COLLECTION HISTOIRE COURTE. Jusque dans la cage d’escalier (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Jusque dans la cage d’escalier (1/1)
• Allée, bourre-moi avec ta grosse queue, bayonne moi avec ta main, je risque de hurler !
Ça fait plusieurs semaines que je me fais baiser, je peux littéralement employer ce mot tellement notre rapport est bref et intense entre Amadou, ce grand noir d’origine sénégalaise et moi.
Tout a commencé donc plusieurs semaines auparavant alors que je me faisais couler un bain.
J’étais seule, Victor était parti à son travail au super-marcher où il exerce le métier de poissonnier.
Il était marin pécheur et il y a dix ans finissant par avoir peur même par mer plate, je l’ai fait changer de métier.
Enfin, changer un peu de métier.
Car écailler, vider et lever les filets des carrelets, soles et autres poissons qu’il prépare avant de les vendre à ses clientes, il faisait pareil sur le chalutier quand la masse de poisson sortait du chalut.
Pour ma part, je suis au chômage.
Je travaillais dans ce même super-marcher quand il y a eu restriction du personnel et que j’ai fait partie de la charrette.
• Salut Agnès, tu vas prendre ton bain !
• De quoi te mêles-tu Amadou, je descends chez toi pour te demander si tu te laves régulièrement.
• Dis que je pus, non, j’ai une entrée d’eau chez nous et ça semble venir de ta salle de bains.
J’ai entendu l’eau couler et me voilà, je peux regarder !
• Excuse d’avoir été agressive, je me suis engueulée avec Victor, il dit que je devrais faire plus d’efforts pour retrouver du travail.
• Il semble que toi et moi ayons des soucis avec nos conjoints, c’est de plus en plus difficile avec Annie.
• Depuis que je la connais, je te comprends, chaque fois que je la croise, elle a toujours des pensées négatives, je sais que c’est dû à son poids.
• Oui, ça l’aide, elle fait régime sur régime.
• Et chaque fois elle prend deux kilos de plus.
• Va, regarde.
Il s’agenouille devant la trappe de visite de ma baignoire et l’eau continuant à monter, il allume la lampe qu’il a apportée et passe sa main.
• Aie.
Il sort sa main qui saigne sur le côté.
Je m’accroupis, le peignoir s’ouvrant montrant à Amadou ma chatte épilée.
J’aimais ma grosse touffe noire jusqu’au jour où est venue l’idée à Victor de me raser tout ça.
Nous avions des jeux érotiques dans ce temps-là.
Il me badigeonnait de crème à raser et finissait une fois qu’il avait passé le couteau lui servant sur son chalutier puis à la poissonnerie, il me rinçait et me bouffait la chatte.
Son couteau offert par son père lors de son premier embarquement sur un chalutier et qu’il aiguise même le soir en regardant la télé, coupant mieux qu’une lame de rasoir.
Nos jeux ont cessé et maintenant je vais me faire le maillot chez l’esthéticienne.
• Je me suis coupé à un morceau de ferraille qui maintient la baignoire.
• Je vais te soigner.
Il se lèche la main avec ses grosses lèvres.
Qui de lui ou de moi avons défait sa ceinture de son pantalon.
Impossible à le dire, dans le brouillard, certainement dû à l’eau chaude, remplissant la baignoire.
Sa grande verge noire est venue sans que je le veuille, quoi que, dans ma main.
Qui de lui ou de moi m’a permis de m’assoir à califourchon m’empalant littéralement.
La chevauchée fantastique, je montais et je descendais sur cette magnifique verge déchirant un peu plus à chaque fois mon contrat de fidélité de mon mariage.
Je m’empalais de plus en plus frénétiquement que lorsqu’il a giclé en moi je me suis tendu comme la louve lubrique que j’étais devenue.
À quarante ans, je devenais accro à cet homme, non, plutôt à la verge noire de mon voisin du dessous.
