COLLECTION FOLLE DU CUL. La femme du consul. Fin de la saison I (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. La femme du consul. Fin de la saison I (3/3)
Après une journée ou je me suis perdu dans le métro parisien.
Après une soirée où j’ai sucé Saïd mon mari, je me réveille.
J’ai le cœur en fête, le soleil inonde ma chambre.
Un seul souci, hier j’aurais bien baisé, chauffé par la bite dans le métro et le bel avocat s’appelant Jacques.
Alors ce matin, il faut que je me fasse jouir seule.
Mes doigts sont les seules possibilités que j’ai à ma disposition.
Je jouis beaucoup moins qu’avec la verge de mon homme.
Je me lève, mon déjeuner est sur la table.
Il faut que je trouve un plan de Paris et un plan du métro.
Devant la porte du secrétariat de Saïd, j’entends des geignements.
Janette se fait-elle baiser.
J’entrouvre la porte, par chance sans qu’elle grince.
Saïd semble aimer sauter ses maîtresses les seins sur les tables pour Joanna la bonne espagnole ou les bureaux avec Jeanette sa secrétaire, car c’est lui qui pilonne la jeune secrétaire.
Je suis placée favorablement pour voir entrer et sortir la verge m’appartenant mais que je prête volontiers à cette jeune Française travaillant pour mon pays.
Voyant Saïd décharger, je me retire jusqu’à ce que je le voie passer devant moi.
Je retourne au bureau de Jeanette, là je frappe et après qu’elle m’eut dit d’entrer, je la trouve sagement assise derrière son bureau.
• Madame Victoria, vous cherchez votre mari, il vient de sortir après m’avoir apporté un dossier.
J’ai envie de lui répliquer que certes sur son bureau il y a peut-être un dossier amené par lui, mais que si je mets mes doigts dans sa chatte, j’y trouverais les millions d’enfants qu’elle a soustraits à la mère que je pourrais être.
Je me contente de lui demander ce que j’étais venue chercher, hors de question pour moi d’être mère de nouveau.
Ma fille a onze ans, c’est mon jardin secret inutile d’en parler plus longtemps.
• Inutile de vous promener avec des cartes papiers sur vous.
Vous avez le portable grand écran que je vous ai fourni.
• Oui le voilà.
• Regarder, moteur de recherche, vous tapez « plan » ou « métro » et vous pouvez vous déplacer.
• Le plan du métro comment ça marche, j’ai vu des 2 des 6, RER A au-dessus des bouches où l’on peut descendre.
• Ça c’est facile, 2 et 6, ça veut dire que si vous êtes sur la ligne 2, il est possible par des couloirs de rejoindre la ligne 6.
2, 6 et RER A. Vous pouvez prendre les RER qui sont des lignes plus récentes et plus rapides et souvent sur pneus.
Paris est une vraie toile d’araignée souterraine ou aérienne.
• Vous avez des tickets !
• Oui, j’en ai acheté un carnet hier.
• Si vous aimez vous promener en métro ce qui dans la journée est plus rapide, je vais vous acheter une carte au mois.
J’ai compris, je regarde avec une idée derrière la tête.
Je me prépare robe moulante blanche sur mon corps de déesse noire avec des chaussures à hauts talons.
Pas de bracelets, ni bagues voyantes comme j’aime en mettre.
Justes deux petites boucles d’oreilles que Saïd m’a offertes mais qui sont loin de montrer que je suis une femme intéressante à enlever pour obtenir une rançon.
Je me regarde dans la glace de notre chambre.
Si j’étais un homme, je me baiserais ou du moins, je me draguerais.
Je récupère mon petit sac lui aussi ayant coûté bonbon acheté dans une rue piétonne de Tunis.
Il se porte en bandoulière.
Ligne 2 après avoir quitté l’ambassade par la petite porte mes pas me dirigent vers le métro Victor Hugo.
J’ai de la chance, je veux aller à la place Clichy que j’ai vue hier dans le taxi qui va me permettre de remonter le boulevard du même nom jusqu’à la place Pigalle.
J’ai vu plein de choses que je souhaite découvrir.
Métro Blanche, je vois une boutique pleine de néons, je décide d’y rentrer.
Elle est vide, seul un homme grand et bien foutu se trouve derrière un comptoir et un tiroir-caisse.
• Vous cherchez !
• Je peux regarder.
• Faite, vous êtes ici chez vous.
Si je peux vous guider.
Les femmes qui viennent ici sont rares et généralement, c’est pour ce genre d’objet qu’elles viennent.
L’homme presque de ma taille, nous les femmes massaïs sommes grandes.
Il contourne son comptoir et me rejoint.
