COLLECTION FOLLE DU CUL. La femme du consul. Saison IV (11/12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2409 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 031 929 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 812 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION FOLLE DU CUL. La femme du consul. Saison IV (11/12)
« Radia, peux-tu me raconter ton aventure avec Saïd et Victoria ? »
Je croyais pouvoir m’en sortir, mais plus j’avance et plus j’ai l’impression de reculer, mais seulement dans mes mensonges.
C’est ce que je pense lorsque Cassy revenue de la salle après avoir fait mon strip-tease me demande de raconter mes propres turpitudes.
- Cassy, pas toi, pourquoi voulez-vous toutes savoir ce que j’ai fait dans ma vie ?
- Excuse, je vais éviter d’être indiscrète.
- Mais dis-moi, es-tu sûre de m’avoir tout dit de ces soirées du samedi soir, qui semble très lucratif ?
5 000 € pour une fille comme moi, c’est beaucoup d’argent, va-t-il me falloir coucher avec des hommes ?
- Oui, ces soirées ont lieu non loin d’ici dans un vieux théâtre ou sur la scène nous ferons notre numéro.
Chaque fois, il y a une dizaine d’hommes et parfois des femmes en couple.
Quatre à cinq filles dans la salle et nous qui faisons le numéro que nous avons commencé à apprendre.
Vicky et Susy sont très souvent parmi ces filles, des jumelles, les hommes en raffolent surtout lorsque l’une suce la chatte de l’autre.
- Les sœurs se broutent entre elles, c’est dégueux !
- Et complètement illégale, c’est pour cela que les mecs payent des sommes colossales pour nous avoir dans la salle ou tous les sièges ont été enlevés remplacés par un bar et des canapés.
Tu vas m’accompagner, je me suis avancée !
- Je vais voir pour me libérer, officiellement, je serai chez toi, mon amie, pour les gens de mon... foyer.
Une nouvelle fois, j’ai failli dire les gens de mon ambassade.
Dans la journée, étant de repos à la boîte de monsieur Léon, j’ai testé ma nouvelle identité.
Dans la batterie de mes papiers, Hamed m’a procuré des extraits de naissance plus vrais que les vrais que j’aurais obtenus à la mairie ou la préfecture.
Un peu anxieuse, je me présehttps://mail.google.com/mail/u/0/?hl=fr#inboxnte au guichet de la même banque ou on m’a ouvert un compte pour avoir ma carte bleue.
En ressortant, je suis rassurée, je vais même pouvoir passer dans quelques jours recevoir un carnet de chèques au nom de Radia.
J’ai versé la première paie que monsieur Léon m’a donnée, bien sûr , comme à chaque passage dans ses bureaux je l’ai sucé pour son plaisir et le mien, j’adore ça de plus en plus.
Voilà, c’est samedi, j’ai prévenu Saïd que j’étais de service aux restos du cœur.
J’invente que ces soirées sont réservées aux nécessiteux avec la projection d’un film et d’un repas.
Vue l’heure où cela va se terminer, pour éviter de rentrer seule et de risquer d’être enlevée, je coucherais chez Cassy.
Seul point de mon mensonge où je prends des risques en lui avouant que cette jeune femme je l’ai rencontrée aux restos et avec laquelle j’ai sympathisé.
Il aurait pu émettre des doutes, mais Saïd encourage sa femme à servir les autres.
Ça le rend fier, s’il savait que je m’enfonce dans ma vie parallèle y prenant énormément de plaisir.
Là encore, je prends conscience que je suis de plus en plus exhibitionniste, j’aime montrer mon intimité à ces hommes certainement sevrés de femmes.
C’est consciemment que je vais aller faire mon numéro avant de baiser pour de l’argent.
Serais-je aussi capable de faire réellement la pute autrement que dans mes mensonges délirant pour cacher ma véritable identité ?
Le fric, même s’il est limité, j’en ai assez sans passer par cette étape de ma vie.
À 21 heures, une nouvelle fois par la ligne 2, nous descendons et nous nous engageons dans une petite impasse non loin de la boîte de monsieur Léon.
Une porte dérobée, nous entendons de la musique.
Cassy a plusieurs fois participé et c’est dans un petit théâtre de chansonniers ayant fait faillite que la fête se déroule.