On s’est quitté, je suis rentrée dans mon bain.
Avant que je mette les sels, je voyais les spermatozoïdes bien blancs eux, sortir de mon vagin et se dissoudre dans l’eau.
Je savais ma pilule me protégeant et j’ai essayé d’oublier mon comportement ce jour-là.
Une simple goutte d’eau a fait tout dérailler.
Le vide-ordure dans cet immeuble vétuste et voué dans les jours prochains à la démolition s’est bouché.
Le syndic refuse d’engager des travaux pour le peu de temps qu’il nous reste avant sa démolition.
Bien sûr, c’est moi qui me tape les six étages pour descendre la poubelle.
Tout allait bien jusqu’au soir où Amadou a fait la même chose et que nous nous sommes retrouvés dans la plénitude de ce mot, nous jetant littéralement dans les bras l’un de l’autre, nos bouches pour la première fois.
Ça s’est fait au détriment de nos sacs-poubelles qui ont littéralement explosé quand nous les avons piétinés.
Sa main cherchait sa verge, la sienne ma chatte.
Nous nous sommes trouvés et il m’a fait décoller de terre pour m’empaler, ce coup-ci debout mon dos rencontrant les grosses poubelles.
Nous allions avoir un emportement bien plus fort que dans ma salle de bains, mais nous avons entendu un bruit venant de l’escalier.
En catastrophe, nous nous sommes rajustés, par chance, il m’avait laissé ma petite culotte passant sur le côté pour me pénétrer.
Il m’a suffi de rajuster mon corsage et lui de rentrer sa queue.
• Nos sacs ont littéralement explosé.
• Laissez, nous allons nettoyer, ça fait partie de mon travail.
L’homme qui est descendu, c’est l’employé de la société qui a été embauché après le départ de notre gardien.
Même problème que pour le vide-ordure, les cinq résidants en attente de reclassements dans de nouveaux immeubles plus récents de notre commune doivent subir tous ces désagréments.
Moins pour moi qui ai la bite d’Amadou.
Le jour suivant, nous nous organisons, rendez-vous 19 h 30 entre le 3e et le 4e.
Au 2e, mémé gâteau comme nous l’appelons, car elle travaillait à la boulangerie de notre super-marcher attend sa place à la maison des vieux.
Elle reste chez elle dans l’impossibilité de descendre même pour son pain et ses courses qui lui sont apportés par son aide ménagère et le cinquième où Annie regarde les feux de l’amour.
De plus, elle a déjà du mal à descendre et remonter avec son gros cul.
Quant à Victor, c’est l’heure de faire son Tiercé pour demain et il est sur l’ordi.
L’immeuble pourrait s’effondrer qu’il resterait stoïque.
C’est à ce moment que je prononce des mots.
• Allée, bourre-moi avec ta grosse queue, bayonne moi avec ta main, je risque de hurler !
Ce coup-ci, je suis à genoux sur mon sac-poubelle.
Nous avons changé la marque pour qu’ils soient plus costauds afin de m’éviter d’avoir mal aux genoux comme la première fois où il m’a prise comme ça.
Je sais comme à chaque fois qu’il me baise que mes cris pourraient ameuter le peu de personnes et nos conjoints.
Voilà, ce matin nous faisons notre jogging avec Amadou du dimanche.
Nous avons profité de notre expulsion pour expulser nos conjoints et de nous trouver un petit nid d’amours.
Pour certains, je suis une cougar, Amadou à 24 ans.
Je m’en fiche, j’ai retrouvé un travail, au super-marcher.
Je suis passé du rayon fromage au rayon poissonnerie, Victor ayant donné son compte pour retourner avec son couteau sur les chalutiers.
• Arrêtez, monsieur dames, ça va sauter dans deux minutes.
Ça saute et les presque cent mètres d’immeuble s’écroulent comme un château de cartes devant nos yeux.
A1, B1, C1...
Notre escalier disparaît à tout jamais.