• Sur ces étagères, les CD de films pornos neufs ou en location.
Au fond, dans ces cabines, il vous est possible de visionner tout ce qui est là.
Évitez d’y rentrer, j’ai beau entretenir, ils se paluchent à l’intérieur et souvent il y a du sperme sur les murs.
• Non, juste un coup d’œil.
• À droite, je pense que j’ai ce que vous cherchez, mais avant il y a la salle que nous avons installée dans la cave.
Vous y trouverez les tenus sado comme les plus soft mises en devanture et plus hard, si vous êtes amatrice.
Pauvre de moi, pourquoi suis-je entrée dans ce lieu de perdition ?
Je suis au centre de ce que notre curée appelait un lieu de perdition.
• Ici, le coin du plaisir des femmes, les godemichets, les plugs et autres pommades pour adoucir la sodomie.
• Je peux voir les godes.
Je suis devant un présentoir où ces objets sont posés.
• Voici un modèle classique, sur pile, mais il faut les changer souvent.
Regardez celui-là, il se recharge sur le courant et devient très économique.
Veux-tu l’essayer, nous sommes seules.
L’homme se plaque contre moi, comme celui dans le métro hier.
Sa main prend un gode de présentation, d’autres sont dans des boîtes fermées.
Il le démarre, soulève ma robe et le plaque sur ma chatte qui s’échauffe.
C’est moi qui écarte ma culotte en voile léger le gode s’approche, je suis chaude bouillante.
Impossible pour la femme de diplomate que je suis de me laisser entrer un sexe fût factice dans le vagin alors qu’à tout moment des clients peuvent entrer.
Mais le plaisir qui monte en moi quand je sens ses vibrations toucher mon clito, m’enlève tout scrupule à me laisser faire.
• Tu vois, il est très efficace, l’essayer c’est l’adopté.
Sinon j’en ai un autre.
• Non, laisse-moi celui-là, je vais jouir.
Je pose ma tête sur son épaule, je sens son souffle s’accélérer et sa verge durcir sur mes fesses.
Je plie légèrement mes genoux.
Je jou…
• Alors voyez madame un échantillon de nos produits.
Je manque de m’assoir sur mes pieds, mes jambes refusant de me porter.
Je sens le gode sortir de ma chatte.
La porte s’ouvre, j’entends la sonnette.
• Je suis à vous tout de suite, je fini avec madame.
C’est celui-ci, sur batterie qui vous intéresse.
Est-ce pour offrir ?
Voulez-vous un paquet-cadeau ?
Je me reprends, je rabaisse ma robe et je tourne ma tête.
Soixante, soixante-dix, l’homme qui est entré est vieux et laid.
Par chance il est allé vers les films et les cabines sinon il m’aurait vu avec ce gode dépassant de ma chatte.
• Oui, un paquet, mon sac à main est trop petit.
• Entrez dans la cabine 3, je vous mets votre film.
L’homme entre sans un regard pour moi.
À voix basse, le vendeur me susurre.
• C’est un ancien avocat à la retraite, il fait son tour de quartier tous les après-midi et immanquablement entre voir le même film.
Ça doit faire cent fois qu’il le regarde.
C’est un pays à vous qui tringle un type qui vous ressemble, aussi grand que vous.
Il vient là, car sa femme se refuse et il a toujours été porté sur les hommes.
Le vendeur m’ayant godé prépare un paquet et prend ma carte de crédit.
Je paye mon achat.
Heureusement un ticket de caisse neutre et un ticket de garantie avec le nom du magasin.
Je dois donner mes tickets de caisse à Jeanette pour sa comptabilité.
• Revenez quand vous voulez, je vous ferais visiter ma cave sans obligation d’achat.
C’est presque en courant que je sors du sex-shop.
Je remonte le boulevard jusqu’au métro Pigalle toujours sur la ligne 2.
Mes jambes ont du mal à me porter, je sens que ma liqueur intime coule le long de mes jambes.
À la terrasse d’un café, face au moulin rouge, je trouve une table libre, je m’assieds.
Tient, c’est bientôt l’anniversaire de Saïd, des billets pour qu’il puisse voir les petites femmes de Paris lever leurs jambes.
Je sors mon portable, j’irai bien voir où Jacques l’avocat rencontré hier travaille.
Je croyais avoir compris comment le métro fonctionne, je rends mon tablier, j’ai eu de la chance de me retrouver à Pigalle en ligne directe.
Une citronnade bue, je décide de traverser vers le moulin rouge.
Il y a une grande queue pour les réservations.
Je vais demander à Jeanette de me fournir des billets le plus près de l’anniversaire de son amant.
