COLLECTION FOLLE DU CUL. La femme du consul. Fin de la saison II (6/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. La femme du consul. Fin de la saison II (6/6)
• Comment les ont-ils tués !
C’est la question qui tue quand on sait dans quel délire je me suis lancée pour suivre les conseils de Saïd, mon mari et consul de Tanzanie en France.
Moi qui suis très naturelle dans ma vie avant que l’on me mette le ver dans le fruit en me parlant des risques à Paris d’attentats contre ma personne, car je représente une valeur marchande.
J’ai rencontré Gertrude fille du chnord comme elle le prononce avec son accent se faisant appeler Cassy dans son métier de strip-teaseuse à Pigalle.
C’est chez elle que la question que j’espérais qu’elle oublierait de me la poser tombe.
J’ai la chance d’avoir un cerveau assez rapide et je trouve la parade sans l’aide de ma plume.
• Excuse-moi Cassy, mais ce moment de ma vie est trop douloureux et je l’ai oublié.
Seul mon avenir compte.
• Je te comprends Radia, à ta place, j’en ferais de même.
De ton mari, je comprends, mais des hommes que s'est-il passé !
Elle revient à la charge, bon, j’ai toujours fait l’amour avec envie et surtout avec mon accord, mais je vais inventer ce que j’espère une histoire pour éviter de dire qui je suis.
• Les hommes sur le mil avec nous nous ont mis des lames sous la gorge.
Regarde, cette marque sur mon cou.
L’un me plantait son sexe en moi pendant qu’un autre me mettait son couteau sur la gorge.
Je sentais les grains rouler sous mon corps au gré des ornières sur la piste.
Une plus profonde que les autres, alors que je sentais les coups de bite de mon pourfendeur, la lame m’a coupé sur le sein, tu peux voir la trace que ça m’a laissée.
J’y crois moi-même, je sens le mil rouler sous moi alors que c’est le matelas qui bouge quand Cassy reprenant l’initiative me lèche la marque réelle que j’ai sur mon sein gauche.
Cette marque j’avais 12 ans quand je me suis coupé sur une barre de fer en jouant avec une autre petite fille à l’école où j’étais bonne élève.
Ça crédibilise mon récit et Cassy continue à me sucer le mamelon après m’avoir léché la marque étant remontée jusqu’à lui.
Les sensations que m’apporte cette bouche sur mon sein surtout qu’elle remonte jusqu’à ma bouche dans un baiser des plus tendres que j’ai reçu depuis que l’on m’embrasse entre adultes.
Ma main part dans sa fourche qui ruisselle, je me laisse glisser jusqu’à son vagin.
Tient, je découvre que Cassy est une fausse rousse.
Ces poils commençant à sortir de son mont de Vénus sont noirs ou bruns mais roux surement pas.
Quand elle a fini son effeuillage sur la scène, sa chatte m’avait montré ses lèvres charnues et ma langue constate que j’avais bien vue.
Le temps où elle avait écarté ses cuisses à 180°, elle avait oublié de me montrer son clitoris.
Mes dents se rendent compte qu'il est assez développé pour que je puisse les mordiller obligeant Cassy à prendre ma tête dans ses mains pour me repousser, mais pour mieux me l’appliquer de nouveau.
Nos corps étaient mouillés quand nous avons roulé sur le lit alors que là, c’est la sueur qui coule des ports de nos peaux.
Je lève ma main sans voir ou je vais et j’arrive à accrocher son sein que je malmène sans aucune retenue.
• Ah ! Ah ! Ahhhhhhh !
Cassy a craqué et joui hurlant des Ah ! de plaisirs.
Joanna était plus discrète aussi bien sous ma langue que sous la bite de celui que je viens de trucider pour éviter de me découvrir.
Au moment où je remonte jusqu’à mon amante, je suis sereine, c’est lui qui l’a voulu en me faisant peur avec ses attentats alors que je suis fière que mon mari soit consul de Tanzanie.
Ce sont les yeux dans les yeux que Cassy me fait reprendre mon récit.
Quand je suis seule il m’arrive de regarder la télé et j’ai vu un reportage sur les hommes et femmes fuyant leurs pays et se retrouvant au bord de la Méditerranée en Libye.
• Merci du plaisir que tu m’as apporté, tu en étais à ton viol.
Mince, elle en veut encore, comme je l’ai dit, je devrais écrire des histoires, car j’embraye me callant dans ses bras.
• Tu les as tous subis !
• Oui, et Nouzha la petite Kényane aussi.
Elle avait à peine seize ans et venait de se marier.
Son mari l’avait dépucelé la veille de leur départ et c’est elle qui a le plus souffert quand ils nous ont pris par la chatte et par l’anus.
• Ils vous ont pris en double pénétration.
• Oui, mais à ce moment j’ignorais que c’était comme ça que s’appelaient d’être enfilé par des verges des deux côtés.
