COLLECTION FOLLE DU CUL. Tomber plus bas que des partouzes (2/3) - histoire érotique

Oui, je l’ai fait.
J’ai quitté mari et enfants alors que j’ai peu de grief à leur faire.
C’est dans ma tête que les plombs ont sautée.
Depuis ma rencontre avec Pierre et la naissance de mes trois enfants, plus j’avançais dans ma vie de femme et plus je me rendais compte d’un manque grandissant en moi.
Le sexe, le sexe qui gère de plus en plus notre société surtout depuis que j’ai regardé les réseaux sociaux.
Ils ont fini par me faire voir et comprendre que Pierre était incapable de satisfaire mes fantasmes et mes envies les plus profondément enfoui en moi.
C’est dans les bars près de la gare que je trouve un semblant d’équilibre en me donnant à tous les hommes qui sont assez gentils pour m’offrir un verre.
Le premier jour de mon escapade renforcé par l’alcool, j’ai toujours aimé le Martini, je perds mes inhibitions jusqu’à ce que ce soit le whisky qui prenne le relais.
Dans les toilettes des bars, je me fais sauter comme la folle du cul que je suis devenue.
Au plus profond de moi, ce sexe sauvage était ce que j’espérais quand je me suis affranchie de mon foyer.
Josette, c’est la nouvelle étape de mon émancipation sexuelle bien que des rapports lesbiens étaient loin de mes fantasmes les plus profonds.
Je savais au moment de la naissance de chacun de mes trois enfants que mon vagin était assez extensible pour laisser passer leur tête.
Mais de là à recevoir la totalité de la main de Josette m’apprenant le terme « fiste », était un tour de forme dont j’ignorais la possibilité et pourtant.

• Fanny, je sors samedi, je vais dans une soirée que j’organise.
Tu m’accompagnes.
• Quelle soirée Ludo ?
• Une partouze avec des gens de la haute société.
Il aime que je leur fournisse des salopes libres de leur cul et je dois reconnaître que tu tiens le haut du pavé.
Tu es partante, je suis sûr que tu vas t’éclater mieux que dans les bars où les patrons te jettent.

Partouzer, ça c’est un mot intéressant.

• Ils seront combien, hommes ou femmes.
• Hommes et femmes, la plupart des couples bourrés de pognon qui s’ennuie royalement et qui aime se mélanger pendant des soirées de débauches.
• C’est parti, ta queue je l’aime, mais comme je te l’ai dit, j’ai quitté ma famille pour vivre des expériences divers.
• Nous allons aller chez Josette, elle est propriétaire d’un magasin de lingerie sexy, nous trouverons tous ce qu’il faut pour te mettre en valeur.

Le lendemain, nous entrons dans la boutique.
Josette est là qui m’attend avec une jeune femme qui doit être sa vendeuse.

• Comment, va ma petite salope, tu l’emmènes chez Sophie et Marc samedi, j’ai la tenue qui lui ira bien ?
Suivez-moi au petit salon, Marie va vous présenter ce que je vous propose.
Mais avant Marie, rase là, avec la tenue que je vais lui faire mettre pour sa première soirée, ça multipliera les effets sur les hommes présents.
Sans oublier sa chatte, plus un poil sur son corps
J’aurais pu me révolter quand me faisant assoir devant une glace, la petite prend le rasoir de mon grand-père me badigeonnant de crème à raser et qu’une à une mes mèches tombent au sol.
Mes poils pubiens suivent me ramenant des années en arrière où je les comptais chaque fois que l’un d’eux apparaissait.
Devant la glace, je suis aux anges, changer de tête, c’est aussi changer de personnalité et ça, c’est une partie de ce que je cherche.

• Ôte tes affaires et passe cette guêpière, elle est rose ça ira à ton teint.

J’ai l’impression qu’elle se fiche de ma gueule, rasée, mon teint est gommé, mais je me tais.
Il faut dire que je suis sobre et que mes débordements ont lieu sous l’emprise de l’alcool.
Une nouvelle fois, j’accepte ce que mon destin met sur mon chemin.
Devant la glace, ma transformation s’opère, la guêpière soulève mes seins, j’ai l’impression qu’ils deviennent le centre du monde.

• Donne-lui des bas blancs et tu les attaches aux jarretelles de la guêpière.
Fanny, non, Ludo que penses-tu de Sylvana, ça fait plus bandant.
Fanny ça va mieux pour la femme qu’elle a voulu fuir en quittant mari et enfants.

Une fois de plus, elle a raison, sans cheveux
• Tu chausses du 38.
• Oui.
• Mets ces chaussures et marche avec pour nous faire voir la belle pouliche que nous allons offrir à nos amis.

