COLLECTION HISTOIRE COURTE. Enterrement de vie de jeune

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Enterrement de vie de jeune Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Enterrement de vie de jeune
• Pour ton enterrement de vie de jeune fille Claudia, je m’occupe de tout.
Servi sur un plateau, samedi prochain, je viens te chercher, je te bande les yeux et en route pour l’aventure d’une dernière soirée entre célibataires.
• C’est sympa Linda, je te fais confiance.
À un détail près, je connais ta roublardise, surtout pas de sexe.
Depuis que j’ai connu Dimitri, je lui suis fidèle.
• Tu oublies, un détail Dimitri, tu me l’as piqué.
Baiser derrière mon dos avec lui c’était loin d’être la chose la plus sympa quand l’on se dit amie.
• Tu m’avais dit que tu allais le larguer comme tu le faisais régulièrement avec tous les autres.
À ce jour la salope, c’est toi.
• « J’allais chérie » !
J’allais, le larguer, mais j’étais loin d’en être sûr à cent pour cent.
J’aurais bien aimé encore faire une ou deux parties de jambes en l’air avec lui, faire quelques parties de trou du cul, j’aurais aimé.
• Comment parles-tu, on dirait une vraie charretière ?
À part ce détail je suis d’accord.

Les jours passent, comme elle me l’a dit, elle vient me chercher avec sa voiture.
C’est en toute innocence que je la suis, ça reste mon amie de toujours.
À notre naissance, même clinique, même box de travail voisin simplement séparé par un rideau.
Même chambre voisine et même promenade pendant deux jours dans les bras de nos mamans.
À ce que m’a dit ma maman, elles ont été libérées à la même heure et même minute.
Des jumelles sans l’être.
Même les pères ont coupé les cordons à l’unisson.
Notre deuxième rencontre quelques jours plus tard c’est dans le parc de notre commune s’est fait, nos mères se sont retrouvées en poussant leurs landos.
Jusqu’à nos premiers pas faits, il me semble dans la même période.
Contrairement à des jumelles, nous vivions dans les deux bouts de notre petit bourg.
À la maternel, on s’est retrouvées suivant les mêmes classes jusqu’à notre puberté qui nous a rattrapés chacune de notre côté.
Bien sûr, nous étions au collège à cette période.
Lycée, nous nous croisions dans les couloirs, elle en droit, moi en environnement et j’ai souvent vu Linda papillonné auprès des garçons.
C’est là que notre amitié a fait l’élastique comme dit une chanson « À cause des garçons ».
Ce qui me faisait le plus mal, c’est que notre complicité s’espaçait.
Un jour j’ai vu et j’ai compris, elle était la maîtresse de mon père.
C’est dans son atelier de peinture qu’ils se retrouvaient.
Il faisait des nus et c’est là que je les ai vus.
Elle le rejoignait dans la campagne quand papa reproduisait des paysages, là encore avec des filles à poils.
Papa aimait notre rivière et c’était son lieu favori où il y passait des heures.
Quand j’ai découvert leur liaison, je comprends pourquoi il avait de longues heures de retard avant le dîner.
Les choses s’étant tassé, elle était déjà dans les bras d’un autre.
Elle m’a expliqué qu’il lui avait demandé d’être son modèle et de faire des croquis de nus artistiques.
Elle avait accepté et après ma mère, c’est elle qu’il a été dépucelé, en la passant à la casserole.
Mon père pour moi était devenu un infect salaud même si nous avions la majorité sexuelle.
Un jour, mon père avait fait venir un modèle homme.
Mon père m’a appelé pour me demander d’aller le prévenir que la séance était reportée, car il se sentait fiévreux.
Il m’a donné une enveloppe à lui remettre suite à son déplacement et sa perte de temps.

Il était déjà nu sur l’estrade où les modèles présentaient leur plastique.
J’avais commencé des études de dessin.
Il y avait tout ce qu’il fallait pour que je me lance.
Je lui ai dit qu’aujourd’hui s’était moi qui allais faire des esquisses.
À un moment il m’a regardé au moment où j’attaquais le deuxième croquis.
Il s’est mis à bander et j’ai dessiné son pénis dans la position où il était, le gland en l’air.
Il est descendu de l’estrade, a regardé, c’est mis à rigoler ma prise la main et m’a entrainé et couché sur le même canapé où j’avais vu Linda se faire dépuceler par mon père.
Le destin nous rattrapait, née au même endroit à la même heure quand son sexe est entré en moi surpris de la résistance, le jour et l’heure étant différents.
Quand il a vu sa queue pleine de sang, il a pris peur.
Il m’a quitté, me laissant mes premiers croquis et l’enveloppe avec sa paye que j’ai trouvée là où il avait ses affaires.
Cet argent m’a permis de m’acheter des fringues neuves.
Quelque part, j’étais satisfaite qu’il m’ait ôté ma membrane même si ça avait été sans le moindre sentiment entre nous.

