COLLECTION FOLLE DU CUL. Les boulangers partent en vacances (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Les boulangers partent en vacances (2/2)
Nos villages de plus en plus se meurent en perdant leurs petites entreprises.
Ça entraîne la fermeture des commerces et ça se termine par les administrations d’État.
Ma volonté d’être fidèle à Christian mon mari devenu chauffeur routier après un stage de reconversion afin d’avoir son permis poids lourd est intact, jusqu’au jour où ?
Avec son gros cul, il pare sur les routes de l’Europe du dimanche soir au vendredi où je le récupère bien fatigué.
Moi aussi je le suis avec trois enfants à élever en partie seule depuis que la tuilerie a fermé.
La présence de mon mari pendant deux jours me soulage, bien qu’il dorme une grande partie du temps, car il est fatigué.
Surtout que cette vieille maison forestière nous la rénovons en l’agrandissant pour cinq personnes dont une fille qui aura un jour besoin de sa chambre.
Tuilerie fermée, superette fermée et maintenant boulangerie fermée pour quinze jours, les boulangers partants en vacances comme leur personnel, ce que je leur reconnais le droit.
Avant un dépôt de pain se faisait grâce à la boulangerie de la ville voisine à la superette qui a fermé.
Lorsque la boulangère me prévient de ce gros problème, mon mari imposant à ce que mes enfants aient du pain frais chaque jour, j’ignorais comment résoudre ce problème.
Il avait été traumatisé dans sa jeunesse, son père en achetant toujours d’avance afin qu’il soit rassis quand ils en mangeaient.
Les jumeaux retraités, voilà qu’elle est ma solution.
Eux aussi aiment le pain frais.
À tour de rôle, ils vont jusqu’à la ville, trop éloignée pour que je fasse l’allée retour avec mon vélo, mais, cette fois, je me retrouve avec un prix à payer.
Les œufs durs que je viens d’écailler, vont en être la solution.
Claude à moins que ce soit Luc, m’ayant assise sur mon plan de travail, fraichement posé par Christian mon mari le week-end dernier.
C’est dans ma chatte qu’ils les font entrer, les gobans lorsque comme l’une de mes poules, je les ponds un par un.
J’ai eu le malheur d’être en robe de chambre, vite la chatte à l’air dès que Luc a ouvert mon peignoir.
Est-ce anormal, de mettre ma chatte à la disposition de ces deux baiseurs à 9 heures du matin alors que mes enfants m’ont laissé seule en prenant le bus pour l’école ?
Je vais même aller plus loin.
L’été lorsqu’il fait beau et que les enfants sont sous leur tente à l’extérieur, il m’arrive de vivre nue, même si je ne suis pas naturiste.
Vivre sans contrainte, c’est pour cela qu’avec Christian nous avons acheté cette maison isolée.
Hier, j’ai joui sous les coups de langue de Claude et de Luc en pondant mes œufs, lorsque je les vois arriver, à quel jeu vont-ils me faire jouer ?
L’un d’eux, sort seul de sa voiture, ouvre la portière arrière et en sort mes deux miches.
C’est drôle de parler de mes miches, il faut dire que mes enfants pompant mon lait jusqu’à plus soif, ça me les a développés.
Celui qui est sorti est direct, il est vrai que manger leurs œufs de la manière dont il l’on fait, cela classe la folle du cul qu’ils fond de moi.
Lorsqu’il pose les miches, là où hier ils m’ont fait mon cunnilingus pour la première fois depuis mon mariage, je ne m’attends pas à ce qu’il m’empoigne et me plaque sur sa poitrine ?
Sa bouche, cherche la mienne et ayant résisté juste de raison, mes lèvres laissent passer sa langue, trouvant la mienne dans un baiser langoureux.
Hier, j’étais la source de la sauce pour assaisonner les œufs, aujourd’hui je sens bien que ma petite culotte se mouille de ma mouille.
Hier, j’étais en peignoir, aujourd’hui afin d’éviter à toute provocation, j’ai revêtu petite culotte soutient hilare taille Xxl et robe, l’une de celles que je revêts tous les jours.
Ça ne semble pas le rebuter et le ralentir dans son envie de me baiser.
Pour preuve sa queue que je sens contre ma chatte étant sensiblement de la même taille.
Christian est petit et gros, sa tête se trouve entre mes seins lorsqu’il me baise lors de ses retours de voyage.
Ces coups de bite, me satisfaisaient grandement avant que je devienne la proie de ces deux baiseurs invétérés avec qui je me donne dès le deuxième jour.
C’est sur le carrelage, lui aussi posé depuis peu par le cocu, dès que la queue de celui des deux de service de boulangerie est en moi.
