COLLECTION HOMME FEMME. Iris et Phil, dix ans après (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Iris et Phil, dix ans après (1/1)
• Iris regarde, tu reconnais l’arrivée sur Venise, il y a autant de trafic sur le grand canal que depuis la première fois où tu m’as amenée après notre mariage.
• Ça me fait plaisir, car depuis dix ans nous avons passé de durs moments dans notre couple.
• Il faut dire que ta jalousie envers Livio, le jeune gondolier qui s’occupait de nous, a beaucoup contribué à me faire péter les plombs.
• Tu as raison, mais c’est toi qui t’es mis martel en tête dès le premier jour où nous avons été de la sortie de l’aéroport jusqu’à notre hôtel.
Nous atterrissons et nous nous dirigeons vers le quai pour rejoindre la ville.
• C’est incroyable, Livio, tu es toujours là à transporter des touristes vers leur hôtel !
• Oui, quand le patron m’a dit qu’Iris et Phil revenait dix ans après, je me suis empressé de me proposer pour vous accompagner dans les huit jours de votre nouveau séjour.
• Nous avons appris que tu filais le doux amour avec un beau gondolier de Venise.
• Vous avez appris cela, l’eau a coulé sous le pont des Soupirs et nous nous sommes séparés.
J’ai cru que les hommes, c’était mon truc, mais je me suis vite aperçu que les petites chattes de ces dames, je les kiffais.
Iris, le poids des âges, c’est pour les autres femmes, tu es de plus en plus femme, as-tu des enfants ?
• Des enfants non, mais un fils oui, ce sont nos parents qui le gardent pendant notre voyage.
Je vois Phil changer de visage.
La tension entre nous après notre premier voyage, j’ai bien peur que tout va recommencer.
Bon, je fais ma vie et nous sommes là, un peu pour recoller les morceaux, que j’ai accepté ce deuxième voyage de noces.
Il faut dire que Phil a découvert que je le trompais avec notre voisin Albert un vieux de trente ans notre aîné.
Les phases que nous avions passées dans notre couple nous avaient un peu éloigné du moins dans notre lit.
Pourtant, j’aime le sexe, sous toutes ces formes, mes infidélités envers Phil peuvent en être la preuve.
• Je vous conduis à l’hôtel Danieli, comme la dernière fois, vos bagages sont bien arrivés, je les ai vus lorsque l’aéroport les a livrés.
Iris donne ta main que je t’aide à monter à bord, la semaine dernière j’ai été obligée de retenir une cliente qui a failli passer par-dessus bord.
Livio me tend sa main, je l’ai saisi, mais le regard noir de Phil m’oblige à la récupérer très vite.
Je ressens pourtant un petit frisson, comme cela se passait il y a dix ans.
Nous rejoignons l’hôtel par le grand canal et en passant sous le pont Rialto.
• Bonjour, monsieur, madame, heureux de vous revoir, ça fait déjà dix ans, le temps passe tellement vite.
Nous montons dans la chambre.
• Chéri, tu reconnais la chambre, nos parents ont bien fait les choses , il me semble que c’est la même que la première fois.
Phil s’est couché sur le lit en enlevant seulement ses chaussures et a pris sa tablette pour y récupérer le code Wi-Fi que la réception lui a donné.
C’est la grosse différence depuis notre voyage de noces, les réseaux sociaux, je m’en passe facilement, Phil en est accro.
De surcroît, il aime lire sur son écran.
• Je vais me doucher, tu viens me rejoindre, souviens-toi, nous avions fait l’amour sous la douche.
En réponse, un grand silence tellement il est absorbé.
J’ouvre ma valise et j’en sors la petite robe à fleurs que je me suis spécialement achetée afin de reconquérir le cœur de celui que j’avais allègrement cocufié.
Je me souviens de la course folle dans la chambre et le moment où m’ayant rattrapé, il m’avait planté son sexe dans la chatte me faisant hurler de plaisir.
Ma robe sortie, je me dénude, prenant même des postures lui montrant que malgré ces dix ans, comme venais de me le dire Livio, je m’étais embellie.
C’est vrai, il faut que cette pensée soit seulement dans ma tête, c’est en partie à cause de ce garçon que notre vie a été bouleversée après notre premier voyage.
Douchée, parfumée comme il aime que je sois je reviens dans la chambre.
