COLLECTION HISTOIRE COURTE. Une infirmière très complaisante (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-05-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Une infirmière très complaisante (1/1)
• Bonjour, monsieur Julien !
Je vois que l’on est prêt !
Même ma petite enveloppe.
• Bonjour, madame Gisèle !
Un mois depuis la dernière fois ou votre bouche a satisfait ma verge, je peux être prêt.
• Je vous ai vu jeudi dernier.
• Oui, mais là vous m’avez fait simplement ma piqure dans le bras.
• C’était la règle, une piqure toutes les semaines et tous les mois, vous me donnez ma petite enveloppe et je vous vide les burnes.
La piqure, c’est pour donner le change pour la Sécurité sociale.
Quatre fois mes 5 € avec frais de déplacement puisque je vais à domicile et chaque mois, je vous suce la bite.
Allez, le temps c’est de l’argent.
• Vous pouvez le dire pour vous, il s’est tu, mais avait l’air ravi la dernière fois qu’il vous a vu.
• Ok monsieur Julien, mon mari aime les voitures de sport et il m’a bien fallu trouver des enveloppes pour remplir mon bas de laine.
Mais mettez-vous dans votre fauteuil, je vais vous sucer, d’autres clients m’attendent.
Une fois installée, mon slip baisser, Gisèle vient s’agenouiller devant moi et me saisir la bite.
Gisèle se fait de nombreuses grattes toutes les semaines, mais exclusivement avec des hommes de plus de 60 ans comme moi.
Elle suce divinement, je commence à bander.
• Dite Gisèle, j’ai bien compris que votre mari a des gros besoins.
• Oui, sexuel et financier.
• Comment en êtes-vous arrivée à sucer nos verges contre votre petite enveloppe de 50 €.
Elle me masturbe, me suce les burnes, mais levant la tête, elle me répond.
• Pour payer mon diplôme d’infirmière, dans une autre vie lorsque j’étais jeune, je travaillais en Allemagne dans un éros Center.
Des bites, j’en ai vu et même de très près.
Quand j’ai eu mon diplôme, j’ai commencé à l’hôpital, mais nous étions payés avec un lance-pierre.
C’est dans mon bordel que j’ai rencontré et qu’il m’a épousé, il sait donc tous de ma vie d’avant.
Comme je l’ai dit seul ses voitures l’intéresse.
Mais je suis trop bavarde et le temps passe.
• 50 € de plus et vous continuez, vous m’intéressez, j’aurais une demande à vous faire.
Depuis combien de temps venez-vous me faire des piqures 8 mois ?
Avez-vous entendu le moindre bruit sur notre petit arrangement mensuel ?
• Non, c’est vrai.
Merci pour la gratification, qu’elle est votre demande.
J’ai un petit fil trop timide pour draguer, j’aimerais que vous en fassiez un homme.
Je vous paierais bien sûr, pour votre bas de laine.
Non, inutile, si je baise avec lui, je risquerais de mettre en l’air mon petit bizness.
Mais attendez, il est puceau si je comprends bien !
• Puceau, plutôt deux fois qu’une, avec sa timidité, j’ai peur qu’il le reste à vie.
• Dans mon bordel, chaque fois que l’une des filles présentes se faisait un puceau, elle payait une bouteille, car ça portait chance.
Si vous me dites qu’il a encore sa virginité, je veux bien m’occuper du problème et en faire un homme.
• Merci combien voulez-vous ?
• Rien, un puceau, c’est plaisir, donnez-moi simplement son numéro de portable si vous l’avez, je trouverais bien un motif pour le rencontrer !
Il a une Mobylette !
Un Piaggio.
• Je l’appèlerais pour lui dire, qu’on m’ai donné son nom, car il est passé près de ma voiture et l’a rayé.
Comme je savais que c’était votre petit-fils, car vous êtes mon client comme infirmière bien sûr, je vous ai appelé et vous m’avez son numéro de portable.
Le reste, c’est mon affaire.
Maintenant, il faut conclure, trop longtemps chez un ou une cliente, ça pourrait finir par être suspect à vos voisins.
• Un ou une, vous avez des clientes femmes !
• Vous êtes perspicace, si vous saviez le nombre de femmes seules à qui je suce la chatte pour la même enveloppe que vous.
Ça entretient la voiture de Pierre et j’arrive à mettre de côté pour les études de mes enfants.
• Vous avez des enfants, je l’ignorais.
• Non, mais j’aime prévenir l’avenir si quelquefois, j’étais obligé d’arrêter de me faire des petits suppléments.
Allez, il est temps, reprenons cette bite en bouche et donnez-moi votre sperme, il paraît que ça aide à rester jeune.
• Mais vous êtes jeune, madame Gisèle.
• Déjà 28 ans, ça fait trois ans que je suis devenue indépendante et que.
• Merde, la première fois que vous êtes venue pour mon vaccin contre la grippe, vous auriez pu me sucer !
• Proposer, c’est là, la difficulté, mais après comme avec vous, comme je dis, si chacun respecte les règles ça roule.
• Justement êtes-vous capable de prendre un client de plus.
• Pour le sucer ?
