COLLECTION HISTOIRE COURTE. Première nuit à Paris (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-07-2023 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Première nuit à Paris (1/1)
• Annita, tu es enfin avec moi en colocation.
Toutes tes affaires sont rangées, nous allons pouvoir sortir !
• Angelle, tu es bien gentille, mais après la route en supportant mon père qui m’a seriné sur ses Marseillais alors que nous sommes à quelques pas du Parc des Princes.
Ma mère qui passait son temps à changer de fréquence sur cette putain de radio, pour finir par nous mettre en boucle le beau Tino Rossy, gloire de sa jeunesse, inutile de compter que je ressorte.
J’ajoute à cela, comme tu l’as dit mes affaires que j’ai installées, désinstallées pour les remettre à la même place, je suis épuisée.
• Paris, ma chérie, chaque fois que je t’avais au téléphone cette année, je t’en parlais alors que tu préparais ton bac, dès ce soir et ce premier jour, il faut que tu découvres.
Juste une balade, le long de la Seine, un café à la terrasse d’une brasserie et après dodo.
Bon après, nous rejoindrons quelques copains et copines à qui j’ai parlé de toi, ils t’attendent avec impatience.
Comme on l’a compris, j’ai dix-huit ans, je viens de passer mon bac avec mention l’ayant redoublé et j’ai rejoint mon amie de toujours Angelle, amie ayant réussi le sien sans mention il y a un an.
Nous étions ensemble en maternelle, nos mères nous ayant eu à une journée d’intervalle, je suis l’ainée.
Petite classe et collège avant le lycée et jusqu’au bac où là j’ai pris ce que l’on pourrait appeler une année sabbatique.
Angelle a rejoint sa colocation un an avant que je la rejoigne, il semble que son année sabbatique ce soit cette dernière qu’elle a prise, elle redouble en première année de droit avec moi.
• Je suis fatiguée, mais la tour Effel depuis ces quais de scène, tu as raison, avec ces lumières, c’est féérique.
• Tiens, nous sommes arrivées chez mes amis, ils ont un appartement au dernier étage, nous passons leur dire bonsoir et leur expliquer que pour la fête ils devront attendre que tu te sois remise en forme.
Nous prenons l’ascenseur d’un immeuble cossu comme il en existe des dizaines tout au long de cette rive droite de la Seine.
Lorsque nous arrivons au dernier étage, la fête semble battre son plein, la musique arrivant jusqu’à nous.
• Angelle, te voilà, la fête va pouvoir battre son plein.
Tu vas encore déchirer ce soir, mais oui, je me souviens, la dernière fois tu nous avais dit que tu nous amènerais ton amie d’enfance.
Annita, je crois me souvenir, tu sais après quarante ans, on perd des neurones et ça nous donne des trous de mémoire.
La femme qui vient de nous ouvrir est encore très bien conservée pour une femme de cet âge.
Mais je suis étonnée, Olga comme Angelle me l’a présenté porte simplement un string et un soutien gorge à balconnet, ses aréoles étant parfaitement visibles.
• Attends, j’appelle Benoit, mon mari, il sera enchanté que tu sois arrivée et moi, je m’occupe d’Annita, je sens que je vais la croquer toute crue.
Nous sommes entrées la porte refermée, j’ai l’impression d’être entrée dans l’antre du diable.
Olga m’ayant pris le bras me conduit vers un couloir et en passant devant la salle à manger, je remarque une vingtaine de femmes et d’hommes.
Ils sont tous aussi dévêtus que notre hôtesse, dansant en se frottant de façon perverse.
• Tiens petite fleur, prend un verre, après nous irons te mettre en tenue pour que tu connaisses et découvre les premières heures de ta vie parisienne.
Le verre, je le bois cul sec, l’atmosphère de cette maison, m’ayant donné soif, mais moi qui suis vierge, j’ai surtout l’envie de me sauver en courant.
Arrivé dans la chambre, Olga m’aide à retirer ma robe, comment je me retrouve nue sans grande réaction, je l’ignore.
Lorsque sa main vient sur mon sein après qu’elle lui ait enlevé son soutien, je suis sans réaction, mais j’aime bien.
Je suis vierge de toutes pratiques sexuelles encore plus féminines que masculines.
Une fois avec Angelle, nous avons pris notre douche ensemble après dix kilomètres de courses à pied.