Nous sommes dans une loge derrière une scène, celle ou nous allons faire notre numéro.
Cyprien est là, c’est lui qui va s’occuper de l’éclairage et de la musique pendant que nous allons faire notre show.
J’écarte légèrement le rideau.
Des hommes sont là, ainsi que des filles dont les jumelles.
L’une est à genoux devant un costume trois-pièces, sa bite dans sa bouche, il put le fric alors que sa sœur est déjà en levrette sur une banquette empalée comme la salope qu’elle est.
Je devrais avoir peur de ce que je vois, mais pour une jeune femme ayant perdu son mari en fuyant son pays, je trouve la situation fortement intéressante.
Une fois, prête, que la fête commence.
C’est à quatre pattes que tenue au bout de la laisse, que la panthère fait son entrée lorsque le rideau se lève.
Cassy est en costume de maîtresse femme.
C’est dans la boutique où j’étais allée acheter mon gode que je l’ai emmenée.
Dans les accessoires que nous avons trouvés, rien de bien bandant.
J’ai vu le patron, surpris de me revoir, passer près de la porte pour inverser le panneau « ouvert ».
C’est sa cave, dont il m’a parlé lors de ma première visite qui m’intéresse.
Les tenues sadomasos.
Cassy a essayé plusieurs modèles tous plus excitants les uns que les autres.
Cassandre, nom dont j’ignorais que des hommes pouvaient le porter, mais qu’il nous donne lorsque mon amie lui demande, l’a aidé à mettre les sangles une fois qu’elle se fut dénudée.
Ses mains était partout et j’ai constaté qu’il bandait dans son pantalon.
C’est moi qui l’ai libéré et qui lui ai fait une très bonne fellation.
Mais je voulais voir Cassy se faire prendre par un homme.
Je lui ai fait poser ses mains sur une chaise tendant en arrière, son si beau cul.
Comme moi, aucune trace de cellulite pouvant le rendre disgracieux.
Étant bi comme moi, elle a tortillé ses fesses après que je lui ai enfilé la verge du garçon dans son vagin, que je voyais dégouliner de plaisir.
J’ai passé ma langue sur la chatte et la verge, les deux se sont tendus, elle a joui et j’ai du sperme qui a coulé sur ma langue lorsqu’à son tour il a éjaculé.
C’est drôle de tenir un sex-shop et de sembler être en manque, car ses longs traits de sperme étaient intarissables.
Le modèle que porte Cassy quand j’avance devant elle est composé de lanières dégageant bouche, seins et chatte, voire anus, tous les points de nos corps pouvant satisfaire nos clients devant être accessible.
Pour ma part, je suis déjà presque opérationnelle, une panthère, c’est noir et ma peau me suffit.
Un collier, une laisse et le masque genre Catwoman.
C’est drôle à travers mon masque, je me sens protégé comme si j’avais plusieurs couches de vêtements sur le dos.
Un point de mon anatomie sans que je sois nue.
Cassy avec sa tenue achetée avec une grosse remise a un fouet en main comme les dompteurs dans les cirques et m’en assène des coups censés me faire avancer.
Chaque fois je me retourne, j’essaye de la griffer ou de la mordre.
C’est là un point que j’ai amélioré.
J’ai laissé pousser mes ongles qui sont entretenus tous les mercredis à l’institut où nous nous rendons avec ma dompteuse.
Josette, la manucure me passe du produit durcissant, mes griffes faisant partie du spectacle chaque fois que me retournant, j’essaye de la griffer.
Dans toute cette période, je me donne chaque fois que je le peux à mon mari le soir à mon retour ou le matin avant de partir.
Devrais-je l’emmener dans la cave de Cassandre revêtir une tenue de soumise, car il adore lorsque je lui labour le dos avec mes ongles.
Lorsqu’elle m’a fait faire le tour de la scène, d’un coup de patte, je l’attrape la faisant rouler face à notre public.
Je bouffe ma proie à la hauteur de son sexe, mais bien sûr me calmant, c’est avec de grands coups de langue que je la fais jouir pendant qu’elle me caresse la tête.
Qui de la belle ou de la bête est gagnant dans notre spectacle, car me retournant ma langue toujours active, elle se met à me sucer.
