COLLECTION HISTOIRE COURTE. 40 centimètres (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. 40 centimètres (1/1)
COLLECTION HISTOIRE COURTE. 40 centimètres (1/1)
- Jasmine, on vient te chercher pour aller à notre discothèque !
Comment tu es encore en pyjama ?
- Partez, je reste ici, inutile d’aller dans cette discothèque pour rester à faire tapisserie toute la soirée.
- Si tu restes dans ta chambre à te morfondre, il est sûr que tu resteras vieille fille !
Tu viens de coiffer Sainte-Catherine, bouge-toi.
Sylvie, Carine, attendez-nous, je vais lui choisir ses vêtements.
Je m’appelle Aude, Jasmine est notre amie, je vois déjà les vicieux qui se disent que notre amie va rencontrer un mec allant lui en présenter une belle de 40 centimètres.
Inutile de parier, vous allez en être pour votre argent.
Alors pourquoi 40 centimètres ?
Nous allons rapidement le comprendre !
Déplaçons-nous vers la Fiesta.
L’ambiance est bonne dès notre arrivée.
La sono est à fond et une grappe de danseur frétille sur la piste.
Nous trouvons une banquette susceptible de nous recevoir toutes les quatre avec possibilité d’avoir des galants près de nous.
- Whisky coca pour toutes !
Jasmine, peux-tu arrêter de faire la gueule, tu es mignonne dans ce short ras ton joli minou et ton boléro ayant du mal à cacher tes seins !
- Mes vêtements, ça va, mais une nouvelle fois je vais rester assise sur cette banquette toute la soirée de honte de me mélanger avec toutes ces autres personnes.
- Allez les filles, poussons notre copine sur la piste, il faut qu’elle dépasse ses préjugés.
Nous finissons par arriver à la faire décoller comme nous avons réussi à ce qu’elle enfile ses vêtements et à ce qu’elle nous suive.
C’est vrai, il faut reconnaitre que Jasmine a un problème, dès qu’elle est au milieu des danseurs.
Elle nous dépasse toutes et tous d’un certain nombre de centimètres.
Je m’appelle Jasmine et ce soir encore, j’ai l’air ridicule au milieu de tous ces gens dépassant pour la plupart à peine 1 mètre 60.
Pour ma part, je mesure 2 mètres 08.
On peut penser que j’ai percé dans le basket, là encore si vous pariez, vous aurez jeté votre argent, car j’ai deux mains gauches et chaque fois que j’ai essayé cela a été une catastrophe.
J’ai percé dans les études et je suis professeur de math dans le collège de la ville où se trouve la boîte où elles m’entraînent chaque semaine.
C’est ma deuxième année.
Au début quand les élèves m’ont vue, j’ai été la risée de tous.
Comme je suis une femme patiente et que je pense savoir intéresser mes élèves aux mathématiques, j’ai fini par être acceptée tel que la nature m’a faite.
Sur cette piste de danse, j’essaye de me trémousser, ça je sais faire.
Ma vision est parfaite sur le DJ et sur le grand écran ou défile des lumières de toutes couleurs au rythme des notes jouées.
D’un seul coup, j’ai la sensation d’une tête entre mes seins.
Je baisse mes yeux, un jeune homme se permet bien de se frotter le museau entre les objets de ma féminité.
- Continuez, voulez-vous que j’ouvre mon boléro.
- Pour une fois que j’ai la chance de pouvoir embrasser des nichons sans me mettre à quatre pattes, pourquoi m’en priverais-je ?
Il s’est un peu écarté pour me parler et comme à chaque fois que je danse avec un gars, il faut que je baisse ma tête.
- Rends-toi compte comme on est ridicule, 40 centimètres au moins entre nous.
- Suis-moi, je vais être direct, je vais te montrer quelque chose.
Tony pour te servir !
- Jasmine, je m’appelle Jasmine, mais où m’emmènes-tu ?
