COLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse et Monsieur X (2/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse et Monsieur X (2/4)
Par l’intermédiaire de Chris71, j’ai commencé à vous raconter ma vie depuis le jour de mon mariage.
Lors de la soirée, monsieur X responsable de notre copropriété me fait comprendre qu’il se propose à nous prêter de l’argent comme il le fait avec ma belle-mère se faisant en partie rembourser sur l’oreillé.
Cet homme adipeux m’indispose surtout après s’être permis de me caresser la chatte au moment où il récupérait ma jarretière qu’il avait régulièrement gagnée en montant les enchères.
Dès le lendemain, très rapidement les ennuis ont commencé, j’ai l’impression que la proposition de monsieur X a déclenché une cascade d’emmerde !
Très vite, nous nous sommes trouvés dans le rouge jusqu’au coup de grâce ou la voiture, notre voiture maintenant, rend les armes.
Le réflex normal aurait été de voir mes beaux-parents.
Mais sachant que ma belle-mère a emprunté pour payer notre mariage et qu’un jour où j’étais chez eux, elle nous a dit l’obligation d’aller voir monsieur X.
Certes, lorsqu’elle nous a dit qu’elle avait rendez-vous pour un problème dans la résidence.
Seule je savais qu’elle allait se donner à cet homme répugnant.
J’avais confirmation qu’elle le remboursait avec son cul.
Ma belle-mère, celle à qui on aurait donné le bon Dieu sans confession, étant en réalité une belle salope.
Quand Claudio m’a présenté sa mère, j’ai tout de suite vu qu’entre nous ça serait dur de briser la glace.
Mais avec du temps nous y sommes arrivées.
Claudio ayant besoin de sa voiture pour son travail, je voyais poindre le chômage et d’être obligé de vivre d’expédients.
Alors, j’ai franchi le pas.
• Bonjour petite madame Maryse, je savais que vous alliez venir.
Cet homme est-il devin, il me fait entrer dans sa salle à manger ?
• C’est votre belle-mère qui m’a fait cette confidence hier après que je l’ai sauté en levrette sur ce canapé.
Je saute toujours les salopes qui sont prêtes à offrir leur chatte sur ce canapé contre quelques monnaies trébuchantes remboursable par tempérament.
Pardon, j’ignore si vous allez vraiment me demander de l’argent ce que je regretterais, bien que j’aie été mis au courant pour vos ennuis de voiture.
L’épisode de la jarretière sur cette scène où j’ai tenu ce petit morceau de tissu entre mes lèvres m’a ouvert l’envie de vous.
Petit bout de tissu qui trône sur ce guéridon à côté de certains autres trophées qui si chacun parlaient en aurait beaucoup à dire sur les salopes qui les ont portées.
Ça m’a ouvert l’appétit sur les bons moments que nous allons passer ensemble.
Sur un petit meuble se trouvent outre ma jarretière positionnée en place de choix devant des dizaines de petites culottes et soutiens-gorge.
Même une paire de bas noir devant avoir fait bander monsieur X porté par une femme très grande.
Lorsque j’en prends un en main, le faisant glisser pour l’étirer, je peux constater leur douceur et leur longueur.
• Je parie que vous vous demandez si dans ces sous-vêtements, votre belle-mère a laissé un trophée.
Je suis un vieux salop profitant de son argent pour dévergonder des femmes et des jeunes femmes aussi belles et blondes que vous, mais mon étique m’interdis de vous dire par qui ces vulgaires morceaux de tissu ont été portés.
Quant à vous, ce qui manque sur ce meuble, a été le moment où levant les yeux j’ai vu votre regard quand mes doigts ont caressé votre clitoris au travers de votre petite protection, bien désuète.
J’aurais voulu me lever et sortir ma bite devant tous ces cocus, du moins la plupart d’entre eux dont votre beau-père et deux ou trois de nos voisins.
Si vous saviez comme je bandais.
Il me prend la main, me conduisant dans son bureau.
• Alors petite madame, pourquoi êtes-vous venu, bien que je m’en doute un peu après ce que m’a dit votre belle-maman.
Lorsque l’on se marie, on croit que la vie va être belle.
Hélas, très vite on déchante, car la vicissitude de ces premiers moments de bonheur, immanquablement vous rattrape.
Regardez-moi, qu’avais-je pour plaire lorsque j’étais jeune.
