COLLECTION FANTASME. Mon mari m’offre à son copain (2/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION FANTASME. Mon mari m’offre à son copain (2/4)
C’est à l’approche de nos dix ans de mariage avec Christian que nous avons une conversation sur nos frustrations et nos fantasmes.
Pour ma part, deux enfants des garçons, une maison de rêve avec piscine et comme je l’ai dit un livret et des actions, nous permettant de voir venir jusqu’à la fin de nos vieux jours.
Même les études des enfants sont programmées et financer par un plan d’épargne.
Il faut dire que lorsqu’on épouse un banquier, ça facilite pour nous permettre d’être heureux.
Certes, Christian a pris un peu d’embonpoint, mais il y a pire et je me contente largement de ce que j’ai.
Ce que je sais, c’est qu’après la naissance de Jules, celle d’Yvon, même s’il l’aime, a créé une frustration pour lui.
Il espérait le choix du roi, garçon puis fille, mais il s’est retrouvé avec deux petites quéquettes.
Je voulais essayer une troisième fois, mais c’est lui qui a refusé de prendre le risque d’avoir trois garçons.
À la fin de cette conversation, j’ignorais qu’elle avait un but invité son copain de salle de sport à une soirée piscine barbecue les enfants étant chez leur grand-parent.
Sans être une orgie de sexe, ce fut une soirée où je me suis donnée à cet homme un peu plus sportif que Christian.
Freddy se mettant nu dès son arrivée me présentant ses tablettes de chocolat.
Cette soirée où j’ai joui sous le regard de mon mari parfait candaulisme m’a apporté bien du plaisir me faisant découvrir une nouvelle facette de cet homme épousé dix ans plus tôt.
Presque un mois que cette soirée a eu lieu et que nos rapports sont un peu tendus car ni l’un ni l’autre nous décidons d’entamer une explication.
Certes, dès le retour des enfants, nous présentons le visage que nous avons toujours eu avec eux de personnes heureuses.
Tout ceci jusqu’à ce que je décide de percer la bulle, entre nous, c’est moi qui prends l’initiative.
Samedi soir, les enfants sont partis et ayant annoncé une soirée au bord de la piscine à Christian ,il pense que je veux rééditer la fête avec Freddy.
Je le détrompe, c’est moi qui ce coup-ci porte une invitation.
J’ai passé ma robe longue blanche fendue découvrant ma jambe jusqu’à mon pubis, robe que j’ai été acheté en vue de cette soirée.
Elle est tellement impudique, que je vois Christian bander avant l’arrivée de mon invitée.
Ça sonne, je vais ouvrir.
• On s’embrasse !
• Je rêve de t’embrasser lorsque je défilais et que tu les organisais avant de nous quitter pour t’occuper de tes enfants.
Fourreau en lamé blanc, Julietta est une magnifique femme brune de ma taille.
Je l’ai connu du temps où je travaillais encore comme chargée de relation dans une agence de mannequins parisiens.
Julietta outre sa beauté est connue pour être une lesbienne et seulement une lesbienne.
Dans ce milieu, il y a des jeunes femmes qui sont portées sur les chattes et les bites, Julietta, c’est seulement les vagins qu’elle aime lécher et pénétrer avec sa langue.
J’ai souvent travaillé avec elle, et c’est souvent qu’elle m’a fait sentir que j’étais loin de lui être indifférente.
• Sophie, ton coup de fil m’a étonné, j’avais perdu l’idée qu’un jour tu m’appellerais.
Je me souviens de notre dernière conversation lorsque je t’ai invité chez moi et que tu m’as déclaré que tu étais fidèle à Christian que tu avais épousé et qui venait de te faire ton deuxième enfant.
Que se passe-t-il, vous seriez-vous séparé et tu t’es souvenue de ta vieille copine ayant envie de te serrer fortement dans ses bras ?
Avant que j’aie le temps de répondre, elle me prend par la taille pour me donner un baiser.
C’est un baiser, qui me chamboule jusqu’au fond de mon string, qui est resté dans mon tiroir.
C’est très agréable, je fonds littéralement sentant sa poitrine sur la mienne.
Un instant je regrette de l’avoir légèrement repoussé lorsqu’elle m’a fait sa proposition de venir chez elle.
Si dans mon conflit avec mon mari, c’est à elle que j’aie fait appel pour venir passer la soirée, c’est certainement qu’au fond de moi je fantasmais sur des amours féminins et surtout sur Julietta.
