COLLECTION HOMME FEMME. Conte de Noël (1/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Conte de Noël (1/4)
Mon histoire a lieu à quelques jours de Noël.
J’habite dans le XVIe arrondissement, un appartement coquet au dernier étage d’un immeuble, qui fait rare et très recherché à Paris, possède jardin d’hiver et jardin d’été.
J’habite non loin de la station de métro « porte de Saint-Cloud ».
Le métro et moi, cela fait deux, comme de nombreuses Parisiennes, je n’ai pas de véhicule, mais avec un bon portable et de bonnes applications, rapidement, je me sers de taxi venant me chercher au bas de chez moi.
Il faut dire que je sors peu, vivant même en recluse depuis la disparition de Joy, mon amie, elle m’a quitté, il y a six mois, après une longue maladie, elle avait un cancer du sein.
C’est en juillet aux portes de l’été qu’elle aimait tant que les choses se sont accélérées jusqu’à l’issue fatale.
Elle est morte dans mes bras dans notre maison de Normandie où nous possédons une vieille ferme où elle avait son atelier de ferronnerie d’art et moi de vieux chevaux que j’empêche de finir à l’abattoir.
Elle voulait être incinérée, ce qui a été fait, son urne est enterrée dans notre propriété au mépris des interdictions.
Les chevaux, nous en avons trois, deux vieilles juments et une jeune pouliche de deux ans, qui devaient finir en steaks suite à un accident dans un pré après sa naissance.
Depuis la mort de mon amie, je n’ai pas eu le cœur d’y retourner, mais aucune crainte, nos chevaux sont nourris et entretenus par le haras voisin que nous payons pour ce travail en notre absence.
Je me rends compte que je dis « nous » comme si Joy était toujours là, il faut dire que mon amie était l’amour de ma vie, nous nous connaissions depuis la plus tendre enfance.
C’est vers la fin de notre adolescence que nous avons compris les sentiments qui nous unissaient et que nos corps aspiraient à être unis de façon fusionnelle.
Je me souviendrais jusqu’à mon dernier souffle de cette nuit, pendant ce week-end où nous avions couché ensemble dans cette chambre dans l’ancienne maison de mes grands-parents disparus à ce jour, où nos parents avaient accepté que nous restions seules cet été-là.
Joy avait déjà l’envie de créer des objets d’art, à ce titre elle faisait ses études dans ce domaine, quand nous sommes arrivées, elle est tombée amoureuse de la grange et de la ferraille dans un coin, accumulé par mon grand-père.
Dès le premier jour, elle avait appris à se servir du chalumeau, pour découper et ressouder des pièces entre elles et en faire des statuts ou statuettes.
Dans la nuit, je me suis retrouvé pour la première fois dans ses bras et au matin, je devais admettre que j’étais née pour aimer les femmes et repousser les hommes.
Pendant deux ans, nous avons réussi à cacher notre amour, mais dès que nous avons été majeurs, nous nous sommes affranchies des conventions et nous avons emménagé dans cet appartement de la porte de Saint-Cloud.
Nous l’avons payé ensemble moi grâce à un pécule hérité de mes grands-parents et parents, comme je l’ai dit, nos anciens étant morts et mes parents ayant disparu dans un accident de la route en se rendant dans la maison de Normandie.
J’ai touché un pactole de leur assurance, l’accident n’étant pas de leur fait, mais d’un chauffard qui avait brûlé un stop avec un taux d’alcool hors de la réglementation.
Quant à Joy, son apport a été fait grâce à ses sculptures qui se vendent à prix d’or dans une galerie parisienne.
Il y avait douze ans que nous vivions ici et en Normandie, je refuse de passer sur le lieu de l’accident de mes parents aussi, c’est en taxi passant par l’autoroute que nous nous y rendions chaque fois qu’une idée de statut germait dans la tête de mon amie.
Douze ans d’un bonheur parfait, faite principalement de caresse et de baiser fougueux sur l’ensemble de nos corps.
C’est Noël dans trois jours, ma télé est allumée et aux infos, il y a un reportage sur le froid et les SDFs, quelle n’est pas ma surprise de reconnaître la bouche de métro aux bas de chez-moi.
Je regarde par la fenêtre passant dans le salon d’hiver, une forme est couchée sur les grilles d’une aération, mais aucune caméra, le sujet a dû être enregistré.