Dès ce premier soir, est-ce le fait que l’on nous regarde, je lui expulse de grandes giclées de cyprine dans la bouche.
Nous roulons, alors que nous reprenons notre souffle, elle reprend le dessus et nous reprenons notre promenade.
Au départ, quand nous avons commencé à répéter, j’ignorais encore qu’il fallait aller satisfaire les clients qui ce soir se sont levés pour nous applaudir.
Même Vicky et Susy nous applaudissent malgré qu’elles nous aient vues plusieurs fois nous entrainer.
Dans mon costume, un ustensile a posé un problème lorsqu’il a fallu descendre dans la salle.
Ma queue !
Je me suis fait amputer, mais vite, elle a été remplacée par celle de mon premier client qui se trouve au bar tenu par une belle rouquine en guêpière la chatte dénudée.
Il sirote un whisky.
- Je peux la caresser !
- À vos risques et périls, vous avez vu, elle griffe !
Et si vous souhaitez que mon animal vous suce, j’enlève toute responsabilité de la direction si elle vous croque la queue.
Regardez ses dents assérées.
Je tourne la tête vers l’homme, qui prend le risque de sortir sa queue.
Je tourne la tête vers le haut émettant un grognement comme le font les félins.
Avant de venir le sucer, je lui donne un petit coup de dents sans le marquer pour autant.
C’est drôle ces jeux de rôle, quelque part, je suis un peu un félin à ce moment.
L’homme bande et d’un air dédaigneux je le lâche le frustrant certainement.
- Pardon, ma panthère est très indépendante, votre queue l’a amusée quelques minutes.
- Finissez-moi !
C’est avec un accent slave que l’homme lui parle, j’aime à penser que c’est un tueur venu de son pays s’encanailler à Paris entre deux assassinats.
- Couchée Radia.
Je me love à ses pieds, me passant ma langue sur les partis de mon corps accessibles ou mes pattes que je me présente comme le font les félins.
Cassy prend ma place sur la queue et quelques minutes après, elle me tend sa bouche.
Je me redresse comme le ferait une panthère et le sperme du client passe dans ma bouche, c’est dégueux, mais le Slave apprécie notre connivence.
Que la fête continue, nous reprenons notre route...
Je croyais pouvoir m’en sortir, mais plus j’avance et plus j’ai l’impression de reculer, mais seulement dans mes mensonges.
C’est ce que je pense lorsque Cassy revenue de la salle après avoir fait mon strip-tease me demande de raconter mes propres turpitudes.
- Cassy, pas toi, pourquoi voulez-vous toutes savoir ce que j’ai fait dans ma vie ?
- Excuse, je vais éviter d’être indiscrète.
- Mais dis-moi, es-tu sûre de m’avoir tout dit de ces soirées du samedi soir, qui semble très lucratif ?
5 000 € pour une fille comme moi, c’est beaucoup d’argent, va-t-il me falloir coucher avec des hommes ?
- Oui, ces soirées ont lieu non loin d’ici dans un vieux théâtre ou sur la scène nous ferons notre numéro.
Chaque fois, il y a une dizaine d’hommes et parfois des femmes en couple.
Quatre à cinq filles dans la salle et nous qui faisons le numéro que nous avons commencé à apprendre.
Vicky et Susy sont très souvent parmi ces filles, des jumelles, les hommes en raffolent surtout lorsque l’une suce la chatte de l’autre.
- Les sœurs se broutent entre elles, c’est dégueux !
- Et complètement illégale, c’est pour cela que les mecs payent des sommes colossales pour nous avoir dans la salle ou tous les sièges ont été enlevés remplacés par un bar et des canapés.
Tu vas m’accompagner, je me suis avancée !
- Je vais voir pour me libérer, officiellement, je serai chez toi, mon amie, pour les gens de mon... foyer.
Une nouvelle fois, j’ai failli dire les gens de mon ambassade.
Dans la journée, étant de repos à la boîte de monsieur Léon, j’ai testé ma nouvelle identité.
Dans la batterie de mes papiers, Hamed m’a procuré des extraits de naissance plus vrais que les vrais que j’aurais obtenus à la mairie ou la préfecture.
