COLLECTION HISTOIRE COURTE. Adultère. (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-08-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Adultère. (1/1)
« Jeanine. »« Jeanine, prénom ancien, mais sympa, que cherches-tu sur ce tchat ? »« Rien, je regardais, je suis tombé sur ce tchat gratuit pour les femmes et je me suis inscrite. »« Taratata, ici depuis que je tchat, il n’y a rien de simple, une jeune femme qui est sur Internet sur ce genre de site cherche obligatoirement quelque chose. »« Comment appelles-tu ? »« George75, c’est écrit déçu.
« Pardon, quel âge as-tu ? »« On s’en fiche de mon âge, si tu y tiens, j’ai 22 ans, ce qui compte c’est que tu cherches. »« Rien, juste rompre mon isolement. »« Es-tu seul ? »« Non, mais c’est tout comme. »« Je vois, plusieurs années de mariage, des habitudes sexuelles qui s’installent, une chatte qui a envie, mais tu ignores, comment la satisfaire. »« Arrêtez, je vais couper notre conversation, pour commencer vous êtes trop jeune, j’ai bientôt 45 ans. »« Ton âge, je m'en contrefiche ma belle, ce qui compte c’est le sexe, il faut s’amuser dans la vie, dépêche-toi, tu es à la porte des femmes hors cadre, bien sûr, tu peux rencontrer des gérontophiles qui aiment sauter les veilles, voir les très vieilles. »« Je coupe, je n’aime pas votre conversation. »
Je m’appelle Joelle, j’ai vraiment 45 ans, j’aime Dider, mon mari qui m’a épousé il y a 25 ans, nous avons eu une fille Arlette, qui vit avec Romain depuis deux ans.
Je n’ai jamais travaillé et je dois reconnaître que je m’ennuie, il y a peu, j’ai découvert Internet et depuis tout à l’heure les tchats.
Didier reste un homme charmant, mais en ce qui concerne le cul rien de bien transcendant, je sais qu’il a envie de moi quand il sort de la salle de bains flamberge au vent, j’écarte mes cuisses, il me pénètre et une fois de temps en temps, j’ai le début d’un petit frisson, mais le reste du temps, il décharge.
• Bonne nuit chérie.
Il se retourne et bonjour la frustration, pendant un long moment, je cherche mon sommeil, pourtant je suis capable de grosse jouissance, sans qu’il le sache, j’ai acheté par Internet un godemichet qui me donne de gros orgasmes quand mon clitoris est stimulé.
C’est en commandant ce genre d’objet que je suis tombé sur ce tchat ou je le suis inscrite espérant trouvé un monde nouveau, j’ai coupé le dialogue avec George75, notre conversation prenant un tour un peu trop précis et contraire à mes principes, j’allais dire que je fantasme sur des bites susceptibles de compléter ma verge rotative fictive.
« Jeanine, pourquoi as-tu coupé hier, je sens la femme frustrée, si tu veux, on se voit et on passe un moment ensemble. »« Pour qui me prends-tu George, je suis mariée et fidèle depuis 25 ans. »« Ça mérite une médaille, celle de la femme frustrée, mal baiser par son mari et qui recule devant la difficulté, franchi le pas Jeanine, passe deux heures avec moi, une seule fois dans un lieu neutre, à Paris, c’est facile. »« Comment sais-tu que j’habite à Paris ? »« Tu es drôle, tu as rempli ta fiche et tu as mis 75 comme département, Jeanine dans le 75 et George75. »« Tu as raison, j’aurais dû mettre 21. »« C’est ton département d’origine ! »« Tu en demande trop. »« On se voit cette après-midi où tu veux. »« Oui, au jardin du Luxembourg près du Sénat.
« Et on ira goûter au salon de thé voisin, tu te fiches de moi, je coupe, j’appelle un petit hôtel que je connais, je paye une chambre et tu me rappelles sur mon portable au 06 02 .. .. .., je te donnerais les coordonnés surtout le numéro de chambre.