Un moment elle a voulu se retourner pour régler l’eau qui nous tombait dessus, nos seins se sont touchés et un courant électrique est passé.
Elle a rigolé, mais ça en est resté là, elle a réglé l’eau, elle m’aurait passé une main entre mes cuisses, je crois que nous nous serions gouinées.
Là, c’est Olga qui le fait et sa bouche, c’est la sienne qui vient sur la mienne.
Qu’ai-je bu, je l’ignore, mais je me sens toute chose, Olga me dirige vers cette bande de débauchés que j’ai vus en passant ?
Angelle est là, ou s’est-elle dévêtue, je l’ignore, car elle l’est.
Deux hommes l’ont prise en main, elle aussi tient une coupe dans les mains.
Un serveur passe près de nous Olga récupère deux coupes, je bois, c’est doux, mais mes jambes ont du mal à me soutenir.
• Annita, je te présente mon mari, Gilles, je te laisse entre ses mains, j’ai quelques ordres à aller donner aux personnes de service.
• Bonjours belle enfant, Angelle nous a vanté ta beauté, elle était à mille lieues de la réalité.
Un baisemain, tout à fait conventionnel, mais l’autre qui me plaque contre lui, il est nu, c’est la première verge que je sens sur mon vagin, tellement il me serre fort sur lui.
J’ai envie de lui dire que je suis vierge, mais sa main me prenant la mienne là déposant sur sa verge me fait perdre toute notion du bien ou du mal.
Comment me suis-je retrouvé sur un canapé après lui avoir sucé la queue, c’est un mystère qui en restera toujours un ?
Je le suce, il me rend la pareille et avant que j’aie le temps de compter jusqu’à trois, mon pucelage m’est enlevé.
Il me quitte sans autre forme de procès et dans les minutes qui suivent, je me retrouve dans les bras de deux autres hommes d’âge mûr.
• Tient petite prend ça, aspire un coup, tu verras nos bites seront encore meilleurs après.
Je suis une vraie baudruche ou encore une poupée de chiffon.
Combien de bites, de chattes, je suce ou me suce, je suis incapable de le dire, j’ai perdu toute volonté.
Je croise Olga sortant des bras d’Angelle qui me conduit vers les toilettes, je fais mon pipi la porte ouverte sur une salle de bain.
Sur le lavabo, elle a fait des lignes de poudre blanche, nous nous les enfilons dans le nez.
Nous retournons dans la salle, deux hommes s’occupent de ce qu’il reste de mon corps, l’un se couche au sol et me fait m’empaler sur une belle verge.
À peine au fond de moi, d’un coup mon cul est attaqué par un autre pieu, ils ont eu ma bouche, ma chatte et mon cul dans une seule soirée.
À peine douze heures à Paris, j’ai perdu toutes mes intimités, mais je suis dans l’incapacité de dire combien de sexes masculins ou féminins m’ont défoncé et surtout donné du plaisir.
Dans toutes ces pénétrations ou léchages, j’ai découvert de nombreuses fois l’orgasme malgré les légères douleurs que je ressens.
Dans mon brouillard, j’ai même l’impression de sucer la chatte de mon amie, ceci ce faisant naturellement vu les circonstances.
Là encore, après un nouveau verre, combien ai-je embrassé de bouche de femmes ou d’hommes ?
J’espère raconter assez fidèlement ce que je découvre de cette première nuit parisienne et la façon dont j’ai été reçu.
De toute façon combien de ces personnes savent qu’il y a quelques heures, une voiture me débarquait vierge comme au jour de ma naissance de ma province natale.
• Annita, nous organisons des soirées comme celle-là régulièrement avec nos amis.
Nous espérons que tu participeras à la prochaine, nous t’enverrons une invitation, tu as été la reine de celle-ci.
À ce jour, la présence d’Angelle était un gage de réussite, avec toi nous multiplions par dix l’assurance d’une réussite.
Je suis épuisée lorsque montant et descendant sur la queue de Benoit, le mari d’Olga qui elle-même a mes côtés se fait sodomiser, du moins, la position qu’elle a prise avec son amant me le fait penser.
Dans cette nuit parisienne depuis la dernière fois où nous nous sommes croisées, son soutien gorge à balconnet lui a été enlevé et ses seins apparaissent fièrement.
Il est vrai qu’ils sont si fièrement dressés qu’ils sont très bien à l’air complètement libre.