• Mon mari, tu te trompes, il est là dans le jardin près de notre piscine, il fait cuire sa célèbre côte de bœuf !
• Dommage, mais pourquoi m’as-tu laisser t’embrasser ?
• Ce serait trop long à t’expliquer, mais laisse-moi faire, tu vas être surprise.
Comme pour Freddy, je l’entraine vers le jardin.
Elle enlève ses talons hauts pour rejoindre la petite terrasse où une table et le barbecue sont installés.
• Sophie, mais qui m’amènes-tu, vous êtes, heu, heu, la célèbre mannequin ?
• Oui, mon chéri, c’est Julietta, l’un des plus célèbres mannequins de la planète.
À ses yeux, je vois Christian très rapidement pensif.
Il m’a fait connaître Freddy, son copain et je vois comme dans un livre son chemin cérébral.
Il pense que Julietta cette femme magnifique sera à lui avant la fin de la soirée.
J’ai dit que Julietta était une gouine jusqu’au bout des ongles et que je veux jouer un bon tour à celui qui m’a regardé baiser avec son copain.
• Ta côte est cuite dans combien de temps mon chéri ?
• Cinq à dix suivant si vous l’aimez à point ou bien cuite.
• Julietta fait comme moi, et allons-nous baigner, l’eau me fait envie.
Avant de dire ouf, j’ai fait sauter ma robe leur apparaissant nue avant de descendre marche par marche comme je l’ai faite un mois plus tôt.
J’entends un bruit de vêtement, sans regarder, je tends ma main, la sienne vient s’insérer dans la mienne.
Nous nous baissons ensemble afin de nous mouiller, je la fais pivoter et nos bouches se retrouvent.
Ma main s’égare vers le bas de son corps aux formes parfaites.
Pour la première fois, je fais entrer mes doigts dans une fente féminine.
C’est à ce moment que j’entends un bruit d’eau dans mon dos.
C’est dans le cou de Julietta dont je lui parle.
• Dis-moi qui viens d’entrer dans l’eau ?
• Ton mari, je l’ai vu se dénuder, s’il me touche, je hurle.
Je me retourne, mes doigts quittent cette grotte accueillante.
Je sens Christian tout près de moi.
• Ou vas-tu mon chéri, retourne t’asseoir sur ta chaise, le mois dernier, tu semblais te délecter de me voir baisé par ton copain.
Ce mois-ci, c’est moi qui mène le bal comme je le mènerais dans les mois prochains.
Va te branler en nous regardant, de toute façon, Julietta est allergique aux hommes et je fantasmais de goûter aux plaisirs féminins sans me l’avouer.
Je retourne à la bouche de celle que je vais faire d’elle ma maîtresse.
• Attends, laisse-moi m’assoir.
Elle saute, ses jolies fesses sans l’ombre de la moindre trace de cellulite et les posent sur la margelle de la piscine.
Elle écarte ses cuisses, j’ai devant mes yeux son mont de Vénus surmonté d’une petite touffe blonde du plus bel effet.
Son mont de Vénus, lorsque je la voyais défiler en maillot de bain, j’étais obnubilé par sa forme à nulle autre pareille, se dessinant parfaitement.
J’avance ma bouche, je sors ma langue et avec délice je suce son clito et les sucs qui sortent de son corps, je mouille, elle mouille.
Je la vois mettre ses bras sur le bord de la piscine et tendre son corps et ses seins.
Ma main droite retrouve la douceur de son sexe pendant que ma main gauche trouve son sein droit.
Petits, son sein, comme le sont souvent ceux des mannequins, mais réagissant à ma caresse.
Lorsque je travaillais avec ces jeunes femmes, combien en ai-je vu dans les arrières des défilés ?
C’est un point commun à toute, l’absence de pudeur entre elles, le changement de vêtements ou les essayages se faisant à une telle cadence qu’ils interdisent d’être prudes.
Je l’amène jusqu’au point de jouissance et de nouveau pour la première fois au moment où ses cris emplissent le jardin et la piscine, je bois sa cyprine sortant abondamment de sa chatte blonde.
Satisfaite de mon exploit, je me laisse glisser en arrière, ce cunnilingus ayant échauffé mes sens, je suis prête à recevoir la langue de Julieta en me positionnant comme elle.