« Penser à eux, avec ce froid, un signe de bienveillance envers ceux qui n’ont rien comparez à vous qui allez passer un Noël joyeux, serait le bienvenu ! »
C’est la phrase que j’entends quand je reviens devant ma télé, mais je m’écroule sur notre canapé en larmes, quand ils font un reportage, pensent-ils à ceux, comme moi, qui pour la première fois vont passer Noël, seuls après la disparition de mon être aimé.
Cette phrase tourne dans ma tête, le lendemain ma femme de service vient me préparer mon repas comme tous les jours et ranger mon appartement.
• Rosa, savez-vous faire la soupe de pois cassés avec de la saucisse de Morteau ?
• Je n’en ai pas dans la cuisine, mais je peux descendre en chercher et en faire cuire, maman m’a appris à en préparer, j’y mets de la crème fraîche !
• Oui, qu’elle soit bien onctueuse.
Comme tous les matins à 12 heures 30, Rosa me quitte avec sur la table la soupe que je lui ai demandé de me confectionner.
• Monsieur, vous dormez, je vous ai fait préparer de la soupe de pois cassés avec un gros morceau de saucisse, je voulais de la Morteau, c’est de la Montbéliarde, mais c’est tout aussi bon.
Monsieur, vous dormez.
• Qu’est-ce que tu viens me faire chier, t’as rien à faire que d’emmerder les gens qui dorment.
• J’ai mis une cuillère en plastique, vous pourrez la mettre à la poubelle après, je repasserais chercher la casserole.
• Elle va me faire chier longtemps cette bourgeoise, elles n’ont rien à foutre que d’emmerder les gens ces salopes.
Sympa le gars, j’ai juste vu ses yeux sortant de son passe-montagne, je laisse la gamelle et je remonte me mettre au chaud, de ma terrasse d’hiver, comme je l’ai fait hier, je vois ma gamelle à côté de l’homme allongé emmitouflé dans sa couverture.
Quand, j’étais près de lui, j’ai senti l’air chaud monter des grilles, vingt centimètres plus haut le froid glacial me traversait la peau.
Le lendemain, je redescends, chercher ma gamelle, la manière dont j’ai été reçu m’ayant refroidi, on peut essayer d’aider les gens, j’ai difficilement apprécié la façon de me faire traiter de bourgeoise.
• Monsieur, excusez-moi de nouveau de vous réveiller, je viens récupérer ma casserole.
• C’est moi qui m’excuse pour hier, j’avais plus de pinards et d’argent pour en acheter, t’as encore de la soupe, y avait longtemps que je n’avais pas fait un tel festin, ça m’a rappelé ma grand-mère qui m’en faisait.
Dommage, c’était froid quand je l’ai mangé, t’en as de la chaude ?
• Il m’en reste dans mon frigo, si vous voulez monter, je vous la ferais cuire.
En même temps qu’il me dit ça, je vois la portée de ma proposition, faire monter cet homme, tous pouilleux chez moi, n’est-ce pas prendre des risques, trop tard il sort de sa couverture, il est assez petit, je le dépasse d’une tête.
• T’as un endroit où je peux mettre ma carriole, j’ai tout mon chez-moi dans ce caddy, je connais les copains, il faut souvent nous battre pour ne pas nous faire dépouiller.
J’avais une nouvelle ouverture pour lui dire que je n’avais pas d’endroit, monter faire cuire de la soupe et la redescendre pour qu’il la mange.
• Venez, nous allons passer par le parking, vous la laisserez dans ma cave, j’ai les clefs.
C’est dans l’ascenseur que la panique me prend, non pas qu’il semble agressif, mais l’odeur, il puait littéralement, descendu, je lui ouvre la porte.
• Merci madame, tu es bien gentille, je te préviens, tu n’as rien à craindre de moi.
• Je n’en doute pas, vous semblez être un gentleman, je peux vous proposer quelque chose sans vous vexer.
• Accepter d’avance.
• Je vous fais couler un bain, je crois que ça ne vous fera pas de mal.
• Regarde, je n’ai qu’une parole.
Dans l’entrée, il laisse tomber sa vieille pelisse son gros pull, il enlève de vieille basket pleine de trous et finit par un jean qui pourrait tenir debout tout seul et sans parler du slip.
• Prends ton temps pour le bain, y fait chaud chez toi, on se croirait en été.
Je file dans la salle d’eau, il me suit ouf, il n’avait pas de chaussette et ses pieds sont noirs de crasse.
J’ouvre les robinets et dès que la baignoire est pleine, j’arrête l’eau et je prends la direction de la porte.
