COLLECTION HISTOIRE COURTE. Violée, quoi que ! (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Violée, quoi que ! (1/1)
• Madame, je peux vous aider !
• Pardon, que me voulez-vous ?
• Rien, je vous vois dans cette rue peu éclairé et j’ai peur pour vous que vous ayez des soucis !
• Vous êtes bien aimable, j’habite à quelques mètres d’ici et je me dépêche de rentrer.
J’étais chez une amie, mon mari étant en déplacement et elle devait me ramener, mais elle a abusé du whisky et était dans l’incapacité de prendre le volant.
• Je comprends, mais je vous en supplie, le quartier est mal famé et vous risquez des ennuis même si vous êtes presque arrivée.
• Vous me promettez que vous saurez bien vous comporter envers une femme mariée qui aime son mari.
• Pour qui me prenez-vous, ma maman m’a dit de savoir respecter les femmes.
D’ailleurs, c’est près d’elle que je rentre après avoir, moi aussi passé une soirée entre copains.
Ma maman m’a appelé Marcel, j’ai trente ans et vous !
• Corinne, j’ai, moi aussi trente ans, d’ailleurs aujourd’hui c’est mon anniversaire.
• Guidez-moi !
• Prenez la première à droite.
• Voyez ces deux gars que nous venons de croiser, que vous serait-il arrivé si je vous avais laissé sur le trottoir.
• Vous avez raison, comme vous le dite, j’aurais peut-être été violée.
• À moins que ce soit ce que vous cherchez !
• Voyez, vous devenez désagréable, ai-je l’air d’une femme de bonne famille qui fantasme sur une hypothétique viole en se promenant seul la nuit dans les rues de notre ville.
• Il faut dire que vous portez des vêtements fort subjectifs !
• Traitée-moi de salope ayant ce genre de fantasme, arrêtez votre voiture que je descende, de toute façon je suis arrivée.
• Vous habitez dans cet immeuble !
• Oui, au troisième étage, pardon, que faite vous, vous essayez de m’embrasser, je vous ai dit que j’étais mariée, vous me prenez vraiment pour une salope !
• Si votre mari est absent, vous pourriez m’inviter à prendre un dernier verre, vous verrez, vous serez enchantée d’avoir accepté.
Attendez, inutile de vous sauver, je saurais rester sage.
Quelle conne d’avoir accepté de monter dans cette voiture, il est vrai que si j’avais continué seule, lorsque j’aurais croisé ces deux hommes, en ce moment je serais peut-être livrée à leur lubricité.
Je prends la poigner de la portière et je sors précipitamment courant jusqu’à la porte de mon immeuble.
Si j’arrive à la refermer avant que cet homme me rattrape, je serai sauvée, il faut un code pour entrer.
Je perds une de mes chaussures à talons hauts, je continue à cloche pied.
J’ouvre en tapant le code et la porte se referme me sauvant.
Je reste prostrée reprenant mon souffle, je vois le gars arrivé ramassant ma chaussure, je prends l’ascenseur et je me retrouve devant ma porte.
Mince, j’ai laissé mon baise-en-ville dans la voiture de ce soudard qui m’avait promis être un homme du monde et qui était prêt à me sauter dessus.
• C’est ça que tu cherches !
Sortant de l’escalier, un peu essoufflé, mon suborneur est devant moi avec ma chaussure, mon sac dans une main et mes clefs de l’autre.
Il me plaque le long de ma porte simplement avec son corps.
Il arrive à glisser la clef dans la serrure et ma porte s’ouvre.
Pourtant, il y avait un code, mais j’ai une trouille bleue de ce qu’il va m’arriver, je sens la queue de ce fumier se coller à mes fesses.
Une fois entrée, je suis à deux doigts de m’écrouler lorsque ma porte s’ouvre, il me rattrape par ma queue-de-cheval, me faisant tellement mal que je hurle de douleur.
Deuxième étage, la mémé qui y habite, est sourde comme un pot, inutile de penser qu’elle va me secourir en téléphonant à la police.
Au rez-de-chaussée les bureaux d’architecte de mon mari.
Bref, je suis livrée à ce butor qui se servant de sa prise par mes cheveux m’amène à hauteur de sa verge qu’il sort ayant laissé tomber chaussure et sac.
Comme je l’ai dit, il bandait certainement en sachant qu’il allait me violer.
