COLLECTION HISTOIRE COURTE. On s’était donné rendez-vous le jour de nos 70 ans (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. On s’était donné rendez-vous le jour de nos 70 ans (1/1)
• Bon anniversaire ma chérie.
• À toi aussi Christian, bon anniversaire.
• Mon dieu, même si je suis athée, mon dieu que la vie a filé à vitesse supersonique.
J’ai l’impression de l’avoir franchi aussi vite qu’une fusée allant sur Mars.
• Reste sur terre, sur Mars à cette heure, il est possible d’y aller, mais sans espoir de retour, or j’ai encore besoin de toi pour traverser le reste de ma vie.
• Te souviens-tu du jour de nos noces, il y a pile 50 ans.
Nous sommes nés le même jour presque à la même heure.
Nous nous sommes mariés le même jour et à la même heure.
• Ça s’était facile, mais que le curé et le maire accepte de faire notre cérémonie le jour de nos anniversaires, heureusement que c’était mon père qui était maire et son frère le curé.
• Es-tu prête à ce que nous nous fassions l’aveu de nos tromperies toute au long de notre vie s’il y en a eu ?
• Bien sûr, j’ai juré cracher et je vais t’avoué si j’ai donné des coups de canif dans notre contrat.
• Tu te souviens de notre conversation qui commencerait et l’un ou l’autre nous restions sur nos positions, mais avec ta grande logique Vicky, c’est toi qui as trouvé la solution.
• Oui, et j’ai tout préparé comme il était dit.
Deux papiers et deux stylos.
Un dé, le plus gros chiffre dévoile sa feuille.
Un deuxième coup de dés si nécessaire et c’est celui qui aura là encore le plus gros chiffre qui avouera sa première tromperie.
Écrivons notre nombre.
Bien, prend le dé, lance pour savoir qui dévoile sa feuille.
• Non, honneur aux dames.
• Bon j’y vais, on a tous prévu sauf qui lance le dé.
On va mettre encore deux heures, je lance 5.
À toi !
• 5, il faut relancer.
Ce coup si, je lance, 6, merde.
• 4, montre-moi ta feuille.
• C’est facile, je t’ai trompé une fois !
• Moi, regarde, une fois aussi !
• C’est incroyable, une fois chacun, lançons pour savoir qui commence à raconter.
• 6, merde, je vais commencer.
• Eh oui, 2, alors ou quand, comment mais surtout avec qui ?
• Quand je vais te dire ou et avec qui, tu vas être fâché.
C’était le jeu et soit sûr que je respecterais ma parole Christian.
Nous sommes adultes à 70 ans et une petite tromperie, on dira que c’était la marge d’erreur de notre couple.
• Tu as raison.
Voilà...
J’ai tout de même du mal à ce que ça sorte.
• Je t’ai trompé dans la soirée de nos noces avec Véronique, ta jumelle.
• Tu as sauté ma sœur avant notre nuit de noce !
• Oui, et je l’ai dépucelé.
Elle te cherchait pour aller dans la voiture que Charles mon témoin conduisait ayant perdue une boucle d’oreille de votre grand-mère.
Tu te souviens c’était une Renault type E de 1900 qu’il avait entièrement refait.
Elle se souvenait qu’elle était à côté de Charles étant, elle aussi ton témoin.
Nous avons cherché avec une petite lampe torche qu’elle avait apportée et étant par-derrière, j’ai soulevé sa robe de demoiselle d’honneur et je l’ai enfilé.
J’ai réussi à la faire jouir dès sa première fois.
• La salope, depuis que nous étions adolescentes, elle me disait qu’elle se ferait dépuceler avant moi.
Elle a de la chance d’être morte, je l’aurais massacrée.
• Elle, puis après toi, dans la même nuit, je vous ai dépucelé toutes les deux.
• C’est là que tu te trompes Christian.
Moi aussi je t’ai trompé une fois.
Je te cherchais, car j’avais mal au pied.
Dans les toilettes, j’ai entendu un couple qui baisait.
Je me souviens des mots et des personnes les prononçaient.
« Baise-moi mon grand salop, depuis le temps que j’attends que tu m’enfiles. »« Encore, encore, ta bite est grosse celle de Léon est bien plus petite. »« Oui, remue ton cul comme tu sais le faire. »
• Qui se faisait donc baiser, tu vas avoir du mal à le dire, je vais le faire à ta place.
Gabrielle, ta mère et par qui ?
• Je l’ignore, mais tu vas me le dire.
• Oui, par le frère de ton père le curé et à leur dire ça se passait souvent.
Quand je suis revenue dans la salle, tu étais toujours absent, je comprends maintenant ce que tu faisais et ou !
• Qui s’appelle Léon dans ta famille.
• Ton père.
• C’est ça, il a la même voix que tonton, papa était dans la salle.
Ta mère se faisait sauter par un curé dans les toilettes.
C’est à ce moment que j’ai croisé Charles, ton témoin.
Il m’a proposé de m’accompagner dans les étages où j’avais préparé notre nid d’amours avec maman.