• J’espère que vous savez vous laver, j’ai mis des sels de bain, laissez votre slip au sol, nous nous en occuperons plus tard, je vais vous faire cuire votre soupe.
Je quitte la pièce et je tire la porte, c’est bizarre, au plus loin que je ne me souvienne, ce doit être la première fois que depuis sa construction qu’un homme se trouve dans cet appartement.
Il y a presque une demi-heure qu’il doit barboter quand j’entends qu’il m’appelle, je viens vers la salle de bains pour écouter ce qu’il veut.
• Madame, vous pouvez venir me faire voir, comment on met en marche la douchette, je veux me rincer.
Comme une nunuche, j’entre comme je le faisais avec Joy quand elle m’appelait, il est debout la douchette en main.
Mon amie et moi nous ne regardions que très rarement les films comiques, mais j’ai vu le film les visiteurs et l’eau de ma baignoire est presque si sale.
Il a les jambes qui trempent dans ce bouillon de culture, mais surtout, si c’est la première fois qu’un homme rentre ici, pour la première fois, je suis à portée de bras de sa verge.
Comment peut-on naître avec une verge si longue, surtout pour un homme à la limite d’une petite taille, il n’est pas un nain, mais en rapport ses attributs sont disproportionnés.
J’essaye de ne pas la voir, mais quand je tourne le système qui évacue l’eau, je suis à quelques centimètres de cet engin, mon regard est fasciné, j’ai vu un documentaire montrant un serpent hypnotisant sa proie, je suis dans une situation identique.
L’eau commence à baisser, il faut que je réagisse.
• Asseyez-vous, je vais vous laver les cheveux et vous rincer.
Il s’assied me cachant son engin, j’en suis presque punie, je récupère la douchette et je la mets en marche tout en lui mettant du shampoing dans les cheveux, je le savonne, du jus encore noir coule, on se serait cru dans les corons à la sortie de la mine quand Depardieu et Miou-Miou se lavaient dans Germinal.
Je le rince et je fais une action folle, ma main passe sur son dos et sur son torse très velu, sans m’en rendre compte, insidieusement, elle descend pour finir par un de mes doigts qui vient la caresser.
Incroyable, je retire ma main comme si le serpent avait attaqué et je lui mets la douchette dans la main.
• Finissez, je vous attends dans le salon d’hiver.
Je quitte précipitamment la salle d’eau, un trouble profond m’asseyant, comment vais-je faire pour m’en débarrasser…
J’habite dans le XVIe arrondissement, un appartement coquet au dernier étage d’un immeuble, qui fait rare et très recherché à Paris, possède jardin d’hiver et jardin d’été.
J’habite non loin de la station de métro « porte de Saint-Cloud ».
Le métro et moi, cela fait deux, comme de nombreuses Parisiennes, je n’ai pas de véhicule, mais avec un bon portable et de bonnes applications, rapidement, je me sers de taxi venant me chercher au bas de chez moi.
Il faut dire que je sors peu, vivant même en recluse depuis la disparition de Joy, mon amie, elle m’a quitté, il y a six mois, après une longue maladie, elle avait un cancer du sein.
C’est en juillet aux portes de l’été qu’elle aimait tant que les choses se sont accélérées jusqu’à l’issue fatale.
Elle est morte dans mes bras dans notre maison de Normandie où nous possédons une vieille ferme où elle avait son atelier de ferronnerie d’art et moi de vieux chevaux que j’empêche de finir à l’abattoir.
Elle voulait être incinérée, ce qui a été fait, son urne est enterrée dans notre propriété au mépris des interdictions.
Les chevaux, nous en avons trois, deux vieilles juments et une jeune pouliche de deux ans, qui devaient finir en steaks suite à un accident dans un pré après sa naissance.
Depuis la mort de mon amie, je n’ai pas eu le cœur d’y retourner, mais aucune crainte, nos chevaux sont nourris et entretenus par le haras voisin que nous payons pour ce travail en notre absence.
Je me rends compte que je dis « nous » comme si Joy était toujours là, il faut dire que mon amie était l’amour de ma vie, nous nous connaissions depuis la plus tendre enfance.
C’est vers la fin de notre adolescence que nous avons compris les sentiments qui nous unissaient et que nos corps aspiraient à être unis de façon fusionnelle.
Je me souviendrais jusqu’à mon dernier souffle de cette nuit, pendant ce week-end où nous avions couché ensemble dans cette chambre dans l’ancienne maison de mes grands-parents disparus à ce jour, où nos parents avaient accepté que nous restions seules cet été-là.