C’est après bien des minutes de doute que je fais le numéro, il me répond et me donne les coordonnés.
• On est bien d’accord, une seule fois, pas de liaison continue, je suis là pour trouver ce qui me manque et seulement ça !
• Arrête de discuter, suce, tu es bien foutue et très baisable.
Que ce début est bon, le jeune homme a fait sortir une verge bien supérieure à celle de Didier, je m’agenouille la prenant dans la bouche, je suis folle, c’est la première qui entre où il me la met.
• Caresse-moi les couilles, je comprends ton problème, ton mari est incapable de baiser une jolie femme pour son plaisir et non pour le sien, cet après-midi, tu vas apprendre un paquet de chose, je te le promets.
Oui, c’est bien, ta langue promène là le long de ma verge, bien, reprend le gland dans ta bouche et aspire-le, la sensation est très bonne, tu es douée, il est con ton mec.
Tu as envie de boire mon sperme, ça je suis sûr que tu ne l’as jamais fait, si tu n’as jamais fait de fellation, attend, il faut que je m’occupe de ta chatte, déshabillons-nous.
C’est moi la vieille, mais c’est lui qui est maître du jeu, je suis dans un nuage, mais je sens qu’il va me faire découvrir un monde que mon godemichet est dans l’impossibilité de me faire découvrir.
Je me retrouve nue, ayant gardé ma petite culotte lui montrant mes seins.
• Pour te baiser, ta culotte est superflue à moins que tu veuilles que je passe sur le côté.
• Non, je l’enlève.
Quand je dis ces mots, je suis sûr que c’est une autre qui est là et pourtant quand il me couche, me soulève les jambes pour m’aider à enlever mon bout de tissu afin de m’aspirer le clitoris avec sa langue, c’est bien mon corps qui ressent le plaisir démarré.
• Attends, je mets une capote, si tu as d’autres amants, toujours baiser avec capote, sur Internet on trouve de tout, j’ai bien trouvé une demi-pucelle.
Nous éclatons de rire au moment où sans me couvrir comme le fait Didier, il entre en moi, c’est fait le pomper, c’était presque fait, maintenant je suis une femme adultérine, pardon, je crois que l’on dit une femme adultère, j’aime beaucoup mon amant étant exceptionnel.
Pendant deux heures, je suis prise dans de nombreuses positions, j’aurais une envie qu’il oubli de satisfaire, j’aurais aimé qu’il s’attaque profondément à mon anus, je sais que la sodomie existe, j’ai lu des livres sur les sodomites exaspérant les dieux finissant par Sodome et Gomorrhe et la destruction de ces villes.
Dans l’après-midi, il me suce de mon clito à mon anus, sa petite langue va jusqu’à rentrer dans mon petit trou, mais sa verge ne franchit pas ce pas.
• Tu aimes les feuilles de rose, quand je te mets la langue, ta chatte ruisselle.
Il me dit ça sans franchir le pas quand il me place une nouvelle fois en levrette et qu’il m’enfile de nouveau par ma chatte.
Ma montre sonne, j’avais mis mon alarme pour éviter d’être en retard avant que Didier ne rentre, la nuit suivante, je repense à ce que j’ai fait, les ronflements de mon mari me rassurent, je l’ai trompé, mais la vie, notre vie est toujours la même.
J’ai tenu plus d’un mois, plus de contact avec George75, quelque part je le regrette un peu, il m’a appris bien des choses,
« Jeanine, que cherches-tu ? »« Et toi. »« J’ai un sexe à te proposer. »« Quelle heure, quel endroit, tu prends une chambre et tu m’appelles au 06 02 02 .. .., pour me donner l’adresse de 15 à 17 heures. »
C’est la troisième fois que je vais à mes rendez-vous sexuels, je trouve enfin la plénitude dans mon corps, même si mon âme s’enfonce de plus en plus dans la déchéance, j’ai acheté un portable avec carte à l’heure, ce qui me permet de le donner à mes amants sans crainte.