J’avance ma main, titillant la pointe, je courant passe de nouveau entre nous.
J’ignore si après avoir analysé ce que j’ai fait et accepté cette première nuit à Paris, je voudrais retrouver la sensation montant dans mon ventre.
C’était la première nuit et je sens que je suis déjà accro à ces chattes et à ces sexes mâle surtout que celui qui me fouille me fait de nouveau jouir.
Je roule sur le côté, je sens la nécessité de quitter ce lieu, un regard vers Angelle, de nouveau elle se fait prendre en double pénétration.
Je découvre une femme insatiable, elle doit, elle aussi être accro au sexe, je comprends pourquoi elle redouble avec moi.
Je cherche mes affaires que je retrouve dans la chambre, un couple se trouve là, je suis sûr de les avoir croisées à d’autres endroits de l’appartement.
Il forme un parfait 69, la femme suçant la verge en se faisant sucer le clitoris.
Je suis obligée de les pousser pour récupérer la robe et c’est sur la tête de lit que je retrouve mon sac à main.
Je sors à l’extérieur, Paris s’éveille, une voiture de nettoyage m’asperge les pieds, je vois un taxi, je lui fais signe, il s’arrête.
Installée sur le siège arrière, je sors mon portable, heureusement j’ai noté l’adresse ou je vais passer mon année.
• Vous avez l’air défoncé jeune fille, j’ai fini mon service, si vous me le permettez, je vais m’arrêter et vous offrir café et croissant.
• Roulez, j’ai eu ma dose pour cette nuit, j’aspire simplement à retrouver mon lit.
Je sens que l’on me soutient, on me pose sur mon lit.
Une verge vient forcer ma bouche, enfin forcer, c’est un grand mot, je me souviens que c’est moi qui l’ai sorti du pantalon de mon chauffeur de taxi.
Après c’est le noir complet, je dois lui appartenir pour une dernière pénétration de ma première nuit parisienne.
Il est très tard, lorsque j’ouvre un œil, sur ma table de nuit une carte de visite.
« Voici mon numéro, chaque fois que tu auras besoin de rentrer d’une de tes soirées, appelle ce numéro, je serais toujours dispo pour te ramener. »
Lorsque je m’étire et que j’entends Angelle dans la cuisine faire le café que j’aurais fréquemment besoin de ses services pour me ramener après les soirées que je vais passer dans cette ville.
Toutes tes affaires sont rangées, nous allons pouvoir sortir !
• Angelle, tu es bien gentille, mais après la route en supportant mon père qui m’a seriné sur ses Marseillais alors que nous sommes à quelques pas du Parc des Princes.
Ma mère qui passait son temps à changer de fréquence sur cette putain de radio, pour finir par nous mettre en boucle le beau Tino Rossy, gloire de sa jeunesse, inutile de compter que je ressorte.
J’ajoute à cela, comme tu l’as dit mes affaires que j’ai installées, désinstallées pour les remettre à la même place, je suis épuisée.
• Paris, ma chérie, chaque fois que je t’avais au téléphone cette année, je t’en parlais alors que tu préparais ton bac, dès ce soir et ce premier jour, il faut que tu découvres.
Juste une balade, le long de la Seine, un café à la terrasse d’une brasserie et après dodo.
Bon après, nous rejoindrons quelques copains et copines à qui j’ai parlé de toi, ils t’attendent avec impatience.
Comme on l’a compris, j’ai dix-huit ans, je viens de passer mon bac avec mention l’ayant redoublé et j’ai rejoint mon amie de toujours Angelle, amie ayant réussi le sien sans mention il y a un an.
Nous étions ensemble en maternelle, nos mères nous ayant eu à une journée d’intervalle, je suis l’ainée.
Petite classe et collège avant le lycée et jusqu’au bac où là j’ai pris ce que l’on pourrait appeler une année sabbatique.
Angelle a rejoint sa colocation un an avant que je la rejoigne, il semble que son année sabbatique ce soit cette dernière qu’elle a prise, elle redouble en première année de droit avec moi.
• Je suis fatiguée, mais la tour Effel depuis ces quais de scène, tu as raison, avec ces lumières, c’est féérique.
• Tiens, nous sommes arrivées chez mes amis, ils ont un appartement au dernier étage, nous passons leur dire bonsoir et leur expliquer que pour la fête ils devront attendre que tu te sois remise en forme.