• Laissez-moi, lorsque mon mari sera de retour, je lui dirais que vous m’avez contraint à vous sucer, il ira porter plainte et vous irez en prison.
• Tu te fiches de ma gueule encore faudrait-il que tu saches qui je suis et où j’habite.
Tiens prend ça et après suce, gaffe si tu me mords avec tes dents.
Avant que j’aie le temps de réagir, je me prends une baffe comme au cinéma, mais bien appliqué à me décrocher la tête.
Contre ma volonté, je prends cette verge et je la mets dans ma bouche, mais en titillant le gros gland pour commencer.
Sa verge descend le long de ma gorge, je suis à deux doigts de vomir, mais je veux subir ses atrocités sans lui montrer la moindre faiblesse de ma part.
Je le suce, finissant par y prendre un début de plaisir, mais pour un homme du monde, il m’arrache mon chemisier faisant sortir mes seins.
Avait-il raison lorsqu’il m’a dit être habillé comme une pute ?
Il me prend le droit qu’il tord, je recrache sa verge et une nouvelle fois je hurle.
La brutalité doit être la marque des violeurs, il me fait tomber à terre, me donnant des coups de pied, avant de m’arracher ma jupe mes collants et ma culotte.
Tous me quittent me laissant à la merci de mon violeur.
Un instant, j’avais espéré que mes collants seraient une protection ; mais lorsqu’il se couche sur moi, je sens sa verge qui cherche son chemin.
Est-ce possible que je mouille, car lorsqu’il entre en moi, il glisse au fond de ma chatte alors qu’un instant j’ai cru avoir mal.
• Salopard, embrasse-moi, mais tu vas voir, comment je vais te faire arrêter espèce de violeur de bas étage.
C’est la seule défense que j’ai ayant peur qu’il me strangule.
J’ai mal ou son pied à frapper, mais les coups de bite qu’il me donne commençant à m’échauffer.
Je repense aux femmes qui devant la police racontent ce qu’il leur est arrivé, au moment où je hurle de plaisir, comme jamais, je me vois mal répondre à leurs questions si j’y ai pris du plaisir.
• Tu crois que tu vas t’en sortir avec quelques coups de bite dans ta chatte !
Suce-moi de nouveau après tu te mettras à quatre pattes et si l’envie me prends, je pense t’enculer.
Des salopes habillées comme des putes, qui trompent leur mari avec le premier venu, mérite d’être enculée.
Je suis emportée dans un tourbillon de moments contradictoires entre la femme aimant son mari et la pute qui d’elle-même, de nouveau, se met à le sucer, se fait entrer une barre chauffée au fer rouge dans son anus.
• Tiens, tiens, tiens prend sa dans ton cul, lorsque je le vois, il était prédisposé à être enculé.
Disant cela, il me claque les fesses, les échauffant à m’en faire mal.
Je dois être réaliste, c’est la première fois que l’on m’encule, mais à chacun des « tiens », j’y prends de plus en plus de plaisir.
Hurler lorsqu’on me laboure la chatte, hurler quand on me perfore l’anus, je dois reconnaitre, avoir pris un maximum de plaisir à me faire violer.
Marcel quitte mon cul pour revenir dans ma chatte, pour y lâcher de longs traits de sperme et se vider les couilles en hurlant, lui aussi.
Je dois tourner de l’œil.
Lorsque je reviens à moi, je suis dans mon lit, dans les bras de mon mari, tout semble redevenue normal si mon cul et mon corps arrêtaient de me faire mal.
Je tends les lèvres à mon homme qui les prend, me rendant mon baiser.
Je retrouve la douceur de ce garçon que j’aime plus que tous, il sait toujours satisfaire tous mes désirs.
• Chérie, ai-je été à la hauteur de tes fantasmes, comme j’avais promis de les satisfaire pour ton anniversaire.
C’est incroyable, lorsque j’ai été dans l’action rien pour m’arrêter.
Crois-tu que j’ai un instinct de violeur lorsque je t’ai fait tout ce que je t’ai fait ?
• Mon chéri, tu as été parfait, tu as même dépassé tous mes fantasmes lorsque tu m’as enculé !
• J’ai tellement aimé, je sens que je suis encore en forme, suce-moi petite salope.
