COLLECTION FOLLE DU CUL. Les aventures d’Audrey et les Villages Peoples (2/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Les aventures d’Audrey et les Villages Peoples (2/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2021 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Les aventures d’Audrey et les Villages Peoples (2/4)
Où va s’arrêter l’enterrement de vie de jeune fille de Karène ?
C’est la question que je peux me poser, je me le demande après avoir fait confiance en Sophie la sœur ainée de la future mariée.
C’est elle qui a engagé ces six garçons formant un très bon groupe de chippendale.

Je me vois dans l’obligation d’intervenir.
Quand Tony m’a proposé d’écrire une suite à l’histoire de son couple, je lui ai dit la difficulté que ce soit Audrey, la seule présente du couple, qui nous raconte sa soirée.
On y est, ces six garçons, que Sylvie a engagés sont six pompiers de Paris qui ont formé ce groupe de chippendale lors d’un bal du 14 Juillet, caserne Carnot à Paris.
Ils ont eu tellement de succès qu’ils ont décidé de continuer, mais on va voir rapidement qu’ils ont largement adapté leur numéro soft dans leur caserne.
Le motard qui est leur chef s’appelle Ted, c’est le plus baraqué, il a fait du sport de combat.
Pompier de Paris, contrairement à leurs illustres prédécesseurs américains, ils sont connus pour être viril avec les femmes et non les hommes.
Homo et pompier de Paris, est-ce compatible, certainement non.

Sur sa table, le gâteau a fini de briller permettant à Karène de bien voir le beau gosse qui fait des gestes avec son bas-ventre plus qu’explicite.
Les lumières qui rythment la musique me permettent de voir la jeune fille rouge de confusion.
Je dois dire que moi aussi, un léger malaise me gagne.
Qu’un homme qui plus est bandant puisse se trémousser pour, elle semble la faire réagir.
D’un coup, il arrache son pantalon nous apparaissant en slip plus que moulant.
Son paquet qu’il vient mettre en avant aux yeux de la future mariée nous montre qu’avec lui les femmes doivent savoir trouver de quoi passer un bon moment.

« In The Navy ».

Vers moi, le marin s’avance et se place pour que je voie le spectacle de sa danse.
Je comprends que ça fait partie du jeu, mais comme Karène les gestes sont si explicites que je rougis à mon tour.
Il se déplace bien en face de moi et c’est là que lui aussi me dévoile son paquet tout aussi impressionnant.
Ouf, ce jeune marin est virevoltant et ses coups de bite, c’est d’un point à l’autre de la scène qu’il nous les offre à Radia et à moi.
J’ai l’impression que les spots éclairant la scène sont tous braqués sur moi.
Je suis persuadée que Chris71 est une nouvelle fois en train de me piéger avec la complicité de Sylvie et pourquoi pas de Tony qui attend que l’on lui dise, comment je me comporte.
J’ai appris à le connaître, il aimerait bien avoir une femme plus entreprenante, mais mon éducation conditionne mon comportement.
J’ignore pour Radia, mais mon entre cuisses s’humecte de ma cyprine.
Heureusement, que ces lignes restent entre nous.
J’aurais trop de honte à lui donner ce plaisir.

Ouvrier, mauvais garçon et cow-boy en font de même pour Sonia, Lucrecia et Sylvie qui fait partie de leur jeu, même si c’est elle qui nous piège.
De nouveau, morceaux des cinq principaux succès du groupe américain diffusé en boucle, bien mélangée et nous avons six mâles, magnifiques, six mâles en string moulant devant nous.
Le motard reprend l’initiative.
Il saute de scène, saute sur la table, les pieds de chaque côté du gâteau.
Même si je voudrais avoir des réserves, je dois dire que ce sont de vrais pros.
Karène est rouge de confusion, c’est sûr, pour ma part, si je mouille, la future mariée doit être dans le même état.
Il se trémousse se tenant la verge au travers du tissu et tire d’un coup.
Dans le mouvement, j’ai le temps de voir son gland impressionnant.
Son sexe nous apparaît à moitié tendu, la danse et ses trémoussements explicites le mettent en forme.
Sur scène les autres en font de même.
Leur bas-ventre nous apparaît, six danseurs, six femmes sans qu’aucune d’entre elles prenne la fuite.
Dommage, si l’une d’elles avait détalé, je l’aurais suivi sans demander mon reste.
Chris, au secours, qu’allez-vous encore me faire de moi et de mes amies.
Faire la pute dans une vitrine, c’était déjà énorme et vous me l’avez fait faire.
Bon je suis fataliste, on verra bien.

J’avais vu juste, si au fil des récits de Chris71, pour le plus grand plaisir de Tony, je suis devenue une belle salope, elles sont toutes même la fiancée sur les mêmes traces que celles qu’il m’a obligées à suivre.