Sa main dans ma main, pourquoi ai-je accepté qu’il me tutoie et que je le tutoie d’entrer de jeu ?
- Voilà, c’est loin d’être glamour pour une première rencontre, mais à moins que tu me suives jusque chez moi, entre là !
- Quoi aux chiottes, tu vas me faire découvrir des choses dans les chiottes ?
- Regarde, elles sont propres !
Es-tu vierge ?
- Tu es bien indiscret !
Non, pourquoi ?
C’est vrai, j’ai été dépucelé avant mes 17 ans par le voisin de mes parents.
Il avait 62 ans et c’est ma mère qui m’a demandé de lui apporter un morceau de tarte aux pommes.
Il m’a offert un verre de coca en me faisant assoir dans sa cuisine.
Comme Tony il a sorti sa queue me la mettant dans ma bouche avant de me dépuceler couchée sur la table de sa cuisine.
Certains diraient, en ce temps-là, je mesurais déjà un peu plus d’un mètre 70.
Une dernière poussée de croissance m’a propulsé à mes 2 mètres 08 faisant de moi la femme monstrueuse que je crois être.
- Entre là et assieds-toi ?
Avant que j’aie eu le temps de dire ouf, il ferme la porte derrière lui et ouvre sa braguette sortant sa verge.
- Suce-moi, elle est à la parfaite hauteur !
C’est vrai comme pour le tutoiement, je la prends en main et la porte vers ma bouche.
Si moi je suis géante, sa verge est massive, je peux même dire exceptionnelle.
D’autres diraient éléphantesque.
J’ai une taille de géante, mais la nature m’a pourvu d’une bouche d’une grandeur me mettant dans l’impossibilité de la faire entrer.
Je me contente de la sucer et de passer ma langue sur son méat.
Ça semble lui plaire, je réduis notre différence de taille à 10 centimètres, sa bite faisant à vue d’œil environ 30 centimètres.
Le diamètre multiplié par Pi 3,141 592 653 589 793 238 462 643 383 279 reste de mes cours de géométrie que je réduis comme tout le monde, à 3,14.
5 à 6 de diamètre soit entre 16 et 18 centimètres de circonférence.
Mais suis-je là pour jouer les profs ?
En début de soirée, j’étais frustrée, là je le suis toujours en lui léchant les couilles, faute de mieux.
Je sens que je suis efficace, il est à deux doigts d’éjaculer lorsqu’il m’échappe.
- L’endroit est étroit, mais laisse-moi ta place, je vais te bouffer la chatte !
Enlève ton short et ta petite culotte !
Nous arrivons à manœuvrer.
Je suis obligée de l’entourer de mes bras pour y arriver.
Nous en profitons pour nous embrasser, lui lève, sa tête moi je baisse la mienne.
Ce sera le seul moment ou nos différences de taille se feront sentir, mais le baiser qu’il me donne enflamme mon corps.
J’ai envie qu’il me prenne.
Une fois qu’il est assis, c’est moi qui approche mon vagin que je sens ruisseler d’impatiente.
Sa langue s’active sur mon clito qui pour la première fois se retrouve à la fête depuis que j’ai perdu mon pucelage au début de ma croissance.
Mes grandes lèvres se sont développées comme ma taille et cette langue qui le titille est à deux doigts de me faire jouir.
- Viens, empale-toi, assied toi sur ma queue, je suis imposant, vas-y doucement.
Je m’avance de chaque côté de ses jambes.
Pour une fois, mes grandes jambes me sont utiles, car ma chatte se retrouve au-dessus de sa verge.
Je prends Tony par les épaules et doucement je m’abaisse.
Centimètre par centimètres grâce à mes jambes musclées je le fais entrer en moi.
Mes chaires sont écartées, mais c’est divin, je me rends compte que c’est ça qui me manquait un sexe d’homme en moi.
Assise le cul sur ses jambes, je sens ses 30 centimètres venir taquiner mon utérus.