Je me pose sur le lit à côté de lui et je m’approche espérant qu’il pose sa tablette, qu’il me prenne dans ses bras et me montre qu’il a digéré mon escapade sexuelle avec Albert, notre vieux voisin.
J’ai pris une première douche presque froide pour me rafraîchir de l’air moite de la ville, c’est une deuxième qui me tombe sur la tête lorsqu’il me parle froidement.
• Si tu crois comme le croit aussi nos parents qu’il suffit d’un voyage là où nous avons fait notre voyage de noces, pour effacer toutes les tromperies que tu m’as fait subir, tu te fiches le doigt dans ton joli cul.
• Tu es grossier Phil, si tu t’occupais un peu mieux de moi, je te serais restée fidèle, tu as de beaux principes moralisateurs, mais pour le reste, rien, que dalle.
Comme c’est comme ça, je vais aller acheter les cartes postales et un cadeau pour chacun de nos parents, la dernière fois, nous avions oublié d’en acheter, car nous pensions plus à baiser qu’à ce genre de détail.
J’aurais fait le maxi pour remettre notre couple sur ses rails, je me lève, j’enfile ma robe, je mets mes escarpins et je prends mon sac.
• Et tu vas sortir comme ça, ta chatte à l’air, salope.
• La salope, elle te dit merde, c’est le seul langage que l’on peut avoir avec un borné comme toi.
Je quitte la chambre, je prends l’ascenseur et je vais dans une boutique sur le quai où j’achète dix cartes postales et deux saloperies qui me serviront d’alibi après ce que je m’apprête à faire.
Je reviens jusqu’à l’embarcadère où Livio à ses bateaux, il est là, avec son chapeau sur la tête et son paletot rayé aussi beau qu’il y a dix ans.
• Livio, tu es libre, conduis-moi au canal des amoureux comme tu l’as fait il y a dix ans, je veux que tu me baises comme tu l’as fait la première fois !
• Je veux bien, mais il fait encore jour.
Il y a dix ans, tu avais profité de ce que Phil dormait, fatigué de sa journée, pour me rejoindre et que je te conduise dans ce petit canal.
• On s’en fiche, je viens d’acheter des cartes postales qui vont me servir d’alibi.
Je suis en colère et je veux que tu me mettes un bon coup de bite.
Souviens-toi, les deux nuits où nous sommes allés là-bas, la deuxième fois, tu as été le premier à m’enculer.
Depuis cette première depuis dix ans j’ai eu des amants, grâce à toi j’ai connu ce plaisir que j’ai toujours refusé à Phil alors, aide-moi à monter et pousse sur ta perche le plus vite possible.
Si tu le désires, si l’un de tes jeunes matelots est partant, quand il y en a pour un, il y en a pour deux.
J’ai plusieurs fois dans le dos de Phil, pratiquée la double pénétration et j’en raffole.
Le pont des Soupires, Alberto, aussi beau que Livio, est assis à l’avant de la gondole.
Je suis assise sur le siège où j’étais lors de notre premier voyage et j’écarte mes cuisses lui montrant que mon sexe était prêt à recevoir le leur.
Je reconnais l’arrière du palais où résidait DonJuan, que j’aurais aimé vivre à son époque et de me faire baiser dans les fêtes gigantesques qui se déroulaient dans ces années-là.
L’entrée du petit canal est là, Livio pousse le cri pour savoir s’il était occupé et l’écho nous revenant nous nous y engageons.
• Viens bel Alberto, que je te suce la queue pendant que Livio arrête la gondole.
Vous avoir tous les deux pour calmer ma rage de l’impuissance de Phil, pas une seconde à perdre.
Alberto vient à moi, descend son pantalon et me montre une queue fort appétissante pour une salope comme moi.
Il est bien monté, bien moins qu’Albert mon voisin.
Sa grosse bite qu’il m’a présentée m’ayant incitée à voir si j’étais capable de l’avaler en gorge profonde et qui ait été la première étape des nombreuses fois où j’ai baisé avec ce vieux.
Livio nous a rejoints, la sienne je connais et je sais que je peux l’avaler jusqu’au fond de ma gorge sans aucun problème.
Je les suce à tour de rôle, mais le temps presse, je suis dans un voyage de la rédemption que nous avons promis à nos parents mis au courant de mes escapades avec Albert.
