COLLECTION HISTOIRE COURTE. Confession perverse (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Confession perverse (1/1)
- Monsieur le curé, je voudrais me confesser.
- Pourquoi ma fille, tu sais que tu peux demander à Dieu de te pardonner tes péchés sans venir voir ton curé ?
- Oui, mais le péché que j’ai à me faire pardonner est trop gros.
- Alors entre, mais viens dans la sacristie, il y a du chauffage l’église est froide, il gèle à pierre fendre dehors.
- Merci mon père.
- Entre.
- Pourquoi fermez-vous la porte de la sacristie à clef ?
- Pour être sûr que personne nous dérange, c’est comme si nous étions dans le confessionnal.
Place-toi à genoux sur ce prie-Dieu qui me sert à me recueillir quand j’ai besoin de m’en remettre à notre seigneur.
Je vais m’asseoir sur cette chaise à côté de toi.
Quel péché as-tu à te faire pardonner, moi qui t'es mariée il y a moins de 15 jours avec Roland.
- C’est le but de ma demande, mais je suis mal à l’aise, dans le confessionnal, vous m’êtes caché.
Là, vous serez devant moi.
- Marie, tu vois, je mets cette étole autour de mon cou, c’est elle qui me fait disparaître à tes yeux.
Nous pouvons commencer, qu’as-tu à me dire.
- J’ai failli tromper Roland.
- Failli seulement, explique-toi.
- Mon Dieu, c’est difficile à sortir de ma bouche, j’ai failli le tromper avec le boulanger.
- Celui de la place du village ?
- C’est le seul, monsieur le curé, j’ai reçu un coup de téléphone du boulanger, nous devions toujours la pièce montée de notre mariage.
J’y suis allée, il faisait ses comptes dans l’arrière de la boulangerie, c’était lundi.
Je sais, nous sommes vendredi, mais j’ai hésité à venir me confesser.
- Qu’avez-vous fait ?
- Il s’est levé, est venu vers moi, et m'a pris la main.
- Comme ça.
- Oui, monsieur le curé, pourquoi me prenez-vous la main ?
- Continue Marie, c’est pour être au plus près de ton histoire.
- Ça me trouble, comme il m’a troublée, mais je me concentre.
Il me l’a posé sur son pantalon.
- Comme ça.
- Monsieur le curé, vous exagérez, pourquoi me mettez-vous ma main sur votre verge ?
- L’étole petite Marie, l’étole elle me rend invisible, c’est comme si tu étais seule.
- Mais je sens votre verge, vous bander monsieur le curé.
- Marie, je suis un homme d'Église !
Même si j’ai la trique, que ce soit bien dit une fois pour toutes.
Qu’a-t-il fait après !
- Il a sorti son sexe et me l’a mis dans ma main.
- Elle était grande !
- Comment vous dire, plus grande que celle de Roland ?
- Plus grande que celle-là ?
- Monsieur le curé, vous sortez votre sexe.
Mon Dieu.
- Dieu n’a rien à voir là-dedans, je suis bien monté tout simplement.
Il t’a obligé à le masturber !
- Non, pire, il m’a fait agenouiller et j’ai commencé à le sucer.
Tout mon dilemme est là, sucer, est-ce trompé ?
- Fais voir comment il t’a fait faire, je veux calculer le degré de perversion employé C’est pour savoir si Dieu te pardonne ou s’il t’envoie brûler en enfer.
C’est bien, attend, je me lève, agenouillé comme tu l’es, je serais juste à la hauteur de ta bouche.
- Rassurez-moi, votre étole vous cache toujours !
Sinon je croirais que vous cherchez à ce que je vous fasse une fellation.
- Marie, tu es trop suspicieuse, je commence à comprendre que ce que tu as à te faire pardonner, aie énorme.
Si tu crois t’en sortir avec deux ou trois paters et deux Avé Maria tu te trompes.