D’un coup, la fête commence, comme dans la salle quand je voyais les écrans, des myriades d’étoiles envahissent ma tête.
En même temps qu’un orgasme me traverse, des flots de sperme gicle de partout tellement nous sommes soudées.
J’arrête de monter et de descendre, l’un l’autre ont besoin de reprendre notre souffle.
Ce sont les yeux dans les yeux, que nous récupérons.
- Chez toi ou chez moi ?
C’est chez lui que j’ai fini ma nuit, c’est chez lui que nous avons décidé de vivre.
Terminée, le complexe sur ma taille par rapport aux autres.
Tony sait toujours me satisfaire chaque fois que nous décidons de faire l’amour.
Pour me prouver qu’il était toujours inventif, comme dans les toilettes de la discothèque, chaque envie de l’un ou de l’autre nous le satisfaisons.
Tout à l’heure alors que nous finissions, notre entraînement, c’est dans le vestiaire du complexe sportif où nous étions qu’il m’a prise me faisant hurler de plaisir.
Deux tapis de sol pour assouplir au moment où il m’a placé en levrette.
Un sportif comme lui, c’est avec ses muscles de jambes qu’il se place et qu’il m’apporte une nouvelle fois un plaisir incommensurable.
Dans ce gymnase, nous venons de finir l’entrainement de l’équipe féminine dont je suis la capitaine après les entraînements intensifs pour que je sache manier le ballon.
Meilleures marqueuses de mon championnat cette année avec une montée en division supérieure.
Tony nous entraine après avoir arrêté sa carrière à cause d’une cheville fragilisée dans le championnat américain NBA.
Je vous quitte en femme comblée, car demain, mes enfants m’attendent !
Ceux que j’entraine le mercredi et qui sont tous dans ma classe.
Qui dit que ce soir en levrette, Tony a réussi à mettre la petite graine qui va faire de moi une femme comblée par sa vie, même dépassant les autres de nombreux centimètres ?
- Jasmine, on vient te chercher pour aller à notre discothèque !
Comment tu es encore en pyjama ?
- Partez, je reste ici, inutile d’aller dans cette discothèque pour rester à faire tapisserie toute la soirée.
- Si tu restes dans ta chambre à te morfondre, il est sûr que tu resteras vieille fille !
Tu viens de coiffer Sainte-Catherine, bouge-toi.
Sylvie, Carine, attendez-nous, je vais lui choisir ses vêtements.
Je m’appelle Aude, Jasmine est notre amie, je vois déjà les vicieux qui se disent que notre amie va rencontrer un mec allant lui en présenter une belle de 40 centimètres.
Inutile de parier, vous allez en être pour votre argent.
Alors pourquoi 40 centimètres ?
Nous allons rapidement le comprendre !
Déplaçons-nous vers la Fiesta.
L’ambiance est bonne dès notre arrivée.
La sono est à fond et une grappe de danseur frétille sur la piste.
Nous trouvons une banquette susceptible de nous recevoir toutes les quatre avec possibilité d’avoir des galants près de nous.
- Whisky coca pour toutes !
Jasmine, peux-tu arrêter de faire la gueule, tu es mignonne dans ce short ras ton joli minou et ton boléro ayant du mal à cacher tes seins !
- Mes vêtements, ça va, mais une nouvelle fois je vais rester assise sur cette banquette toute la soirée de honte de me mélanger avec toutes ces autres personnes.
- Allez les filles, poussons notre copine sur la piste, il faut qu’elle dépasse ses préjugés.
Nous finissons par arriver à la faire décoller comme nous avons réussi à ce qu’elle enfile ses vêtements et à ce qu’elle nous suive.
C’est vrai, il faut reconnaitre que Jasmine a un problème, dès qu’elle est au milieu des danseurs.
Elle nous dépasse toutes et tous d’un certain nombre de centimètres.
Je m’appelle Jasmine et ce soir encore, j’ai l’air ridicule au milieu de tous ces gens dépassant pour la plupart à peine 1 mètre 60.