Nous prenons l’ascenseur d’un immeuble cossu comme il en existe des dizaines tout au long de cette rive droite de la Seine.
Lorsque nous arrivons au dernier étage, la fête semble battre son plein, la musique arrivant jusqu’à nous.
• Angelle, te voilà, la fête va pouvoir battre son plein.
Tu vas encore déchirer ce soir, mais oui, je me souviens, la dernière fois tu nous avais dit que tu nous amènerais ton amie d’enfance.
Annita, je crois me souvenir, tu sais après quarante ans, on perd des neurones et ça nous donne des trous de mémoire.
La femme qui vient de nous ouvrir est encore très bien conservée pour une femme de cet âge.
Mais je suis étonnée, Olga comme Angelle me l’a présenté porte simplement un string et un soutien gorge à balconnet, ses aréoles étant parfaitement visibles.
• Attends, j’appelle Benoit, mon mari, il sera enchanté que tu sois arrivée et moi, je m’occupe d’Annita, je sens que je vais la croquer toute crue.
Nous sommes entrées la porte refermée, j’ai l’impression d’être entrée dans l’antre du diable.
Olga m’ayant pris le bras me conduit vers un couloir et en passant devant la salle à manger, je remarque une vingtaine de femmes et d’hommes.
Ils sont tous aussi dévêtus que notre hôtesse, dansant en se frottant de façon perverse.
• Tiens petite fleur, prend un verre, après nous irons te mettre en tenue pour que tu connaisses et découvre les premières heures de ta vie parisienne.
Le verre, je le bois cul sec, l’atmosphère de cette maison, m’ayant donné soif, mais moi qui suis vierge, j’ai surtout l’envie de me sauver en courant.
Arrivé dans la chambre, Olga m’aide à retirer ma robe, comment je me retrouve nue sans grande réaction, je l’ignore.
Lorsque sa main vient sur mon sein après qu’elle lui ait enlevé son soutien, je suis sans réaction, mais j’aime bien.
Je suis vierge de toutes pratiques sexuelles encore plus féminines que masculines.
Une fois avec Angelle, nous avons pris notre douche ensemble après dix kilomètres de courses à pied.
Un moment elle a voulu se retourner pour régler l’eau qui nous tombait dessus, nos seins se sont touchés et un courant électrique est passé.
Elle a rigolé, mais ça en est resté là, elle a réglé l’eau, elle m’aurait passé une main entre mes cuisses, je crois que nous nous serions gouinées.
Là, c’est Olga qui le fait et sa bouche, c’est la sienne qui vient sur la mienne.
Qu’ai-je bu, je l’ignore, mais je me sens toute chose, Olga me dirige vers cette bande de débauchés que j’ai vus en passant ?
Angelle est là, ou s’est-elle dévêtue, je l’ignore, car elle l’est.
Deux hommes l’ont prise en main, elle aussi tient une coupe dans les mains.
Un serveur passe près de nous Olga récupère deux coupes, je bois, c’est doux, mais mes jambes ont du mal à me soutenir.
• Annita, je te présente mon mari, Gilles, je te laisse entre ses mains, j’ai quelques ordres à aller donner aux personnes de service.
• Bonjours belle enfant, Angelle nous a vanté ta beauté, elle était à mille lieues de la réalité.
Un baisemain, tout à fait conventionnel, mais l’autre qui me plaque contre lui, il est nu, c’est la première verge que je sens sur mon vagin, tellement il me serre fort sur lui.
J’ai envie de lui dire que je suis vierge, mais sa main me prenant la mienne là déposant sur sa verge me fait perdre toute notion du bien ou du mal.
Comment me suis-je retrouvé sur un canapé après lui avoir sucé la queue, c’est un mystère qui en restera toujours un ?
Je le suce, il me rend la pareille et avant que j’aie le temps de compter jusqu’à trois, mon pucelage m’est enlevé.
Il me quitte sans autre forme de procès et dans les minutes qui suivent, je me retrouve dans les bras de deux autres hommes d’âge mûr.
• Tient petite prend ça, aspire un coup, tu verras nos bites seront encore meilleurs après.
Je suis une vraie baudruche ou encore une poupée de chiffon.
Combien de bites, de chattes, je suce ou me suce, je suis incapable de le dire, j’ai perdu toute volonté.