Ou vais-je chercher tout ça !
J’essaye de casser les attentes de Cassy, mais j’arrive à avancer un peu.
• Lorsqu’ils se sont tous bien vidés les couilles dans nos bouches et nos sexes, ils nous ont virés du camion comme de vulgaires sacs de patates.
• Non, de mils.
• J’ai oublié de te dire que le camion s’était arrêté et que le chauffeur et son adjoint nous ayant fait descendre et nous ont baisé, eux aussi.
Et allons-y, pourquoi pas au passage de la frontière avec la Libye, un régiment entier se serait servi de nos culs, eux aussi.
Redevenons sérieuse, l’heure s’avance et moi aussi j’ai des questions à poser à mon amie.
Pourquoi ces photos des Blues Belles Girls ?
J'essaye de faire diversion.
• Avant que je continue as-tu eu des hommes dans ta vie, as-tu été mariée ou es-tu seulement porté sur les femmes ?
• J’ai été mariée, mais je t’expliquerais cela après m’avoir dit, comment tu t’es retrouvée ici.
Elle m’énerve, je veux m’échapper de mes mensonges, mais elle m’oblige à une fuite en avant.
Je fonce jusqu’à la côte bien que j’ignore ce que je vais faire si j’arrive en France dans mes explications.
Mais non, ayons de la mémoire, je lui ai dit au départ de notre rencontre que j’étais au chômage attendant un travail dans une ambassade.
Il faudra que ça colle.
• Dis-moi Radia, tu as réussi à traverser la Méditerranée, comment as-tu fait tu étais démunie.
Mais avant j’ai joui mais toi !
Embrassons-nous.
Ouf, c’est elle qui casse le rythme de mon histoire surtout qu’après m’avoir embrassée, elle descend lentement le long de mon corps d’ébène.
Elle lève la tête me regardant profondément dans les yeux.
• Tu sais tu es la première noire avec laquelle j’ai des rapports intimes.
Elle me lèche le bout du nez, manquant de me faire éternuer.
Elle lèche les lèvres, se dirigeant sur mes seins prenants chacune de mes fraises dans sa bouche.
Je sens ma chatte s’échauffer.
Elle traine vers mon nombril.
Ces mains sont libres, elle pourrait attaquer ma chatte, elle lui serait tout acquise.
Mon nombril, elle semble l’aimer du moins j'aime.
C’est la première fois que l’on s’occupe de lui, là encore j’aime surtout que lorsque le cordon me reliant à maman a été coupé, il forme une jolie cavitée que sa langue explore.
L’envie est de plus en plus fort, j’ai envie de lui crier que ma chatte est une vraie fontaine, mais elle doit aimer faire durer le plaisir en se pressant lentement.
Enfin, je la sens faire mouvement vers le centre de mon plaisir.
Du moins celui que je suppute quand sa langue écartera mes lèvres vaginales pour trouver le capuchon qui protège mon clito.
Elle est très douée, car elle le trouve facilement après avec ses mains m’ayant facilement ouverte.
C’est une magnifique lesbienne que j’ai découverte, elle connaît tout ce qui peut me donner du plaisir.
Mieux que Joanna qui était entrée dedans avec des manières très frustes.
Il faut dire qu’elle avait atterri en Tunisie par des parcours très étranges à ce qui se disait dans l’ambassade.
Mais en ce moment c’est la langue de Cassy qui commence à faire monter la pression au centre de mon corps.
• Ah ! Ah ! Ahhhhhhh !
Certainement les mêmes Ah ! que ma maîtresse en aussi puissant.
Heureusement, l’immeuble fait partie de ceux construit avant-guerre et les murs semblent bien épais.
Une énième fois nous reprenons notre souffle.
Moi sous la jouissance et elle a force de me sucer et me lécher.
• Tu as réussi à traverser puisque-tu es là.
Comment as-tu fait, tu avais tout perdu.
Ça recommence, il faut que j’arrive au bout de mon histoire.
• Oui, j’avais seulement ce que j’avais sur moi et ça m’a sauvé.
Mon alliance.
• Ils te l’avaient laissé.
• Quand les hommes se sont occupés de nous sur les graines de millet, j’ai avalé mon alliance sans qu’ils le voient.
• Et tu l’as récupéré de l’autre côté.
Inutile d’en dire plus, j’ai compris.
Pourquoi j’en rajoute ?
• Mais il a fallu que je monnaye un peu plus.
Ils étaient trois.
Et ils t’ont encore violé !
• Non, je me suis donnée à eux.
Une nuit de folie la vieille du départ sur une espèce de bateau gonflable.
• J’ai soif, viens dans ma cuisine tu me raconteras la suite devant une petite mousse très fraîche…
Voilà, si notre amie a soif, moi aussi.