Pour ma part, je mesure 2 mètres 08.
On peut penser que j’ai percé dans le basket, là encore si vous pariez, vous aurez jeté votre argent, car j’ai deux mains gauches et chaque fois que j’ai essayé cela a été une catastrophe.
J’ai percé dans les études et je suis professeur de math dans le collège de la ville où se trouve la boîte où elles m’entraînent chaque semaine.
C’est ma deuxième année.
Au début quand les élèves m’ont vue, j’ai été la risée de tous.
Comme je suis une femme patiente et que je pense savoir intéresser mes élèves aux mathématiques, j’ai fini par être acceptée tel que la nature m’a faite.
Sur cette piste de danse, j’essaye de me trémousser, ça je sais faire.
Ma vision est parfaite sur le DJ et sur le grand écran ou défile des lumières de toutes couleurs au rythme des notes jouées.
D’un seul coup, j’ai la sensation d’une tête entre mes seins.
Je baisse mes yeux, un jeune homme se permet bien de se frotter le museau entre les objets de ma féminité.
- Continuez, voulez-vous que j’ouvre mon boléro.
- Pour une fois que j’ai la chance de pouvoir embrasser des nichons sans me mettre à quatre pattes, pourquoi m’en priverais-je ?
Il s’est un peu écarté pour me parler et comme à chaque fois que je danse avec un gars, il faut que je baisse ma tête.
- Rends-toi compte comme on est ridicule, 40 centimètres au moins entre nous.
- Suis-moi, je vais être direct, je vais te montrer quelque chose.
Tony pour te servir !
- Jasmine, je m’appelle Jasmine, mais où m’emmènes-tu ?
Sa main dans ma main, pourquoi ai-je accepté qu’il me tutoie et que je le tutoie d’entrer de jeu ?
- Voilà, c’est loin d’être glamour pour une première rencontre, mais à moins que tu me suives jusque chez moi, entre là !
- Quoi aux chiottes, tu vas me faire découvrir des choses dans les chiottes ?
- Regarde, elles sont propres !
Es-tu vierge ?
- Tu es bien indiscret !
Non, pourquoi ?
C’est vrai, j’ai été dépucelé avant mes 17 ans par le voisin de mes parents.
Il avait 62 ans et c’est ma mère qui m’a demandé de lui apporter un morceau de tarte aux pommes.
Il m’a offert un verre de coca en me faisant assoir dans sa cuisine.
Comme Tony il a sorti sa queue me la mettant dans ma bouche avant de me dépuceler couchée sur la table de sa cuisine.
Certains diraient, en ce temps-là, je mesurais déjà un peu plus d’un mètre 70.
Une dernière poussée de croissance m’a propulsé à mes 2 mètres 08 faisant de moi la femme monstrueuse que je crois être.
- Entre là et assieds-toi ?
Avant que j’aie eu le temps de dire ouf, il ferme la porte derrière lui et ouvre sa braguette sortant sa verge.
- Suce-moi, elle est à la parfaite hauteur !
C’est vrai comme pour le tutoiement, je la prends en main et la porte vers ma bouche.
Si moi je suis géante, sa verge est massive, je peux même dire exceptionnelle.
D’autres diraient éléphantesque.
J’ai une taille de géante, mais la nature m’a pourvu d’une bouche d’une grandeur me mettant dans l’impossibilité de la faire entrer.
Je me contente de la sucer et de passer ma langue sur son méat.
Ça semble lui plaire, je réduis notre différence de taille à 10 centimètres, sa bite faisant à vue d’œil environ 30 centimètres.
Le diamètre multiplié par Pi 3,141 592 653 589 793 238 462 643 383 279 reste de mes cours de géométrie que je réduis comme tout le monde, à 3,14.
5 à 6 de diamètre soit entre 16 et 18 centimètres de circonférence.
Mais suis-je là pour jouer les profs ?