« Jeanine, c’est Gorge75, je sais que tu m’as dit que nous coucherions ensemble une seule fois, pour moi ça a été parfait, j’ai trouvé en toi une belle salope, je vois que tu continues à tchater, t’éclates-tu ? »« Je veux bien demain de 14 à 17 heures, tu payes la chambre, tu as été mon premier amant, tu mérites que l’on se revoie. »« Je vois que tu as pris de l’assurance, d’accord, je réserve la chambre, donne-moi ton 06. »
Le lendemain, je suis à l’heure, dès que je rejoins la chambre, j’enlève mes fringues.
• Je t’ai donné une deuxième chance, car j’ai une demande à te faire.
• Je t’écoute.
• Sodomise-moi, j’ai eu quelques expériences depuis que j’ai décidé de tromper mon mari, il semble que la sodomie me soit refusée, tu m’as appris à faire des feuilles de rose, j’en ai fait avec mes amants, mais aucun ne m’a enfilé le petit.
• Mets-toi en levrette, je vais te pointer.
• Je préfère que tu me tires, comme à la pétanque.
• Tu as de l’humour Jeanine.
Deux minutes après, je perds mon pucelage anal, j’aime beaucoup.
« Du 75, baises-tu ? »« Ou et quand ? »« Non, le matin. »« Dommage. »
Sur le carnet où je marque chacun de mes rendez-vous, j’en suis au numéro 48, les 48 premiers sont notés et George75 a eu 4 rendez-vous et chaque fois les meilleures notes.
« George75, j’ai envie une nouvelle fois. »« Je sens que tu veux me demander quelque chose ! »« As-tu un copain, j’aimerais me faire baiser par deux mecs, j’ai vu cela sur Internet ?
« Tu veux tester la double péné, je vais demander à Jojo de venir, tu vas être aux anges, Jojo est troisième ligne de rugby et est montée comme un taureau. »
Juste ce qu’il faut pour une salope comme moi, j’irais même dire que grâce à Internet, je suis devenue, une pute, même si je baise seulement pour le plaisir.
Prochain objectif, la centaine d’amants !
« Pardon, quel âge as-tu ? »« On s’en fiche de mon âge, si tu y tiens, j’ai 22 ans, ce qui compte c’est que tu cherches. »« Rien, juste rompre mon isolement. »« Es-tu seul ? »« Non, mais c’est tout comme. »« Je vois, plusieurs années de mariage, des habitudes sexuelles qui s’installent, une chatte qui a envie, mais tu ignores, comment la satisfaire. »« Arrêtez, je vais couper notre conversation, pour commencer vous êtes trop jeune, j’ai bientôt 45 ans. »« Ton âge, je m'en contrefiche ma belle, ce qui compte c’est le sexe, il faut s’amuser dans la vie, dépêche-toi, tu es à la porte des femmes hors cadre, bien sûr, tu peux rencontrer des gérontophiles qui aiment sauter les veilles, voir les très vieilles. »« Je coupe, je n’aime pas votre conversation. »
Je m’appelle Joelle, j’ai vraiment 45 ans, j’aime Dider, mon mari qui m’a épousé il y a 25 ans, nous avons eu une fille Arlette, qui vit avec Romain depuis deux ans.
Je n’ai jamais travaillé et je dois reconnaître que je m’ennuie, il y a peu, j’ai découvert Internet et depuis tout à l’heure les tchats.
Didier reste un homme charmant, mais en ce qui concerne le cul rien de bien transcendant, je sais qu’il a envie de moi quand il sort de la salle de bains flamberge au vent, j’écarte mes cuisses, il me pénètre et une fois de temps en temps, j’ai le début d’un petit frisson, mais le reste du temps, il décharge.
• Bonne nuit chérie.