Joy avait déjà l’envie de créer des objets d’art, à ce titre elle faisait ses études dans ce domaine, quand nous sommes arrivées, elle est tombée amoureuse de la grange et de la ferraille dans un coin, accumulé par mon grand-père.
Dès le premier jour, elle avait appris à se servir du chalumeau, pour découper et ressouder des pièces entre elles et en faire des statuts ou statuettes.
Dans la nuit, je me suis retrouvé pour la première fois dans ses bras et au matin, je devais admettre que j’étais née pour aimer les femmes et repousser les hommes.
Pendant deux ans, nous avons réussi à cacher notre amour, mais dès que nous avons été majeurs, nous nous sommes affranchies des conventions et nous avons emménagé dans cet appartement de la porte de Saint-Cloud.
Nous l’avons payé ensemble moi grâce à un pécule hérité de mes grands-parents et parents, comme je l’ai dit, nos anciens étant morts et mes parents ayant disparu dans un accident de la route en se rendant dans la maison de Normandie.
J’ai touché un pactole de leur assurance, l’accident n’étant pas de leur fait, mais d’un chauffard qui avait brûlé un stop avec un taux d’alcool hors de la réglementation.
Quant à Joy, son apport a été fait grâce à ses sculptures qui se vendent à prix d’or dans une galerie parisienne.
Il y avait douze ans que nous vivions ici et en Normandie, je refuse de passer sur le lieu de l’accident de mes parents aussi, c’est en taxi passant par l’autoroute que nous nous y rendions chaque fois qu’une idée de statut germait dans la tête de mon amie.
Douze ans d’un bonheur parfait, faite principalement de caresse et de baiser fougueux sur l’ensemble de nos corps.
C’est Noël dans trois jours, ma télé est allumée et aux infos, il y a un reportage sur le froid et les SDFs, quelle n’est pas ma surprise de reconnaître la bouche de métro aux bas de chez-moi.
Je regarde par la fenêtre passant dans le salon d’hiver, une forme est couchée sur les grilles d’une aération, mais aucune caméra, le sujet a dû être enregistré.
« Penser à eux, avec ce froid, un signe de bienveillance envers ceux qui n’ont rien comparez à vous qui allez passer un Noël joyeux, serait le bienvenu ! »
C’est la phrase que j’entends quand je reviens devant ma télé, mais je m’écroule sur notre canapé en larmes, quand ils font un reportage, pensent-ils à ceux, comme moi, qui pour la première fois vont passer Noël, seuls après la disparition de mon être aimé.
Cette phrase tourne dans ma tête, le lendemain ma femme de service vient me préparer mon repas comme tous les jours et ranger mon appartement.
• Rosa, savez-vous faire la soupe de pois cassés avec de la saucisse de Morteau ?
• Je n’en ai pas dans la cuisine, mais je peux descendre en chercher et en faire cuire, maman m’a appris à en préparer, j’y mets de la crème fraîche !
• Oui, qu’elle soit bien onctueuse.
Comme tous les matins à 12 heures 30, Rosa me quitte avec sur la table la soupe que je lui ai demandé de me confectionner.
• Monsieur, vous dormez, je vous ai fait préparer de la soupe de pois cassés avec un gros morceau de saucisse, je voulais de la Morteau, c’est de la Montbéliarde, mais c’est tout aussi bon.
Monsieur, vous dormez.
• Qu’est-ce que tu viens me faire chier, t’as rien à faire que d’emmerder les gens qui dorment.
• J’ai mis une cuillère en plastique, vous pourrez la mettre à la poubelle après, je repasserais chercher la casserole.
• Elle va me faire chier longtemps cette bourgeoise, elles n’ont rien à foutre que d’emmerder les gens ces salopes.
Sympa le gars, j’ai juste vu ses yeux sortant de son passe-montagne, je laisse la gamelle et je remonte me mettre au chaud, de ma terrasse d’hiver, comme je l’ai fait hier, je vois ma gamelle à côté de l’homme allongé emmitouflé dans sa couverture.
Quand, j’étais près de lui, j’ai senti l’air chaud monter des grilles, vingt centimètres plus haut le froid glacial me traversait la peau.
Le lendemain, je redescends, chercher ma gamelle, la manière dont j’ai été reçu m’ayant refroidi, on peut essayer d’aider les gens, j’ai difficilement apprécié la façon de me faire traiter de bourgeoise.
• Monsieur, excusez-moi de nouveau de vous réveiller, je viens récupérer ma casserole.