- Je vous fais voir, je l’ai prise comme ça, j’ai hésité avant de la mettre dans ma bouche, mais vous croyez que c’est bien de refaire ce que j’ai du mal à oublier !
C’est pour cela que je suis venue me confesser.
- Suce salope, tu parleras plus tard, tu crois que tu peux faire bander les hommes et les laisser dans cet état.
- Avec le boulanger, je me suis arrêtée avant, la porte de la boutique à sonner, nous nous sommes séparés.
- Monsieur le curé, c’est fou comme la vôtre est grosse, vous permettez que je vous masturbe en même temps que je vous lèche vos couilles.
- Tu as raison, fais-moi voir contrairement à ta boulangerie, ici personne ne va nous déranger, tu suces divinement.
Dis-moi, le fais-tu avec Roland ?
- Non, Roland, le soir de nos noces, il m’a fait coucher sur le lit en relevant simplement ma robe de mariée et il est entré en moi.
- As-tu aimé ?
- J’ai eu mal, mais maintenant ça va, de toute façon il n’est là que les vendredis soir, samedis et dimanches.
Il repart les lundis pour son chantier sur l’autoroute à 200 kilomètres d’ici.
- Il te laisse seule toute la semaine.
Tu suces divinement Marie, ton mari est con de simplement te pénétrer.
Attention, je vais décharger.
- Vous êtes sûr que ce que vous avez dit sur votre invisibilité reste d’actualité !
Pourtant je vous sens toucher ma glotte, non, attendez, il faut que je reprenne mon souffle !
- L’étole ma fille, l’étole.
Ah. Ah. Ahhhh.
Je reprends mon souffle, ça va bien, encore une petite salope qui croit au coup de l’étole qui les caches de mon corps.
Ils me font chier à l’archevêché, j’étais pénard depuis des années dans mon village précédent.
Je connaissais toutes les salopes du village, l’ensemble des putes mal baisé.
Je rétablissais l’équilibre sexuel du village, j’aidais même à sa survie en entretenant le nombre d’habitants.
Il était courant qu’à un enterrement, j’équilibre par un baptême dans les semaines suivantes.
J’aimais le regard de ces salopes de paroissiennes quand elles me tendaient le fruit de nos ébats.
Si comme avec Marie, je commence par une fellation, rapidement je vais passer à l’étape suivante.
- C’est bien Marie, j’ai vu l’étendue du problème, si j’ai bien compris tu es seule à partir de lundi.
- Oui, monsieur le curé.
- À quelle heure ton mari part-il ?
- Quatre heures, ils passent le chercher avec leur mini-car à cette heure là.
- Mais dit moi, ton mari, il est seul à travailler sur ce chantier.
- Non, de notre village, ils sont cinq.
- Et leurs femmes sont seules comme toi pendant la semaine !
- Pourquoi me demandez-vous tout ça monsieur le curé ?
- Grâce à toi, tu me permets de connaître mieux le village et ses habitudes.
Marie vient de faire avancer mon intégration dans ce village plus rapidement que le temps que j’avais réussi à mettre dans mon ancien village.
Il y a ici des chattes qui bavent d’ennui, je vais faire ce qu’il faut pour les satisfaire.
- Marie, je sais ce que je vais te donner comme pénitence, des travaux d’intérêt général.
Ton mari part à quatre heures, tu viendras à neuf heures au presbytère faire du ménage.
Attends, neuf heures c’est l’heure où je déjeune, disons dix se sera impeccable.
- Bien monsieur le curé, je serais à l’heure, j’accepte ma pénitence.
A-t-elle compris que mon lit sera déjà défait !
Avant dans mon autre ministère, c’était comme ça que ça marchait, pourquoi pas ici.
- À lundi.
Attends, prend ce Kleenex avant de sortir essuie le coin de ta bouche, tu as du sperme qui coule.
J’ouvre la porte de la sacristie, elle semble radieuse, j’espère que le coeur est resté à la porte de mon église.
