COLLECTION HISTOIRE COURTE. Ma deuxième vie sexuelle (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Ma deuxième vie sexuelle (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Ma deuxième vie sexuelle (1/1)
Je m’appelle Florence, caractéristiques, j’en ai plusieurs !
J’ai quarante-huit ans, veuve depuis deux ans, une fille de vingt ans France et dernière caractéristique, je suis ce que l’on appelle ronde.
C’est à la suite de ma grossesse et mon addiction au chocolat que mes formes on prit du volume.
Dans ma jeunesse lorsque j’ai rencontré Norbert, j’étais vierge et quelque part, je le suis restée.
Je veux dire part là, que le sexe et nous, avec Norbert, c’est toujours passer de façon rapide dès nos premières fois et encore plus après la naissance de France.
Rapidement les coups derrière des buissons se sont transformés en coup de nuit.
Il passait sa main, même si ça me réveillait.
Je savais ce qu’il me restait à faire, je me retournais, j’écartais mes cuisses en soulevant ma chemise de nuit et il me pénétrait.
Impossible de jouir, alors qu’il avait déjà déchargé.
Je me suis reportée sur l’entretien de ma maison et à mon travail dans une usine de conserves.

Il y a deux ans, mon mari Norbert passionné de pêche est parti à l’aube, c’était son obi comme le ménage l’était devenu pour moi.
Le dernier jour avant les vacances, le patron a réuni tous le personnel dans notre salle de repos sans que l’on sache pourquoi.
Licenciement général, car notre usine était devenue insalubre et à soixante-dix ans, les frais à engager l’obligeaient à mettre la clef sous la porte.
Avec les services officiels, il avait en vain cherché un repreneur, mais le tribunal de commerce venait de lui confirmer la fermeture définitive.
Bref, je me retrouvais au chômage, ce qui me laissait du temps pour retrouver un travail.
Trente ans à éviscérer des sardines, j’avais bien mérité de faire comme les autres, glander en attendant mon chèque mensuel.
Fin juin licenciement et 14 juillet veuve, certains pourraient dire année de merde.
Ce fut le cas, mais pas entièrement.
Comme à son habitude, le jour de la fête nationale Norbert était parti à l’aube à son cabanon.
Il y pêchait ses carpes dans notre grand étang avant de les remettre à l’eau.
Il les connaissait toutes et leur avait même donné un nom.

• Florence, aujourd’hui j’ai attrapé Irène, elle a bien grossi.
Regarde, je l’ai prise en photo avant de la remettre à l’eau.

J’étais contente d’avoir des nouvelles d’Irène, même si j’en avais rien à foutre.
Comme je l’ai dit, il prenait des photos et dans son garage, je dis bien son...
Car si j’aime frotter, cet endroit, m’était interdit.
Irène, Gaëtan, D’Artagnan ou autres Agathe s’étalaient devant moi au fil de leur vie et de leur connerie de venir manger les boulettes qu’il confectionnait lui-même foutant un bordel dans ma cuisine.
Ça me donnait l’occasion chaque fois de la récurer de fond en comble, vidant mes placards pour traquer le moindre gramme de poussière.

Bref ce 14 juillet, je l’attendais pour manger, car il m’avait promis de m’emmener sur la plage regarder le feu d’artifice de la ville.
À 20 heures, je me suis inquiétée, je suis allée jusqu’à l’étang à deux pas de la maison.
Il était là les bras en croix face dans l’eau.
Je suis remontée à la maison en courant appeler les secours.
Enquête, hydrocution foudroyante, sa ligne s’étant prise dans des roseaux.
Comme je l’avais vu faire de nombreuses fois lorsque je me faisais bronzer devant son cabanon, il descendait dans l’eau jusqu’à sa poitrine pour récupérer sa ligne et ainsi faire des économies.
C’était là un trait de son caractère, même si nous sommes en temps de relative pénurie et qu’il faut faire des économies d’énergie.
Chez nous rien à gratter, il faisait la chasse à tout gaspillage toute l’année.

Plus de boulot, plus de mari, mais hors de danger financier grâce à l’assurance-vie qu’il avait souscrite sans me le dire, avec 3 000 € plus mon chômage comme l’avait dit un président avec 4 000 €, j’étais riche.

Je profite de ce que France est partie en vacances avec Sylvie, son amie sur la côte.
J’entre dans sa chambre pour mon grand nettoyage annuel, c’est la seule fois où j’aurais le champ libre.
J’arrive devant l’armoire, les étagères sont mon principal objectif, ce sont des nids à microbes.
Dans le bas, un carton à chaussures, le couvercle tombe lorsque je le saisis, ma vie s’accélérant d’un coup.
Un beau gode violet, sans pile se trouve à l’intérieur avec son journal intime de jeune fille.
Gode, veut dire pénétration, ma fille est une femme sans que je m’en sois aperçu.
Un garçon, ou et quand même si elle sort avec Sophie toutes les fois.
Ce que je vais avouer est mal, mais quelle mère trouvant le livre de jeune fille de sa fille, le pose sans le regarder.
J’y trouve un élément m’apportant une nouvelle vision de la vie de ce qui reste de notre famille.
Sophie, Sophie et encore Sophie, jusqu’à son dépucelage et le gode que les filles ont acheté et que j’ai devant les yeux.
Ma fille est lesbienne sans que j’aie vu venir sa transformation s’il y a transformation en devenant lesbienne.
Un gode, je range le journal et je l’emmène dans mon salon.
La lecture de certains passages croustillants a réveillé au fond de moi des sensations déjà ressenties, mais vite éteintes par la rapidité des coïts avec Norbert.
J’ouvre mon peignoir une fois assis et je me plonge le gode bien au fond de ma grotte.