• C’est moi qui m’excuse pour hier, j’avais plus de pinards et d’argent pour en acheter, t’as encore de la soupe, y avait longtemps que je n’avais pas fait un tel festin, ça m’a rappelé ma grand-mère qui m’en faisait.
Dommage, c’était froid quand je l’ai mangé, t’en as de la chaude ?
• Il m’en reste dans mon frigo, si vous voulez monter, je vous la ferais cuire.
En même temps qu’il me dit ça, je vois la portée de ma proposition, faire monter cet homme, tous pouilleux chez moi, n’est-ce pas prendre des risques, trop tard il sort de sa couverture, il est assez petit, je le dépasse d’une tête.
• T’as un endroit où je peux mettre ma carriole, j’ai tout mon chez-moi dans ce caddy, je connais les copains, il faut souvent nous battre pour ne pas nous faire dépouiller.
J’avais une nouvelle ouverture pour lui dire que je n’avais pas d’endroit, monter faire cuire de la soupe et la redescendre pour qu’il la mange.
• Venez, nous allons passer par le parking, vous la laisserez dans ma cave, j’ai les clefs.
C’est dans l’ascenseur que la panique me prend, non pas qu’il semble agressif, mais l’odeur, il puait littéralement, descendu, je lui ouvre la porte.
• Merci madame, tu es bien gentille, je te préviens, tu n’as rien à craindre de moi.
• Je n’en doute pas, vous semblez être un gentleman, je peux vous proposer quelque chose sans vous vexer.
• Accepter d’avance.
• Je vous fais couler un bain, je crois que ça ne vous fera pas de mal.
• Regarde, je n’ai qu’une parole.
Dans l’entrée, il laisse tomber sa vieille pelisse son gros pull, il enlève de vieille basket pleine de trous et finit par un jean qui pourrait tenir debout tout seul et sans parler du slip.
• Prends ton temps pour le bain, y fait chaud chez toi, on se croirait en été.
Je file dans la salle d’eau, il me suit ouf, il n’avait pas de chaussette et ses pieds sont noirs de crasse.
J’ouvre les robinets et dès que la baignoire est pleine, j’arrête l’eau et je prends la direction de la porte.
• J’espère que vous savez vous laver, j’ai mis des sels de bain, laissez votre slip au sol, nous nous en occuperons plus tard, je vais vous faire cuire votre soupe.
Je quitte la pièce et je tire la porte, c’est bizarre, au plus loin que je ne me souvienne, ce doit être la première fois que depuis sa construction qu’un homme se trouve dans cet appartement.
Il y a presque une demi-heure qu’il doit barboter quand j’entends qu’il m’appelle, je viens vers la salle de bains pour écouter ce qu’il veut.
• Madame, vous pouvez venir me faire voir, comment on met en marche la douchette, je veux me rincer.
Comme une nunuche, j’entre comme je le faisais avec Joy quand elle m’appelait, il est debout la douchette en main.
Mon amie et moi nous ne regardions que très rarement les films comiques, mais j’ai vu le film les visiteurs et l’eau de ma baignoire est presque si sale.
Il a les jambes qui trempent dans ce bouillon de culture, mais surtout, si c’est la première fois qu’un homme rentre ici, pour la première fois, je suis à portée de bras de sa verge.
Comment peut-on naître avec une verge si longue, surtout pour un homme à la limite d’une petite taille, il n’est pas un nain, mais en rapport ses attributs sont disproportionnés.
J’essaye de ne pas la voir, mais quand je tourne le système qui évacue l’eau, je suis à quelques centimètres de cet engin, mon regard est fasciné, j’ai vu un documentaire montrant un serpent hypnotisant sa proie, je suis dans une situation identique.
L’eau commence à baisser, il faut que je réagisse.
• Asseyez-vous, je vais vous laver les cheveux et vous rincer.
Il s’assied me cachant son engin, j’en suis presque punie, je récupère la douchette et je la mets en marche tout en lui mettant du shampoing dans les cheveux, je le savonne, du jus encore noir coule, on se serait cru dans les corons à la sortie de la mine quand Depardieu et Miou-Miou se lavaient dans Germinal.
Je le rince et je fais une action folle, ma main passe sur son dos et sur son torse très velu, sans m’en rendre compte, insidieusement, elle descend pour finir par un de mes doigts qui vient la caresser.
Incroyable, je retire ma main comme si le serpent avait attaqué et je lui mets la douchette dans la main.
• Finissez, je vous attends dans le salon d’hiver.
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