• Mon anniversaire s’était hier, mais bon, te sucer pour que nous refassions l’amour, ça sans fantasme je veux bien.
Nous dormons jusqu’à midi, c’est la fin qui me réveille, je me lève, je ramasse un à un tous mes vêtements.
Ils sont tous bons pour la poubelle, même mes chaussures à talons hauts, celle que j’ai perdue et que Marcel a ramassée, car je m’aperçois que dans ma fuite, il a cassé.
Mon fantasme de viole a épuisé mon pauvre chéri, je descends tous ça à la poubelle en reprenant l’ascenseur.
Dans le local la mamie du deuxième est là.
• Bonjours Corinne, j’ai failli appeler la police dans la nuit, malgré ma surdité, j’ai entendu hurler, j’ai cru que tu te faisais violer !
Je suis sans voix, j’ai crié autant que cela, mais que ça été bon de réaliser mon fantasme.
• Tu as dû rêver qu’un homme te violait et tu as dû crier.
• Dans ma jeunesse, il m’est arrivé d’avoir de telles pensées, mais le temps est passé et ces envies se sont estompées.
C’est réelle qu’elle est vieille, sinon en remontant j’aurais demandé à Marcel de descendre un de ces soirs, la violer comme il l’a fait pour moi réalisant mon fantasme.
En attendant, je vais lui demandé de recommencer une même soirée, j’ai secrètement un autre fantasme, croiser les deux mêmes gars et que ce soient eux qui abusent de moi.
Hélas, ça devra attendre, ça fait deux ans que nous essayons d’avoir un enfant sans pour autant réaliser ce rêve.
• Madame, vos mots de ventre sont dus à votre grossesse, j’ignore comment vous avez réussi, mais je vous donnais une chance sur un million d’avoir un bébé !
Vous avez enfin réussi avec votre mari à réaliser votre envie d’enfant !
J’ignore si nous aurons un garçon ou une fille.
Mais je sais que si c’est le deuxième, car nul doute que lorsqu’elle sera grande et aura un petit ami, après ce que j’ai ramassé, elle fantasmera sur un viol éventuel.
Pour ma part, je veux un deuxième voir un troisième, je pense que Marcel sera partant pour de nouveau remettre le couvert pour me violer !
• Pardon, que me voulez-vous ?
• Rien, je vous vois dans cette rue peu éclairé et j’ai peur pour vous que vous ayez des soucis !
• Vous êtes bien aimable, j’habite à quelques mètres d’ici et je me dépêche de rentrer.
J’étais chez une amie, mon mari étant en déplacement et elle devait me ramener, mais elle a abusé du whisky et était dans l’incapacité de prendre le volant.
• Je comprends, mais je vous en supplie, le quartier est mal famé et vous risquez des ennuis même si vous êtes presque arrivée.
• Vous me promettez que vous saurez bien vous comporter envers une femme mariée qui aime son mari.
• Pour qui me prenez-vous, ma maman m’a dit de savoir respecter les femmes.
D’ailleurs, c’est près d’elle que je rentre après avoir, moi aussi passé une soirée entre copains.
Ma maman m’a appelé Marcel, j’ai trente ans et vous !
• Corinne, j’ai, moi aussi trente ans, d’ailleurs aujourd’hui c’est mon anniversaire.
• Guidez-moi !
• Prenez la première à droite.
• Voyez ces deux gars que nous venons de croiser, que vous serait-il arrivé si je vous avais laissé sur le trottoir.
• Vous avez raison, comme vous le dite, j’aurais peut-être été violée.
• À moins que ce soit ce que vous cherchez !
• Voyez, vous devenez désagréable, ai-je l’air d’une femme de bonne famille qui fantasme sur une hypothétique viole en se promenant seul la nuit dans les rues de notre ville.
• Il faut dire que vous portez des vêtements fort subjectifs !
• Traitée-moi de salope ayant ce genre de fantasme, arrêtez votre voiture que je descende, de toute façon je suis arrivée.
• Vous habitez dans cet immeuble !
• Oui, au troisième étage, pardon, que faite vous, vous essayez de m’embrasser, je vous ai dit que j’étais mariée, vous me prenez vraiment pour une salope !
• Si votre mari est absent, vous pourriez m’inviter à prendre un dernier verre, vous verrez, vous serez enchantée d’avoir accepté.
Attendez, inutile de vous sauver, je saurais rester sage.