Je croise Olga sortant des bras d’Angelle qui me conduit vers les toilettes, je fais mon pipi la porte ouverte sur une salle de bain.
Sur le lavabo, elle a fait des lignes de poudre blanche, nous nous les enfilons dans le nez.
Nous retournons dans la salle, deux hommes s’occupent de ce qu’il reste de mon corps, l’un se couche au sol et me fait m’empaler sur une belle verge.
À peine au fond de moi, d’un coup mon cul est attaqué par un autre pieu, ils ont eu ma bouche, ma chatte et mon cul dans une seule soirée.
À peine douze heures à Paris, j’ai perdu toutes mes intimités, mais je suis dans l’incapacité de dire combien de sexes masculins ou féminins m’ont défoncé et surtout donné du plaisir.
Dans toutes ces pénétrations ou léchages, j’ai découvert de nombreuses fois l’orgasme malgré les légères douleurs que je ressens.
Dans mon brouillard, j’ai même l’impression de sucer la chatte de mon amie, ceci ce faisant naturellement vu les circonstances.
Là encore, après un nouveau verre, combien ai-je embrassé de bouche de femmes ou d’hommes ?
J’espère raconter assez fidèlement ce que je découvre de cette première nuit parisienne et la façon dont j’ai été reçu.
De toute façon combien de ces personnes savent qu’il y a quelques heures, une voiture me débarquait vierge comme au jour de ma naissance de ma province natale.
• Annita, nous organisons des soirées comme celle-là régulièrement avec nos amis.
Nous espérons que tu participeras à la prochaine, nous t’enverrons une invitation, tu as été la reine de celle-ci.
À ce jour, la présence d’Angelle était un gage de réussite, avec toi nous multiplions par dix l’assurance d’une réussite.
Je suis épuisée lorsque montant et descendant sur la queue de Benoit, le mari d’Olga qui elle-même a mes côtés se fait sodomiser, du moins, la position qu’elle a prise avec son amant me le fait penser.
Dans cette nuit parisienne depuis la dernière fois où nous nous sommes croisées, son soutien gorge à balconnet lui a été enlevé et ses seins apparaissent fièrement.
Il est vrai qu’ils sont si fièrement dressés qu’ils sont très bien à l’air complètement libre.
J’avance ma main, titillant la pointe, je courant passe de nouveau entre nous.
J’ignore si après avoir analysé ce que j’ai fait et accepté cette première nuit à Paris, je voudrais retrouver la sensation montant dans mon ventre.
C’était la première nuit et je sens que je suis déjà accro à ces chattes et à ces sexes mâle surtout que celui qui me fouille me fait de nouveau jouir.
Je roule sur le côté, je sens la nécessité de quitter ce lieu, un regard vers Angelle, de nouveau elle se fait prendre en double pénétration.
Je découvre une femme insatiable, elle doit, elle aussi être accro au sexe, je comprends pourquoi elle redouble avec moi.
Je cherche mes affaires que je retrouve dans la chambre, un couple se trouve là, je suis sûr de les avoir croisées à d’autres endroits de l’appartement.
Il forme un parfait 69, la femme suçant la verge en se faisant sucer le clitoris.
Je suis obligée de les pousser pour récupérer la robe et c’est sur la tête de lit que je retrouve mon sac à main.
Je sors à l’extérieur, Paris s’éveille, une voiture de nettoyage m’asperge les pieds, je vois un taxi, je lui fais signe, il s’arrête.
Installée sur le siège arrière, je sors mon portable, heureusement j’ai noté l’adresse ou je vais passer mon année.
• Vous avez l’air défoncé jeune fille, j’ai fini mon service, si vous me le permettez, je vais m’arrêter et vous offrir café et croissant.
• Roulez, j’ai eu ma dose pour cette nuit, j’aspire simplement à retrouver mon lit.
Je sens que l’on me soutient, on me pose sur mon lit.
Une verge vient forcer ma bouche, enfin forcer, c’est un grand mot, je me souviens que c’est moi qui l’ai sorti du pantalon de mon chauffeur de taxi.
Après c’est le noir complet, je dois lui appartenir pour une dernière pénétration de ma première nuit parisienne.
Il est très tard, lorsque j’ouvre un œil, sur ma table de nuit une carte de visite.
« Voici mon numéro, chaque fois que tu auras besoin de rentrer d’une de tes soirées, appelle ce numéro, je serais toujours dispo pour te ramener. »
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