Une femme fidèle à son mari repousserait l’intrus, non, c’est moi qui lui entoure mes jambes autour de sa taille afin qu’il me pénètre le plus profondément possible.
Chose impossible avec Christian, son gros ventre nous l’empêchant.
Je deviens la chienne lubrique de l’un des jumeaux chaque fois qu’ils me livrent mon pain quotidien.
C’est le cas, tout le restant de la première semaine de vacances de nos boulangers.
Retour de mon mari.
Ce samedi départ pour la ville et visite à Castorama afin d’acheter des planches et des clous pour que cette après-midi, Christian continue les travaux, malgré sa fatigue.
Comme de juste, c’est lui qui descend de notre voiture pour aller chercher les deux pains que nous mangerons à midi.
Moi je suis radieuse, j’ai été baisé comme une reine toute la semaine et cela ce répercute sur mon comportement.
Jusqu’au moment où nous croisons Claude et Luc.
Quel con, Christian les saluts et les remercie de m’apporter le pain pour nos enfants.
Il est bien connu, la femme est folle du cul et le cocu, est heureux de l’être, car il est toujours le dernier au courant qui l’est.
Putain ce con de Claude ou de Luc lorsque Christian est passé et l’allée étant vide de client, l’un d’eux me met la main au cul, je sens qu’une nouvelle fois je mouille.
Nos enfants sont restés à la maison devant la télé, surveillés par l’aîné de notre famille.
En revenant, Christian arrête notre berline dans un chemin, non loin de la maison et me prenant la main la pose sur la braguette de son jean.
Ça je connais, c’était le soir de notre rencontre au bal du 14 Juillet.
Ma main découvrait, pour la première fois, la texture d’une bite d’homme.
Ma main et ma bouche, car ce fut ma première fellation.
Comme toute jeune pucelle, j’avais rêvé de ce grand moment, au moment où il a déchargé, j’ai vomi sur sa queue et son pantalon.
Notre histoire aurait pu en rester là, mais le lendemain il demandait ma main à mes parents.
Rapidement, je découvrais que c’était une petite bite.
Premier coup, au bord de l’étang et première naissance neuf mois plus tard.
• Bonjour Christian, bonjours Jocelyne, merci de nous avoir invités…
Oui, mon mari dans le magasin a fait la connerie d’inviter la cause de son cocufiage à déjeuner.
Nos enfants sont chez mes beaux-parents à l’autre bout du village, je suis livrée à la convoitise de trois mâles.
Chacun d’eux, sauf Christian, souhaite m’aider en cuisine.
J’ai passé ma robe du dimanche, nos moyens ne me permettant pas d’avoir une grande garde-robe.
Elle est courte et facile à contourner pour me passer ma main sur la chatte au travers de ma petite culotte.
Cette dernière est une nouvelle fois trempée et cède lorsque l’un d’eux me tire dessus.
À table, je les reconnais, dans ma cuisine, j’ignore qui des deux la porte à son nez et après l’avoir humé la suce avant de la mettre dans sa poche.
Je suis livrée, tout près de mon mari, à la concupiscence de ces deux baiseurs lubriques.
Je dois reconnaitre que j’aime ça, avoir peur d’être découvert, mais au fond de moi, n’est-ce pas cela que j’espère.
• Voici la quiche aux légumes que je vous ai préparé, ici, la boulangerie le dimanche est ouverte, ce qui n’est pas le cas à la ville.
Ce plat se mange sans pain, ça réglait notre problème, mais si vous le désirez, les enfants étant absents, il nous reste du pain rassis.
Luc, c’est Luc qui a ma petite culotte, me laissant ma chatte à l’air.
Assis, je sais qui est qui, dans la cuisine ils se ressemblent trop.
J’ai mon plat à tarte en main, je manque de le lâcher sur la table.
Quelle mouche l’a piqué, je sens la main de Christian passer sous ma jupe trouvant ma chatte offerte.
Il me regarde, passe ses doigts dans ma fente, les ressorts et les porte à son nez.
D’un côté ma culotte, de l’autre les doigts de mon mari.
Je devrais avoir honte, au contraire, je sens ma mouille qui coule le long de mes jambes.
• Jocelyne, je vais t’aider à faire notre vaisselle, pendant que Luc va aider Christian ton mari à poser la laine de roche dans les combles, afin de les isoler et faire des économies d’énergie.
Soit sans crainte, pour ce travail, il faut être deux.
Entends le marteau électrique plantant les clous, c’est un bon marqueur du temps que nous avons.
Sans plus attendre, mon baiseur sort sa queue, soulève ma robe et pour la première fois m’encule.