Mes dents était plus blanche, hélas, depuis le tabac a fait son oeuvre.
Alors comment je me suis fabriqué la vie que j’ai maintenant ?
Les vieilles peaux, les vieilles biques se faisant sauter malgré leurs grandes lèvres dégoulinantes, comparé au peu que j’ai vu de la vôtre, savoir qu’elle s’humilie ici, m’aident à bander.
Blonde, vrais blonde, ce qui rend ce moment encore plus excitant.
Je suis devenues ce que l’on appelle un gigolo, me baladant à leur bras à Monté Carle, Paris, Londres et aussi Washington.
Bien relooké, assez grand et svelte, dans ces années-là, je suis devenu cet homme ventripotent, faisant illusion dans les salons où ces dames aimaient à se pavaner à nos bras.
Il nous fallait être toujours performant au lit, car la concurrence était rude entre le peu de gars acceptant de plonger leurs verges dans ces chattes proches d’être centenaire.
Les cocktails et les restos où je mangeais tous les jours, on eut raison de mon tour de taille.
J’allais toucher le fond quand une grande dame de la chanson ayant eu son heure de gloire dans les années 50, c’est intéresser à moi.
Du moins, c’est ce qu’elle disait alors que nous savions tous qu’elle avait été tondue à la libération ayant fricoté avec l’ennemi dans la commandature parisienne.
Elle chantait devant ces messieurs à casquette dont l’un avait fini par l’épouser.
Le prestige de l’uniforme et l’amour d’un homme ont fait d’elle une pute de luxe vendu à l’ennemi.
Quelques mois après la guerre, elle a appris que ce capitaine allemand était un baron descendant d’une grande lignée de ce pays.
Comme il était mort en héros à la bataille de Stalingrad, elle avait reçu sa croix de guerre et tous ses biens.
Elle devenait baronne et après guerre, s’est attachée à gommer son passé bien aidé par la fortune de ce dernier.
Elle avait une belle voix, mais vivait avec ses regrets et pour finir avec un gigolo comme moi.
Elle est morte dans mes bras.
Entretenir des gars comme moi, ça coute et c’est à New York au Blue Moon Hôtel qu’elle s’est éteinte.
Dans son testament, par chance elle avait appelé son notaire et j’ai récupéré un petit pécule.
Je suis revenue en France avec son corps puis en Allemagne pour qu’elle soit enterrée dans la ville de son baron dans le caveau familial miraculeusement épargné par les bombardements.
Pour son baron, son corps était resté dans les cimetières du champ de bataille dans une fosse commune.
J’ai fait un retour aux sources dans ma ville de naissance et vous savez comment je fais fructifier mon argent.
Mais assez, parlez de ma vie, je sais, elle est loin d’être glorieuse.
Allons droit au but, petite fille, de combien avez-vous besoin ?
Le moment crucial est arrivé, le moment ou ma vie va basculer.
Je me sauve en courant ou je donne un chiffre persuadé que je ferais partie des trophées qu’il exhibera dans la pièce voisine dans les jours prochains.
Il se rapproche de moi, je frissonne, même son odeur est à faire peur.
Il semble s’en fiche, c’est ça la puissance de l’argent.
• Je vois que vous hésitez, je sais que c’est pour changer votre voiture et éviter le chômage à votre mari.
Votre belle-mère à la langue bien pendue, j’appuie sur le bouton « marche » et je sais tout le reste.
Que voulez-vous acheter, une grosse, une petite, une familiale, vous espérez trois, quatre voir cinq enfants, dites-moi !
• J’ai pensé à une 4L Renault, jaune, neuve, elle coûte 8 000 francs.
• C’est bien, c’est loin des goûts de luxe de certaines qui m’ont fait cadeau de leur petite culotte.
Je vais vous donner l’argent en liquide, les chèques, ça laisse des traces et les traces, moi, moins j’en laisse mieux je me porte.
Les seules traces que j’aime laisser, ce sont celles de mon sperme quand les ayant fortement niqué, je le laisse dans leur vagin.
J’ai l’impression que monsieur X se complaît à m’humilier.
C’est déjà difficile de savoir qu’au premier remboursement, ce sera son sexe qui viendra remplacer celui de Claudio.
Il s’éloigne se rapprochant d’un tableau, permettant à son odeur de diminuer.
Le tableau cache un coffre qu’il ouvre et je le vois manipuler des liasses de billets.
