COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le clafouti aux cerises (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le clafouti aux cerises (1/1)
À trente ans, un mari souvent absent pour son travail, deux enfants à l’école primaire qui mange à la cantine, car je travail de neuf heures à midi dans un magasin de chaussures.
Quand mon mari a le temps de s’occuper de moi, je suis une femme comblée, Thierry me fait l’amour en déchargeant après que j’ai eu mon plaisir.
De façon grivoise certaines diraient, après avoir pris son pied mais pour rester humble, je dois reconnaitre que les gros orgasmes m’échappent.
Depuis que j’ai pris mon travail pour casser l’ennui, quand je rentre dans notre pavillon en sueur en ce mois de juin, je prends un bain, me prélassant presque une heure.
Après m’être séchée, canapé avec un simple peignoir en soie légère sur mon dos.
Peignoir, dit ceinture, ceinture, dit pan qui s’ouvre et depuis ma jeunesse, je reconnais que j’aime me caresser.
La masturbation est dans mon A.D.N, à ce jour, tous ignorent que j’aime pratiquer l’onanisme.
Onanisme féminin, je sais, beaucoup peuvent penser que ce terme est réservé aux hommes, moi j’en suis presque fière du moment que Thierry est étranger à ce penchant.
En rentrant ce midi comme tous les mardis, je suis passée par le marché Saint-Pierre, j’y ai vu de magnifiques cerises.
Je me suis permis d’en ouvrir une, je voulais vérifier que les protéines animales étaient inexistantes.
Thierry adore les cerises, mais me fait des réflexions chaque fois qu’il en trouve une.
J’ai réussi à le piéger, lorsqu’il m’arrive d’avoir un doute, je les fais cuire dans un clafouti.
Celle que j’ouvre, est saine, mais inutile de prendre le risque, en deux temps trois mouvements avant de me rendre dans la salle de bains, je mets au four un de ses desserts favoris.
Le temps des cerises, ce sont les clafoutis au printemps ce sont les tartes aux pommes en hiver.
J’ai appris à vivre avec les saisons.
Comme je l’ai dit, je prends un bain pendant presque une heure, c’est le temps que ma maman à marquer sur la fiche qu’elle m’a offert le jour de mon mariage.
J’ai trouvé ce cadeau étrange, mais j’ai depuis compris pourquoi elle avait été mariée quarante ans avant que la mort les sépare, maman suivant papa de peu de chagrin.
Je coupe le four, je sors cette merveille bien gonflée, hélas, immanquablement mon clafoutis finira par retomber.
Si Thierry craint les petites bêtes, de mon côté, je m’en fiche royalement.
J’en ai gardé deux poignées que je sors de mon réfrigérateur.
Au début de mon mariage, je disais, Frigidaire, chaque fois Thierry me reprenait m’expliquant que ce mot était une marque du temps de mes grand-mères et qu’il fallait dire réfrigérateur.
Comme je l’ai encore dit, les pans de mon peignoir ont glissé.
D’une main, je me caresse pendant que de l’autre je prends des cerises dans la coupelle posée sur la table basse du salon et je la mange avant de récupérer le noyau.
Manque de synchro, ou volonté de me rafraichir la chatte, je sens la peau fraiche d’une cerise sur ma chatte.
C’est rafraichissant alors je la pousse en moi, la masturbation et le fruit me font un effet, un effet, un effet.
Je sais je me répète, dans l’impossibilité de parler tellement je jouis.
Là où Thierry peine à me satisfaire, une cerise fait le travail.
C’est une bouche qui me lèche qui me réveille.
Sous la décharge, j’ai dû m’endormir et Thierry est de retour.
• Ma chérie, j’ignorais que des cerises me remplaçaient agréablement.
Ta chatte est débordante de mouille, c’est quoi sous ma langue, c’est une cerise, tu te fais jouir en remplissant ta chatte de ces fruits rouges !
Je vais essayer de la retirer !
Sa langue va si profonde en moi qu’il a du mal à extirper cette cerise capricieuse de ma minette.
• Dommage, j’adore manger mes cerises ainsi, la coupelle est vide, attends, je reviens, j’ai une idée !
Il me quitte, mais revient rapidement avec le clafouti.
Il en prend un morceau avec ses doigts et me l’enfonce dans mon vagin avant de replonger manger gâteau et fruit.
Phénoménale, je peux dire que je pends un pied d’enfer avant qu’il me fasse descendre à l’étage inférieur et me prenne comme une bête.