Un peu anxieuse, je me présehttps://mail.google.com/mail/u/0/?hl=fr#inboxnte au guichet de la même banque ou on m’a ouvert un compte pour avoir ma carte bleue.
En ressortant, je suis rassurée, je vais même pouvoir passer dans quelques jours recevoir un carnet de chèques au nom de Radia.
J’ai versé la première paie que monsieur Léon m’a donnée, bien sûr , comme à chaque passage dans ses bureaux je l’ai sucé pour son plaisir et le mien, j’adore ça de plus en plus.
Voilà, c’est samedi, j’ai prévenu Saïd que j’étais de service aux restos du cœur.
J’invente que ces soirées sont réservées aux nécessiteux avec la projection d’un film et d’un repas.
Vue l’heure où cela va se terminer, pour éviter de rentrer seule et de risquer d’être enlevée, je coucherais chez Cassy.
Seul point de mon mensonge où je prends des risques en lui avouant que cette jeune femme je l’ai rencontrée aux restos et avec laquelle j’ai sympathisé.
Il aurait pu émettre des doutes, mais Saïd encourage sa femme à servir les autres.
Ça le rend fier, s’il savait que je m’enfonce dans ma vie parallèle y prenant énormément de plaisir.
Là encore, je prends conscience que je suis de plus en plus exhibitionniste, j’aime montrer mon intimité à ces hommes certainement sevrés de femmes.
C’est consciemment que je vais aller faire mon numéro avant de baiser pour de l’argent.
Serais-je aussi capable de faire réellement la pute autrement que dans mes mensonges délirant pour cacher ma véritable identité ?
Le fric, même s’il est limité, j’en ai assez sans passer par cette étape de ma vie.
À 21 heures, une nouvelle fois par la ligne 2, nous descendons et nous nous engageons dans une petite impasse non loin de la boîte de monsieur Léon.
Une porte dérobée, nous entendons de la musique.
Cassy a plusieurs fois participé et c’est dans un petit théâtre de chansonniers ayant fait faillite que la fête se déroule.
Nous sommes dans une loge derrière une scène, celle ou nous allons faire notre numéro.
Cyprien est là, c’est lui qui va s’occuper de l’éclairage et de la musique pendant que nous allons faire notre show.
J’écarte légèrement le rideau.
Des hommes sont là, ainsi que des filles dont les jumelles.
L’une est à genoux devant un costume trois-pièces, sa bite dans sa bouche, il put le fric alors que sa sœur est déjà en levrette sur une banquette empalée comme la salope qu’elle est.
Je devrais avoir peur de ce que je vois, mais pour une jeune femme ayant perdu son mari en fuyant son pays, je trouve la situation fortement intéressante.
Une fois, prête, que la fête commence.
C’est à quatre pattes que tenue au bout de la laisse, que la panthère fait son entrée lorsque le rideau se lève.
Cassy est en costume de maîtresse femme.
C’est dans la boutique où j’étais allée acheter mon gode que je l’ai emmenée.
Dans les accessoires que nous avons trouvés, rien de bien bandant.
J’ai vu le patron, surpris de me revoir, passer près de la porte pour inverser le panneau « ouvert ».
C’est sa cave, dont il m’a parlé lors de ma première visite qui m’intéresse.
Les tenues sadomasos.
Cassy a essayé plusieurs modèles tous plus excitants les uns que les autres.
Cassandre, nom dont j’ignorais que des hommes pouvaient le porter, mais qu’il nous donne lorsque mon amie lui demande, l’a aidé à mettre les sangles une fois qu’elle se fut dénudée.
Ses mains était partout et j’ai constaté qu’il bandait dans son pantalon.
C’est moi qui l’ai libéré et qui lui ai fait une très bonne fellation.
Mais je voulais voir Cassy se faire prendre par un homme.
Je lui ai fait poser ses mains sur une chaise tendant en arrière, son si beau cul.
Comme moi, aucune trace de cellulite pouvant le rendre disgracieux.
Étant bi comme moi, elle a tortillé ses fesses après que je lui ai enfilé la verge du garçon dans son vagin, que je voyais dégouliner de plaisir.
J’ai passé ma langue sur la chatte et la verge, les deux se sont tendus, elle a joui et j’ai du sperme qui a coulé sur ma langue lorsqu’à son tour il a éjaculé.