En bonne mère de famille, j’étais souvent amenée à porter mes enfants et c’est la première fois que je marche avec de telles chaussures à hauts talons.
Dans la glace, je me rends compte de ma transformation.

• Un cadeau Ludo, la dernière touche a notre jolie salope.
Le collier en cuir marque de sa soumission à ceux qui vont avoir le plaisir de la baiser tant qu’ils auront envie d’elle.
• Sylvana es-tu d’accord ?

Après tout le parcours que je me suis imposé malgré la difficulté que j’ai à marcher, je quitte la boutique ayant remis mes affaires, mais avec la tête d’une autre.
La seule chose que j’ai gardée c’est le collier montrant ma servitude.
Je croise dix, vingt personnes jusqu’à la voiture garée à une centaine de mètres de là.
J’ai l’impression que mon collier me fait mouiller et que les gens voient que lui et doivent penser quelle belle salope allant se faire défoncer.
J’ai l’impression d’être enfin moi.
D’être celle que je cherchais dans ma tête tout au long des mois avant de prendre ma décision de tous plaquer.

• Entrez chers amis, Ludo tu nous avais promis une belle salope, tu t’es surpassé, c’est du premier choix.
Tu as bien mérité la grosse somme promos si tu nous amenais une belle plante.

Je prends conscience que l’investissement que Ludo a fait en me transformant était loin d’être gratuit.
Sans le savoir, je suis tombé sous la coupe d’un proxo qui m’a vendu à la cinquantaine de personnes présente, une coupe de champagne à la main.

• Champagne.

Sur le coup j’ai du mal à reconnaître Marie, l’employée de Josette qui elle-même est là parlant à un groupe de quatre hommes.
L’un d’eux a posé sa main sur ses fesses recouverte d’une robe longue blanche la rendant irrésistible.
Ludo tire sur la laisse qu’il a fixée à mon collier avant de rentrer dans cette soirée d’un nouveau genre pour moi.

• Ludo laisse nous, merci d’avoir amené Sylvana à nos amis.
Salope, sors leur queue et suce mais avant bois un peu de champagne.

J’ai envie de crier, « pas d’alcool » surtout des bulles, chaque fois que Pierre faisait péter un bouchon pour notre anniversaire, je serrais mes cuisses pour éviter de le violer sur place.
Pourquoi suis-je resté tant d’années à refouler mes bas instincts surtout que m’étant agenouillé au milieu de ces hommes, une à une leurs queues finissent dans ma bouche.
Quatre mecs, quatre spécimens de queues mais je m’en tape, je les suce à tour de rôle.
Ludo m’a enlevé ma laisse me livrant à ceux qui voudront de moi.
C’est le début d’une soirée d’orgie.
Les femmes présentes semblent toute avoir soit une ou un soumise.
On m’aurait dit que cette femme que je vois souvent à la télé parlant devant tous ces gens de la haute avait à sa disposition un beau mâle entièrement black qui lui aussi à un collier.
En plus du champagne servi par Marie, deux autres soubrettes récupèrent les vêtements au fur et à mesure qu’ils quittent le corps de ces partouzeurs.
La plupart sont nus sous un simple manteau.
Je suce consciencieusement les bites mises à ma disposition pendant que ces hommes parlent de la bourse.
Dommage que je sois transparente sur ce sujet, car j’apprends des choses qui auraient pu remplir ma caisse.

Après les quatre queues, je me retrouve sur un canapé, la femme d’un âge certain veut que je lui suce la chatte, déjà bien friper pendant qu’elle en fait de même pour moi.
La salope, elle sait si faire surtout qu’elle a une bouteille de champagne qu’elle me fait partager.
Elle m’apporte ma première jouissance de la soirée alors que de son côté elle me remplit la bouche de liquide sortie de son vagin.

• Édite toujours aussi fontaine, suce ma queue.

L’homme qui dit ça étant venu près de nous est déjà nu.
J’ai vaguement l’impression de déjà-vu.
La chose que je peux dire, c’est qu’il a le temps de se faire bronzer.

Plus tard dans la soirée alors que j’ai été prise en double péné par deux autres hommes, m’apportant l’orgasme des orgasmes, que pour la première fois de ma vie, je vois deux hommes faire l’amour ensemble.

C’est soirée où je suis donnée à qui me veut se poursuivre jusqu’à ce soir où Ludo m’amène dans une villa non loin du port.

• Va dans la chambre du fond, tu es attendue.

Cet ordre tombe comme un couperet à quel jeu joue Ludo !...