La stupeur passée, je tends mon cul, j’arrive dès la première fois à sentir un certain plaisir à me faire sodomiser.
Dès le lundi, les combles prêtent pour l’hiver, Christian a repris la route.
Nos enfants sont à l’école et je vois mon pain, pour la deuxième semaine arriver.
Les jeux de mes amants, évoluent eux aussi.
C’est directement dans le lit conjugal, encore chaud, ou presque, de la présence de Christian que je me fais prendre par deux bites en même temps.
Les jumeaux appellent cela « me prendre en une double pénétration ».
Dans la semaine, j’ai le droit à tout, chatte, anus, les deux, ma bouche qui les masturbe, bref je suis la plus belle folle du cul de notre village en toute impunité vu l’isolement de notre maison forestière.
Le dimanche, rebelottent mes amants, prennent l’habitude de venir aide Christian.
Ils vont même, jusqu’à aller eux-mêmes acheter les matériaux dont nous avons besoin, du moins Christian.
Je tiens les comptes, le soir lorsque mes enfants sont couchés et que je suis seule attendant le lendemain pour savoir qui viendra me baiser, Claude ou Luc, voire les deux.
La double pénétration, devient mon crédo, jusqu’au jour fatidique de la réouverture de notre boulangerie pendant les vacances de nos boulangers.
« Mesdames et messieurs, en raison d’une trop faible clientèle, votre boulangerie est définitivement fermée. »
La tuilerie a été délocalisée en Roumanie, notre boulangerie a été vidée de son four et du matériel servant à faire notre pain.
Nos boulangers se sont servis de leurs vacances pour délocaliser notre pain dans le sud de la France.
Je suis la seule à être satisfaite, voire heureuse de cette délocalisation de notre pain.
Chaque jour, Claude et Luc vont à la ville et me rapportent mon pain frais.
Chaque jour, je me fais baiser à couille rabattue et le dimanche les travaux avançant, je reste la pute de mes jumeaux.
C’est avec mon cul que nous remboursons le matériel qu’ils achètent sans que mon mari ne soit au courant, n’est-ce pas moi qui m’occupe de notre comptabilité.
Ce dimanche, grosse discussion, ou implantée la piscine qu’ils veulent offrir à nos enfants.
En attendant qu’elle pousse dans la terre, je me fais implanter leurs bites là où cela fait de moi une belle salope, « folle du cul ».
Ça entraîne la fermeture des commerces et ça se termine par les administrations d’État.
Ma volonté d’être fidèle à Christian mon mari devenu chauffeur routier après un stage de reconversion afin d’avoir son permis poids lourd est intact, jusqu’au jour où ?
Avec son gros cul, il pare sur les routes de l’Europe du dimanche soir au vendredi où je le récupère bien fatigué.
Moi aussi je le suis avec trois enfants à élever en partie seule depuis que la tuilerie a fermé.
La présence de mon mari pendant deux jours me soulage, bien qu’il dorme une grande partie du temps, car il est fatigué.
Surtout que cette vieille maison forestière nous la rénovons en l’agrandissant pour cinq personnes dont une fille qui aura un jour besoin de sa chambre.
Tuilerie fermée, superette fermée et maintenant boulangerie fermée pour quinze jours, les boulangers partants en vacances comme leur personnel, ce que je leur reconnais le droit.
Avant un dépôt de pain se faisait grâce à la boulangerie de la ville voisine à la superette qui a fermé.
Lorsque la boulangère me prévient de ce gros problème, mon mari imposant à ce que mes enfants aient du pain frais chaque jour, j’ignorais comment résoudre ce problème.
Il avait été traumatisé dans sa jeunesse, son père en achetant toujours d’avance afin qu’il soit rassis quand ils en mangeaient.
Les jumeaux retraités, voilà qu’elle est ma solution.
Eux aussi aiment le pain frais.
À tour de rôle, ils vont jusqu’à la ville, trop éloignée pour que je fasse l’allée retour avec mon vélo, mais, cette fois, je me retrouve avec un prix à payer.
Les œufs durs que je viens d’écailler, vont en être la solution.
Claude à moins que ce soit Luc, m’ayant assise sur mon plan de travail, fraichement posé par Christian mon mari le week-end dernier.
C’est dans ma chatte qu’ils les font entrer, les gobans lorsque comme l’une de mes poules, je les ponds un par un.
J’ai eu le malheur d’être en robe de chambre, vite la chatte à l’air dès que Luc a ouvert mon peignoir.
Est-ce anormal, de mettre ma chatte à la disposition de ces deux baiseurs à 9 heures du matin alors que mes enfants m’ont laissé seule en prenant le bus pour l’école ?