Je me blottis dans les bras d’Amadou nostalgique de nos moments passés dans cette cage d’escalier.
Ça fait plusieurs semaines que je me fais baiser, je peux littéralement employer ce mot tellement notre rapport est bref et intense entre Amadou, ce grand noir d’origine sénégalaise et moi.
Tout a commencé donc plusieurs semaines auparavant alors que je me faisais couler un bain.
J’étais seule, Victor était parti à son travail au super-marcher où il exerce le métier de poissonnier.
Il était marin pécheur et il y a dix ans finissant par avoir peur même par mer plate, je l’ai fait changer de métier.
Enfin, changer un peu de métier.
Car écailler, vider et lever les filets des carrelets, soles et autres poissons qu’il prépare avant de les vendre à ses clientes, il faisait pareil sur le chalutier quand la masse de poisson sortait du chalut.
Pour ma part, je suis au chômage.
Je travaillais dans ce même super-marcher quand il y a eu restriction du personnel et que j’ai fait partie de la charrette.
• Salut Agnès, tu vas prendre ton bain !
• De quoi te mêles-tu Amadou, je descends chez toi pour te demander si tu te laves régulièrement.
• Dis que je pus, non, j’ai une entrée d’eau chez nous et ça semble venir de ta salle de bains.
J’ai entendu l’eau couler et me voilà, je peux regarder !
• Excuse d’avoir été agressive, je me suis engueulée avec Victor, il dit que je devrais faire plus d’efforts pour retrouver du travail.
• Il semble que toi et moi ayons des soucis avec nos conjoints, c’est de plus en plus difficile avec Annie.
• Depuis que je la connais, je te comprends, chaque fois que je la croise, elle a toujours des pensées négatives, je sais que c’est dû à son poids.
• Oui, ça l’aide, elle fait régime sur régime.
• Et chaque fois elle prend deux kilos de plus.
• Va, regarde.
Il s’agenouille devant la trappe de visite de ma baignoire et l’eau continuant à monter, il allume la lampe qu’il a apportée et passe sa main.
• Aie.
Il sort sa main qui saigne sur le côté.
Je m’accroupis, le peignoir s’ouvrant montrant à Amadou ma chatte épilée.
J’aimais ma grosse touffe noire jusqu’au jour où est venue l’idée à Victor de me raser tout ça.
Nous avions des jeux érotiques dans ce temps-là.
Il me badigeonnait de crème à raser et finissait une fois qu’il avait passé le couteau lui servant sur son chalutier puis à la poissonnerie, il me rinçait et me bouffait la chatte.
Son couteau offert par son père lors de son premier embarquement sur un chalutier et qu’il aiguise même le soir en regardant la télé, coupant mieux qu’une lame de rasoir.
Nos jeux ont cessé et maintenant je vais me faire le maillot chez l’esthéticienne.
• Je me suis coupé à un morceau de ferraille qui maintient la baignoire.
• Je vais te soigner.
Il se lèche la main avec ses grosses lèvres.
Qui de lui ou de moi avons défait sa ceinture de son pantalon.
Impossible à le dire, dans le brouillard, certainement dû à l’eau chaude, remplissant la baignoire.
Sa grande verge noire est venue sans que je le veuille, quoi que, dans ma main.
Qui de lui ou de moi m’a permis de m’assoir à califourchon m’empalant littéralement.
La chevauchée fantastique, je montais et je descendais sur cette magnifique verge déchirant un peu plus à chaque fois mon contrat de fidélité de mon mariage.
Je m’empalais de plus en plus frénétiquement que lorsqu’il a giclé en moi je me suis tendu comme la louve lubrique que j’étais devenue.
À quarante ans, je devenais accro à cet homme, non, plutôt à la verge noire de mon voisin du dessous.
On s’est quitté, je suis rentrée dans mon bain.
Avant que je mette les sels, je voyais les spermatozoïdes bien blancs eux, sortir de mon vagin et se dissoudre dans l’eau.