Par chance, Phil et nos parents connaissent la seule fois avec Albert, les autres fois, j’ai eu la chance de pouvoir prononcer, « pas vue, pas prise... »
• Attendez, j’enlève ma robe, aidez-moi à me relever, ça tangue.
Lorsque je rentrerais, inutile que Phil me demande pourquoi elle est froissée.
Il m’aide, Livio se couche au fond de la gondole, je m’empale.
Que c’est bon une belle bite dans la chatte vite suivie par celle d’Alberto dans mon anus.
Deux d’un coup, chaque fois que ça m’arrive, je joui deux fois plus fort que les fois où j’ai trompé Phil avec un seul amant.
Alberto parle en italien à Livio, comme la première fois, je suis un peu larguée, c’est Livio qui traduit.
• Alberto a dit que tu étais la première femme qu’il enculait.
• Es-tu sûr d’avoir tout traduit, j’ai cru reconnaitre le mot « salope » dans ses propos ?
• Tu as raison, il a dit que tu étais la première salope qu’il enculait.
• La première salope et j’en suis fière, dépéchez-vous de m’envoyer votre sperme et de me faire jouir, on perd du temps.
Deux verges, une salope, rapidement le petit canal porte certainement son nom lorsque des amoureux l’empreinte.
Il devrait être rebaptisé « canaux de la salope » après notre passage.
Sortie de cet endroit divin ou deux queues m’ont apporté ce que j’étais venu chercher et ayant repris une allure présentable, nous rejoignons l’embarcadère.
• Iris, tes achats, je croyais que c’était ton alibi !
Je reprends le petit sac près du mien et les garçons m’aident à quitter la gondole.
J’ai l’impression que tous les touristes qui sont présents voient la femme perverse que je suis venant de se donner à ces deux beaux gondoliers.
Je rejoins notre chambre, Phil lit sur sa tablette.
Une différence, il s’est dénudé et sa verge est à moitié tendue.
• T’en as mis du temps, je commençais à m’inquiéter.
• J’ai eu du mal à choisir les cadeaux pour nos parents.
Je suis allée voir le pont des soupirs et j’ai rencontré des Français qui m’ont demandé de prendre une photo de leur couple avant qu’ils m’invitent à boire un coup place San Marco.
Inutile de lever tes sourcils, c’était un couple gay, ils repartent ce soir pour la France.
Et toi tu as lu quelque chose d’intéressant !
• Plus tôt deux fois qu’une, je lisais l’histoire d’un couple ayant les mêmes noms que nous, Iris et Phil.
Ils sont venus à Venise pour leur voyage de noces après avoir été quelques jours au Caraïbe.
À la description qui en a fait, il semble qu’étant dans l’hôtel Danieli, la chambre corresponde à la nôtre.
Même nom pour le couple et même lieu.
Ce brave Phil a eu un problème, un peu comme moi avec Livio.
Il a eu l’impression qu’il draguait Iris, sa femme, mais c’est un client d’un restaurant voisin qu’il a passé sa fureur qui aurait approché trop près Iris dans les toilettes.
Dans leur histoire, l’alcool, pour l’autre Iris, est la cause de sa perte de contrôle d’elle-même.
De retour en France, il semblerait qu’une deuxième fois, l’alcool de nouveau soit la cause qu’il est foncé avec sa voiture dans un arbre.
Il était rentré plutôt, comme moi l’autre fois lorsque je t’ai trouvé à baiser avec Albert.
Phil, l’autre l’a trouvé au lit avec un vieux Libanais ou un type de ces pays.
Il est resté plusieurs mois dans le coma, j’ai réfléchi en lisant leur histoire.
Elle semble bien se finir pour eux, vient, pourquoi mettre en l’air les années de bonheur entre nous, si tu me promets que ce sera la seule fois.
Je reconnais que je te néglige un peu, je vais faire attention.
• Je vais prendre rapidement une douche et je reviens m’occuper de nous retrouver et de retrouver notre amour.
Je le savonne et j’évacue le sperme de mes amants avant de retrouver la verge maritale que je reçois en gorge profonde.
Pour moi, Iris la salope, inutile d’invoquer l’addiction à l’alcool pour retrouver les bites de Livio voire d’Alberto avant la fin de notre séjour.
Je suis une fieffée salope et je serais prêt à l’assumer si mon Phil me reprend en flagrant délit d’adultère.
Au moment où je m’empale sur la verge de mon mari, j’ai une pensée pour Iris, l’autre, elle a de la chance et lui aussi d’aimer son mari mieux que moi j’aime le mien.