Je suis dans l’obligation de te détromper, tu crois nous avoir dépucelé les deux jumelles l’une après l’autre le soir de nos noces.
Tu vois loi aussi, je vais être entièrement franche.
C’est dans l’ascenseur qu’il m’a plaqué contre lui, une fraction de seconde j’ai failli résister.
Mais je me souvenais avoir hésité entre toi et lui lorsque nous nous sommes rencontrés.
Nous sommes rentrés dans la chambre, si toi tu baisais et dépucelais ma sœur, moi c’est dans les pétales de roses que maman avait mis sur le lit que j’ai écarté mes cuisses et qu’il m’a dépucelé.
Il a déchargé deux fois coup sur coup la première en missionnaire et après que je l’ai sucé, avant qu’il me prenne en levrette.
• Tu mens pour te venger de ta sœur, quand je t’ai pris, ma queue était remplie de sang lorsque je l’ai sorti.
• Quand nous nous sommes éclipsés et que tu m’as porté pour passer la porte de notre chambre, il y avait moins de deux heures que mon hymen s’était déchiré sous la bite de Charles.
• Quand tu m’as sauté, comprends que ma chatte était encore emplie de sang.
La seule chose que tu as eue pour toi, c’est que tu as fait le coq, car tu as cru me faire jouir dès la première fois.
• Ça me fait mal d’avoir été cocu dès les premières heures de notre vie commune, mais je te pardonne.
• C’est loin d’être sur quand je t’avouerais comment les choses se sont terminées.
Tes jumelles, leurs cheveux sont de quelle couleur ?
• Blonde.
• Tu es brun, je suis brune.
Des blondes avec des parents bruns, c’est plausible.
Combien de temps après cette soirée nos filles sont elle venue au monde ?
• Neuf mois.
• Je savais que je t’avais trompé avec un blond, sans te le dire.
J’ai eu des gros doutes, Charles a couché chez nous plusieurs fois.
• Vous avez recommencé chaque fois dans mon dos.
• Non, je t’ai dit une fois même si la première fois il m’a baisé deux fois.
Tu te souviens, je lui ai coupé les cheveux.
• Oui, chaque fois.
• J’en ai fait de même avec tes filles et je les ai envoyés à l’étranger pour un test ADN.
Tes filles sont ses filles, tu les as élevées alors qu’elle était de lui.
Je vois Christian se lever.
• Ou vas-tu ?
• Salope, je vais faire ma valise, tu auras des nouvelles de mon avocat.
Il quitte la pièce, un quart d’heure après valise en main, il a quitté la maison après 50 ans de mariage.
Toute vérité est dure à entendre.
C’était un petit joueur.
• À toi aussi Christian, bon anniversaire.
• Mon dieu, même si je suis athée, mon dieu que la vie a filé à vitesse supersonique.
J’ai l’impression de l’avoir franchi aussi vite qu’une fusée allant sur Mars.
• Reste sur terre, sur Mars à cette heure, il est possible d’y aller, mais sans espoir de retour, or j’ai encore besoin de toi pour traverser le reste de ma vie.
• Te souviens-tu du jour de nos noces, il y a pile 50 ans.
Nous sommes nés le même jour presque à la même heure.
Nous nous sommes mariés le même jour et à la même heure.
• Ça s’était facile, mais que le curé et le maire accepte de faire notre cérémonie le jour de nos anniversaires, heureusement que c’était mon père qui était maire et son frère le curé.
• Es-tu prête à ce que nous nous fassions l’aveu de nos tromperies toute au long de notre vie s’il y en a eu ?
• Bien sûr, j’ai juré cracher et je vais t’avoué si j’ai donné des coups de canif dans notre contrat.
• Tu te souviens de notre conversation qui commencerait et l’un ou l’autre nous restions sur nos positions, mais avec ta grande logique Vicky, c’est toi qui as trouvé la solution.
• Oui, et j’ai tout préparé comme il était dit.
Deux papiers et deux stylos.
Un dé, le plus gros chiffre dévoile sa feuille.
Un deuxième coup de dés si nécessaire et c’est celui qui aura là encore le plus gros chiffre qui avouera sa première tromperie.
Écrivons notre nombre.
Bien, prend le dé, lance pour savoir qui dévoile sa feuille.
• Non, honneur aux dames.
• Bon j’y vais, on a tous prévu sauf qui lance le dé.
On va mettre encore deux heures, je lance 5.
À toi !
• 5, il faut relancer.
Ce coup si, je lance, 6, merde.
• 4, montre-moi ta feuille.
• C’est facile, je t’ai trompé une fois !
• Moi, regarde, une fois aussi !
• C’est incroyable, une fois chacun, lançons pour savoir qui commence à raconter.
• 6, merde, je vais commencer.
• Eh oui, 2, alors ou quand, comment mais surtout avec qui ?
• Quand je vais te dire ou et avec qui, tu vas être fâché.
C’était le jeu et soit sûr que je respecterais ma parole Christian.
Nous sommes adultes à 70 ans et une petite tromperie, on dira que c’était la marge d’erreur de notre couple.