Il est autant déchainé que moi, qui jouis sans discontinuer lorsque la boule montant en moi, éclate.
Thierry a bien pris le fait que je me masturbe y trouvant lui aussi énormément de plaisir.
Une de notre pratique sexuelle à changer depuis ce jour mémorable, régulièrement je lui fais des gâteaux qu’il déguste dans ma chatte.
Dernièrement, j’ai essayé le tiramisu, ma chatte a adoré et Thierry aussi, mais le canapé et ma moquette légèrement moins.
Depuis j’ai éliminé les desserts coulants comme la crème au chocolat noire dont nous raffolons.
J’aime frotter, mais après le coup du tiramisu, forcer à en avoir mal au poignet c’est plutôt limite surtout qu’ils restent des traces sur la moquette.
Je les vois régulièrement, Thierry après avoir pris son dessert, car il a été sage, ou plutôt parce qu’il aime me faire jouir, a fini par me prendre en levrette et mon nez était très près de ces petites tâches.
Aujourd’hui s’était clafouti aux cerises, là encore facile à faire.
On peut penser que le temps des cerises est revenu, pourtant nous sommes en plein hiver, ai-je dérogé à mes principes de manger au bon mont de la saison, fruits ou légumes frais.
Que nenni, le lendemain de ce jour béni ou mon mari m’a enfin fait découvrir le plaisir suprême à qui toute femme aspire, je suis retournée au marché, mais Saint-Michel.
Le saint Pierre est exclusivement le mardi alors que le Saint-Michel c’est le lendemain.
Mon marchant était là, j’ai été à deux doigts de le remercier pour l’effet que ses cerises avaient faite à mon mari, mais aurait-il compris sauf explication longue et laborieuse, voire grivoise.
J’en ai pris assez et j’en ai fait des sacs qui se trouvent au congélateur.
Je peux donc lui en faire plusieurs fois par an.
Dans sa recette, maman stipule bien qu’il faut garder les noyaux ce sont eux qui donnent un goût meilleur au clafouti.
Ma jouissance prise, je vais prendre mon bain.
J’ai une sensation bizarre, je mets deux doigts dans ma chatte, il est là, bien tapi au plus profond de mon intimité, avec du mal, je réussis à la faire sortir.
Quel importun, un noyau s’était caché là, bien au chaud, mais bien mouillé par ma cyprine.
Quand mon mari a le temps de s’occuper de moi, je suis une femme comblée, Thierry me fait l’amour en déchargeant après que j’ai eu mon plaisir.
De façon grivoise certaines diraient, après avoir pris son pied mais pour rester humble, je dois reconnaitre que les gros orgasmes m’échappent.
Depuis que j’ai pris mon travail pour casser l’ennui, quand je rentre dans notre pavillon en sueur en ce mois de juin, je prends un bain, me prélassant presque une heure.
Après m’être séchée, canapé avec un simple peignoir en soie légère sur mon dos.
Peignoir, dit ceinture, ceinture, dit pan qui s’ouvre et depuis ma jeunesse, je reconnais que j’aime me caresser.
La masturbation est dans mon A.D.N, à ce jour, tous ignorent que j’aime pratiquer l’onanisme.
Onanisme féminin, je sais, beaucoup peuvent penser que ce terme est réservé aux hommes, moi j’en suis presque fière du moment que Thierry est étranger à ce penchant.
En rentrant ce midi comme tous les mardis, je suis passée par le marché Saint-Pierre, j’y ai vu de magnifiques cerises.
Je me suis permis d’en ouvrir une, je voulais vérifier que les protéines animales étaient inexistantes.
Thierry adore les cerises, mais me fait des réflexions chaque fois qu’il en trouve une.
J’ai réussi à le piéger, lorsqu’il m’arrive d’avoir un doute, je les fais cuire dans un clafouti.
Celle que j’ouvre, est saine, mais inutile de prendre le risque, en deux temps trois mouvements avant de me rendre dans la salle de bains, je mets au four un de ses desserts favoris.
Le temps des cerises, ce sont les clafoutis au printemps ce sont les tartes aux pommes en hiver.
J’ai appris à vivre avec les saisons.
Comme je l’ai dit, je prends un bain pendant presque une heure, c’est le temps que ma maman à marquer sur la fiche qu’elle m’a offert le jour de mon mariage.
J’ai trouvé ce cadeau étrange, mais j’ai depuis compris pourquoi elle avait été mariée quarante ans avant que la mort les sépare, maman suivant papa de peu de chagrin.