C’est drôle de tenir un sex-shop et de sembler être en manque, car ses longs traits de sperme étaient intarissables.
Le modèle que porte Cassy quand j’avance devant elle est composé de lanières dégageant bouche, seins et chatte, voire anus, tous les points de nos corps pouvant satisfaire nos clients devant être accessible.
Pour ma part, je suis déjà presque opérationnelle, une panthère, c’est noir et ma peau me suffit.
Un collier, une laisse et le masque genre Catwoman.
C’est drôle à travers mon masque, je me sens protégé comme si j’avais plusieurs couches de vêtements sur le dos.
Un point de mon anatomie sans que je sois nue.
Cassy avec sa tenue achetée avec une grosse remise a un fouet en main comme les dompteurs dans les cirques et m’en assène des coups censés me faire avancer.
Chaque fois je me retourne, j’essaye de la griffer ou de la mordre.
C’est là un point que j’ai amélioré.
J’ai laissé pousser mes ongles qui sont entretenus tous les mercredis à l’institut où nous nous rendons avec ma dompteuse.
Josette, la manucure me passe du produit durcissant, mes griffes faisant partie du spectacle chaque fois que me retournant, j’essaye de la griffer.
Dans toute cette période, je me donne chaque fois que je le peux à mon mari le soir à mon retour ou le matin avant de partir.
Devrais-je l’emmener dans la cave de Cassandre revêtir une tenue de soumise, car il adore lorsque je lui labour le dos avec mes ongles.
Lorsqu’elle m’a fait faire le tour de la scène, d’un coup de patte, je l’attrape la faisant rouler face à notre public.
Je bouffe ma proie à la hauteur de son sexe, mais bien sûr me calmant, c’est avec de grands coups de langue que je la fais jouir pendant qu’elle me caresse la tête.
Qui de la belle ou de la bête est gagnant dans notre spectacle, car me retournant ma langue toujours active, elle se met à me sucer.
Dès ce premier soir, est-ce le fait que l’on nous regarde, je lui expulse de grandes giclées de cyprine dans la bouche.
Nous roulons, alors que nous reprenons notre souffle, elle reprend le dessus et nous reprenons notre promenade.
Au départ, quand nous avons commencé à répéter, j’ignorais encore qu’il fallait aller satisfaire les clients qui ce soir se sont levés pour nous applaudir.
Même Vicky et Susy nous applaudissent malgré qu’elles nous aient vues plusieurs fois nous entrainer.
Dans mon costume, un ustensile a posé un problème lorsqu’il a fallu descendre dans la salle.
Ma queue !
Je me suis fait amputer, mais vite, elle a été remplacée par celle de mon premier client qui se trouve au bar tenu par une belle rouquine en guêpière la chatte dénudée.
Il sirote un whisky.
- Je peux la caresser !
- À vos risques et périls, vous avez vu, elle griffe !
Et si vous souhaitez que mon animal vous suce, j’enlève toute responsabilité de la direction si elle vous croque la queue.
Regardez ses dents assérées.
Je tourne la tête vers l’homme, qui prend le risque de sortir sa queue.
Je tourne la tête vers le haut émettant un grognement comme le font les félins.
Avant de venir le sucer, je lui donne un petit coup de dents sans le marquer pour autant.
C’est drôle ces jeux de rôle, quelque part, je suis un peu un félin à ce moment.
L’homme bande et d’un air dédaigneux je le lâche le frustrant certainement.
- Pardon, ma panthère est très indépendante, votre queue l’a amusée quelques minutes.
- Finissez-moi !
C’est avec un accent slave que l’homme lui parle, j’aime à penser que c’est un tueur venu de son pays s’encanailler à Paris entre deux assassinats.
- Couchée Radia.
Je me love à ses pieds, me passant ma langue sur les partis de mon corps accessibles ou mes pattes que je me présente comme le font les félins.
Cassy prend ma place sur la queue et quelques minutes après, elle me tend sa bouche.
Je me redresse comme le ferait une panthère et le sperme du client passe dans ma bouche, c’est dégueux, mais le Slave apprécie notre connivence.
Que la fête continue, nous reprenons notre route...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...