En début de soirée, j’étais frustrée, là je le suis toujours en lui léchant les couilles, faute de mieux.
Je sens que je suis efficace, il est à deux doigts d’éjaculer lorsqu’il m’échappe.
- L’endroit est étroit, mais laisse-moi ta place, je vais te bouffer la chatte !
Enlève ton short et ta petite culotte !
Nous arrivons à manœuvrer.
Je suis obligée de l’entourer de mes bras pour y arriver.
Nous en profitons pour nous embrasser, lui lève, sa tête moi je baisse la mienne.
Ce sera le seul moment ou nos différences de taille se feront sentir, mais le baiser qu’il me donne enflamme mon corps.
J’ai envie qu’il me prenne.
Une fois qu’il est assis, c’est moi qui approche mon vagin que je sens ruisseler d’impatiente.
Sa langue s’active sur mon clito qui pour la première fois se retrouve à la fête depuis que j’ai perdu mon pucelage au début de ma croissance.
Mes grandes lèvres se sont développées comme ma taille et cette langue qui le titille est à deux doigts de me faire jouir.
- Viens, empale-toi, assied toi sur ma queue, je suis imposant, vas-y doucement.
Je m’avance de chaque côté de ses jambes.
Pour une fois, mes grandes jambes me sont utiles, car ma chatte se retrouve au-dessus de sa verge.
Je prends Tony par les épaules et doucement je m’abaisse.
Centimètre par centimètres grâce à mes jambes musclées je le fais entrer en moi.
Mes chaires sont écartées, mais c’est divin, je me rends compte que c’est ça qui me manquait un sexe d’homme en moi.
Assise le cul sur ses jambes, je sens ses 30 centimètres venir taquiner mon utérus.
D’un coup, la fête commence, comme dans la salle quand je voyais les écrans, des myriades d’étoiles envahissent ma tête.
En même temps qu’un orgasme me traverse, des flots de sperme gicle de partout tellement nous sommes soudées.
J’arrête de monter et de descendre, l’un l’autre ont besoin de reprendre notre souffle.
Ce sont les yeux dans les yeux, que nous récupérons.
- Chez toi ou chez moi ?
C’est chez lui que j’ai fini ma nuit, c’est chez lui que nous avons décidé de vivre.
Terminée, le complexe sur ma taille par rapport aux autres.
Tony sait toujours me satisfaire chaque fois que nous décidons de faire l’amour.
Pour me prouver qu’il était toujours inventif, comme dans les toilettes de la discothèque, chaque envie de l’un ou de l’autre nous le satisfaisons.
Tout à l’heure alors que nous finissions, notre entraînement, c’est dans le vestiaire du complexe sportif où nous étions qu’il m’a prise me faisant hurler de plaisir.
Deux tapis de sol pour assouplir au moment où il m’a placé en levrette.
Un sportif comme lui, c’est avec ses muscles de jambes qu’il se place et qu’il m’apporte une nouvelle fois un plaisir incommensurable.
Dans ce gymnase, nous venons de finir l’entrainement de l’équipe féminine dont je suis la capitaine après les entraînements intensifs pour que je sache manier le ballon.
Meilleures marqueuses de mon championnat cette année avec une montée en division supérieure.
Tony nous entraine après avoir arrêté sa carrière à cause d’une cheville fragilisée dans le championnat américain NBA.
Je vous quitte en femme comblée, car demain, mes enfants m’attendent !
Ceux que j’entraine le mercredi et qui sont tous dans ma classe.
Qui dit que ce soir en levrette, Tony a réussi à mettre la petite graine qui va faire de moi une femme comblée par sa vie, même dépassant les autres de nombreux centimètres ?
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Comme on dit : grande taille , grande cheminée et Tony a su lui sortir le bon argument pour
lui faire oublier son complexe et reprendre goût à la vie.
Roulio
lui faire oublier son complexe et reprendre goût à la vie.
Roulio