Mais bon, il semble vouloir me pardonner alors pourquoi refuser, je ferais plus attention la prochaine fois lorsque nous serons revenus chez nous.
• Ça me fait plaisir, car depuis dix ans nous avons passé de durs moments dans notre couple.
• Il faut dire que ta jalousie envers Livio, le jeune gondolier qui s’occupait de nous, a beaucoup contribué à me faire péter les plombs.
• Tu as raison, mais c’est toi qui t’es mis martel en tête dès le premier jour où nous avons été de la sortie de l’aéroport jusqu’à notre hôtel.
Nous atterrissons et nous nous dirigeons vers le quai pour rejoindre la ville.
• C’est incroyable, Livio, tu es toujours là à transporter des touristes vers leur hôtel !
• Oui, quand le patron m’a dit qu’Iris et Phil revenait dix ans après, je me suis empressé de me proposer pour vous accompagner dans les huit jours de votre nouveau séjour.
• Nous avons appris que tu filais le doux amour avec un beau gondolier de Venise.
• Vous avez appris cela, l’eau a coulé sous le pont des Soupirs et nous nous sommes séparés.
J’ai cru que les hommes, c’était mon truc, mais je me suis vite aperçu que les petites chattes de ces dames, je les kiffais.
Iris, le poids des âges, c’est pour les autres femmes, tu es de plus en plus femme, as-tu des enfants ?
• Des enfants non, mais un fils oui, ce sont nos parents qui le gardent pendant notre voyage.
Je vois Phil changer de visage.
La tension entre nous après notre premier voyage, j’ai bien peur que tout va recommencer.
Bon, je fais ma vie et nous sommes là, un peu pour recoller les morceaux, que j’ai accepté ce deuxième voyage de noces.
Il faut dire que Phil a découvert que je le trompais avec notre voisin Albert un vieux de trente ans notre aîné.
Les phases que nous avions passées dans notre couple nous avaient un peu éloigné du moins dans notre lit.
Pourtant, j’aime le sexe, sous toutes ces formes, mes infidélités envers Phil peuvent en être la preuve.
• Je vous conduis à l’hôtel Danieli, comme la dernière fois, vos bagages sont bien arrivés, je les ai vus lorsque l’aéroport les a livrés.
Iris donne ta main que je t’aide à monter à bord, la semaine dernière j’ai été obligée de retenir une cliente qui a failli passer par-dessus bord.
Livio me tend sa main, je l’ai saisi, mais le regard noir de Phil m’oblige à la récupérer très vite.
Je ressens pourtant un petit frisson, comme cela se passait il y a dix ans.
Nous rejoignons l’hôtel par le grand canal et en passant sous le pont Rialto.
• Bonjour, monsieur, madame, heureux de vous revoir, ça fait déjà dix ans, le temps passe tellement vite.
Nous montons dans la chambre.
• Chéri, tu reconnais la chambre, nos parents ont bien fait les choses , il me semble que c’est la même que la première fois.
Phil s’est couché sur le lit en enlevant seulement ses chaussures et a pris sa tablette pour y récupérer le code Wi-Fi que la réception lui a donné.
C’est la grosse différence depuis notre voyage de noces, les réseaux sociaux, je m’en passe facilement, Phil en est accro.
De surcroît, il aime lire sur son écran.
• Je vais me doucher, tu viens me rejoindre, souviens-toi, nous avions fait l’amour sous la douche.
En réponse, un grand silence tellement il est absorbé.
J’ouvre ma valise et j’en sors la petite robe à fleurs que je me suis spécialement achetée afin de reconquérir le cœur de celui que j’avais allègrement cocufié.
Je me souviens de la course folle dans la chambre et le moment où m’ayant rattrapé, il m’avait planté son sexe dans la chatte me faisant hurler de plaisir.
Ma robe sortie, je me dénude, prenant même des postures lui montrant que malgré ces dix ans, comme venais de me le dire Livio, je m’étais embellie.
C’est vrai, il faut que cette pensée soit seulement dans ma tête, c’est en partie à cause de ce garçon que notre vie a été bouleversée après notre premier voyage.
Douchée, parfumée comme il aime que je sois je reviens dans la chambre.
Je me pose sur le lit à côté de lui et je m’approche espérant qu’il pose sa tablette, qu’il me prenne dans ses bras et me montre qu’il a digéré mon escapade sexuelle avec Albert, notre vieux voisin.