Je savais ma pilule me protégeant et j’ai essayé d’oublier mon comportement ce jour-là.
Une simple goutte d’eau a fait tout dérailler.
Le vide-ordure dans cet immeuble vétuste et voué dans les jours prochains à la démolition s’est bouché.
Le syndic refuse d’engager des travaux pour le peu de temps qu’il nous reste avant sa démolition.
Bien sûr, c’est moi qui me tape les six étages pour descendre la poubelle.
Tout allait bien jusqu’au soir où Amadou a fait la même chose et que nous nous sommes retrouvés dans la plénitude de ce mot, nous jetant littéralement dans les bras l’un de l’autre, nos bouches pour la première fois.
Ça s’est fait au détriment de nos sacs-poubelles qui ont littéralement explosé quand nous les avons piétinés.
Sa main cherchait sa verge, la sienne ma chatte.
Nous nous sommes trouvés et il m’a fait décoller de terre pour m’empaler, ce coup-ci debout mon dos rencontrant les grosses poubelles.
Nous allions avoir un emportement bien plus fort que dans ma salle de bains, mais nous avons entendu un bruit venant de l’escalier.
En catastrophe, nous nous sommes rajustés, par chance, il m’avait laissé ma petite culotte passant sur le côté pour me pénétrer.
Il m’a suffi de rajuster mon corsage et lui de rentrer sa queue.
• Nos sacs ont littéralement explosé.
• Laissez, nous allons nettoyer, ça fait partie de mon travail.
L’homme qui est descendu, c’est l’employé de la société qui a été embauché après le départ de notre gardien.
Même problème que pour le vide-ordure, les cinq résidants en attente de reclassements dans de nouveaux immeubles plus récents de notre commune doivent subir tous ces désagréments.
Moins pour moi qui ai la bite d’Amadou.
Le jour suivant, nous nous organisons, rendez-vous 19 h 30 entre le 3e et le 4e.
Au 2e, mémé gâteau comme nous l’appelons, car elle travaillait à la boulangerie de notre super-marcher attend sa place à la maison des vieux.
Elle reste chez elle dans l’impossibilité de descendre même pour son pain et ses courses qui lui sont apportés par son aide ménagère et le cinquième où Annie regarde les feux de l’amour.
De plus, elle a déjà du mal à descendre et remonter avec son gros cul.
Quant à Victor, c’est l’heure de faire son Tiercé pour demain et il est sur l’ordi.
L’immeuble pourrait s’effondrer qu’il resterait stoïque.
C’est à ce moment que je prononce des mots.
• Allée, bourre-moi avec ta grosse queue, bayonne moi avec ta main, je risque de hurler !
Ce coup-ci, je suis à genoux sur mon sac-poubelle.
Nous avons changé la marque pour qu’ils soient plus costauds afin de m’éviter d’avoir mal aux genoux comme la première fois où il m’a prise comme ça.
Je sais comme à chaque fois qu’il me baise que mes cris pourraient ameuter le peu de personnes et nos conjoints.
Voilà, ce matin nous faisons notre jogging avec Amadou du dimanche.
Nous avons profité de notre expulsion pour expulser nos conjoints et de nous trouver un petit nid d’amours.
Pour certains, je suis une cougar, Amadou à 24 ans.
Je m’en fiche, j’ai retrouvé un travail, au super-marcher.
Je suis passé du rayon fromage au rayon poissonnerie, Victor ayant donné son compte pour retourner avec son couteau sur les chalutiers.
• Arrêtez, monsieur dames, ça va sauter dans deux minutes.
Ça saute et les presque cent mètres d’immeuble s’écroulent comme un château de cartes devant nos yeux.
A1, B1, C1...
Notre escalier disparaît à tout jamais.
Je me blottis dans les bras d’Amadou nostalgique de nos moments passés dans cette cage d’escalier.
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