colle à moi pour me biser comme l’on dit.
Son bassin vient au contact du mien alors qu’avec Christian lorsque nous avons ce genre de mouvement, c’est son ventre que je sens en premier.
Pourtant, les deux hommes ont environ le même âge.

• Passez dans le jardin par la fenêtre de la salle, Christian est près de la piscine, il fait cuire la côte de bœuf, je passe par la cuisine récupérer les gougères que j’ai mises au four avant que vous arriviez.

Quelques minutes et je rejoins les deux hommes le plateau tout chaud à la main, c’est en arrivant que j’entends.

• Vingt minuites, j’ai le temps de plonger une tête, par cette chaleur du soir, l’eau est tellement attirante.

Avant d’avoir compris ce qu’il arrivait, Freddy s’est mis nu, entièrement nu et a plongé dans l’onde claire.
Je regarde Christian l’interrogeant du regard d’une telle décontraction, il semble rigoler d’une manière entendue.
Trois longueurs et il sort de l’eau.

• Mon dieu qu’elle est bonne, j’ai bien fait d’y aller, Sophie, il faudrait que tu y ailles, toi aussi.
Pardon je t’ai dit, « tu ».
• Sans problème mon ami, tu peux tutoyer ma femme, je suis sûr qu’elle préfère.

Parler pour moi, le défaut de mon mari dès que nous sommes en société.
Sans se poser de question, Freddy s’assied à table la bite pendante, par chance au repos en toute décontraction.
Nous prenons l’apéro et Christian apporte la côte cuite à point comme il sait le faire.
Il est vrai que comparé à Christian, Freddy a ces fameuses plaquettes de chocolat qui attire l’œil d’une femme, même fidèle à son serment de mariage.

• C’était très bon, je crois que je vais replonger et profiter encore de votre piscine.
Sophie, m’accompagnes-tu ?
• Je vais aller mettre mon maillot et te rejoindre, viens-tu aussi Christian ?
• J’ai trop mangé, chérie, ce serait déraisonnable, mais va y nu toi aussi, on est entre amis et adultes avec Freddy.

Je commence à me poser des questions, la conversation avec lui et nos fantasmes me revient en mémoire, je veux aller voir jusqu’à où ces deux hommes ont monté leur coup.
Moi aussi je me dénude, facile sous la petite robe moulante que je porte je suis nu, tous sous-vêtements marqueraient me rendant indécente.
C’est en toute indécence devant un autre homme que le mien que je me dirige vers la piscine.
Par chance, Freddy a plongé et commence à nager dans un crow d’une grande efficacité dans les vingt mètres dans notre piscine.
À mon tour, j’entre dans l’eau, je nage mieux plus vite et au bout de cinq longueurs je suis à sa hauteur et je le dépasse allant m’arrêter sur les marches.
Il me rejoint et se pose à mon côté.
Sa main se pose sur ma cuisse, dans mon dos je sens le regard de Christian qui pourrait réagir, mais semble bien s’en garder.
Sa bouche se pose sur mon sein frissonnant, non pas à cause de la fraicheur de l’eau, mais par ses lèvres allant même jusqu’à le titiller avec sa langue.
Je sentais que ma chatte mouillait et lorsqu’il a introduit des doigts, il a vu que je m’étais rendu.
Les marches me font mal au dos, mais je l’ai reçu en moi après que ma main ait constaté qu’il bandait.
Tromper son mari devant ses yeux sans aucune réaction de sa part est pour moi une sensation nouvelle.
Au moment où la verge de Freddy m’a fait jouir en osmose lorsqu’il s’est déversé en moi, j’avais ma réponse, ils avaient monté le coup ensemble.
Libérée, j’ai refait une ou deux longueurs, Freddy se trempant seulement la queue dans l’eau de la piscine.
Lorsque je sors, il était assis sur sa chaise face à Christian complètement amorphe, c’est délibérément que je me suis assise sur ses genoux.
La soirée touche à sa fin, sans que l’un de nous évoque ce que nous avons fait.

• Je vais me coucher, je suis fatiguée.

J’ai rejoint ma chambre, pris une douche et je me suis couchée me demandant comment serait ma réaction au matin.
J’ai senti Christian venir ce couché, sans un mot et la moindre marque de l’évènement que notre couple venait de vivre.
Au matin, le silence est pesant jusqu’à ce que la situation entre nous se normalise sans pour autant nous expliquer.

Bientôt un mois que j’ai fait l’amour avec Freddy, j’ai l’impression que Christian se sent péteux de m’avoir donné à un autre.
Alors c’est moi qui prends l’initiative.

• Chéri le silence entre nous après que tu aies invité ton copain est pesant, je suis loin d’être idiote et tout ceci faisait suite à la conversation que nous avions eue sur nos fantasmes potentiels.
Tu avais envie de me voir faire l’amour avec un autre homme, j’ai exécuté ton souhait.
Samedi prochain, les garçons sont chez leur grand-mère, ce coup-ci c’est moi qui invite, j’ai regardé la météo grand beau temps au bord de notre piscine.
• Veux-tu que j’appelle Freddy, je vois que ça t’a beaucoup plus puisque tu veux recommencer ?
• Tu te trompes, je m’occupe de l’invitation de qui sera près de moi dans la piscine, Freddy j’ai déjà donné pour le moment.
• Dommage, il m’a dit qu’il était partant pour refaire une soirée avec nous.

Samedi soir, les enfants sont partis, je m’apprête, jupe longue blanche fendue dégageant ma jambe presque jusqu’à ma chatte parfaitement épilée.
Que la fête commence...

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : COLLECTION FANTASME. Mon mari m’offre à son copain (1/4)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.