Quelle conne d’avoir accepté de monter dans cette voiture, il est vrai que si j’avais continué seule, lorsque j’aurais croisé ces deux hommes, en ce moment je serais peut-être livrée à leur lubricité.
Je prends la poigner de la portière et je sors précipitamment courant jusqu’à la porte de mon immeuble.
Si j’arrive à la refermer avant que cet homme me rattrape, je serai sauvée, il faut un code pour entrer.
Je perds une de mes chaussures à talons hauts, je continue à cloche pied.
J’ouvre en tapant le code et la porte se referme me sauvant.
Je reste prostrée reprenant mon souffle, je vois le gars arrivé ramassant ma chaussure, je prends l’ascenseur et je me retrouve devant ma porte.
Mince, j’ai laissé mon baise-en-ville dans la voiture de ce soudard qui m’avait promis être un homme du monde et qui était prêt à me sauter dessus.
• C’est ça que tu cherches !
Sortant de l’escalier, un peu essoufflé, mon suborneur est devant moi avec ma chaussure, mon sac dans une main et mes clefs de l’autre.
Il me plaque le long de ma porte simplement avec son corps.
Il arrive à glisser la clef dans la serrure et ma porte s’ouvre.
Pourtant, il y avait un code, mais j’ai une trouille bleue de ce qu’il va m’arriver, je sens la queue de ce fumier se coller à mes fesses.
Une fois entrée, je suis à deux doigts de m’écrouler lorsque ma porte s’ouvre, il me rattrape par ma queue-de-cheval, me faisant tellement mal que je hurle de douleur.
Deuxième étage, la mémé qui y habite, est sourde comme un pot, inutile de penser qu’elle va me secourir en téléphonant à la police.
Au rez-de-chaussée les bureaux d’architecte de mon mari.
Bref, je suis livrée à ce butor qui se servant de sa prise par mes cheveux m’amène à hauteur de sa verge qu’il sort ayant laissé tomber chaussure et sac.
Comme je l’ai dit, il bandait certainement en sachant qu’il allait me violer.
• Laissez-moi, lorsque mon mari sera de retour, je lui dirais que vous m’avez contraint à vous sucer, il ira porter plainte et vous irez en prison.
• Tu te fiches de ma gueule encore faudrait-il que tu saches qui je suis et où j’habite.
Tiens prend ça et après suce, gaffe si tu me mords avec tes dents.
Avant que j’aie le temps de réagir, je me prends une baffe comme au cinéma, mais bien appliqué à me décrocher la tête.
Contre ma volonté, je prends cette verge et je la mets dans ma bouche, mais en titillant le gros gland pour commencer.
Sa verge descend le long de ma gorge, je suis à deux doigts de vomir, mais je veux subir ses atrocités sans lui montrer la moindre faiblesse de ma part.
Je le suce, finissant par y prendre un début de plaisir, mais pour un homme du monde, il m’arrache mon chemisier faisant sortir mes seins.
Avait-il raison lorsqu’il m’a dit être habillé comme une pute ?
Il me prend le droit qu’il tord, je recrache sa verge et une nouvelle fois je hurle.
La brutalité doit être la marque des violeurs, il me fait tomber à terre, me donnant des coups de pied, avant de m’arracher ma jupe mes collants et ma culotte.
Tous me quittent me laissant à la merci de mon violeur.
Un instant, j’avais espéré que mes collants seraient une protection ; mais lorsqu’il se couche sur moi, je sens sa verge qui cherche son chemin.
Est-ce possible que je mouille, car lorsqu’il entre en moi, il glisse au fond de ma chatte alors qu’un instant j’ai cru avoir mal.
• Salopard, embrasse-moi, mais tu vas voir, comment je vais te faire arrêter espèce de violeur de bas étage.
C’est la seule défense que j’ai ayant peur qu’il me strangule.
J’ai mal ou son pied à frapper, mais les coups de bite qu’il me donne commençant à m’échauffer.
Je repense aux femmes qui devant la police racontent ce qu’il leur est arrivé, au moment où je hurle de plaisir, comme jamais, je me vois mal répondre à leurs questions si j’y ai pris du plaisir.
• Tu crois que tu vas t’en sortir avec quelques coups de bite dans ta chatte !
Suce-moi de nouveau après tu te mettras à quatre pattes et si l’envie me prends, je pense t’enculer.