Le motard saute de sa table, les cinq autres de l’estrade et s’avance vers nous.
Ils dansent en se croisant comme s’ils choisissaient vers celles qu’ils vont venir présenter leurs hommages.
Mais ils laissent passer en avant leur chef qui se trouve à hauteur de bouche de Karène.
C’est fait, le futur est cocu avant son mariage quand Karène le saisit d’une main et que je vois ses lèvres s’arrondir autour de la bite entièrement tendue.
Ce que j’avais vu, se trouve conforté, elle a du mal à avaler le gland.
Mais courageuse, elle insiste et le fait entrer jusqu’au fond de sa gorge.
La gourgandine est expérimentée.
Soit avec son fiancé soit avec d’autres.
Six chippendales et six bites dans ma bouche et celle de mes amies.
Villages Peoples, oui, mais étalon aussi.
Le marin, à mes côtés, masturbé par Lucrecia me regarde avec envie alors que c’est le mauvais garçon qui s’est approché de ma bouche.
Il la quitte et va prendre une table dans les cinq le long du mur.
Comme je l’ai dit, le mobilier est assez restreint, nul lit ou canapé, mais ils savent s’adapter.
Il place la table près de celle au gâteau.
Le mauvais garçon m’abandonne pour Lucrecia et le marin me prend par la main.
Il me dénude, comme l’est déjà Radia qui semble la plus délurée de nous toute malgré ses origines.
Il m’aide à monter sur la table et me couche sur le dos.
J’écarte mes cuisses au mieux que je le peux et c’est de façon sublime qu’il me fait un cunnilingus.
J’avais pourtant dit, que je voulais rester chaste après mes débordements.
Malgré « Go West » qui a démarré, j’arrive rapidement à me faire entendre de l’ensemble garçons et filles.
Il me retourne me place en levrette et d’un coup me plante son dard dans la chatte.
Depuis Amsterdam, j’ai atteint tous les degrés de la perversion grâce à Chris71.
Il me prend par la chatte, il m’aurait enculé, même si mon vagin est à la limite d’éclater par sa virilité, j’aurais accepté sans rechigner.
Tony a beau donner du sien, son vermicelle est loin de me remplir comme je le suis.
Sur la table voisine, Karène est là, nue elle aussi.
Le motard lui a mis les fesses dans le gâteau.
Elle a les jambes levées et Radia qui a laissé son ouvrier qui a rejoint Sonia lui fait un cunnilingus tout en badigeonnant la verge du garçon qui pilonne sa bouche.
Drôle de façon de manger son gâteau d’enterrement de vie de jeune fille, mais le sexe qui entre et qui sort en moi m’amenant au bord de l’orgasme, m’empêche d’être offusqué.
Avant d’exploser, je vois Radia, prendre un gros morceau du gâteau et le faire entrer avec ses doigts dans le vagin, loin d’être virginal de la rouée Karène.
C’est avec envie qu’elle retourne gouter à son dessert.
Lucrecia est empalée sur l’Indien qui s’est assis sur ma chaise, j’avais raison Sylvie et Sonia sont, elles aussi sur les tables à l’opposer avec les autres villages Peoples et s’amusent, elles aussi.
Si Sylvie espérait faire de ses amies des salopes, mais même si le mot ami est un peu fort, je me rends compte que dans notre ville, il y avait de nombreuses salopes qui pour certaines s’ignoraient.
Même si je me suis gouinée, même si j’ai trompé Tony, même si je suis prostituée, je franchis une nouvelle étape en me faisant baiser en me donnant en public.

Je saute de la table suivie de mon marin.
Pardon de notre marin, car dès que je suis libérée, il rejoint le trio, s’agenouille derrière Radia et lui bouffe la chatte.
La petite salope se tortille.
Cette première escarmouche m’a donné faim, je rejoins le buffet et je me sers un verre de citronnade.
Même si je perds la tête en m’exhibant et en me faisant baiser, je sais que je suis capitaine de soirée et je bois de la citronnade.
Lucrecia à son tour quitte la verge qui s’occupait d’elle et viens à moi, magnifique dans sa nudité.

• Sylvie nous a bien eux.
• Regarde là se faire bouffer par Sonia, elle aussi semble s’être faite piéger.
Je vais t’avouer que la verge de Grégoire, c’est le nom de mon Indien est le premier garçon qui me baise depuis mon mariage.
• À la façon dont tu me dis ça, « avant », il y en a eu d’autres !
• Quelques-uns, mais Justin a su me séduire et je pensais avoir fermé la porte aux autres sexes autres que le sien.
Ce soir, Sylvie m’a montré que j’étais capable d’en vouloir d’autres.
Mon dieu qu’ils sont performants, à la tienne.

Nous trinquons et je me rends compte, que Lucrecia me regarde d’un drôle d’air.
Elle me prend mon verre, inutile de payer un supplément vaisselle, notre organisatrice a dû assez entamer la cagnotte que nous avons prévue pour ces soirées entre filles.
Sa main libre part dans ma fourche et me passe sa main derrière mon cou pour que nos bouches se rapprochent.
Je retrouve la douceur de lèvres féminines comme elle semble découvrir les miennes.
Je vois venir Chris, il va encore me faire bouffer de la chatte et le dire à Tony qui va se masturber en lisant les saloperies qu’ils me font faire.
Je suis piégée alors autant passer un bon moment.
Je repousse un plat où il reste de la charcuterie et je mets mes fesses sur la table.
Sans que je la contraigne le moins du monde, elle s’agenouille et a une fraction de retenue avant que son bout de langue ose toucher mon clitoris.
Ça me fait frémir, pucelle féminine, ça se sent,
Forte de mon expérience avec Maggy, la pute d’Amsterdam m’ayant prêtée sa boutique pour que je m’expose à moitié nue et que je baise avec des inconnus me donnant de beaux billets, je suis prête à devenir son initiative.
Je me vois déjà auprès de ma piscine cet été, les filles en vacances chez leurs grands-parents et Tony au travail.
Je prends sa tête et j’appuie pour la faire entrer plus profondément en moi.
Lucrecia me broute à me faire partir.
L’ouvrier et le cow-boy sont à nos côtés avec les salopes qu’ils baisaient sur la table il y a peu et parlent sans s’inquiéter de ce que nous faisons.
J’ai du mal à me concentrer sur ce qu’ils disent, mais je comprends tout de même que les jeunes femmes demandent aux garçons, comment elles peuvent les engager pour une soirée.
La réponse se perd dans l’orgasme qui me traverse, Lucrecia vient de faire jouir sa première femelle folle du cul malgré elle.
Tony, tu es un salopard, mais c’est pour cela que je t’aime...

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