Si c’est le cas, je sais comment faire, quinze jours ou je leur interdis de venir me voir, ça les calmes.
L’abstinence sexuelle après des baises intenses, ça les ramène à la raison.
Dès que vous leur dite que vous êtes prêt à les recevoir de nouveau, tout vous ait possible.
C’est ça le pouvoir d’un sexe hors de la normale.
Au début elles ont du mal à l’ingurgiter, mais dès qu’elles l’ont dans la chatte, elles sont accros.
Quand vous leur ouvrez de nouveau la porte, elles sont tellement haletantes que c’est là que vous pouvez les sodomiser.
Marie va suivre ce parcours sans aucun doute.
Surtout quand je la voie se diriger frétillante vers la sortie.
Son cul ferait damner tous les saints de cette église.
- Bonjour monsieur le curé, nous avions rendez-vous au presbytère pour ma pénitence.
J’ai eu peur que vous n’ayez oublié ma pénitence, j’ai pensé que vous étiez ici.
- Tu as raison, Élisabeth, mais j’ai eu une urgence.
- Dis-moi, es-tu libre à 14 heures cette après-midi, Marie m’a mis en retard, c’est fou où le diable peut aller se nicher.
Élisabeth est ma première trouvaille, elle est d’origine portugaise, elle est venue me voir pour diriger le catéchisme de la paroisse.
J’ai accepté moyennant une visite au presbytère tous les vendredis matin pour préparer la prochaine leçon.
Ça fait deux fois que nous commençons par des travaux pratiques, elle a un joli coup de reins.
Bref, tous se présentent bien, à part un léger problème, je devrais baiser avec des capotes et certaines de mes anciennes paroissiennes oubliaient de prendre leur pilule.
Je vous l’ai dit, j’ai légèrement peuplé ce village qui sans moi serait mort.
Mais l’abondance de petits métis a interpellé mon évêque.
Je suis venu du Togo pallier le manque de prêtres.
Je suis noir comme de l’ébène.
- Pourquoi ma fille, tu sais que tu peux demander à Dieu de te pardonner tes péchés sans venir voir ton curé ?
- Oui, mais le péché que j’ai à me faire pardonner est trop gros.
- Alors entre, mais viens dans la sacristie, il y a du chauffage l’église est froide, il gèle à pierre fendre dehors.
- Merci mon père.
- Entre.
- Pourquoi fermez-vous la porte de la sacristie à clef ?
- Pour être sûr que personne nous dérange, c’est comme si nous étions dans le confessionnal.
Place-toi à genoux sur ce prie-Dieu qui me sert à me recueillir quand j’ai besoin de m’en remettre à notre seigneur.
Je vais m’asseoir sur cette chaise à côté de toi.
Quel péché as-tu à te faire pardonner, moi qui t'es mariée il y a moins de 15 jours avec Roland.
- C’est le but de ma demande, mais je suis mal à l’aise, dans le confessionnal, vous m’êtes caché.
Là, vous serez devant moi.
- Marie, tu vois, je mets cette étole autour de mon cou, c’est elle qui me fait disparaître à tes yeux.
Nous pouvons commencer, qu’as-tu à me dire.
- J’ai failli tromper Roland.
- Failli seulement, explique-toi.
- Mon Dieu, c’est difficile à sortir de ma bouche, j’ai failli le tromper avec le boulanger.
- Celui de la place du village ?
- C’est le seul, monsieur le curé, j’ai reçu un coup de téléphone du boulanger, nous devions toujours la pièce montée de notre mariage.
J’y suis allée, il faisait ses comptes dans l’arrière de la boulangerie, c’était lundi.
Je sais, nous sommes vendredi, mais j’ai hésité à venir me confesser.
- Qu’avez-vous fait ?
- Il s’est levé, est venu vers moi, et m'a pris la main.
- Comme ça.