• Mesdames la côte est prête, si vous voulez me donner la peine de me rejoindre.
Je me retourne, d’une main Christian pose la côte sur un plateau à découper de l’autre, il s’astique le manche bandant allégrement.
Nous sortons de l’eau, c’est les fraises que j’ai préparées pour le dessert que Julieta se lève m’aide à reculer ma chaise pour mieux venir me faire à mon tour un cunnilingus sa langue plus agile que la mienne.
Certainement la force de l’habitude d’une profonde lesbienne.
En plus de sa bouche sur mon clito à la fête comme jamais ses doigts entrent en moi.
Christian à un mètre de moi recommence à se branler, au moment où je tombe de ma chaise au moment où un orgasme m’atteint, je vois ses jets de sperme partir en l’air et venir arroser la pelouse.
Prestement elle me suit et se retourne me présentant de nouveau sa chatte.
Sous mes yeux, des coulés de cyprines descendent le long de ses jambes, je m’empresse de les lécher avant de repenser à ses doigts en moi.
De son côté, je devrais dire du mien aussi, je sens qu’elle fait pénétrer sa langue et ses doigts.
Un à un les miens entrent en elle, un à un les siens sont en moi.
Trois à trois, elle s’arrête là, je sens que ma chatte est tendue comme jamais.
Mais de son côté, ma main entière pénètre dans son con se distendant impeccablement, pour la première fois je fiste une femme, sentant son intérieur soyeux poissant ma main jusqu’à mon poignet.
J’ai dû tourner de l’œil lorsque la bombe a explosé en moi et en nous.
Comment suis-je arrivé dans la piscine, je l’ignore et je m’en fiche, je fais la planche finissant par atteindre la margelle m’y accrochant.
Christian est là m’écartant les jambes et c’est avec déluce que sa verge entre en moi.
Où est Julieta, je tourne la tête, ma copine se trouve là, assise sur sa chaise se caressant la chatte ?
Je la vois se lever, remettre sa robe en lamé blanche et reprenant ses chaussures repartir vers la maison.
Le mois prochain que vais-je inventer pour satisfaire mes fantasmes et ceux de mon mari qui présentement m’envoie au septième ciel avant que nous rejoignions le matelas de notre lit de jardin deux places en rotin où nous nous endormons repus de sexe.
J’ai bien une petite idée derrière la tête...
Pour ma part, deux enfants des garçons, une maison de rêve avec piscine et comme je l’ai dit un livret et des actions, nous permettant de voir venir jusqu’à la fin de nos vieux jours.
Même les études des enfants sont programmées et financer par un plan d’épargne.
Il faut dire que lorsqu’on épouse un banquier, ça facilite pour nous permettre d’être heureux.
Certes, Christian a pris un peu d’embonpoint, mais il y a pire et je me contente largement de ce que j’ai.
Ce que je sais, c’est qu’après la naissance de Jules, celle d’Yvon, même s’il l’aime, a créé une frustration pour lui.
Il espérait le choix du roi, garçon puis fille, mais il s’est retrouvé avec deux petites quéquettes.
Je voulais essayer une troisième fois, mais c’est lui qui a refusé de prendre le risque d’avoir trois garçons.
À la fin de cette conversation, j’ignorais qu’elle avait un but invité son copain de salle de sport à une soirée piscine barbecue les enfants étant chez leur grand-parent.
Sans être une orgie de sexe, ce fut une soirée où je me suis donnée à cet homme un peu plus sportif que Christian.
Freddy se mettant nu dès son arrivée me présentant ses tablettes de chocolat.
Cette soirée où j’ai joui sous le regard de mon mari parfait candaulisme m’a apporté bien du plaisir me faisant découvrir une nouvelle facette de cet homme épousé dix ans plus tôt.
Presque un mois que cette soirée a eu lieu et que nos rapports sont un peu tendus car ni l’un ni l’autre nous décidons d’entamer une explication.
Certes, dès le retour des enfants, nous présentons le visage que nous avons toujours eu avec eux de personnes heureuses.
Tout ceci jusqu’à ce que je décide de percer la bulle, entre nous, c’est moi qui prends l’initiative.
Samedi soir, les enfants sont partis et ayant annoncé une soirée au bord de la piscine à Christian ,il pense que je veux rééditer la fête avec Freddy.
Je le détrompe, c’est moi qui ce coup-ci porte une invitation.
