COLLECTION HISTOIRE COURTE. Tout ça est parti d’un rêve ! (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Tout ça est parti d’un rêve ! (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Tout ça est parti d’un rêve ! (1/1)
• Bonsoir, Boris, merci de m’avoir invité au restaurant.

Repas sympa avec un homme charmant, rencontré sur les réseaux sociaux.

• Je peux entrer boire un dernier verre !
• Je vais voir ce que je ressens pour vous, je vous rappellerais !
• Excusez, Jennifer, j’aurais besoin d’aller aux toilettes.
• Au fond à droite, vous trouverez les toilettes, après vous partirez.
Mais que faites-vous, je vous ai dit que j’allais voir si j’accepte que nous allions plus loin.
Non, je refuse d’être à vous, Boris, non, nonnnnnnnn.

Je me réveille en eau, c’était un simple cauchemar, Boris me plaquait au sol, arrachait ma culotte et me violait.

• Jennifer, pourquoi as-tu crié non et un long non ?
• J’étais en train de me faire violer.
• Ça arrive, le fantasme de viol pour une femme mariée, c’est fréquent, souvent votre subconscient réfléchit à votre évolution amoureuse, vous êtes trop sage et le viol, en est l’échappatoire.
Pour d’autres, c’est la queue d’un amant qui leur sert d’exécutoire dans leurs rêves.
• Mais l’homme qui me violait s’appelait Boris comme toi et c’est par toi que j’étais violé.
• Là, c’est autre chose, je dois te faire l’amour de façon trop conventionnelle pour toi et dans tes rêves tu as envie que je te viole.
Attention, madame, je vais vous violer.

Mon mari dans la lumière de sa lampe de chevet qu’il a allumée met ses mains comme le font les loups-garous, toutes griffes dehors.
J’éclate de rire, il est loin d’avoir l’allure d’un homme allant violer sa femme.

• Puisque tu me parles de tes fantasmes, sache que moi aussi j’en ai que je refoule de peur de perdre ton amour !
• Dis toujours, au pire, je vais rire comme je viens de rire de la bête que tu voudrais me faire croire sommeille en toi.
• Demain soir, c’est samedi, je suis de repos à l’hôpital, je vais t’emmener voir à quoi je songe pour notre couple.

Mon mari est médecin au CHU de notre ville, le lendemain nous prenons notre véhicule, il me conduit sur une place le long des bords de Saône vide dans la nuit tombante.
Il se gare de manière à ce que l’on voit sans pour autant être vue.
Une voiture tous feux éteints arrive rapidement suivi d’une autre qui se gare à sa hauteur.

• Que va-t-il se passer, chéri, ce sont seulement deux voitures qui se garent sur les bords de Saône pour la nuit ?
• Attends, s’il faisait jour, tu pourrais voir les deux vitres côte à côte qui se sont ouvertes et qu’une transaction est en train de se faire.
Ils vont rester sur place ou les deux voitures vont reprendre la rampe pour aller chez les uns ou chez les autres.
Non, regarde le mouvement, tu vois la silhouette d’une femme sortant de la voiture de gauche et montant dans la voiture de droite.
Ce sont des échangistes, la femme va sucer la queue du conducteur de droite ou se faire baiser par ce même conducteur dans la voiture.
• Quoi, Boris, des femmes viennent ici pour tromper leur mari, devant eux ?
• Oui, regarde, il y a une deuxième voiture qui descend, ce soir il semble que ces hommes et ces femmes aient le feu au cul.
Si tu crois qu’ils se trompent tu fais fausse route, puisque chacun est consentant.
Embrasse-moi, c’est de toi que j’ai envie en ce moment, ici.
Après tu pourras aller porter plainte pour viol au commissariat.

Je suis effarée de ce que vient de me faire voir Boris, des hommes et des femmes mariés s’échangent entre eux, c’est proprement dégueulasse.
Boris a sorti sa verge, est-ce possible qu’il bande en pensant ce que doit faire la salope dans la voiture.

• Suce Jennifer, tu vois, moi aussi j’ai des fantasmes.
• Mais comment connais-tu cet endroit, es-tu déjà venu, mais en avançant au milieu de ces pervers qui font du sexe une fonction dégradante.
• Et une femme mariée qui pense se faire défoncer dans un viol est-ce autre chose que dégradant ?
C’est Marcel, en salle de repos qui nous a parlé de cet endroit où il vient avec son épouse.
Il y a bien longtemps qu’il nous a parlé avec Babette, ils étaient échangistes et que de temps en temps ils venaient ici.
Marcel et Babette, les mêmes qui sont venus dîner il y a deux mois et le Marcel que j’ai remis à sa place, quand il m’a dit que c’était par inadvertance qu’il m’avait touché les fesses dans la cuisine ?
• Oui, ce sont eux, je leur avais dit que tu étais loin d’être prête à faire de telle chose, ta réaction m’a confirmé que j’avais raison.
Suce-moi mon amour, tu sais comme j’aime quand tu te permets de petites fantaisies trop rares, il est vrai.

Le cheminement dans ma tête a commencé à se faire.
J’aime la bite de mon homme, même si mon rêve m’a fait voir les limites de nos ébats, que fait cette jeune femme dans la voiture à quelques mètres de moi.
Sa bite dans ma bouche, ma main sous ma robe, je me caresse en pratiquant une fellation à Boris.
D’un coup, une ombre cache le croissant de lune, nous donnant très peu de clarté.
Quelqu’un est près de nous à côté de ma fenêtre.
Un dépravé a dû voir la voiture tous feux éteints et a dû venir voir s’il y avait du monde.