J’ai pris une première douche presque froide pour me rafraîchir de l’air moite de la ville, c’est une deuxième qui me tombe sur la tête lorsqu’il me parle froidement.
• Si tu crois comme le croit aussi nos parents qu’il suffit d’un voyage là où nous avons fait notre voyage de noces, pour effacer toutes les tromperies que tu m’as fait subir, tu te fiches le doigt dans ton joli cul.
• Tu es grossier Phil, si tu t’occupais un peu mieux de moi, je te serais restée fidèle, tu as de beaux principes moralisateurs, mais pour le reste, rien, que dalle.
Comme c’est comme ça, je vais aller acheter les cartes postales et un cadeau pour chacun de nos parents, la dernière fois, nous avions oublié d’en acheter, car nous pensions plus à baiser qu’à ce genre de détail.
J’aurais fait le maxi pour remettre notre couple sur ses rails, je me lève, j’enfile ma robe, je mets mes escarpins et je prends mon sac.
• Et tu vas sortir comme ça, ta chatte à l’air, salope.
• La salope, elle te dit merde, c’est le seul langage que l’on peut avoir avec un borné comme toi.
Je quitte la chambre, je prends l’ascenseur et je vais dans une boutique sur le quai où j’achète dix cartes postales et deux saloperies qui me serviront d’alibi après ce que je m’apprête à faire.
Je reviens jusqu’à l’embarcadère où Livio à ses bateaux, il est là, avec son chapeau sur la tête et son paletot rayé aussi beau qu’il y a dix ans.
• Livio, tu es libre, conduis-moi au canal des amoureux comme tu l’as fait il y a dix ans, je veux que tu me baises comme tu l’as fait la première fois !
• Je veux bien, mais il fait encore jour.
Il y a dix ans, tu avais profité de ce que Phil dormait, fatigué de sa journée, pour me rejoindre et que je te conduise dans ce petit canal.
• On s’en fiche, je viens d’acheter des cartes postales qui vont me servir d’alibi.
Je suis en colère et je veux que tu me mettes un bon coup de bite.
Souviens-toi, les deux nuits où nous sommes allés là-bas, la deuxième fois, tu as été le premier à m’enculer.
Depuis cette première depuis dix ans j’ai eu des amants, grâce à toi j’ai connu ce plaisir que j’ai toujours refusé à Phil alors, aide-moi à monter et pousse sur ta perche le plus vite possible.
Si tu le désires, si l’un de tes jeunes matelots est partant, quand il y en a pour un, il y en a pour deux.
J’ai plusieurs fois dans le dos de Phil, pratiquée la double pénétration et j’en raffole.
Le pont des Soupires, Alberto, aussi beau que Livio, est assis à l’avant de la gondole.
Je suis assise sur le siège où j’étais lors de notre premier voyage et j’écarte mes cuisses lui montrant que mon sexe était prêt à recevoir le leur.
Je reconnais l’arrière du palais où résidait DonJuan, que j’aurais aimé vivre à son époque et de me faire baiser dans les fêtes gigantesques qui se déroulaient dans ces années-là.
L’entrée du petit canal est là, Livio pousse le cri pour savoir s’il était occupé et l’écho nous revenant nous nous y engageons.
• Viens bel Alberto, que je te suce la queue pendant que Livio arrête la gondole.
Vous avoir tous les deux pour calmer ma rage de l’impuissance de Phil, pas une seconde à perdre.
Alberto vient à moi, descend son pantalon et me montre une queue fort appétissante pour une salope comme moi.
Il est bien monté, bien moins qu’Albert mon voisin.
Sa grosse bite qu’il m’a présentée m’ayant incitée à voir si j’étais capable de l’avaler en gorge profonde et qui ait été la première étape des nombreuses fois où j’ai baisé avec ce vieux.
Livio nous a rejoints, la sienne je connais et je sais que je peux l’avaler jusqu’au fond de ma gorge sans aucun problème.
Je les suce à tour de rôle, mais le temps presse, je suis dans un voyage de la rédemption que nous avons promis à nos parents mis au courant de mes escapades avec Albert.
Par chance, Phil et nos parents connaissent la seule fois avec Albert, les autres fois, j’ai eu la chance de pouvoir prononcer, « pas vue, pas prise... »
• Attendez, j’enlève ma robe, aidez-moi à me relever, ça tangue.
