COLLECTION HISTOIRE COURTE. Mère et fille deux belles salopes (1/1) - histoire érotique

• Maman, regarde ce film trouvé sur mon portable, peux-tu me confirmer que c’est toi qui joues dans ce film des années 70 ?
Je l’ai trouvé sur Internet.
• Ma chérie, Georgette, je vois bien, le début de ces images, c’est un sosie, tout le monde a son sosie sur cette terre.
• Maman, comment peux-tu me prendre pour ce que je ne suis pas, regarde cette photo sur la cheminée.
Peux-tu me dire quelle différence il y a entre elle et les images de cette femme dans ce film porno ?
• Un sosie, je te dis que c’est un sosie, je vois qu’elle se déshabille et que le gars qui est avec elle sort sa queue de son pantalon.
Tu me vois faire ça, ma chérie !
• Tu as joué dans un porno, voire des pornos, je suis tombée sur celui-là, peux-tu me jurer que ce n’est vraiment pas toi ?
• Ma chérie, tu sais que j’ai le mensonge en horreur, comment te dire que si j’ai tourné ce film et treize autres, au départ ce fut un concours de circonstances.
• Explique-toi, il y a n
• Moins de trois secondes, c’était un sosie et là, tu me dis que c’est toi qui maintenant suces ce mec qui doit être l’acteur du générique Joe Belle Bite, il porte bien son nom.
J’ai retenu son nom au départ de ton film, Lilly Belle Gueule, ils auraient pu trouver mieux.
• Tu me parles sans être courroucée, je serais à ta place, je serais morte de honte d’avoir découvert que ta petite maman est une salope.
• Salope, tu peux le dire, j’ai regardé l’intégralité de ce film, tu te fais prendre sur le capot de cette vieille 403 Peugeot et dans un autre plan on voit nettement que tu te fais sodomiser.
De toute façon, lorsque avec celui qui joue ton mari dans ce film, Louis La Tanche, tu en as bien une dans ta chatte et une entre tes fesses ?
• Cette sodomie et cette double pénétration, c’était ce jour-là ma première fois.
J’étais en vacances chez ta grand-mère et j’avais emprunté son vélo pour rejoindre Pierre ton père au bord du lac de la Salaison.
J’avais vingt-trois ans et j’étais mariée depuis trois ans.
Au bord du lac, ton père était absence, il s’était arrêté au village avec notre voiture pour faire jouer au PMU et boire un verre.
Il avait rencontré un copain d’enfance, mais une équipe de tournage était là pour faire ce porno.
La Sauterelle, actrice principale se tenait près de Birout le réalisateur et pleurait toutes les larmes de son corps.
Ses règles venaient de se déclencher avec quinze jours d’avance.
Il leur fallait tous remballer et rentrer à Paris alors que la caméra était chargée.
Je te rappelle que nous étions dans les années 70 et que ces films s’étaient comme des jeux.
Les gens commençaient à découvrir la sexualité, après mai 68, j’en faisais partie et sur ce point ton père était loin de me satisfaire.
Ce fut le cas pour moi, du sexe avec ton père, je ne connaissais que son corps sur le mien et sa bite, celle qui m’avait défloré.
Tu vas me prendre pour une demeurée, mais j’ignorais tout du sexe et ce que jouir veut dire.
Pour sauver le film, c’est moi qui ai suggéré de remplacer l’actrice défaillante.
Birout a vu une opportunité de sauver son film, j’avais déjà une gueule d’ange et j’ai suivi ce qu’il me demandait de faire, ce fut ma première sucette, fellation si tu préfères !
Je dois te dire que lorsque Joe Belle Bite, me prend sur le capot de la Peugeot 403, je m’agrippe d’une main à un essuie-glace et de l’autre à l’antenne de radio.
Crois-moi, lorsque je casse l’une et après l’autre, c’est au moment où je découvre l’orgasme, ce qui n’était pas le cas avec ton père, j’ignorais même qu’une femme pouvait jouir.
Dans la foulée, encore chamboulée de ce qui venait de m’arriver, j’ai perdu ma virginité anale et il m’a fait faire cette double pénétration me faisant repartir vers les sommets de mon plaisir.
• Pourquoi as-tu tourné d’autres films comme tu viens de me l’avouer, treize autres si j’ai bien entendu ?
• Birout a fait appel à moi, car j’étais devenue une icône des films pornographiques et je ne jouis que devant la caméra.
Comme ce jour-là sur le capot de cette 403 avec ton père, surtout prit par deux bites simultanément !
Tu comprendras que je veuille recommencer, hors du champ, je suis comme morte de l’intérieur.
• Que me dis-tu, ou alors tu en as trop dit, tu viens de dire mon père, détrompe-moi, Joe Belle bite, c’est mon père, Pierre n’est pas le mien ?
• Non, c’est Adrien Lemoine, le nom réel de Joe Belle Bite, tu me parles de ma photo me ressemblant, si tu as bien regardé ce film, tu lui ressembles trait pour trait.
Blonde aux yeux bleus alors que Pierre et moi son brun de peau et de cheveux, dans ces années-là, nous baisions et tournions sans capote.
• Tu sais où il est, je veux le rencontrer !
• Oui, au cimetière du Père-Lachaise où j’étais pour son enterrement, il est mort du sida.
• Il aurait pu te contaminer si tu as continué de tourner avec lui !
• Non, avec lui ce fut le seul film, c’était le temps où bon nombre d’acteurs se sont mis au porno gay.
Et après, le sida est arrivé, ce fut le premier acteur gay qui fut contaminé et après la capote a été obligatoire avec Birout.
• Tu me rassures, moi, aussi je suis une belle salope, lorsque tu es partie pour la Martinique la semaine dernière, serais-tu allé tourner ?
• Oui, il sortira avec comme titre « Deux chattes en chaleur ».
Pourquoi me dis-tu que tu es une belle salope ?
• Le lendemain de ton départ Pierre celui que je considérais comme mon père est venu dans ma chambre sous couvert de me réveiller pour que j’aille à mes cours.
Il faisait chaud, j’étais nue sur mon lit, il s’est assis et m’a caressé la poitrine, mes fraises se sont excitées et je l’ai laissé me caresser la chatte !
• Je comprends, il t’a baisé et tu as cru être ma petite fille incestueuse.
• Pas jusque-là, je dois reconnaitre que tu étais loin de mes pensées.
Lorsqu’il a sorti sa bite, tu as raison fort peu développée, j’ai surtout vu mon plaisir.
Mais si tu me dis qu’il m’a baisé en levrette alors que ce n’est pas celui que je croyais qu’il était, je suis plus satisfaite, surtout que comme toi, j’ai été loin de jouir.
• Y a-t-il longtemps que tu t’es fait dépuceler ?
• Deux ans, je suis bien ta fille, depuis je me pose la question, j’aimerais que mon corps s’embrasse, peux-tu m’aider.
• J’ai une idée, Birout m’a dit en nous quittant en Martinique qu’il préparait un film sur la côte, « Mère et filles deux belles salopes. »
Et si nous le tournions ensemble !
• Tu ferais ça pour moi, je dois te dire que j’ai abandonné mes études, je suis nulle, on dit telle mère, telle fille, bien sûr appel le !
• Attends, tu vas trop vite, je dois te faire un autre aveu !
• J’ai peur du pire, maman !
• Non, je veux t’éviter le pire, de nouveau si tu es blonde et nous brun c’est que tu n’es pas notre fille.
Je viens de te dire que Joe belle Bite est ton père, mais ta mère c’est Sauterelle, Louise Legras dans la vie.
Elle est morte elle aussi du sida contaminé par ton géniteur dans les mois après sa contamination.
Il tournait des films gay, mais avait des rapports avec ta maman.
Ils voulaient te mettre à l’assistance et c’est là que ton père et moi nous avons fait les démarches pour t’adopter.
• Déshabille-toi, tu vas te gouiner avec moi, nous serons opérationnels lorsque nous serons sur le tournage.
J’ai vu le scénario, deux belles salopes car en plus de quatre mecs la mère et la fille ont des rapports entre elles.
Comme ici, il y aura une piscine et je sais que personnellement je vais jouir comme une folle.
• Maman, même si tu ne l’es pas pour moi, tu le seras toujours sauf sexuellement.
Bouffe-moi la chatte, mais je suis déjà une bonne lesbienne, avec Patou ma copine, si nous avons loupé nos études, c’est que je me gouine avec elle !
• Ma chérie, demande à Patou si elle veut venir tourner avec nous !
Birout est à l’affut de nouvelles jeunes actrices, deux d’un coup, il va être très satisfait de ma collaboration.
• Maman suce mon clito, on se posera la question après si nous sommes deux salopes même si pour certains, nous sommes incestueuses.