Il se retourne et bonjour la frustration, pendant un long moment, je cherche mon sommeil, pourtant je suis capable de grosse jouissance, sans qu’il le sache, j’ai acheté par Internet un godemichet qui me donne de gros orgasmes quand mon clitoris est stimulé.
C’est en commandant ce genre d’objet que je suis tombé sur ce tchat ou je le suis inscrite espérant trouvé un monde nouveau, j’ai coupé le dialogue avec George75, notre conversation prenant un tour un peu trop précis et contraire à mes principes, j’allais dire que je fantasme sur des bites susceptibles de compléter ma verge rotative fictive.
« Jeanine, pourquoi as-tu coupé hier, je sens la femme frustrée, si tu veux, on se voit et on passe un moment ensemble. »« Pour qui me prends-tu George, je suis mariée et fidèle depuis 25 ans. »« Ça mérite une médaille, celle de la femme frustrée, mal baiser par son mari et qui recule devant la difficulté, franchi le pas Jeanine, passe deux heures avec moi, une seule fois dans un lieu neutre, à Paris, c’est facile. »« Comment sais-tu que j’habite à Paris ? »« Tu es drôle, tu as rempli ta fiche et tu as mis 75 comme département, Jeanine dans le 75 et George75. »« Tu as raison, j’aurais dû mettre 21. »« C’est ton département d’origine ! »« Tu en demande trop. »« On se voit cette après-midi où tu veux. »« Oui, au jardin du Luxembourg près du Sénat.
« Et on ira goûter au salon de thé voisin, tu te fiches de moi, je coupe, j’appelle un petit hôtel que je connais, je paye une chambre et tu me rappelles sur mon portable au 06 02 .. .. .., je te donnerais les coordonnés surtout le numéro de chambre.
C’est après bien des minutes de doute que je fais le numéro, il me répond et me donne les coordonnés.
• On est bien d’accord, une seule fois, pas de liaison continue, je suis là pour trouver ce qui me manque et seulement ça !
• Arrête de discuter, suce, tu es bien foutue et très baisable.
Que ce début est bon, le jeune homme a fait sortir une verge bien supérieure à celle de Didier, je m’agenouille la prenant dans la bouche, je suis folle, c’est la première qui entre où il me la met.
• Caresse-moi les couilles, je comprends ton problème, ton mari est incapable de baiser une jolie femme pour son plaisir et non pour le sien, cet après-midi, tu vas apprendre un paquet de chose, je te le promets.
Oui, c’est bien, ta langue promène là le long de ma verge, bien, reprend le gland dans ta bouche et aspire-le, la sensation est très bonne, tu es douée, il est con ton mec.
Tu as envie de boire mon sperme, ça je suis sûr que tu ne l’as jamais fait, si tu n’as jamais fait de fellation, attend, il faut que je m’occupe de ta chatte, déshabillons-nous.
C’est moi la vieille, mais c’est lui qui est maître du jeu, je suis dans un nuage, mais je sens qu’il va me faire découvrir un monde que mon godemichet est dans l’impossibilité de me faire découvrir.
Je me retrouve nue, ayant gardé ma petite culotte lui montrant mes seins.
• Pour te baiser, ta culotte est superflue à moins que tu veuilles que je passe sur le côté.
• Non, je l’enlève.
Quand je dis ces mots, je suis sûr que c’est une autre qui est là et pourtant quand il me couche, me soulève les jambes pour m’aider à enlever mon bout de tissu afin de m’aspirer le clitoris avec sa langue, c’est bien mon corps qui ressent le plaisir démarré.
• Attends, je mets une capote, si tu as d’autres amants, toujours baiser avec capote, sur Internet on trouve de tout, j’ai bien trouvé une demi-pucelle.
Nous éclatons de rire au moment où sans me couvrir comme le fait Didier, il entre en moi, c’est fait le pomper, c’était presque fait, maintenant je suis une femme adultérine, pardon, je crois que l’on dit une femme adultère, j’aime beaucoup mon amant étant exceptionnel.