Je vais même aller plus loin.
L’été lorsqu’il fait beau et que les enfants sont sous leur tente à l’extérieur, il m’arrive de vivre nue, même si je ne suis pas naturiste.
Vivre sans contrainte, c’est pour cela qu’avec Christian nous avons acheté cette maison isolée.
Hier, j’ai joui sous les coups de langue de Claude et de Luc en pondant mes œufs, lorsque je les vois arriver, à quel jeu vont-ils me faire jouer ?
L’un d’eux, sort seul de sa voiture, ouvre la portière arrière et en sort mes deux miches.
C’est drôle de parler de mes miches, il faut dire que mes enfants pompant mon lait jusqu’à plus soif, ça me les a développés.
Celui qui est sorti est direct, il est vrai que manger leurs œufs de la manière dont il l’on fait, cela classe la folle du cul qu’ils fond de moi.
Lorsqu’il pose les miches, là où hier ils m’ont fait mon cunnilingus pour la première fois depuis mon mariage, je ne m’attends pas à ce qu’il m’empoigne et me plaque sur sa poitrine ?
Sa bouche, cherche la mienne et ayant résisté juste de raison, mes lèvres laissent passer sa langue, trouvant la mienne dans un baiser langoureux.
Hier, j’étais la source de la sauce pour assaisonner les œufs, aujourd’hui je sens bien que ma petite culotte se mouille de ma mouille.
Hier, j’étais en peignoir, aujourd’hui afin d’éviter à toute provocation, j’ai revêtu petite culotte soutient hilare taille Xxl et robe, l’une de celles que je revêts tous les jours.
Ça ne semble pas le rebuter et le ralentir dans son envie de me baiser.
Pour preuve sa queue que je sens contre ma chatte étant sensiblement de la même taille.
Christian est petit et gros, sa tête se trouve entre mes seins lorsqu’il me baise lors de ses retours de voyage.
Ces coups de bite, me satisfaisaient grandement avant que je devienne la proie de ces deux baiseurs invétérés avec qui je me donne dès le deuxième jour.
C’est sur le carrelage, lui aussi posé depuis peu par le cocu, dès que la queue de celui des deux de service de boulangerie est en moi.
Une femme fidèle à son mari repousserait l’intrus, non, c’est moi qui lui entoure mes jambes autour de sa taille afin qu’il me pénètre le plus profondément possible.
Chose impossible avec Christian, son gros ventre nous l’empêchant.
Je deviens la chienne lubrique de l’un des jumeaux chaque fois qu’ils me livrent mon pain quotidien.
C’est le cas, tout le restant de la première semaine de vacances de nos boulangers.
Retour de mon mari.
Ce samedi départ pour la ville et visite à Castorama afin d’acheter des planches et des clous pour que cette après-midi, Christian continue les travaux, malgré sa fatigue.
Comme de juste, c’est lui qui descend de notre voiture pour aller chercher les deux pains que nous mangerons à midi.
Moi je suis radieuse, j’ai été baisé comme une reine toute la semaine et cela ce répercute sur mon comportement.
Jusqu’au moment où nous croisons Claude et Luc.
Quel con, Christian les saluts et les remercie de m’apporter le pain pour nos enfants.
Il est bien connu, la femme est folle du cul et le cocu, est heureux de l’être, car il est toujours le dernier au courant qui l’est.
Putain ce con de Claude ou de Luc lorsque Christian est passé et l’allée étant vide de client, l’un d’eux me met la main au cul, je sens qu’une nouvelle fois je mouille.
Nos enfants sont restés à la maison devant la télé, surveillés par l’aîné de notre famille.
En revenant, Christian arrête notre berline dans un chemin, non loin de la maison et me prenant la main la pose sur la braguette de son jean.
Ça je connais, c’était le soir de notre rencontre au bal du 14 Juillet.
Ma main découvrait, pour la première fois, la texture d’une bite d’homme.
Ma main et ma bouche, car ce fut ma première fellation.
Comme toute jeune pucelle, j’avais rêvé de ce grand moment, au moment où il a déchargé, j’ai vomi sur sa queue et son pantalon.
Notre histoire aurait pu en rester là, mais le lendemain il demandait ma main à mes parents.
Rapidement, je découvrais que c’était une petite bite.
Premier coup, au bord de l’étang et première naissance neuf mois plus tard.
• Bonjour Christian, bonjours Jocelyne, merci de nous avoir invités…
Oui, mon mari dans le magasin a fait la connerie d’inviter la cause de son cocufiage à déjeuner.