• Madame Florence, vous êtes là, c’est Hugo, je viens tondre votre pelouse comme maman me l’avait demandée avant de partir avec mon père en vacances.
Mais qu’est-ce que vous faite, vous êtes folle de vous enfiler un machin comme ça dans la chatte alors qu’il y a des jeunes comme moi qui cherche à avoir des rapports avec des vous.

J’avais complètement oublié la tonte de la pelouse et Hugo qui devait venir.
Je me retrouve avec sa verge à deux doigts de mon visage, ayant simplement descendu son short.
Pourquoi refuser le présent qu’il me fait surtout que le gode bien au chaud, comme il est, commence sérieusement à me chauffer ?
La verge de Norbert me paraît bien fade et bien lointaine, certes, avec sa mort.
Mais aussi du temps de notre mariage, car je la voyais seulement quand je venais au cabanon et que sans prendre de précaution il la sortait pour pisser un coup.
J’avais une chaise longue et jamais l’idée de me baiser lui est venue alors que je me saurais laisser faire.

• Suce ma belle, si tu le veux bien sûr, j’adore les femmes d'âge mûr, il y a longtemps que je lorgnais sur toi.

Apprendre que ce jeune homme en pinçait pour moi m’apporte une jouissance en le suçant, jamais ressentie.
Pour la première fois de ma vie lorsqu’il arrache le gode de ma fille et qu’il se penche pour me caresser et finir par me mettre ses doigts, je sens qu’une chose inconnue va se déclencher en moi.
Une première jouissance alors que j’ai une bitte pour la première fois dans ma bouche.
Ses doigts puis sa verge qu’il sort de ma cavité buccale pour me l’enfoncer bien profond et labourer ma terre presque vierge penant de long minute .
À sa demande, me retrouver en levrette sur mon canapé sa bouche venant me bouffer littéralement ma chatte me fait partir sur des sommets inconnus du temps de Norbert.
Je vis, je nais, plutôt l’inverse, mais mon corps lui appartenant, je suis dans l’incapacité de dire combien de fois dans ce premier coït, la boule en moi vient exploser.
Quand je fais le ménage conformément aux recommandations j’aère.
Par chance, la seule maison près de la mienne est celle de Jacqueline, mère de Hugo.
Elle est présentement partie en vacances avec son nouvel amant, un vieux de quarante ans.
Avant et après la mort de Norbert, j’aurais pu comme elle, accumuler les amants surtout quand je sentais une certaine frustration.
Mais j’avais pris une autre voie, le ménage, que rapidement Hugo m’aide à m’en sortir.
C’est sans aucun scrupule que je hurle mon plaisir si longtemps réfréné.
Il va de soi, que c’est trois jours plus tard que j’entends du fond de mon lit où il vient de me déchirer me laissant pantelante sur mon lit, pardon notre lit que j’entends le moteur.
La tonte certainement terminée, il revient vers moi couvert de sueur.
Ça sent l’homme, ça put l’homme, mais lorsqu’il carte mes cuisses, j’ouvre les yeux pour le voir regarder ma chatte.

• Florence, je vais te raser la chatte, j’adore les femmes rasées et ton buisson est trop grand, j’ai trouvé un rasoir avec du savon à barbe.

C’est à ce moment que Norbert revient à la surface, ce rasoir et le savon étaient les siens et je les avais bêtement laissés dans ma salle de bain, même lorsque je l’ai récuré.
Il va de soi que les balades et les parties de jambes en l’air, toutes les fois me faisant jouir de plus en plus ont rendu ma maison plus près d’une bauge que de ce qu’elle était avant qu’Hugo devienne mon amant.
Si vous saviez ce que je m’en fiche.
En ce moment, il me baise dans ma cuisine, carrement sur la table ayant écarté les restes de pizza que nous avons fait livrer hier au soir.
Il reste des fraises dans le frigo et aussi de la chantilly que nous avons achetée ensemble nous affichant sans vergogne comme les amants que nous sommes.
J’ai croisé quelques connaissances semblant offusqué dont je m’affiche avec un tel jeune home.
J’attrape la bombe et j’en mets sur nos sexes, ça me rafraichit quelques instants et ça a pour bénéfice de lubrifier ma chatte et sa verge lorsqu’il me pilonne.
Il me retourne mes seins sur la table.
Je sens qu’il m’en met dans la chatte et sur mon anus.
Il me lèche consciencieusement en remettant une couche de temps en temps.
Va-t-il oser l’impensable.
Eh oui, une nouvelle couche sur mon anus et je sens sa verge me déchirer, il me sodomise pour mon plus grand plaisir, dès la première fois, il m’apporte une jouissance lorsqu’il me caresse mon clito.

• Maman que fais-tu avec Hugo, c’est innommable.

C’est France qui est entrée avec Sophie et qui me trouve dans la cuisine sans équivoque de ce que nous faisons.

• Ma chérie, je t’adore, mais laisse-moi vivre ma nouvelle sexualité, comme tu vis la tienne avec Sophie quand tu lui suces la chatte.
• Maman, je vois que tu as trouvé notre gode, tu as dû lire mon journal intime.
Avec Sophie, je t’annonce que l’on va se marier, nous sommes parties en montagne ensemble pour voir si notre union est durable, ce fut le cas.

Voilà tout est dit, de façon brutale, mais c’est dit.
Je vous quitte, je dois aller laver.
Pas de méprise, ma cuisine ?
Non, la bite de Hugo dans notre salle de bain avec ma bouche pour commencer.

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