• Tu as raison.
Voilà...
J’ai tout de même du mal à ce que ça sorte.
• Je t’ai trompé dans la soirée de nos noces avec Véronique, ta jumelle.
• Tu as sauté ma sœur avant notre nuit de noce !
• Oui, et je l’ai dépucelé.
Elle te cherchait pour aller dans la voiture que Charles mon témoin conduisait ayant perdue une boucle d’oreille de votre grand-mère.
Tu te souviens c’était une Renault type E de 1900 qu’il avait entièrement refait.
Elle se souvenait qu’elle était à côté de Charles étant, elle aussi ton témoin.
Nous avons cherché avec une petite lampe torche qu’elle avait apportée et étant par-derrière, j’ai soulevé sa robe de demoiselle d’honneur et je l’ai enfilé.
J’ai réussi à la faire jouir dès sa première fois.
• La salope, depuis que nous étions adolescentes, elle me disait qu’elle se ferait dépuceler avant moi.
Elle a de la chance d’être morte, je l’aurais massacrée.
• Elle, puis après toi, dans la même nuit, je vous ai dépucelé toutes les deux.
• C’est là que tu te trompes Christian.
Moi aussi je t’ai trompé une fois.
Je te cherchais, car j’avais mal au pied.
Dans les toilettes, j’ai entendu un couple qui baisait.
Je me souviens des mots et des personnes les prononçaient.
« Baise-moi mon grand salop, depuis le temps que j’attends que tu m’enfiles. »« Encore, encore, ta bite est grosse celle de Léon est bien plus petite. »« Oui, remue ton cul comme tu sais le faire. »
• Qui se faisait donc baiser, tu vas avoir du mal à le dire, je vais le faire à ta place.
Gabrielle, ta mère et par qui ?
• Je l’ignore, mais tu vas me le dire.
• Oui, par le frère de ton père le curé et à leur dire ça se passait souvent.
Quand je suis revenue dans la salle, tu étais toujours absent, je comprends maintenant ce que tu faisais et ou !
• Qui s’appelle Léon dans ta famille.
• Ton père.
• C’est ça, il a la même voix que tonton, papa était dans la salle.
Ta mère se faisait sauter par un curé dans les toilettes.
C’est à ce moment que j’ai croisé Charles, ton témoin.
Il m’a proposé de m’accompagner dans les étages où j’avais préparé notre nid d’amours avec maman.
Je suis dans l’obligation de te détromper, tu crois nous avoir dépucelé les deux jumelles l’une après l’autre le soir de nos noces.
Tu vois loi aussi, je vais être entièrement franche.
C’est dans l’ascenseur qu’il m’a plaqué contre lui, une fraction de seconde j’ai failli résister.
Mais je me souvenais avoir hésité entre toi et lui lorsque nous nous sommes rencontrés.
Nous sommes rentrés dans la chambre, si toi tu baisais et dépucelais ma sœur, moi c’est dans les pétales de roses que maman avait mis sur le lit que j’ai écarté mes cuisses et qu’il m’a dépucelé.
Il a déchargé deux fois coup sur coup la première en missionnaire et après que je l’ai sucé, avant qu’il me prenne en levrette.
• Tu mens pour te venger de ta sœur, quand je t’ai pris, ma queue était remplie de sang lorsque je l’ai sorti.
• Quand nous nous sommes éclipsés et que tu m’as porté pour passer la porte de notre chambre, il y avait moins de deux heures que mon hymen s’était déchiré sous la bite de Charles.
• Quand tu m’as sauté, comprends que ma chatte était encore emplie de sang.
La seule chose que tu as eue pour toi, c’est que tu as fait le coq, car tu as cru me faire jouir dès la première fois.
• Ça me fait mal d’avoir été cocu dès les premières heures de notre vie commune, mais je te pardonne.
• C’est loin d’être sur quand je t’avouerais comment les choses se sont terminées.
Tes jumelles, leurs cheveux sont de quelle couleur ?
• Blonde.
• Tu es brun, je suis brune.
Des blondes avec des parents bruns, c’est plausible.
Combien de temps après cette soirée nos filles sont elle venue au monde ?
• Neuf mois.
• Je savais que je t’avais trompé avec un blond, sans te le dire.
J’ai eu des gros doutes, Charles a couché chez nous plusieurs fois.
• Vous avez recommencé chaque fois dans mon dos.
• Non, je t’ai dit une fois même si la première fois il m’a baisé deux fois.
Tu te souviens, je lui ai coupé les cheveux.
• Oui, chaque fois.
• J’en ai fait de même avec tes filles et je les ai envoyés à l’étranger pour un test ADN.
Tes filles sont ses filles, tu les as élevées alors qu’elle était de lui.
Je vois Christian se lever.
• Ou vas-tu ?
• Salope, je vais faire ma valise, tu auras des nouvelles de mon avocat.
Il quitte la pièce, un quart d’heure après valise en main, il a quitté la maison après 50 ans de mariage.
Toute vérité est dure à entendre.
C’était un petit joueur.
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