Je coupe le four, je sors cette merveille bien gonflée, hélas, immanquablement mon clafoutis finira par retomber.
Si Thierry craint les petites bêtes, de mon côté, je m’en fiche royalement.
J’en ai gardé deux poignées que je sors de mon réfrigérateur.
Au début de mon mariage, je disais, Frigidaire, chaque fois Thierry me reprenait m’expliquant que ce mot était une marque du temps de mes grand-mères et qu’il fallait dire réfrigérateur.
Comme je l’ai encore dit, les pans de mon peignoir ont glissé.
D’une main, je me caresse pendant que de l’autre je prends des cerises dans la coupelle posée sur la table basse du salon et je la mange avant de récupérer le noyau.
Manque de synchro, ou volonté de me rafraichir la chatte, je sens la peau fraiche d’une cerise sur ma chatte.
C’est rafraichissant alors je la pousse en moi, la masturbation et le fruit me font un effet, un effet, un effet.
Je sais je me répète, dans l’impossibilité de parler tellement je jouis.
Là où Thierry peine à me satisfaire, une cerise fait le travail.
C’est une bouche qui me lèche qui me réveille.
Sous la décharge, j’ai dû m’endormir et Thierry est de retour.
• Ma chérie, j’ignorais que des cerises me remplaçaient agréablement.
Ta chatte est débordante de mouille, c’est quoi sous ma langue, c’est une cerise, tu te fais jouir en remplissant ta chatte de ces fruits rouges !
Je vais essayer de la retirer !
Sa langue va si profonde en moi qu’il a du mal à extirper cette cerise capricieuse de ma minette.
• Dommage, j’adore manger mes cerises ainsi, la coupelle est vide, attends, je reviens, j’ai une idée !
Il me quitte, mais revient rapidement avec le clafouti.
Il en prend un morceau avec ses doigts et me l’enfonce dans mon vagin avant de replonger manger gâteau et fruit.
Phénoménale, je peux dire que je pends un pied d’enfer avant qu’il me fasse descendre à l’étage inférieur et me prenne comme une bête.
Il est autant déchainé que moi, qui jouis sans discontinuer lorsque la boule montant en moi, éclate.
Thierry a bien pris le fait que je me masturbe y trouvant lui aussi énormément de plaisir.
Une de notre pratique sexuelle à changer depuis ce jour mémorable, régulièrement je lui fais des gâteaux qu’il déguste dans ma chatte.
Dernièrement, j’ai essayé le tiramisu, ma chatte a adoré et Thierry aussi, mais le canapé et ma moquette légèrement moins.
Depuis j’ai éliminé les desserts coulants comme la crème au chocolat noire dont nous raffolons.
J’aime frotter, mais après le coup du tiramisu, forcer à en avoir mal au poignet c’est plutôt limite surtout qu’ils restent des traces sur la moquette.
Je les vois régulièrement, Thierry après avoir pris son dessert, car il a été sage, ou plutôt parce qu’il aime me faire jouir, a fini par me prendre en levrette et mon nez était très près de ces petites tâches.
Aujourd’hui s’était clafouti aux cerises, là encore facile à faire.
On peut penser que le temps des cerises est revenu, pourtant nous sommes en plein hiver, ai-je dérogé à mes principes de manger au bon mont de la saison, fruits ou légumes frais.
Que nenni, le lendemain de ce jour béni ou mon mari m’a enfin fait découvrir le plaisir suprême à qui toute femme aspire, je suis retournée au marché, mais Saint-Michel.
Le saint Pierre est exclusivement le mardi alors que le Saint-Michel c’est le lendemain.
Mon marchant était là, j’ai été à deux doigts de le remercier pour l’effet que ses cerises avaient faite à mon mari, mais aurait-il compris sauf explication longue et laborieuse, voire grivoise.
J’en ai pris assez et j’en ai fait des sacs qui se trouvent au congélateur.
Je peux donc lui en faire plusieurs fois par an.
Dans sa recette, maman stipule bien qu’il faut garder les noyaux ce sont eux qui donnent un goût meilleur au clafouti.
Ma jouissance prise, je vais prendre mon bain.
J’ai une sensation bizarre, je mets deux doigts dans ma chatte, il est là, bien tapi au plus profond de mon intimité, avec du mal, je réussis à la faire sortir.
Quel importun, un noyau s’était caché là, bien au chaud, mais bien mouillé par ma cyprine.
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