Il revient vers moi, suivi de nouveau par son odeur à la limite de me faire dégueuler.
• 2 000, 4 000, 6 000, 8 000, voilà votre voiture.
Tient, une petite gratification remboursable bien sûr 2 000 de plus qui font 10 000, avec ce complément vous vous ferez installer un autoradio, c’est à la mode en ce moment.
Avec le reste, achetez-vous de petit short coquin, ras votre jolie moule, ça m’existera.
Le tout remboursable en un an.
Il pose l’argent sur son bureau et me rejoins de nouveau.
• La gratte de 2 000 francs, ça mérite bien que je constate comment Claudio vous a formée.
C’est dur quand la réalité vous rattrape, j’avais espéré qu’il fasse valoir son droit de cuissage au remboursement du premier mois dans 30 jours.
Je comprends qu’il est assez fougueux pour me passer à la casserole, dès aujourd’hui.
Il cherche à m’embrasser, je tourne la tête, c’est mon cou qui reçoit ses lèvres.
Une de ses mains se pose sur ma poitrine, l’autre rejoint une nouvelle fois ma chatte par-dessus ma robe.
Je suis paniquée, mais voyant les billets à ma portée, je sais qu’il suffit de me laisser faire.
Comme je l’ai dit, au début à Chris71 j’étais loin d’être vierge, mais cela ce sont d’autres moments de mon histoire que je vous raconterais.
Sa main sur mes seins est très active se glissant dans l’échancrure de mon corsage.
Il les malaxe sans problème à pleines mains, les serrant à la limite de m’amener des larmes dans les yeux.
Je sens que je suis devenue un simple objet à qui l’on peut tout faire sans avoir le droit de vous rebiffer.
Et cette odeur me prenant la tête...
Voyant que je restais passive, il va de soi, qu’il va rapidement plus loin.
Ostensiblement il me fait sentir qu’il possède un engin servant lors des remboursements de ses dames de bonne dimension.
Sa verge se frottant sur le côté de ma cuisse et sa deuxième main soulevant ma jupe, retrouvant de nouveau ma chatte blonde.
Ma petite culotte écartée, son doigt entre dans mon vagin.
D’un seul coup, je me retrouve allongée sur la moquette sans savoir comment.
Est-ce lui ou moi qui me suis allongée, reconnaissant ma soumission...
Lors de la soirée, monsieur X responsable de notre copropriété me fait comprendre qu’il se propose à nous prêter de l’argent comme il le fait avec ma belle-mère se faisant en partie rembourser sur l’oreillé.
Cet homme adipeux m’indispose surtout après s’être permis de me caresser la chatte au moment où il récupérait ma jarretière qu’il avait régulièrement gagnée en montant les enchères.
Dès le lendemain, très rapidement les ennuis ont commencé, j’ai l’impression que la proposition de monsieur X a déclenché une cascade d’emmerde !
Très vite, nous nous sommes trouvés dans le rouge jusqu’au coup de grâce ou la voiture, notre voiture maintenant, rend les armes.
Le réflex normal aurait été de voir mes beaux-parents.
Mais sachant que ma belle-mère a emprunté pour payer notre mariage et qu’un jour où j’étais chez eux, elle nous a dit l’obligation d’aller voir monsieur X.
Certes, lorsqu’elle nous a dit qu’elle avait rendez-vous pour un problème dans la résidence.
Seule je savais qu’elle allait se donner à cet homme répugnant.
J’avais confirmation qu’elle le remboursait avec son cul.
Ma belle-mère, celle à qui on aurait donné le bon Dieu sans confession, étant en réalité une belle salope.
Quand Claudio m’a présenté sa mère, j’ai tout de suite vu qu’entre nous ça serait dur de briser la glace.
Mais avec du temps nous y sommes arrivées.
Claudio ayant besoin de sa voiture pour son travail, je voyais poindre le chômage et d’être obligé de vivre d’expédients.
Alors, j’ai franchi le pas.
• Bonjour petite madame Maryse, je savais que vous alliez venir.
Cet homme est-il devin, il me fait entrer dans sa salle à manger ?
• C’est votre belle-mère qui m’a fait cette confidence hier après que je l’ai sauté en levrette sur ce canapé.
Je saute toujours les salopes qui sont prêtes à offrir leur chatte sur ce canapé contre quelques monnaies trébuchantes remboursable par tempérament.