Nos enfants sont chez mes beaux-parents à l’autre bout du village, je suis livrée à la convoitise de trois mâles.
Chacun d’eux, sauf Christian, souhaite m’aider en cuisine.
J’ai passé ma robe du dimanche, nos moyens ne me permettant pas d’avoir une grande garde-robe.
Elle est courte et facile à contourner pour me passer ma main sur la chatte au travers de ma petite culotte.
Cette dernière est une nouvelle fois trempée et cède lorsque l’un d’eux me tire dessus.
À table, je les reconnais, dans ma cuisine, j’ignore qui des deux la porte à son nez et après l’avoir humé la suce avant de la mettre dans sa poche.
Je suis livrée, tout près de mon mari, à la concupiscence de ces deux baiseurs lubriques.
Je dois reconnaitre que j’aime ça, avoir peur d’être découvert, mais au fond de moi, n’est-ce pas cela que j’espère.
• Voici la quiche aux légumes que je vous ai préparé, ici, la boulangerie le dimanche est ouverte, ce qui n’est pas le cas à la ville.
Ce plat se mange sans pain, ça réglait notre problème, mais si vous le désirez, les enfants étant absents, il nous reste du pain rassis.
Luc, c’est Luc qui a ma petite culotte, me laissant ma chatte à l’air.
Assis, je sais qui est qui, dans la cuisine ils se ressemblent trop.
J’ai mon plat à tarte en main, je manque de le lâcher sur la table.
Quelle mouche l’a piqué, je sens la main de Christian passer sous ma jupe trouvant ma chatte offerte.
Il me regarde, passe ses doigts dans ma fente, les ressorts et les porte à son nez.
D’un côté ma culotte, de l’autre les doigts de mon mari.
Je devrais avoir honte, au contraire, je sens ma mouille qui coule le long de mes jambes.
• Jocelyne, je vais t’aider à faire notre vaisselle, pendant que Luc va aider Christian ton mari à poser la laine de roche dans les combles, afin de les isoler et faire des économies d’énergie.
Soit sans crainte, pour ce travail, il faut être deux.
Entends le marteau électrique plantant les clous, c’est un bon marqueur du temps que nous avons.
Sans plus attendre, mon baiseur sort sa queue, soulève ma robe et pour la première fois m’encule.
La stupeur passée, je tends mon cul, j’arrive dès la première fois à sentir un certain plaisir à me faire sodomiser.
Dès le lundi, les combles prêtent pour l’hiver, Christian a repris la route.
Nos enfants sont à l’école et je vois mon pain, pour la deuxième semaine arriver.
Les jeux de mes amants, évoluent eux aussi.
C’est directement dans le lit conjugal, encore chaud, ou presque, de la présence de Christian que je me fais prendre par deux bites en même temps.
Les jumeaux appellent cela « me prendre en une double pénétration ».
Dans la semaine, j’ai le droit à tout, chatte, anus, les deux, ma bouche qui les masturbe, bref je suis la plus belle folle du cul de notre village en toute impunité vu l’isolement de notre maison forestière.
Le dimanche, rebelottent mes amants, prennent l’habitude de venir aide Christian.
Ils vont même, jusqu’à aller eux-mêmes acheter les matériaux dont nous avons besoin, du moins Christian.
Je tiens les comptes, le soir lorsque mes enfants sont couchés et que je suis seule attendant le lendemain pour savoir qui viendra me baiser, Claude ou Luc, voire les deux.
La double pénétration, devient mon crédo, jusqu’au jour fatidique de la réouverture de notre boulangerie pendant les vacances de nos boulangers.
« Mesdames et messieurs, en raison d’une trop faible clientèle, votre boulangerie est définitivement fermée. »
La tuilerie a été délocalisée en Roumanie, notre boulangerie a été vidée de son four et du matériel servant à faire notre pain.
Nos boulangers se sont servis de leurs vacances pour délocaliser notre pain dans le sud de la France.
Je suis la seule à être satisfaite, voire heureuse de cette délocalisation de notre pain.
Chaque jour, Claude et Luc vont à la ville et me rapportent mon pain frais.
Chaque jour, je me fais baiser à couille rabattue et le dimanche les travaux avançant, je reste la pute de mes jumeaux.
C’est avec mon cul que nous remboursons le matériel qu’ils achètent sans que mon mari ne soit au courant, n’est-ce pas moi qui m’occupe de notre comptabilité.
Ce dimanche, grosse discussion, ou implantée la piscine qu’ils veulent offrir à nos enfants.
En attendant qu’elle pousse dans la terre, je me fais implanter leurs bites là où cela fait de moi une belle salope, « folle du cul ».
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A oublier.
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