COLLECTION FOLLE DU CUL. Les boulangers partent en vacances (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Les boulangers partent en vacances (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Les boulangers partent en vacances (1/2)
• Bonjours Jocelyne, deux gros pains, comme tous les jours !
• Oui, madame Paulette.
• Au fait, Jocelyne, sur la porte de la boutique, avez-vous vu qu’à partir de mardi prochain et pendant deux semaines, nous serons fermés ?
Nous sommes dans l’obligation de mettre la clef sous la porte afin de donner leurs congés aux employés.
Fermer 15 jours, tous les deux mois en moyenne, nous permet de solder les congés payés et les heures supplémentaires pour tous, en une seule fois !
• Deux semaines, mais comment vais-je faire, depuis qu’ils ont fermé la supérette ?
• Il faut vous organiser, certains mettent leur pain au congélateur.
• Deux gros pains sur cinq jours, il va falloir acheter un congélo spécial et en ce moment, c’est plutôt mal venu, depuis que Christian a acheté son camion !
• Vous allez bien trouver une personne allant à la ville, tous les jours, pouvant vous ramener votre pain pendant cette période !
• Je vais voir, merci tout de même, à demain.
• À demain Jocelyne.
• Une ficelle pour chacun, à mettre sur nos comptes !
Nous vous payerons dimanche matin, comme cela vous aurez les moyens de vous divertir durant vos vacances, madame Paulette.
• Bonjour messieurs, tenez Jocelyne, votre solution, la voilà.
On a parlé de notre fermeture hier avec Claude et Luc et vous m’avez dit que vous iriez à tour de rôle à la ville chercher votre pain.
Vous pourriez ramener celui de Jocelyne comme cela ça règlera le problème pour tout le monde.
• C’est faisable, vous habitez bien à l’ancienne maison forestière, on travaillait avec Christian avant la fermeture de la tuilerie.

Tout se meurt dans nos petits villages au fin fond de nulle part.
Il y a deux ans que Christian a perdu son emploi, lorsque la tuilerie a été décentralisée en Roumanie où la main-d'œuvre est meilleure marchée, comparée à nous.
Avec son surpoids s’aggravant au fil des années, un problème de glandes en étant la cause, il avait de plus en plus de mal à faire ce travail de manutention.
Ils ont tous été licenciés, mais la prime étant intéressante, il a réalisé son rêve et acheté un gros camion-frigo.
Il a pu l’acheter grâce à la prime et à un contrat, non deux.
Un, avec notre coopérative agricole, seul lieu où il y a de l’activité dans notre village et la Hongrie.
Il charge le dimanche soir dès l’autorisation de rouler pour les poids lourds et va décharger ses légumes à Budapest en Hongrie.

Il recharge en Croatie à Zagreb des pièces mécaniques pour une entreprise française ayant elle-même décentralisé sa production dans ce pays.
Ils assemblent en France, ce qui leur permet de marquer, « fabriquer en France » et ainsi de pouvoir gagner sur tous les tableaux.
Christian gagne sa vie, mais avec les remboursements et les travaux, dans notre vieille maison forestière, nous arrivons seulement à vivre en faisant attention et en équilibrant nos comptes.
Heureusement, le camion, il l’a acquis par son cousin, bien placé dans les milieux des enchères après faillite, mais il a tout de même fallu emprunter.
Bref, environ 3 000 Km par semaine à dormir dans son camion.
Quand-il a été licencié, il faisait 1,83 mètre pour 135 kilos.
Aujourd’hui, il est à 140, car tous les jours, il se lave et il mange dans des routiers.
Heureusement, son camion a une couchette dans laquelle il passe sa nuit, ça évite les hôtels.
Pour le pain, j’aurais bien essayé d’en faire manger du rassis jusqu’à la fin de la semaine à nos enfants.
Le samedi, nous allons faire le plein de ce qui nous manque à la ville.
Nous pourrions en racheter.
Mais dans sa jeunesse, Christian a souffert d’en manger du bien dur.
Son père en achetait toujours d’avance, car il considérait qu’il avait tendance à trop en manger.
Il est vrai que ça l’aidera dans son embonpoint, mais il se fâcherait tout rouge si je faisais de telles provisions du samedi au samedi.

• Oui, vous avez raison, ce serait gentil de me rendre ce service, je me voyais mal acheter le pain pour une semaine avec mon mari qui rentre tout à l’heure.
Vous avez travaillé avec Christian !
• Oui, j’étais son chef, mais nous avons eu la chance d’être mis en préretraite et comme nos femmes se sont barrées pour de plus jeunes que nous, on est toujours ensemble.
Ces garçons, c’étaient des jumeaux, des voisins célibataires venus là en location.
Tu vois, on a le temps, Jocelyne.
Lundi en huit, à quelle heure peut-on t’amener tes deux grosses miches.
• En semaine, je conduis les enfants au bus pour neuf heures moins le quart.
Après, sur mon vélo, j’allais chercher mon pain.
Je serais chez moi à neuf heures.