Dépucelage à des moments différents, c’est là que nos vies ont bifurqué.
Elle, devenue une salope se tapant un mec différent en moyenne toutes les semaines.
Souvent des hommes mariés au point que dans le bourg, les mères de famille surveillaient leur mari.
De mon côté, j’ai eu quelques amants épisodiquement et toujours sans qu’ils aient passé une bague au doigt à une autre femme.
Du moins, je faisais semblant de le croire.
L’équilibre s’établissait entre nous jusqu’à Dimitri premier garçon sans le moindre engagement, ça la changeait.
Il m’a fait envie, comme je l’ai dit, un soir où elle m’a téléphoné, j’ai pensé que pour elle ce mec, c’était terminé et dès le lendemain, je me suis donnée à lui.
J’étais là quand il lui a envoyé un SMS lui signifiant que tout était fini avec elle, car il était amoureux de moi et allait me demander en mariage.
Je lui ai fait remarquer, que ça serait moi, j’aurais très mal pris de me faire larguer par SMS.
Il m’a rétorqué que c’était sa méthode qui avait déjà marché des dizaines de fois, sauf une certaine Georgina qu’il avait croisée au supermarché et qui a la caisse lui avait foutu une paire de baffes, lui faisant la honte.
Georgina je la connaissais au lycée, on l’appelait King-kong.
Il devait sérieusement être en manque pour monter une telle guenon.

C’est le samedi soir suivant, oubliant sa maîtresse qu’il s’est agenouillé au restaurant de l’Abbaye me demandant de devenir sa femme.
Soirée entrainant celle de ce soir où Linda me bande les yeux et m’emmène vers un lieu inconnu.
Elle me fait prendre un ascenseur.
Je pensais entrer dans une boîte de nuit.
Nous avions roulé trop peu de temps, car je connaissais les boîtes.
Sauf une nouvelle, si rapproché à mon avis aucune.

Nous sommes entrées sans que je voie ou je me retrouvais.
Elle m’a fait asseoir dans un fauteuil.
J’ai senti que l’on me mettait des bracelets et avant que je réagisse, on m’a tordu un téton au travers de ma tunique.
J’ai ouvert ma bouche pour crier et une boule l’a forcée.
J’ai voulu me lever, les bracelets m’attachant au bras du fauteuil m’ont empêché de le faire, je suis retombée sur mes fesses.
J’avais envie de lui crier.

« Linda, ou sont nos amies, à quels jeux joues-tu.
Je croyais être ta copine depuis notre naissance, même si depuis quelque temps, quelques tensions se sont fait jour entre nous. »
Mais le boule m’en empêche.
J’ai senti que mes affaires me quittaient, mais un bruit de ciseau m’a fait craindre le pire.
Mon amie, du moins avant, m’a enlevé mon bandeau, mes fringues pendant de chaque côté de la chaise où j’étais attachée.
Nos sommes dans un genre d’entrepôts.
Près de moi deux types, nus montés comme des taureaux, aussi noirs l’un que l’autre.
Sur leur tête une cagoule me cachant leur visage.
Face à moi, assis dans la même situation, Dimitri les mains menottées, la tête sur sa poitrine, mais semblant dormir.

• Tu vois, j’ai respecté ton bon vouloir, tu vas tromper Dimitri en même temps qu’il te trompera, bien sûr, je vais le sucer pendant que tu te feras baiser par mes deux étalons !
Je sais que tu te vantes que depuis notre naissance, nous avons toujours fait au même moment.
Je vais te donner un avantage, ils te détacheront et te prendront en double pénétration.

C’est en regardant fixement Dimitri dans les yeux évitant de voir ce que Linda lui fait avec sa bouche et m’ayant détaché, les deux garçons me font en me prenant par la chatte et l’anus.
Je serre les dents refusant de jouir entre ces deux bites.
Je vois que Dimitri lui aussi refuse que Linda ait une victoire avec sa queue.
La salope doit avoir mal aux mâchoires, car d’un coup elle se lève.

• Laissez tomber cette salope, venez, nous partons.

Elle prend la porte suivie de ses deux taureaux.
Je suis nue, mais détachée, je cours jusqu’à Dimitri et je m’empale sur sa queue étant resté bien tendu.
Deux coups nous suffisent pour éclater dans une gerbe de plaisir, demain je me marie.
Un seul problème, mon témoin, Linda était le mien.
Aucun problème, maman fera l’affaire, le principal, c’est notre nuit de noces ainsi que les nombreuses nuits suivantes.

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