Pardon, j’ignore si vous allez vraiment me demander de l’argent ce que je regretterais, bien que j’aie été mis au courant pour vos ennuis de voiture.
L’épisode de la jarretière sur cette scène où j’ai tenu ce petit morceau de tissu entre mes lèvres m’a ouvert l’envie de vous.
Petit bout de tissu qui trône sur ce guéridon à côté de certains autres trophées qui si chacun parlaient en aurait beaucoup à dire sur les salopes qui les ont portées.
Ça m’a ouvert l’appétit sur les bons moments que nous allons passer ensemble.
Sur un petit meuble se trouvent outre ma jarretière positionnée en place de choix devant des dizaines de petites culottes et soutiens-gorge.
Même une paire de bas noir devant avoir fait bander monsieur X porté par une femme très grande.
Lorsque j’en prends un en main, le faisant glisser pour l’étirer, je peux constater leur douceur et leur longueur.
• Je parie que vous vous demandez si dans ces sous-vêtements, votre belle-mère a laissé un trophée.
Je suis un vieux salop profitant de son argent pour dévergonder des femmes et des jeunes femmes aussi belles et blondes que vous, mais mon étique m’interdis de vous dire par qui ces vulgaires morceaux de tissu ont été portés.
Quant à vous, ce qui manque sur ce meuble, a été le moment où levant les yeux j’ai vu votre regard quand mes doigts ont caressé votre clitoris au travers de votre petite protection, bien désuète.
J’aurais voulu me lever et sortir ma bite devant tous ces cocus, du moins la plupart d’entre eux dont votre beau-père et deux ou trois de nos voisins.
Si vous saviez comme je bandais.
Il me prend la main, me conduisant dans son bureau.
• Alors petite madame, pourquoi êtes-vous venu, bien que je m’en doute un peu après ce que m’a dit votre belle-maman.
Lorsque l’on se marie, on croit que la vie va être belle.
Hélas, très vite on déchante, car la vicissitude de ces premiers moments de bonheur, immanquablement vous rattrape.
Regardez-moi, qu’avais-je pour plaire lorsque j’étais jeune.
Mes dents était plus blanche, hélas, depuis le tabac a fait son oeuvre.
Alors comment je me suis fabriqué la vie que j’ai maintenant ?
Les vieilles peaux, les vieilles biques se faisant sauter malgré leurs grandes lèvres dégoulinantes, comparé au peu que j’ai vu de la vôtre, savoir qu’elle s’humilie ici, m’aident à bander.
Blonde, vrais blonde, ce qui rend ce moment encore plus excitant.
Je suis devenues ce que l’on appelle un gigolo, me baladant à leur bras à Monté Carle, Paris, Londres et aussi Washington.
Bien relooké, assez grand et svelte, dans ces années-là, je suis devenu cet homme ventripotent, faisant illusion dans les salons où ces dames aimaient à se pavaner à nos bras.
Il nous fallait être toujours performant au lit, car la concurrence était rude entre le peu de gars acceptant de plonger leurs verges dans ces chattes proches d’être centenaire.
Les cocktails et les restos où je mangeais tous les jours, on eut raison de mon tour de taille.
J’allais toucher le fond quand une grande dame de la chanson ayant eu son heure de gloire dans les années 50, c’est intéresser à moi.
Du moins, c’est ce qu’elle disait alors que nous savions tous qu’elle avait été tondue à la libération ayant fricoté avec l’ennemi dans la commandature parisienne.
Elle chantait devant ces messieurs à casquette dont l’un avait fini par l’épouser.
Le prestige de l’uniforme et l’amour d’un homme ont fait d’elle une pute de luxe vendu à l’ennemi.
Quelques mois après la guerre, elle a appris que ce capitaine allemand était un baron descendant d’une grande lignée de ce pays.
Comme il était mort en héros à la bataille de Stalingrad, elle avait reçu sa croix de guerre et tous ses biens.
Elle devenait baronne et après guerre, s’est attachée à gommer son passé bien aidé par la fortune de ce dernier.
Elle avait une belle voix, mais vivait avec ses regrets et pour finir avec un gigolo comme moi.
Elle est morte dans mes bras.
Entretenir des gars comme moi, ça coute et c’est à New York au Blue Moon Hôtel qu’elle s’est éteinte.
Dans son testament, par chance elle avait appelé son notaire et j’ai récupéré un petit pécule.