- Oui, monsieur le curé, pourquoi me prenez-vous la main ?
- Continue Marie, c’est pour être au plus près de ton histoire.
- Ça me trouble, comme il m’a troublée, mais je me concentre.
Il me l’a posé sur son pantalon.
- Comme ça.
- Monsieur le curé, vous exagérez, pourquoi me mettez-vous ma main sur votre verge ?
- L’étole petite Marie, l’étole elle me rend invisible, c’est comme si tu étais seule.
- Mais je sens votre verge, vous bander monsieur le curé.
- Marie, je suis un homme d'Église !
Même si j’ai la trique, que ce soit bien dit une fois pour toutes.
Qu’a-t-il fait après !
- Il a sorti son sexe et me l’a mis dans ma main.
- Elle était grande !
- Comment vous dire, plus grande que celle de Roland ?
- Plus grande que celle-là ?
- Monsieur le curé, vous sortez votre sexe.
Mon Dieu.
- Dieu n’a rien à voir là-dedans, je suis bien monté tout simplement.
Il t’a obligé à le masturber !
- Non, pire, il m’a fait agenouiller et j’ai commencé à le sucer.
Tout mon dilemme est là, sucer, est-ce trompé ?
- Fais voir comment il t’a fait faire, je veux calculer le degré de perversion employé C’est pour savoir si Dieu te pardonne ou s’il t’envoie brûler en enfer.
C’est bien, attend, je me lève, agenouillé comme tu l’es, je serais juste à la hauteur de ta bouche.
- Rassurez-moi, votre étole vous cache toujours !
Sinon je croirais que vous cherchez à ce que je vous fasse une fellation.
- Marie, tu es trop suspicieuse, je commence à comprendre que ce que tu as à te faire pardonner, aie énorme.
Si tu crois t’en sortir avec deux ou trois paters et deux Avé Maria tu te trompes.
- Je vous fais voir, je l’ai prise comme ça, j’ai hésité avant de la mettre dans ma bouche, mais vous croyez que c’est bien de refaire ce que j’ai du mal à oublier !
C’est pour cela que je suis venue me confesser.
- Suce salope, tu parleras plus tard, tu crois que tu peux faire bander les hommes et les laisser dans cet état.
- Avec le boulanger, je me suis arrêtée avant, la porte de la boutique à sonner, nous nous sommes séparés.
- Monsieur le curé, c’est fou comme la vôtre est grosse, vous permettez que je vous masturbe en même temps que je vous lèche vos couilles.
- Tu as raison, fais-moi voir contrairement à ta boulangerie, ici personne ne va nous déranger, tu suces divinement.
Dis-moi, le fais-tu avec Roland ?
- Non, Roland, le soir de nos noces, il m’a fait coucher sur le lit en relevant simplement ma robe de mariée et il est entré en moi.
- As-tu aimé ?
- J’ai eu mal, mais maintenant ça va, de toute façon il n’est là que les vendredis soir, samedis et dimanches.
Il repart les lundis pour son chantier sur l’autoroute à 200 kilomètres d’ici.
- Il te laisse seule toute la semaine.
Tu suces divinement Marie, ton mari est con de simplement te pénétrer.
Attention, je vais décharger.
- Vous êtes sûr que ce que vous avez dit sur votre invisibilité reste d’actualité !
Pourtant je vous sens toucher ma glotte, non, attendez, il faut que je reprenne mon souffle !
- L’étole ma fille, l’étole.
Ah. Ah. Ahhhh.
Je reprends mon souffle, ça va bien, encore une petite salope qui croit au coup de l’étole qui les caches de mon corps.
Ils me font chier à l’archevêché, j’étais pénard depuis des années dans mon village précédent.
Je connaissais toutes les salopes du village, l’ensemble des putes mal baisé.
Je rétablissais l’équilibre sexuel du village, j’aidais même à sa survie en entretenant le nombre d’habitants.