Il est tôt, je décide de remonter plus loin le boulevard, je veux voir les endroits ou j’ai vu des filles dénudées en passant avec mon taxi…
Après une soirée où j’ai sucé Saïd mon mari, je me réveille.
J’ai le cœur en fête, le soleil inonde ma chambre.
Un seul souci, hier j’aurais bien baisé, chauffé par la bite dans le métro et le bel avocat s’appelant Jacques.
Alors ce matin, il faut que je me fasse jouir seule.
Mes doigts sont les seules possibilités que j’ai à ma disposition.
Je jouis beaucoup moins qu’avec la verge de mon homme.
Je me lève, mon déjeuner est sur la table.
Il faut que je trouve un plan de Paris et un plan du métro.
Devant la porte du secrétariat de Saïd, j’entends des geignements.
Janette se fait-elle baiser.
J’entrouvre la porte, par chance sans qu’elle grince.
Saïd semble aimer sauter ses maîtresses les seins sur les tables pour Joanna la bonne espagnole ou les bureaux avec Jeanette sa secrétaire, car c’est lui qui pilonne la jeune secrétaire.
Je suis placée favorablement pour voir entrer et sortir la verge m’appartenant mais que je prête volontiers à cette jeune Française travaillant pour mon pays.
Voyant Saïd décharger, je me retire jusqu’à ce que je le voie passer devant moi.
Je retourne au bureau de Jeanette, là je frappe et après qu’elle m’eut dit d’entrer, je la trouve sagement assise derrière son bureau.
• Madame Victoria, vous cherchez votre mari, il vient de sortir après m’avoir apporté un dossier.
J’ai envie de lui répliquer que certes sur son bureau il y a peut-être un dossier amené par lui, mais que si je mets mes doigts dans sa chatte, j’y trouverais les millions d’enfants qu’elle a soustraits à la mère que je pourrais être.
Je me contente de lui demander ce que j’étais venue chercher, hors de question pour moi d’être mère de nouveau.
Ma fille a onze ans, c’est mon jardin secret inutile d’en parler plus longtemps.
• Inutile de vous promener avec des cartes papiers sur vous.
Vous avez le portable grand écran que je vous ai fourni.
• Oui le voilà.
• Regarder, moteur de recherche, vous tapez « plan » ou « métro » et vous pouvez vous déplacer.
• Le plan du métro comment ça marche, j’ai vu des 2 des 6, RER A au-dessus des bouches où l’on peut descendre.
• Ça c’est facile, 2 et 6, ça veut dire que si vous êtes sur la ligne 2, il est possible par des couloirs de rejoindre la ligne 6.
2, 6 et RER A. Vous pouvez prendre les RER qui sont des lignes plus récentes et plus rapides et souvent sur pneus.
Paris est une vraie toile d’araignée souterraine ou aérienne.
• Vous avez des tickets !
• Oui, j’en ai acheté un carnet hier.
• Si vous aimez vous promener en métro ce qui dans la journée est plus rapide, je vais vous acheter une carte au mois.
J’ai compris, je regarde avec une idée derrière la tête.
Je me prépare robe moulante blanche sur mon corps de déesse noire avec des chaussures à hauts talons.
Pas de bracelets, ni bagues voyantes comme j’aime en mettre.
Justes deux petites boucles d’oreilles que Saïd m’a offertes mais qui sont loin de montrer que je suis une femme intéressante à enlever pour obtenir une rançon.
Je me regarde dans la glace de notre chambre.
Si j’étais un homme, je me baiserais ou du moins, je me draguerais.
Je récupère mon petit sac lui aussi ayant coûté bonbon acheté dans une rue piétonne de Tunis.
Il se porte en bandoulière.
Ligne 2 après avoir quitté l’ambassade par la petite porte mes pas me dirigent vers le métro Victor Hugo.
J’ai de la chance, je veux aller à la place Clichy que j’ai vue hier dans le taxi qui va me permettre de remonter le boulevard du même nom jusqu’à la place Pigalle.
J’ai vu plein de choses que je souhaite découvrir.
Métro Blanche, je vois une boutique pleine de néons, je décide d’y rentrer.
Elle est vide, seul un homme grand et bien foutu se trouve derrière un comptoir et un tiroir-caisse.
• Vous cherchez !
• Je peux regarder.
• Faite, vous êtes ici chez vous.
Si je peux vous guider.
Les femmes qui viennent ici sont rares et généralement, c’est pour ce genre d’objet qu’elles viennent.
L’homme presque de ma taille, nous les femmes massaïs sommes grandes.
Il contourne son comptoir et me rejoint.
• Sur ces étagères, les CD de films pornos neufs ou en location.
Au fond, dans ces cabines, il vous est possible de visionner tout ce qui est là.