Il faudra que je la finisse pour venir vous narrer la suite dans la saison III de notre histoire.
C’est la question qui tue quand on sait dans quel délire je me suis lancée pour suivre les conseils de Saïd, mon mari et consul de Tanzanie en France.
Moi qui suis très naturelle dans ma vie avant que l’on me mette le ver dans le fruit en me parlant des risques à Paris d’attentats contre ma personne, car je représente une valeur marchande.
J’ai rencontré Gertrude fille du chnord comme elle le prononce avec son accent se faisant appeler Cassy dans son métier de strip-teaseuse à Pigalle.
C’est chez elle que la question que j’espérais qu’elle oublierait de me la poser tombe.
J’ai la chance d’avoir un cerveau assez rapide et je trouve la parade sans l’aide de ma plume.
• Excuse-moi Cassy, mais ce moment de ma vie est trop douloureux et je l’ai oublié.
Seul mon avenir compte.
• Je te comprends Radia, à ta place, j’en ferais de même.
De ton mari, je comprends, mais des hommes que s'est-il passé !
Elle revient à la charge, bon, j’ai toujours fait l’amour avec envie et surtout avec mon accord, mais je vais inventer ce que j’espère une histoire pour éviter de dire qui je suis.
• Les hommes sur le mil avec nous nous ont mis des lames sous la gorge.
Regarde, cette marque sur mon cou.
L’un me plantait son sexe en moi pendant qu’un autre me mettait son couteau sur la gorge.
Je sentais les grains rouler sous mon corps au gré des ornières sur la piste.
Une plus profonde que les autres, alors que je sentais les coups de bite de mon pourfendeur, la lame m’a coupé sur le sein, tu peux voir la trace que ça m’a laissée.
J’y crois moi-même, je sens le mil rouler sous moi alors que c’est le matelas qui bouge quand Cassy reprenant l’initiative me lèche la marque réelle que j’ai sur mon sein gauche.
Cette marque j’avais 12 ans quand je me suis coupé sur une barre de fer en jouant avec une autre petite fille à l’école où j’étais bonne élève.
Ça crédibilise mon récit et Cassy continue à me sucer le mamelon après m’avoir léché la marque étant remontée jusqu’à lui.
Les sensations que m’apporte cette bouche sur mon sein surtout qu’elle remonte jusqu’à ma bouche dans un baiser des plus tendres que j’ai reçu depuis que l’on m’embrasse entre adultes.
Ma main part dans sa fourche qui ruisselle, je me laisse glisser jusqu’à son vagin.
Tient, je découvre que Cassy est une fausse rousse.
Ces poils commençant à sortir de son mont de Vénus sont noirs ou bruns mais roux surement pas.
Quand elle a fini son effeuillage sur la scène, sa chatte m’avait montré ses lèvres charnues et ma langue constate que j’avais bien vue.
Le temps où elle avait écarté ses cuisses à 180°, elle avait oublié de me montrer son clitoris.
Mes dents se rendent compte qu'il est assez développé pour que je puisse les mordiller obligeant Cassy à prendre ma tête dans ses mains pour me repousser, mais pour mieux me l’appliquer de nouveau.
Nos corps étaient mouillés quand nous avons roulé sur le lit alors que là, c’est la sueur qui coule des ports de nos peaux.
Je lève ma main sans voir ou je vais et j’arrive à accrocher son sein que je malmène sans aucune retenue.
• Ah ! Ah ! Ahhhhhhh !
Cassy a craqué et joui hurlant des Ah ! de plaisirs.
Joanna était plus discrète aussi bien sous ma langue que sous la bite de celui que je viens de trucider pour éviter de me découvrir.
Au moment où je remonte jusqu’à mon amante, je suis sereine, c’est lui qui l’a voulu en me faisant peur avec ses attentats alors que je suis fière que mon mari soit consul de Tanzanie.
Ce sont les yeux dans les yeux que Cassy me fait reprendre mon récit.
Quand je suis seule il m’arrive de regarder la télé et j’ai vu un reportage sur les hommes et femmes fuyant leurs pays et se retrouvant au bord de la Méditerranée en Libye.
• Merci du plaisir que tu m’as apporté, tu en étais à ton viol.
Mince, elle en veut encore, comme je l’ai dit, je devrais écrire des histoires, car j’embraye me callant dans ses bras.
• Tu les as tous subis !
• Oui, et Nouzha la petite Kényane aussi.
Elle avait à peine seize ans et venait de se marier.
Son mari l’avait dépucelé la veille de leur départ et c’est elle qui a le plus souffert quand ils nous ont pris par la chatte et par l’anus.
• Ils vous ont pris en double pénétration.
• Oui, mais à ce moment j’ignorais que c’était comme ça que s’appelaient d’être enfilé par des verges des deux côtés.
Ou vais-je chercher tout ça !