Le jour prévu, une voiture s’arrête, je pense voir Claude, mais Luc est là lui aussi.
Je suis en train d’enlever les coquilles de huit œufs que je viens de cuire et les passer à l’eau froide.
J’ai des poules, des lapins et des cochons d’Inde derrière la maison.
Les cochons d’Inde, ce sont ceux des enfants.
Ils leur font faire des courses dans le jardin et pendant ce temps je peux me reposer.
Je voulais faire un jardin, mais lorsque Christian revient, il passe chercher les papiers pour le dimanche.
Il a les clefs et charge seul avant de prendre la route et le responsable de la coopérative lui donne ses papiers de circulations le vendredi.
Il me ramène les légumes de la semaine, que des copains lui déposent dans son camion pendant qu’il est avec leur chef.
Nous faisons de grosses économies, grâce à ces petites combines et tout rentre dans le frigo de ma cuisine.
Nous sommes tous végétariens, heureusement, car il nous serait impossible d’acheter de la viande.

• Bonjour Jocelyne, Luc a voulu venir avec moi, ça nous aide à passer le temps.
Voilà tes miches, aussi grosses que les tiennes.
Peux-tu nous les montrer ?
• Oh, monsieur Claude, je suis mariée et vous savez que j’ai trois enfants.
Je suis fidèle à Christian.
• Oui, mais nous aimons les femmes et tu es très appétissante.
• Mais je vous le répète, je suis fidèle à Christian depuis qu’il m’a épousé et que nos enfants sont nés.
Et puis vous êtes vieux !

Là, je fais une erreur, j’ai montré de l’intérêt à leur proposition.

• Juste les voire, si nos artères sont vieillissantes, nos yeux sont toujours aussi jeunes.
• Vous me jurez de me laisser, si je vous les fais voir !
• Je sens que ça te ferait plaisir, être admiré, quelle femme reculerait ?

Je suis coincée, j’ai vu une émission quand mes monstres étaient couchés, parlant de « s’y embrasser, c’était trompé ? »
Au début, je disais, « oui », mais à la fin, j’étais bien moins sûre.
Sans plus réfléchir, j’ouvre mon peignoir en défaisant sa ceinture.
Il s’ouvre en dévoilant plus que de raison.

• Super Jocelyne, tu t’épiles, ma femme a toujours refusé de le faire, elle avait une touffe immonde qui montait presque jusqu’à son nombril.
• La mienne aussi, j’évitais de lui faire des cunnilingus, j’avais toujours des poils dans ma bouche.
• Que fais-tu, on va t’aider avant que tes petits ne reviennent ?
• J’écaillais des œufs, les enfants les aiment au dur et mes poules nous en donnent assez pour tous chaque jour.

• Sais-tu comment j’aime manger mes œufs, Jocelyne ?
• Non !

Je m’attendais à ce qu’il me dise au plat ou en omelette.

• Je vais te montrer !

Avant que je n’aie le temps de réagir, il me prend sous les bras, me soulève et m’assoit sur le plan de travail, ouvrant mon peignoir.
À là, ça devient plus grave que de montrer mes seins et ma chatte épilée par inadvertance.
Il m’écarte les cuisses et avant que je réfléchisse et que je réagisse, il prend un œuf dont j’ai déjà enlevé la coquille et me le rentre dans le vagin.

• Trois enfants, voyons combien on peut en faire entrer.

Je devrais les foutre dehors, mais depuis que Christian conduit son camion, bien souvent je m’emmerde.
Le jeu me fait rire, surtout quand un sixième disparaît.
C’est sûr, je suis en train de tromper mon mari.
Notamment lorsque Claude les ayant tous fait entrer, gonflant mon ventre comme si j’attendais mon quatrième enfant, ce qui serait une cata la maison devenant trop petite se baisse vers ma chatte.

• Voilà comment j’aime les œufs durs.
Force comme si tu voulais accoucher.

Avec sa langue et ses doigts ils écartent mes grandes lèvres et lorsque je pousse, un premier œuf commence à sortir.
Il le gobe prestement.

• J’adore son assaisonnement.
Luc veux-tu le suivant ?

Incroyable ce que je me laisse faire, après Claude, c’est Luc qui avance sa bouche.

• Ah !

Ce saligaud, il vient de me lécher le clito.
Christian est bel et bien cocu à des centaines de kilomètres d’ici.
Dans le dos de Luc, je vois Claude tourner autour de mon vélo d’appartement.
Il est là en attendant la fin des travaux, le mois prochain, après chaque paye nous achetons le nécessaire pour pouvoir continuer.

Je pousse, un œuf sort, Luc le gobe comme Claude.

• Ta raison, il sent la salope mouillant de profiter de la situation.
On devrait breveter la recette, « œuf dur sauce cyprine ».

Je devrais hurler de dégouts de me faire maltraiter comme cela mais quand ils éclatent de rire, j’éclate aussi, mais de plaisir au passage de l’œuf.

• Regarde, on va lui faire faire du vélo sans selle, le reste va nous donner des œufs mimosa, elle a bien de la mayonnaise !...

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