Évitez d’y rentrer, j’ai beau entretenir, ils se paluchent à l’intérieur et souvent il y a du sperme sur les murs.
• Non, juste un coup d’œil.
• À droite, je pense que j’ai ce que vous cherchez, mais avant il y a la salle que nous avons installée dans la cave.
Vous y trouverez les tenus sado comme les plus soft mises en devanture et plus hard, si vous êtes amatrice.
Pauvre de moi, pourquoi suis-je entrée dans ce lieu de perdition ?
Je suis au centre de ce que notre curée appelait un lieu de perdition.
• Ici, le coin du plaisir des femmes, les godemichets, les plugs et autres pommades pour adoucir la sodomie.
• Je peux voir les godes.
Je suis devant un présentoir où ces objets sont posés.
• Voici un modèle classique, sur pile, mais il faut les changer souvent.
Regardez celui-là, il se recharge sur le courant et devient très économique.
Veux-tu l’essayer, nous sommes seules.
L’homme se plaque contre moi, comme celui dans le métro hier.
Sa main prend un gode de présentation, d’autres sont dans des boîtes fermées.
Il le démarre, soulève ma robe et le plaque sur ma chatte qui s’échauffe.
C’est moi qui écarte ma culotte en voile léger le gode s’approche, je suis chaude bouillante.
Impossible pour la femme de diplomate que je suis de me laisser entrer un sexe fût factice dans le vagin alors qu’à tout moment des clients peuvent entrer.
Mais le plaisir qui monte en moi quand je sens ses vibrations toucher mon clito, m’enlève tout scrupule à me laisser faire.
• Tu vois, il est très efficace, l’essayer c’est l’adopté.
Sinon j’en ai un autre.
• Non, laisse-moi celui-là, je vais jouir.
Je pose ma tête sur son épaule, je sens son souffle s’accélérer et sa verge durcir sur mes fesses.
Je plie légèrement mes genoux.
Je jou…
• Alors voyez madame un échantillon de nos produits.
Je manque de m’assoir sur mes pieds, mes jambes refusant de me porter.
Je sens le gode sortir de ma chatte.
La porte s’ouvre, j’entends la sonnette.
• Je suis à vous tout de suite, je fini avec madame.
C’est celui-ci, sur batterie qui vous intéresse.
Est-ce pour offrir ?
Voulez-vous un paquet-cadeau ?
Je me reprends, je rabaisse ma robe et je tourne ma tête.
Soixante, soixante-dix, l’homme qui est entré est vieux et laid.
Par chance il est allé vers les films et les cabines sinon il m’aurait vu avec ce gode dépassant de ma chatte.
• Oui, un paquet, mon sac à main est trop petit.
• Entrez dans la cabine 3, je vous mets votre film.
L’homme entre sans un regard pour moi.
À voix basse, le vendeur me susurre.
• C’est un ancien avocat à la retraite, il fait son tour de quartier tous les après-midi et immanquablement entre voir le même film.
Ça doit faire cent fois qu’il le regarde.
C’est un pays à vous qui tringle un type qui vous ressemble, aussi grand que vous.
Il vient là, car sa femme se refuse et il a toujours été porté sur les hommes.
Le vendeur m’ayant godé prépare un paquet et prend ma carte de crédit.
Je paye mon achat.
Heureusement un ticket de caisse neutre et un ticket de garantie avec le nom du magasin.
Je dois donner mes tickets de caisse à Jeanette pour sa comptabilité.
• Revenez quand vous voulez, je vous ferais visiter ma cave sans obligation d’achat.
C’est presque en courant que je sors du sex-shop.
Je remonte le boulevard jusqu’au métro Pigalle toujours sur la ligne 2.
Mes jambes ont du mal à me porter, je sens que ma liqueur intime coule le long de mes jambes.
À la terrasse d’un café, face au moulin rouge, je trouve une table libre, je m’assieds.
Tient, c’est bientôt l’anniversaire de Saïd, des billets pour qu’il puisse voir les petites femmes de Paris lever leurs jambes.
Je sors mon portable, j’irai bien voir où Jacques l’avocat rencontré hier travaille.
Je croyais avoir compris comment le métro fonctionne, je rends mon tablier, j’ai eu de la chance de me retrouver à Pigalle en ligne directe.
Une citronnade bue, je décide de traverser vers le moulin rouge.
Il y a une grande queue pour les réservations.
Je vais demander à Jeanette de me fournir des billets le plus près de l’anniversaire de son amant.
Il est tôt, je décide de remonter plus loin le boulevard, je veux voir les endroits ou j’ai vu des filles dénudées en passant avec mon taxi…
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