COLLECTION HISTOIRE COURTE. Retour de flamme (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Retour de flamme (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Retour de flamme (1/1)
• Chéri, peux-tu nous rendre service cet après-midi ?
• Si je peux bien sûr, j’ai une visite de chantier ce matin et cet après-midi j’ai simplement de la paperasse à faire non urgente.
• Merci, tu m’enlèves une épine du pied, j’ai une visite très importante pour l’agence qui me tombe dessus et j’avais promis à maman de la conduire à l’hôpital pour un contrôle mammaire.
Je sais ce que tu vas me dire, le contrôle tu es capable de le faire, mais je te rappelle que dans ces cas-là, tu palperais les seins de ta belle-mère.
• Tu as raison Amira, il est inutile de dire des bêtises sur une chose impossible qui pourrait exister entre ta maman et moi, je t’aime ma chérie !
Pour ta demande, soit sans crainte, j’assurerais, mais pourquoi ne prend-elle pas un taxi, pour se rendre à son rendez-vous ?
• Tu es un homme, lorsque votre gynécologue vous demande d’aller consulter pour un sein, vous savez que cette petite grosseur qu’elle a sentie sous ses doigts est peut-être maligne.
Si cela est le cas, on n’est bien content qu’une épaule compatissante soit à vos côtés.
Si c’est toi, tu es son gendre et tu seras assez diplomate pour la soutenir en cas de besoin.
Tu devras passer chez-elle à 14 heures, elle a rendez-vous à 15 heures et il y a un parking sous l’hôpital.

Je raccroche, pile à l’heure, Amira est devant sa porte son sac à main au bras et magnifique du haut de ses cinquante-cinq ans, veuve depuis trois ans.

• Tu es ponctuel Georges, je reconnais là celui qui l’a été pendant plusieurs années où nous nous étions rapprochés.
Wafae m’a appelé après qu’elle ait raccroché avec toi et je te remercie de prendre sur ton temps pour m’accompagner.
Tu vas me prendre pour une petite nature, toi qui connais mieux que personne de quoi je suis capable, mais je suis anxieuse de ce que l’on m’annoncera.

Certains des propos de ma belle-mère peuvent paraître ambigus.
« Rapproché » ou « mieux que personne, » je le reconnais c’est troublant.
Pas tant que ça, si Amira savait que Wafae a été plusieurs années ma maîtresse même du vivant de son mari et avant mon mariage avec sa fille.
Amira était venue très jeune en France, ses parents originaires de Meknès au Maroc avaient émigré pour trouver du travail lorsqu’elle était petite.
Lorsqu’elle avait été en âge de se marier, son père l’a conduite à Marseille où il lui a présenté son mari.
Moustapha avait plus d’une quarantaine d’années qu’elle, mais elle s’était pliée à la volonté de son père.
Malgré qu’il soit en France depuis quelques années, quelques chameaux et quelques moutons avaient certainement servi de transaction, Moustapha avait des troupeaux dans les montagnes.
Mariée et très vite consommatrice de beaux gosses comme moi.
Je l’ai même sauté le lendemain du décès de son mari alors que par tradition il avait été enterré dans les vingt-quatre heures.
Elle avait eu une fille, Wafae, bien avant moi, étant tombé enceinte dans les premiers jours de son mariage.
Et un jour j’ai rencontré Wafae à son agence immobilière, elle m’a fait visiter plusieurs maisons.
Je venais de démarrer comme architecte et je voulais un lieu de travail où je pourrais vivre.
Elle me l’a trouvé et elle est elle-même venue habiter avec moi.

• Tu sais Georges, lorsque ma fille m’a dit avoir rencontré un jeune homme ayant une très belle situation et qu’elle pensait te faire tomber dans ses filets.
Toi comme moi, nous ignorions que mon amant allait se marier avec ma fille.
Je me suis retiré à son profit, mais malgré que depuis j’ai eu quelques autres amants, aucun ne t’arrivait à la cheville.

Nous sommes dans la salle d’attente, de l’hôpital lorsque pour passer le temps, Amira me tient ces propos.
Elle les accompagne en me posant sa main sur ma cuisse.
Ça réveille en moi de vieux souvenir, surtout le lendemain de l’enterrement de son vieux mari la laissant à la tête d’une fortune assez conséquente.
J’étais venu lui présenter mes condoléances hors de sa famille, donc sans rencontrer Wafae, elle m’a littéralement sauté sur le paf dans son salon.
Jusqu’à la rencontre avec sa fille dont on a bien compris que j’ignorais son existence.

• Amira, tiens-toi bien, tu me fais bander, je vais te faire un aveu, ta fille est loin d’être à la hauteur comparée à toi côté sexe.
• Je le sens, ton pantalon se tend.
Je vais te faire une confidence, je le sais déjà, entre femme et surtout entre mère et fille, on se fait des confidences.
L’autre jour, elle m’a dit que le devoir conjugal s’était à la limite du supportable.
J’ai même failli lui demander qu’elle me confie son mari, que je savais comment y faire avec lui pour le satisfaire après les mois à baiser ensemble.
• Si j’ai bien compris, elle m’a épousé plus pour mon argent que pour ma propre personne.
• Non, ton argent, il est venu après tous tes efforts dans ton travail.
Elle avait détecté ton devenir, épousé un architecte créant son affaire était un gage de vie facile pour elle.
• Si je m’écoutais, je te demanderais bien de redevenir ton amant, je suis resté fidèle à mon engagement depuis que je l’ai épousé.
Mais moi aussi, j’ai bien compris que son travail passait loin après le sexe et ça me frustre.
• Madame Amira Boufraya pouvez-vous me suivre, nous allons faire vos premiers examens.
• Va sans crainte, Amira, je t’attends, je suis sûr que ça va bien se passer, ait confiance.