Pendant deux heures, je suis prise dans de nombreuses positions, j’aurais une envie qu’il oubli de satisfaire, j’aurais aimé qu’il s’attaque profondément à mon anus, je sais que la sodomie existe, j’ai lu des livres sur les sodomites exaspérant les dieux finissant par Sodome et Gomorrhe et la destruction de ces villes.
Dans l’après-midi, il me suce de mon clito à mon anus, sa petite langue va jusqu’à rentrer dans mon petit trou, mais sa verge ne franchit pas ce pas.
• Tu aimes les feuilles de rose, quand je te mets la langue, ta chatte ruisselle.
Il me dit ça sans franchir le pas quand il me place une nouvelle fois en levrette et qu’il m’enfile de nouveau par ma chatte.
Ma montre sonne, j’avais mis mon alarme pour éviter d’être en retard avant que Didier ne rentre, la nuit suivante, je repense à ce que j’ai fait, les ronflements de mon mari me rassurent, je l’ai trompé, mais la vie, notre vie est toujours la même.
J’ai tenu plus d’un mois, plus de contact avec George75, quelque part je le regrette un peu, il m’a appris bien des choses,
« Jeanine, que cherches-tu ? »« Et toi. »« J’ai un sexe à te proposer. »« Quelle heure, quel endroit, tu prends une chambre et tu m’appelles au 06 02 02 .. .., pour me donner l’adresse de 15 à 17 heures. »
C’est la troisième fois que je vais à mes rendez-vous sexuels, je trouve enfin la plénitude dans mon corps, même si mon âme s’enfonce de plus en plus dans la déchéance, j’ai acheté un portable avec carte à l’heure, ce qui me permet de le donner à mes amants sans crainte.
« Jeanine, c’est Gorge75, je sais que tu m’as dit que nous coucherions ensemble une seule fois, pour moi ça a été parfait, j’ai trouvé en toi une belle salope, je vois que tu continues à tchater, t’éclates-tu ? »« Je veux bien demain de 14 à 17 heures, tu payes la chambre, tu as été mon premier amant, tu mérites que l’on se revoie. »« Je vois que tu as pris de l’assurance, d’accord, je réserve la chambre, donne-moi ton 06. »
Le lendemain, je suis à l’heure, dès que je rejoins la chambre, j’enlève mes fringues.
• Je t’ai donné une deuxième chance, car j’ai une demande à te faire.
• Je t’écoute.
• Sodomise-moi, j’ai eu quelques expériences depuis que j’ai décidé de tromper mon mari, il semble que la sodomie me soit refusée, tu m’as appris à faire des feuilles de rose, j’en ai fait avec mes amants, mais aucun ne m’a enfilé le petit.
• Mets-toi en levrette, je vais te pointer.
• Je préfère que tu me tires, comme à la pétanque.
• Tu as de l’humour Jeanine.
Deux minutes après, je perds mon pucelage anal, j’aime beaucoup.
« Du 75, baises-tu ? »« Ou et quand ? »« Non, le matin. »« Dommage. »
Sur le carnet où je marque chacun de mes rendez-vous, j’en suis au numéro 48, les 48 premiers sont notés et George75 a eu 4 rendez-vous et chaque fois les meilleures notes.
« George75, j’ai envie une nouvelle fois. »« Je sens que tu veux me demander quelque chose ! »« As-tu un copain, j’aimerais me faire baiser par deux mecs, j’ai vu cela sur Internet ?
« Tu veux tester la double péné, je vais demander à Jojo de venir, tu vas être aux anges, Jojo est troisième ligne de rugby et est montée comme un taureau. »
Juste ce qu’il faut pour une salope comme moi, j’irais même dire que grâce à Internet, je suis devenue, une pute, même si je baise seulement pour le plaisir.
Prochain objectif, la centaine d’amants !
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