J’ai passé ma robe longue blanche fendue découvrant ma jambe jusqu’à mon pubis, robe que j’ai été acheté en vue de cette soirée.
Elle est tellement impudique, que je vois Christian bander avant l’arrivée de mon invitée.
Ça sonne, je vais ouvrir.
• On s’embrasse !
• Je rêve de t’embrasser lorsque je défilais et que tu les organisais avant de nous quitter pour t’occuper de tes enfants.
Fourreau en lamé blanc, Julietta est une magnifique femme brune de ma taille.
Je l’ai connu du temps où je travaillais encore comme chargée de relation dans une agence de mannequins parisiens.
Julietta outre sa beauté est connue pour être une lesbienne et seulement une lesbienne.
Dans ce milieu, il y a des jeunes femmes qui sont portées sur les chattes et les bites, Julietta, c’est seulement les vagins qu’elle aime lécher et pénétrer avec sa langue.
J’ai souvent travaillé avec elle, et c’est souvent qu’elle m’a fait sentir que j’étais loin de lui être indifférente.
• Sophie, ton coup de fil m’a étonné, j’avais perdu l’idée qu’un jour tu m’appellerais.
Je me souviens de notre dernière conversation lorsque je t’ai invité chez moi et que tu m’as déclaré que tu étais fidèle à Christian que tu avais épousé et qui venait de te faire ton deuxième enfant.
Que se passe-t-il, vous seriez-vous séparé et tu t’es souvenue de ta vieille copine ayant envie de te serrer fortement dans ses bras ?
Avant que j’aie le temps de répondre, elle me prend par la taille pour me donner un baiser.
C’est un baiser, qui me chamboule jusqu’au fond de mon string, qui est resté dans mon tiroir.
C’est très agréable, je fonds littéralement sentant sa poitrine sur la mienne.
Un instant je regrette de l’avoir légèrement repoussé lorsqu’elle m’a fait sa proposition de venir chez elle.
Si dans mon conflit avec mon mari, c’est à elle que j’aie fait appel pour venir passer la soirée, c’est certainement qu’au fond de moi je fantasmais sur des amours féminins et surtout sur Julietta.
• Mon mari, tu te trompes, il est là dans le jardin près de notre piscine, il fait cuire sa célèbre côte de bœuf !
• Dommage, mais pourquoi m’as-tu laisser t’embrasser ?
• Ce serait trop long à t’expliquer, mais laisse-moi faire, tu vas être surprise.
Comme pour Freddy, je l’entraine vers le jardin.
Elle enlève ses talons hauts pour rejoindre la petite terrasse où une table et le barbecue sont installés.
• Sophie, mais qui m’amènes-tu, vous êtes, heu, heu, la célèbre mannequin ?
• Oui, mon chéri, c’est Julietta, l’un des plus célèbres mannequins de la planète.
À ses yeux, je vois Christian très rapidement pensif.
Il m’a fait connaître Freddy, son copain et je vois comme dans un livre son chemin cérébral.
Il pense que Julietta cette femme magnifique sera à lui avant la fin de la soirée.
J’ai dit que Julietta était une gouine jusqu’au bout des ongles et que je veux jouer un bon tour à celui qui m’a regardé baiser avec son copain.
• Ta côte est cuite dans combien de temps mon chéri ?
• Cinq à dix suivant si vous l’aimez à point ou bien cuite.
• Julietta fait comme moi, et allons-nous baigner, l’eau me fait envie.
Avant de dire ouf, j’ai fait sauter ma robe leur apparaissant nue avant de descendre marche par marche comme je l’ai faite un mois plus tôt.
J’entends un bruit de vêtement, sans regarder, je tends ma main, la sienne vient s’insérer dans la mienne.
Nous nous baissons ensemble afin de nous mouiller, je la fais pivoter et nos bouches se retrouvent.
Ma main s’égare vers le bas de son corps aux formes parfaites.
Pour la première fois, je fais entrer mes doigts dans une fente féminine.
C’est à ce moment que j’entends un bruit d’eau dans mon dos.
C’est dans le cou de Julietta dont je lui parle.
• Dis-moi qui viens d’entrer dans l’eau ?
• Ton mari, je l’ai vu se dénuder, s’il me touche, je hurle.
Je me retourne, mes doigts quittent cette grotte accueillante.
Je sens Christian tout près de moi.