• Oui, comme pour moi, quatre piqures et à la quatrième, une sucette jusqu’à éjaculation pour 50 €.
C’est la maison voisine.
• Ça marche, s’il est veuf ou divorcé et est retraité, comment s’appelle-t-il ?
• Benoit, il a 62 ans.
• Il va voir le docteur Benoit au bourg !
Il dit qu’il vient pour avoir des soins par Gisèle.
Il lui donnera un traitement comme pour vos plaies purulentes ou piqures et je commencerais les visites.
Dite à Benoit qu’il coche bien la case à domicile.
• C’est votre complice, il partage les enveloppes avec vous !
• Quoi, partager mes grattes, je suis fidèle à Pierre sauf dans deux circonstances, Mes clients que je soulage et mon amant.
Je le vois tous les lundis à son cabinet pour une réunion officiellement pour mettre au point de nombreuses stratégies.
Il adore me prendre sur sa table d’osculation.
Mais je compte sur vous pour être discret, vous auriez beaucoup à y perdre.
Nous avons assez parler, je veux qu’on finisse ce que l’on a commencé.
Elle me fait lever, ouvre sa blouse ou elle est nue, s’assoit dans mon fauteuil et recommence à me pomper.
Sa chatte est rasée, ma femme avant de se barrer avait une grosse touffe.
Debout, j’éjacule plus facilement qu’assis.
Au moment où je décharge, aujourd’hui, mon sperme va lui servir de masque de beauté, car c’est sa figure qui ramasse les grands jets de mon attente d’un mois.
Elle me suce la dernière goutte avant de récupérer le maximum de ce qu’elle peut, de se lever et d’aller dans ma salle de bains.
Elle connaît, chaque fois qu’elle vient en infirmière complaisante, c’est le même rituel.
Quand elle me rejoint, c’est une parfaite infirmière prête à aller voir son ou sa prochaine cliente qui me rejoint dans ma salle.
• Bon, votre carte vitale, faisons ces papiers de sécurité sociale et empochons mes 5 €.
• Plus les frais de déplacement.
Nous éclatons de rire.
Les papiers terminés, nous nous serons la main.
• À la semaine prochaine.
Je compte sur vous pour vous taire, j’appelle votre petit-fils.
Par ma fenêtre je la regarde partir dans sa blouse d’infirmière, sa petite mallette en main.
Si son mari aime les bagnoles, elle aussi, elle monte dans son crossover du haut de gamme.
M’étant nettoyée la queue et habillée, je sors de chez-moi.
Benoit m’ouvre la porte, nous allons, boire notre café comme, chaque matin.
• Prends un rendez-vous avec le docteur Benoit, elle est d’accord.
Je vois que l’on est prêt !
Même ma petite enveloppe.
• Bonjour, madame Gisèle !
Un mois depuis la dernière fois ou votre bouche a satisfait ma verge, je peux être prêt.
• Je vous ai vu jeudi dernier.
• Oui, mais là vous m’avez fait simplement ma piqure dans le bras.
• C’était la règle, une piqure toutes les semaines et tous les mois, vous me donnez ma petite enveloppe et je vous vide les burnes.
La piqure, c’est pour donner le change pour la Sécurité sociale.
Quatre fois mes 5 € avec frais de déplacement puisque je vais à domicile et chaque mois, je vous suce la bite.
Allez, le temps c’est de l’argent.
• Vous pouvez le dire pour vous, il s’est tu, mais avait l’air ravi la dernière fois qu’il vous a vu.
• Ok monsieur Julien, mon mari aime les voitures de sport et il m’a bien fallu trouver des enveloppes pour remplir mon bas de laine.
Mais mettez-vous dans votre fauteuil, je vais vous sucer, d’autres clients m’attendent.
Une fois installée, mon slip baisser, Gisèle vient s’agenouiller devant moi et me saisir la bite.
Gisèle se fait de nombreuses grattes toutes les semaines, mais exclusivement avec des hommes de plus de 60 ans comme moi.
Elle suce divinement, je commence à bander.
• Dite Gisèle, j’ai bien compris que votre mari a des gros besoins.
• Oui, sexuel et financier.
• Comment en êtes-vous arrivée à sucer nos verges contre votre petite enveloppe de 50 €.
Elle me masturbe, me suce les burnes, mais levant la tête, elle me répond.
• Pour payer mon diplôme d’infirmière, dans une autre vie lorsque j’étais jeune, je travaillais en Allemagne dans un éros Center.
Des bites, j’en ai vu et même de très près.
Quand j’ai eu mon diplôme, j’ai commencé à l’hôpital, mais nous étions payés avec un lance-pierre.
C’est dans mon bordel que j’ai rencontré et qu’il m’a épousé, il sait donc tous de ma vie d’avant.
Comme je l’ai dit seul ses voitures l’intéresse.
Mais je suis trop bavarde et le temps passe.
• 50 € de plus et vous continuez, vous m’intéressez, j’aurais une demande à vous faire.
Depuis combien de temps venez-vous me faire des piqures 8 mois ?
Avez-vous entendu le moindre bruit sur notre petit arrangement mensuel ?
• Non, c’est vrai.