Des salopes habillées comme des putes, qui trompent leur mari avec le premier venu, mérite d’être enculée.
Je suis emportée dans un tourbillon de moments contradictoires entre la femme aimant son mari et la pute qui d’elle-même, de nouveau, se met à le sucer, se fait entrer une barre chauffée au fer rouge dans son anus.
• Tiens, tiens, tiens prend sa dans ton cul, lorsque je le vois, il était prédisposé à être enculé.
Disant cela, il me claque les fesses, les échauffant à m’en faire mal.
Je dois être réaliste, c’est la première fois que l’on m’encule, mais à chacun des « tiens », j’y prends de plus en plus de plaisir.
Hurler lorsqu’on me laboure la chatte, hurler quand on me perfore l’anus, je dois reconnaitre, avoir pris un maximum de plaisir à me faire violer.
Marcel quitte mon cul pour revenir dans ma chatte, pour y lâcher de longs traits de sperme et se vider les couilles en hurlant, lui aussi.
Je dois tourner de l’œil.
Lorsque je reviens à moi, je suis dans mon lit, dans les bras de mon mari, tout semble redevenue normal si mon cul et mon corps arrêtaient de me faire mal.
Je tends les lèvres à mon homme qui les prend, me rendant mon baiser.
Je retrouve la douceur de ce garçon que j’aime plus que tous, il sait toujours satisfaire tous mes désirs.
• Chérie, ai-je été à la hauteur de tes fantasmes, comme j’avais promis de les satisfaire pour ton anniversaire.
C’est incroyable, lorsque j’ai été dans l’action rien pour m’arrêter.
Crois-tu que j’ai un instinct de violeur lorsque je t’ai fait tout ce que je t’ai fait ?
• Mon chéri, tu as été parfait, tu as même dépassé tous mes fantasmes lorsque tu m’as enculé !
• J’ai tellement aimé, je sens que je suis encore en forme, suce-moi petite salope.
• Mon anniversaire s’était hier, mais bon, te sucer pour que nous refassions l’amour, ça sans fantasme je veux bien.
Nous dormons jusqu’à midi, c’est la fin qui me réveille, je me lève, je ramasse un à un tous mes vêtements.
Ils sont tous bons pour la poubelle, même mes chaussures à talons hauts, celle que j’ai perdue et que Marcel a ramassée, car je m’aperçois que dans ma fuite, il a cassé.
Mon fantasme de viole a épuisé mon pauvre chéri, je descends tous ça à la poubelle en reprenant l’ascenseur.
Dans le local la mamie du deuxième est là.
• Bonjours Corinne, j’ai failli appeler la police dans la nuit, malgré ma surdité, j’ai entendu hurler, j’ai cru que tu te faisais violer !
Je suis sans voix, j’ai crié autant que cela, mais que ça été bon de réaliser mon fantasme.
• Tu as dû rêver qu’un homme te violait et tu as dû crier.
• Dans ma jeunesse, il m’est arrivé d’avoir de telles pensées, mais le temps est passé et ces envies se sont estompées.
C’est réelle qu’elle est vieille, sinon en remontant j’aurais demandé à Marcel de descendre un de ces soirs, la violer comme il l’a fait pour moi réalisant mon fantasme.
En attendant, je vais lui demandé de recommencer une même soirée, j’ai secrètement un autre fantasme, croiser les deux mêmes gars et que ce soient eux qui abusent de moi.
Hélas, ça devra attendre, ça fait deux ans que nous essayons d’avoir un enfant sans pour autant réaliser ce rêve.
• Madame, vos mots de ventre sont dus à votre grossesse, j’ignore comment vous avez réussi, mais je vous donnais une chance sur un million d’avoir un bébé !
Vous avez enfin réussi avec votre mari à réaliser votre envie d’enfant !
J’ignore si nous aurons un garçon ou une fille.
Mais je sais que si c’est le deuxième, car nul doute que lorsqu’elle sera grande et aura un petit ami, après ce que j’ai ramassé, elle fantasmera sur un viol éventuel.
Pour ma part, je veux un deuxième voir un troisième, je pense que Marcel sera partant pour de nouveau remettre le couvert pour me violer !
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Les avis des lecteurs
Merci chère lectrice
Super texte qui m’a beaucoup plu