Il était courant qu’à un enterrement, j’équilibre par un baptême dans les semaines suivantes.
J’aimais le regard de ces salopes de paroissiennes quand elles me tendaient le fruit de nos ébats.
Si comme avec Marie, je commence par une fellation, rapidement je vais passer à l’étape suivante.
- C’est bien Marie, j’ai vu l’étendue du problème, si j’ai bien compris tu es seule à partir de lundi.
- Oui, monsieur le curé.
- À quelle heure ton mari part-il ?
- Quatre heures, ils passent le chercher avec leur mini-car à cette heure là.
- Mais dit moi, ton mari, il est seul à travailler sur ce chantier.
- Non, de notre village, ils sont cinq.
- Et leurs femmes sont seules comme toi pendant la semaine !
- Pourquoi me demandez-vous tout ça monsieur le curé ?
- Grâce à toi, tu me permets de connaître mieux le village et ses habitudes.
Marie vient de faire avancer mon intégration dans ce village plus rapidement que le temps que j’avais réussi à mettre dans mon ancien village.
Il y a ici des chattes qui bavent d’ennui, je vais faire ce qu’il faut pour les satisfaire.
- Marie, je sais ce que je vais te donner comme pénitence, des travaux d’intérêt général.
Ton mari part à quatre heures, tu viendras à neuf heures au presbytère faire du ménage.
Attends, neuf heures c’est l’heure où je déjeune, disons dix se sera impeccable.
- Bien monsieur le curé, je serais à l’heure, j’accepte ma pénitence.
A-t-elle compris que mon lit sera déjà défait !
Avant dans mon autre ministère, c’était comme ça que ça marchait, pourquoi pas ici.
- À lundi.
Attends, prend ce Kleenex avant de sortir essuie le coin de ta bouche, tu as du sperme qui coule.
J’ouvre la porte de la sacristie, elle semble radieuse, j’espère que le coeur est resté à la porte de mon église.
Si c’est le cas, je sais comment faire, quinze jours ou je leur interdis de venir me voir, ça les calmes.
L’abstinence sexuelle après des baises intenses, ça les ramène à la raison.
Dès que vous leur dite que vous êtes prêt à les recevoir de nouveau, tout vous ait possible.
C’est ça le pouvoir d’un sexe hors de la normale.
Au début elles ont du mal à l’ingurgiter, mais dès qu’elles l’ont dans la chatte, elles sont accros.
Quand vous leur ouvrez de nouveau la porte, elles sont tellement haletantes que c’est là que vous pouvez les sodomiser.
Marie va suivre ce parcours sans aucun doute.
Surtout quand je la voie se diriger frétillante vers la sortie.
Son cul ferait damner tous les saints de cette église.
- Bonjour monsieur le curé, nous avions rendez-vous au presbytère pour ma pénitence.
J’ai eu peur que vous n’ayez oublié ma pénitence, j’ai pensé que vous étiez ici.
- Tu as raison, Élisabeth, mais j’ai eu une urgence.
- Dis-moi, es-tu libre à 14 heures cette après-midi, Marie m’a mis en retard, c’est fou où le diable peut aller se nicher.
Élisabeth est ma première trouvaille, elle est d’origine portugaise, elle est venue me voir pour diriger le catéchisme de la paroisse.
J’ai accepté moyennant une visite au presbytère tous les vendredis matin pour préparer la prochaine leçon.
Ça fait deux fois que nous commençons par des travaux pratiques, elle a un joli coup de reins.
Bref, tous se présentent bien, à part un léger problème, je devrais baiser avec des capotes et certaines de mes anciennes paroissiennes oubliaient de prendre leur pilule.
Je vous l’ai dit, j’ai légèrement peuplé ce village qui sans moi serait mort.
Mais l’abondance de petits métis a interpellé mon évêque.
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y a une suite? mettre le lien de la pages svp
Je crois que je vais me confesser
Je crois