Il faut bien trouver un métier dans la vie lorsqu’on est nulles pour les études, sauf celle de l’anatomie, féminine ou masculine.
Ça me rappelle une vieille chanson sur Internet, à oui, la voilà.
Sacha Distel beau gosse lui aussi et si j’en crois les commentaires, un chaud lapin, du moins amateur de belles femmes.

« Scandale dans la famille, » dont voilà les paroles.

A Trinidad, tout là-bas aux Antilles
A Trinidad, vivait une famille
Y avait la Mama et le Papa et le grand fils aîné
Qui, à quarante ans n'était toujours pas marié
Un jour il trouva, la fille qu'il voulait
Et dit à son père : "Je voudrais l'épouser."
Hélas mon garçon, hélas, tu n'peux pas
Car cette fille est ta sœur et ta mère ne l'sait pas
Oh Papa, quel malheur
Quel grand malheur pour moi
Oh Papa, quel scandale
Si Maman savait ça
Deux ans passèrent et le garçon, un soir,
vint trouver son père et lui dit, plein d'espoir:
"La maîtresse d'école veut bien m'épouser"
Mais le pauvre père prit un air accablé:
Mon fils tu n'peux pas tu n'peux pas faire ça
Car cette fille est ta sœur et ta mère ne l'sait pas !
Oh Papa, quel malheur
Quel grand malheur pour moi
Oh Papa, quel scandale
Si Maman savait ça
Dix ans après, il revint tout ému
Et dit à son père, "Devine ce que j'ai vu !"
Dans la plantation, on vient d'embaucher
Plus de cinquante filles du village d'à côté
Hélas mon pauvre enfant les Dieux sont contre toi
Toutes ces filles sont tes sœurs et ta mère ne l'sait pas
Oh Papa, quel malheur
Quel grand malheur pour moi
Oh Papa, quel scandale
Si Maman savait ça
A bout de patience, il s'en fut écœuré
Raconter à sa mère toute la vérité
Sa mère se mit à rire et lui dit : "Ne t'en fais pas
Ton père n'est pas ton père et ton père ne le sait pas"
Oh Mama, quel bonheur
Quel grand bonheur pour moi
Oh Mama, quel scandale
Si Papa savait ça.

N’est-ce pas, en quelques paroles, ce que représente ma vie.