• Boris, quelqu’un nous regarde.
• Laisse, ici les voyeurs sont légion, de pauvres gars souvent célibataires qui viennent se masturber en regardant les couples baiser.
Fais leur plaisir, les portières sont verrouillées, tu peux leur montrer la belle salope que tu es en me finissant.

C’est drôle où un rêve peut vous conduire, je replonge sur la bite de Boris, l’avalant complètement.
Dans le même temps, je soulève ma robe tournant ma chatte vers la fenêtre, mes doigts écartent ma culotte, j’aurais dû venir sans, mais pouvais-je savoir ?
Mon clito est au sommet de ce qu’il peut ressentir et d’un coup le sperme de Boris envahit ma bouche.
Ma chatte éclate, pire que lorsque Boris me prend et du sperme gicle sur nos vitres de chaque côté de la voiture.
Boris remet les phares, j’ai le temps de voir qu’une femme est assise entre le conducteur et le volant de la voiture en face de nous.
Elle se faisait baiser alors que je vois le mouvement que fait celui qui doit être son mari dans l’autre voiture, nul doute qu’il se tape une pignole.
Nous prenons la rampe, nous quittons ce lieu, que je pense avoir quitté à jamais.
De retour chez nous, c’est sans un mot que nous nous douchons.
J’ai le bas-ventre couvert de ma cyprine qui est bien plus présente que les fois où nous faisons l’amour dans notre lit.
J’ai du mal à m’endormir, mais quand je le fais, par chance, nul rêve pour venir perturber notre couple, Boris en me montrant son fantasme a dû exorciser celui de viol pour moi.
La vision de cette femme très peu vue m’obsède et le pied que j’ai pris à me montrer aussi.
Pour finir, la peur que Boris me prenne pour une dépravée me bloque, jusqu’à ce que je sente le besoin de tout lui dire.

• Chéri, j’ai regardé, samedi tu es de repos et c’est la pleine lune, j’aimerais que nous retournions sur le parking au bord de Saône !
• Tu as envie de baiser avec un inconnu !
• Non, avec toi la voiture au même endroit que la première fois.
Je veux que ce soit toi qui me baises alors que des gars se masturbent en nous regardant baiser.
Ton fantasme est devenu le mien !

Le samedi, comme prévu, c’est pleine lune, j’ai hésité avant de m’habiller, j’ai failli mettre une robe sans culotte, j’opte pour mon short ras ma fente épilée avec mon débardeur.
Une fois en place ainsi que la voiture à sa place, il sera plus facile de faire glisser mon short et d’enlever mon débardeur pour que les voyeurs voient tout de mon anatomie.
Je veux qu’ils voient la queue de mon homme entrer doucement en moi jusqu’à ce que je la sente repousser mon utérus.
Je sais que je vais jouir comme jamais, même si la conséquence est la même que la premier fois, dès que je le pourrais au matin, il faudra que j’aille passer le jet afin d’enlever tout le sperme qu’elle aura reçue.

Comme prévu, nous rentrons alors que j’ai passé une soirée d’enfer.
La voiture était tournée pour que je voie les voitures venir et les échanges se faire.
Un moment alors que j’étais empalée.
J’ai cru reconnaître Babette, mais comme, lorsqu’ils étaient venus, j’ignore avec quelle voiture ils sont.
À moins d’aller faire la voyeuse, j’ignore si c’est elle qui comme moi saute sur la bite, moi de mon mari et elle de son amant.
En plus aller faire la voyeuse près de Babette si c’est elle, ce serait prendre le risque de me faire violer sur le capot de notre voiture, je préfère l’éviter même si j’en ai rêvé.

Combien sont-ils autour de nous quand je jouis sous la bite familiale, des jets fusent de partout maculant même le pare-brise.
Avant de monter la rampe, j’ai le temps de voir les fesses de la salope qui se fait baiser, sans pouvoir le reconnaître.
Si j’avais accepté la main aux fesses de Marcel, je les aurais peut-être reconnus.
Boris doit mettre les essuie-glaces, c’est un mal pour un bien, car le lait concentré sur nos vitres s’étale, manquant de nous faire taper une bite en haut de la rampe.
J’aurais eu ma bite, dans la chatte, notre voiture la sienne dans ces pare-chocs.

• Ma chérie, le prochain samedi où je suis de repos, j’aimerais que tu ailles dans une des voitures et que je te regarde, faire l’amour avec un autre que moi, c’est mon fantasme suprême !
• Eh non, c’est samedi prochain que nous allons pouvoir, nous évader, je savais où Babette et Marcel habitent, j’y suis passé ce matin.
• Ils sont d’accord pour venir samedi prochain !
• Là encore, tu as tout faux, tu as des vacances en retard.
Dès lundi tu poses un congé, ils nous emmènent dans la nouvelle boîte échangiste qui vient d’ouvrir de l’autre côté de Lyon.
Tu veux me voir baisée par d’autres, à ce qu’ils m’ont dit, je vais pouvoir pleinement réaliser ton fantasme.
• Viens que je te viole salope.

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