• Ou vas-tu mon chéri, retourne t’asseoir sur ta chaise, le mois dernier, tu semblais te délecter de me voir baisé par ton copain.
Ce mois-ci, c’est moi qui mène le bal comme je le mènerais dans les mois prochains.
Va te branler en nous regardant, de toute façon, Julietta est allergique aux hommes et je fantasmais de goûter aux plaisirs féminins sans me l’avouer.
Je retourne à la bouche de celle que je vais faire d’elle ma maîtresse.
• Attends, laisse-moi m’assoir.
Elle saute, ses jolies fesses sans l’ombre de la moindre trace de cellulite et les posent sur la margelle de la piscine.
Elle écarte ses cuisses, j’ai devant mes yeux son mont de Vénus surmonté d’une petite touffe blonde du plus bel effet.
Son mont de Vénus, lorsque je la voyais défiler en maillot de bain, j’étais obnubilé par sa forme à nulle autre pareille, se dessinant parfaitement.
J’avance ma bouche, je sors ma langue et avec délice je suce son clito et les sucs qui sortent de son corps, je mouille, elle mouille.
Je la vois mettre ses bras sur le bord de la piscine et tendre son corps et ses seins.
Ma main droite retrouve la douceur de son sexe pendant que ma main gauche trouve son sein droit.
Petits, son sein, comme le sont souvent ceux des mannequins, mais réagissant à ma caresse.
Lorsque je travaillais avec ces jeunes femmes, combien en ai-je vu dans les arrières des défilés ?
C’est un point commun à toute, l’absence de pudeur entre elles, le changement de vêtements ou les essayages se faisant à une telle cadence qu’ils interdisent d’être prudes.
Je l’amène jusqu’au point de jouissance et de nouveau pour la première fois au moment où ses cris emplissent le jardin et la piscine, je bois sa cyprine sortant abondamment de sa chatte blonde.
Satisfaite de mon exploit, je me laisse glisser en arrière, ce cunnilingus ayant échauffé mes sens, je suis prête à recevoir la langue de Julieta en me positionnant comme elle.
• Mesdames la côte est prête, si vous voulez me donner la peine de me rejoindre.
Je me retourne, d’une main Christian pose la côte sur un plateau à découper de l’autre, il s’astique le manche bandant allégrement.
Nous sortons de l’eau, c’est les fraises que j’ai préparées pour le dessert que Julieta se lève m’aide à reculer ma chaise pour mieux venir me faire à mon tour un cunnilingus sa langue plus agile que la mienne.
Certainement la force de l’habitude d’une profonde lesbienne.
En plus de sa bouche sur mon clito à la fête comme jamais ses doigts entrent en moi.
Christian à un mètre de moi recommence à se branler, au moment où je tombe de ma chaise au moment où un orgasme m’atteint, je vois ses jets de sperme partir en l’air et venir arroser la pelouse.
Prestement elle me suit et se retourne me présentant de nouveau sa chatte.
Sous mes yeux, des coulés de cyprines descendent le long de ses jambes, je m’empresse de les lécher avant de repenser à ses doigts en moi.
De son côté, je devrais dire du mien aussi, je sens qu’elle fait pénétrer sa langue et ses doigts.
Un à un les miens entrent en elle, un à un les siens sont en moi.
Trois à trois, elle s’arrête là, je sens que ma chatte est tendue comme jamais.
Mais de son côté, ma main entière pénètre dans son con se distendant impeccablement, pour la première fois je fiste une femme, sentant son intérieur soyeux poissant ma main jusqu’à mon poignet.
J’ai dû tourner de l’œil lorsque la bombe a explosé en moi et en nous.
Comment suis-je arrivé dans la piscine, je l’ignore et je m’en fiche, je fais la planche finissant par atteindre la margelle m’y accrochant.
Christian est là m’écartant les jambes et c’est avec déluce que sa verge entre en moi.
Où est Julieta, je tourne la tête, ma copine se trouve là, assise sur sa chaise se caressant la chatte ?
Je la vois se lever, remettre sa robe en lamé blanche et reprenant ses chaussures repartir vers la maison.
Le mois prochain que vais-je inventer pour satisfaire mes fantasmes et ceux de mon mari qui présentement m’envoie au septième ciel avant que nous rejoignions le matelas de notre lit de jardin deux places en rotin où nous nous endormons repus de sexe.
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