J’essaye de casser les attentes de Cassy, mais j’arrive à avancer un peu.
• Lorsqu’ils se sont tous bien vidés les couilles dans nos bouches et nos sexes, ils nous ont virés du camion comme de vulgaires sacs de patates.
• Non, de mils.
• J’ai oublié de te dire que le camion s’était arrêté et que le chauffeur et son adjoint nous ayant fait descendre et nous ont baisé, eux aussi.
Et allons-y, pourquoi pas au passage de la frontière avec la Libye, un régiment entier se serait servi de nos culs, eux aussi.
Redevenons sérieuse, l’heure s’avance et moi aussi j’ai des questions à poser à mon amie.
Pourquoi ces photos des Blues Belles Girls ?
J'essaye de faire diversion.
• Avant que je continue as-tu eu des hommes dans ta vie, as-tu été mariée ou es-tu seulement porté sur les femmes ?
• J’ai été mariée, mais je t’expliquerais cela après m’avoir dit, comment tu t’es retrouvée ici.
Elle m’énerve, je veux m’échapper de mes mensonges, mais elle m’oblige à une fuite en avant.
Je fonce jusqu’à la côte bien que j’ignore ce que je vais faire si j’arrive en France dans mes explications.
Mais non, ayons de la mémoire, je lui ai dit au départ de notre rencontre que j’étais au chômage attendant un travail dans une ambassade.
Il faudra que ça colle.
• Dis-moi Radia, tu as réussi à traverser la Méditerranée, comment as-tu fait tu étais démunie.
Mais avant j’ai joui mais toi !
Embrassons-nous.
Ouf, c’est elle qui casse le rythme de mon histoire surtout qu’après m’avoir embrassée, elle descend lentement le long de mon corps d’ébène.
Elle lève la tête me regardant profondément dans les yeux.
• Tu sais tu es la première noire avec laquelle j’ai des rapports intimes.
Elle me lèche le bout du nez, manquant de me faire éternuer.
Elle lèche les lèvres, se dirigeant sur mes seins prenants chacune de mes fraises dans sa bouche.
Je sens ma chatte s’échauffer.
Elle traine vers mon nombril.
Ces mains sont libres, elle pourrait attaquer ma chatte, elle lui serait tout acquise.
Mon nombril, elle semble l’aimer du moins j'aime.
C’est la première fois que l’on s’occupe de lui, là encore j’aime surtout que lorsque le cordon me reliant à maman a été coupé, il forme une jolie cavitée que sa langue explore.
L’envie est de plus en plus fort, j’ai envie de lui crier que ma chatte est une vraie fontaine, mais elle doit aimer faire durer le plaisir en se pressant lentement.
Enfin, je la sens faire mouvement vers le centre de mon plaisir.
Du moins celui que je suppute quand sa langue écartera mes lèvres vaginales pour trouver le capuchon qui protège mon clito.
Elle est très douée, car elle le trouve facilement après avec ses mains m’ayant facilement ouverte.
C’est une magnifique lesbienne que j’ai découverte, elle connaît tout ce qui peut me donner du plaisir.
Mieux que Joanna qui était entrée dedans avec des manières très frustes.
Il faut dire qu’elle avait atterri en Tunisie par des parcours très étranges à ce qui se disait dans l’ambassade.
Mais en ce moment c’est la langue de Cassy qui commence à faire monter la pression au centre de mon corps.
• Ah ! Ah ! Ahhhhhhh !
Certainement les mêmes Ah ! que ma maîtresse en aussi puissant.
Heureusement, l’immeuble fait partie de ceux construit avant-guerre et les murs semblent bien épais.
Une énième fois nous reprenons notre souffle.
Moi sous la jouissance et elle a force de me sucer et me lécher.
• Tu as réussi à traverser puisque-tu es là.
Comment as-tu fait, tu avais tout perdu.
Ça recommence, il faut que j’arrive au bout de mon histoire.
• Oui, j’avais seulement ce que j’avais sur moi et ça m’a sauvé.
Mon alliance.
• Ils te l’avaient laissé.
• Quand les hommes se sont occupés de nous sur les graines de millet, j’ai avalé mon alliance sans qu’ils le voient.
• Et tu l’as récupéré de l’autre côté.
Inutile d’en dire plus, j’ai compris.
Pourquoi j’en rajoute ?
• Mais il a fallu que je monnaye un peu plus.
Ils étaient trois.
Et ils t’ont encore violé !
• Non, je me suis donnée à eux.
Une nuit de folie la vieille du départ sur une espèce de bateau gonflable.
• J’ai soif, viens dans ma cuisine tu me raconteras la suite devant une petite mousse très fraîche…
Voilà, si notre amie a soif, moi aussi.
Il faudra que je la finisse pour venir vous narrer la suite dans la saison III de notre histoire.
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