Je suis revenue en France avec son corps puis en Allemagne pour qu’elle soit enterrée dans la ville de son baron dans le caveau familial miraculeusement épargné par les bombardements.
Pour son baron, son corps était resté dans les cimetières du champ de bataille dans une fosse commune.
J’ai fait un retour aux sources dans ma ville de naissance et vous savez comment je fais fructifier mon argent.
Mais assez, parlez de ma vie, je sais, elle est loin d’être glorieuse.
Allons droit au but, petite fille, de combien avez-vous besoin ?
Le moment crucial est arrivé, le moment ou ma vie va basculer.
Je me sauve en courant ou je donne un chiffre persuadé que je ferais partie des trophées qu’il exhibera dans la pièce voisine dans les jours prochains.
Il se rapproche de moi, je frissonne, même son odeur est à faire peur.
Il semble s’en fiche, c’est ça la puissance de l’argent.
• Je vois que vous hésitez, je sais que c’est pour changer votre voiture et éviter le chômage à votre mari.
Votre belle-mère à la langue bien pendue, j’appuie sur le bouton « marche » et je sais tout le reste.
Que voulez-vous acheter, une grosse, une petite, une familiale, vous espérez trois, quatre voir cinq enfants, dites-moi !
• J’ai pensé à une 4L Renault, jaune, neuve, elle coûte 8 000 francs.
• C’est bien, c’est loin des goûts de luxe de certaines qui m’ont fait cadeau de leur petite culotte.
Je vais vous donner l’argent en liquide, les chèques, ça laisse des traces et les traces, moi, moins j’en laisse mieux je me porte.
Les seules traces que j’aime laisser, ce sont celles de mon sperme quand les ayant fortement niqué, je le laisse dans leur vagin.
J’ai l’impression que monsieur X se complaît à m’humilier.
C’est déjà difficile de savoir qu’au premier remboursement, ce sera son sexe qui viendra remplacer celui de Claudio.
Il s’éloigne se rapprochant d’un tableau, permettant à son odeur de diminuer.
Le tableau cache un coffre qu’il ouvre et je le vois manipuler des liasses de billets.
Il revient vers moi, suivi de nouveau par son odeur à la limite de me faire dégueuler.
• 2 000, 4 000, 6 000, 8 000, voilà votre voiture.
Tient, une petite gratification remboursable bien sûr 2 000 de plus qui font 10 000, avec ce complément vous vous ferez installer un autoradio, c’est à la mode en ce moment.
Avec le reste, achetez-vous de petit short coquin, ras votre jolie moule, ça m’existera.
Le tout remboursable en un an.
Il pose l’argent sur son bureau et me rejoins de nouveau.
• La gratte de 2 000 francs, ça mérite bien que je constate comment Claudio vous a formée.
C’est dur quand la réalité vous rattrape, j’avais espéré qu’il fasse valoir son droit de cuissage au remboursement du premier mois dans 30 jours.
Je comprends qu’il est assez fougueux pour me passer à la casserole, dès aujourd’hui.
Il cherche à m’embrasser, je tourne la tête, c’est mon cou qui reçoit ses lèvres.
Une de ses mains se pose sur ma poitrine, l’autre rejoint une nouvelle fois ma chatte par-dessus ma robe.
Je suis paniquée, mais voyant les billets à ma portée, je sais qu’il suffit de me laisser faire.
Comme je l’ai dit, au début à Chris71 j’étais loin d’être vierge, mais cela ce sont d’autres moments de mon histoire que je vous raconterais.
Sa main sur mes seins est très active se glissant dans l’échancrure de mon corsage.
Il les malaxe sans problème à pleines mains, les serrant à la limite de m’amener des larmes dans les yeux.
Je sens que je suis devenue un simple objet à qui l’on peut tout faire sans avoir le droit de vous rebiffer.
Et cette odeur me prenant la tête...
Voyant que je restais passive, il va de soi, qu’il va rapidement plus loin.
Ostensiblement il me fait sentir qu’il possède un engin servant lors des remboursements de ses dames de bonne dimension.
Sa verge se frottant sur le côté de ma cuisse et sa deuxième main soulevant ma jupe, retrouvant de nouveau ma chatte blonde.
Ma petite culotte écartée, son doigt entre dans mon vagin.
D’un seul coup, je me retrouve allongée sur la moquette sans savoir comment.
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