Pendant qu’elle est partie, je repense à ma rencontre avec ma femme.
J’avais rapidement compris que le sexe comparé à sa mère, était loin d’être sa tartine de pain.
Il est vrai que lorsque nous avions baisé lors de la deuxième visite de la troisième maison qu’elle m’avait fait visiter, j’avais été un peu pleutre comme je l’étais souvent avec les femmes dans mes débuts d’homme.
Wafae m’a même donné un fils faisant d’elle la femme parfaite pour son monde.
Adolescence, mariage si possible et surement avec un homme hors du besoin.
Ou, comme moi en devenir, comme venait de me le dire Amira et vous avez la parfaite épouse faisant un jour ou l’autre une très belle cocue en puissance.

• Georges, à quoi penses-tu, c’est terminé, la doctoresse n’a rien détecté au radio, simplement un petit amas graisseux, nous sommes rassurées.

Nous retournons à ma voiture, j’ai pris la petite smart plus facile à garer que ma grosse berline allemande que ma situation me permet de posséder.

• Georges, est-ce que tu peux me palper le sein, la doctoresse m’a dit de le faire ou de me le faire faire fréquemment pour faire disparaitre l’amas et d’éviter que d’autres ne se forment ?

Avec plaisir, je m’exécute, j’ai bien dit que j’ai du mal à refuser ce qu’une femme veut, allant même jusqu’au mariage.

• Salope, je vois que tu as gardé tes bonnes habitudes, portes jarretelles, bas et sans ma moindre culotte, tu vas tacher mes sièges, je sens ta chatte qui ruisselle de cyprine.
• Évite d’y mettent les doigts, sinon tu vas devoir assumer.

Arrivé devant chez elle, inutile de se poser plus de question, arrêt de la smart.
Je descends, je la contourne et portière ouverte, je suis galant et au moment où je descends Amira m’achève en me montrant sa chatte démunie de poils, mais brillante de la cyprine l’ayant mouillée.
Là, encore inutile, le dernier verre ou la tasse de café, je lui prends la main pour la faire descendre, sa robe cachant sa chatte avec regret pour moi.
Ouverture des portes de sa part un peu fébrilement, la garce sait très bien ce qu’elle va faire et même si c’est sa fille qu’elle cocufie.
La porte refermée, malgré la différence d’âge ne présentant aucun problème au niveau de la baise, elle s’agenouille et me fait une pipe, sa spécialité pour me faire rebander, dès qu’une première fois, je l’avais satisfaite.
Ma braguette étant ouverte, et ma queue en état de marche maximum, je la redresse, elle me saute au cou et alors que nous nous embrassons à bouches déployées, c’est d’elle-même qu’elle s’empale sur ma verge.
Je sais où se trouve sa chambre, c’est celle de son défunt mari, celle de son dépucelage par son vieux et défunt mari.
Là où la première fois, son premier amant un menuisier venu faire de menu travaux alors que le cocu dormait après un repas bourré de loukoums gorgés de sucre entrainant la perte de ses doigts de pieds à cause du diabète.
Et est survenu le covid, il est mort à l’hôpital de la Timone, le virus étant très friand d’organisme dégradé comme le sien et faisant d’elle une veuve dont certains diront joyeuse.
Veuve joyeuse dont j’ai profité sur ce même lit, Moustapha, lui laissant montons et chèvres ainsi que des dizaines de milliers d’hectares dans les montagnes marocaines et une somptueuse demeure à Meknès dans cette ville plusieurs fois centenaire.

• Oui mon salop recommence à me baiser, au diable les conventions, si ma fille préfère se tuer à la tâche dans son agence, moi, je saurais me délecter de ta queue Georges.

Ce qu’il y a de bien, à retrouver une maîtresse, on connaît ce qu’elle apprécie le plus.
Les classiques hors de la fellation dont on a déjà parlé, mais aussi la levrette passage obligé avant que je lui bouffe le cul et que je la sodomise après un premier orgasme prise par la chatte.
Une petite explication entre nous, avant de décharger dans son cul, elle adore être sodomisée.
Lors de nos premiers rapports, ceux avant mariage, Amira m’avait expliqué qu’ayant été élevé dans une HLM de banlieue, que l’hymen était primordial pour un mari, même plusieurs dizaines d’années plus vieilles qu’elle.
Elle savait avoir neuf chances sur dix de passer dans les mains d’une matrone, qui contrôlerait la présence de ce bien précieux pour le vieillard.
Ça se jouait en dizaines de chèvres et de moutons, comme le nombre d’années de différence entre le mari et sa promise.
Se faire enculer, permettait bien des jeux ainsi que la fellation dont elle était devenue experte.

• Amira, on sonne à la porte, je vais ouvrir !
• Non, je passe mon peignoir et je descends.

Je suis sur le lit, récupérant de la chevauchée retrouvée avec ma salope de belle-mère.

• Wafae, c’est toi, tu viens prendre de mes nouvelles !
Mon mari est là, sa smart est devant ta porte !

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