Merci pour la gratification, qu’elle est votre demande.
J’ai un petit fil trop timide pour draguer, j’aimerais que vous en fassiez un homme.
Je vous paierais bien sûr, pour votre bas de laine.
Non, inutile, si je baise avec lui, je risquerais de mettre en l’air mon petit bizness.
Mais attendez, il est puceau si je comprends bien !
• Puceau, plutôt deux fois qu’une, avec sa timidité, j’ai peur qu’il le reste à vie.
• Dans mon bordel, chaque fois que l’une des filles présentes se faisait un puceau, elle payait une bouteille, car ça portait chance.
Si vous me dites qu’il a encore sa virginité, je veux bien m’occuper du problème et en faire un homme.
• Merci combien voulez-vous ?
• Rien, un puceau, c’est plaisir, donnez-moi simplement son numéro de portable si vous l’avez, je trouverais bien un motif pour le rencontrer !
Il a une Mobylette !
Un Piaggio.
• Je l’appèlerais pour lui dire, qu’on m’ai donné son nom, car il est passé près de ma voiture et l’a rayé.
Comme je savais que c’était votre petit-fils, car vous êtes mon client comme infirmière bien sûr, je vous ai appelé et vous m’avez son numéro de portable.
Le reste, c’est mon affaire.
Maintenant, il faut conclure, trop longtemps chez un ou une cliente, ça pourrait finir par être suspect à vos voisins.
• Un ou une, vous avez des clientes femmes !
• Vous êtes perspicace, si vous saviez le nombre de femmes seules à qui je suce la chatte pour la même enveloppe que vous.
Ça entretient la voiture de Pierre et j’arrive à mettre de côté pour les études de mes enfants.
• Vous avez des enfants, je l’ignorais.
• Non, mais j’aime prévenir l’avenir si quelquefois, j’étais obligé d’arrêter de me faire des petits suppléments.
Allez, il est temps, reprenons cette bite en bouche et donnez-moi votre sperme, il paraît que ça aide à rester jeune.
• Mais vous êtes jeune, madame Gisèle.
• Déjà 28 ans, ça fait trois ans que je suis devenue indépendante et que.
• Merde, la première fois que vous êtes venue pour mon vaccin contre la grippe, vous auriez pu me sucer !
• Proposer, c’est là, la difficulté, mais après comme avec vous, comme je dis, si chacun respecte les règles ça roule.
• Justement êtes-vous capable de prendre un client de plus.
• Pour le sucer ?
• Oui, comme pour moi, quatre piqures et à la quatrième, une sucette jusqu’à éjaculation pour 50 €.
C’est la maison voisine.
• Ça marche, s’il est veuf ou divorcé et est retraité, comment s’appelle-t-il ?
• Benoit, il a 62 ans.
• Il va voir le docteur Benoit au bourg !
Il dit qu’il vient pour avoir des soins par Gisèle.
Il lui donnera un traitement comme pour vos plaies purulentes ou piqures et je commencerais les visites.
Dite à Benoit qu’il coche bien la case à domicile.
• C’est votre complice, il partage les enveloppes avec vous !
• Quoi, partager mes grattes, je suis fidèle à Pierre sauf dans deux circonstances, Mes clients que je soulage et mon amant.
Je le vois tous les lundis à son cabinet pour une réunion officiellement pour mettre au point de nombreuses stratégies.
Il adore me prendre sur sa table d’osculation.
Mais je compte sur vous pour être discret, vous auriez beaucoup à y perdre.
Nous avons assez parler, je veux qu’on finisse ce que l’on a commencé.
Elle me fait lever, ouvre sa blouse ou elle est nue, s’assoit dans mon fauteuil et recommence à me pomper.
Sa chatte est rasée, ma femme avant de se barrer avait une grosse touffe.
Debout, j’éjacule plus facilement qu’assis.
Au moment où je décharge, aujourd’hui, mon sperme va lui servir de masque de beauté, car c’est sa figure qui ramasse les grands jets de mon attente d’un mois.
Elle me suce la dernière goutte avant de récupérer le maximum de ce qu’elle peut, de se lever et d’aller dans ma salle de bains.
Elle connaît, chaque fois qu’elle vient en infirmière complaisante, c’est le même rituel.
Quand elle me rejoint, c’est une parfaite infirmière prête à aller voir son ou sa prochaine cliente qui me rejoint dans ma salle.
• Bon, votre carte vitale, faisons ces papiers de sécurité sociale et empochons mes 5 €.
• Plus les frais de déplacement.
Nous éclatons de rire.
Les papiers terminés, nous nous serons la main.
• À la semaine prochaine.
Je compte sur vous pour vous taire, j’appelle votre petit-fils.
Par ma fenêtre je la regarde partir dans sa blouse d’infirmière, sa petite mallette en main.
Si son mari aime les bagnoles, elle aussi, elle monte dans son crossover du haut de gamme.
M’étant nettoyée la queue et habillée, je sors de chez-moi.
Benoit m’ouvre la porte, nous allons, boire notre café comme, chaque matin.
• Prends un rendez-vous avec le docteur Benoit, elle est d’accord.
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