Lorsque je rentrerais, inutile que Phil me demande pourquoi elle est froissée.
Il m’aide, Livio se couche au fond de la gondole, je m’empale.
Que c’est bon une belle bite dans la chatte vite suivie par celle d’Alberto dans mon anus.
Deux d’un coup, chaque fois que ça m’arrive, je joui deux fois plus fort que les fois où j’ai trompé Phil avec un seul amant.
Alberto parle en italien à Livio, comme la première fois, je suis un peu larguée, c’est Livio qui traduit.
• Alberto a dit que tu étais la première femme qu’il enculait.
• Es-tu sûr d’avoir tout traduit, j’ai cru reconnaitre le mot « salope » dans ses propos ?
• Tu as raison, il a dit que tu étais la première salope qu’il enculait.
• La première salope et j’en suis fière, dépéchez-vous de m’envoyer votre sperme et de me faire jouir, on perd du temps.
Deux verges, une salope, rapidement le petit canal porte certainement son nom lorsque des amoureux l’empreinte.
Il devrait être rebaptisé « canaux de la salope » après notre passage.
Sortie de cet endroit divin ou deux queues m’ont apporté ce que j’étais venu chercher et ayant repris une allure présentable, nous rejoignons l’embarcadère.
• Iris, tes achats, je croyais que c’était ton alibi !
Je reprends le petit sac près du mien et les garçons m’aident à quitter la gondole.
J’ai l’impression que tous les touristes qui sont présents voient la femme perverse que je suis venant de se donner à ces deux beaux gondoliers.
Je rejoins notre chambre, Phil lit sur sa tablette.
Une différence, il s’est dénudé et sa verge est à moitié tendue.
• T’en as mis du temps, je commençais à m’inquiéter.
• J’ai eu du mal à choisir les cadeaux pour nos parents.
Je suis allée voir le pont des soupirs et j’ai rencontré des Français qui m’ont demandé de prendre une photo de leur couple avant qu’ils m’invitent à boire un coup place San Marco.
Inutile de lever tes sourcils, c’était un couple gay, ils repartent ce soir pour la France.
Et toi tu as lu quelque chose d’intéressant !
• Plus tôt deux fois qu’une, je lisais l’histoire d’un couple ayant les mêmes noms que nous, Iris et Phil.
Ils sont venus à Venise pour leur voyage de noces après avoir été quelques jours au Caraïbe.
À la description qui en a fait, il semble qu’étant dans l’hôtel Danieli, la chambre corresponde à la nôtre.
Même nom pour le couple et même lieu.
Ce brave Phil a eu un problème, un peu comme moi avec Livio.
Il a eu l’impression qu’il draguait Iris, sa femme, mais c’est un client d’un restaurant voisin qu’il a passé sa fureur qui aurait approché trop près Iris dans les toilettes.
Dans leur histoire, l’alcool, pour l’autre Iris, est la cause de sa perte de contrôle d’elle-même.
De retour en France, il semblerait qu’une deuxième fois, l’alcool de nouveau soit la cause qu’il est foncé avec sa voiture dans un arbre.
Il était rentré plutôt, comme moi l’autre fois lorsque je t’ai trouvé à baiser avec Albert.
Phil, l’autre l’a trouvé au lit avec un vieux Libanais ou un type de ces pays.
Il est resté plusieurs mois dans le coma, j’ai réfléchi en lisant leur histoire.
Elle semble bien se finir pour eux, vient, pourquoi mettre en l’air les années de bonheur entre nous, si tu me promets que ce sera la seule fois.
Je reconnais que je te néglige un peu, je vais faire attention.
• Je vais prendre rapidement une douche et je reviens m’occuper de nous retrouver et de retrouver notre amour.
Je le savonne et j’évacue le sperme de mes amants avant de retrouver la verge maritale que je reçois en gorge profonde.
Pour moi, Iris la salope, inutile d’invoquer l’addiction à l’alcool pour retrouver les bites de Livio voire d’Alberto avant la fin de notre séjour.
Je suis une fieffée salope et je serais prêt à l’assumer si mon Phil me reprend en flagrant délit d’adultère.
Au moment où je m’empale sur la verge de mon mari, j’ai une pensée pour Iris, l’autre, elle a de la chance et lui aussi d’aimer son mari mieux que moi j’aime le mien.
Mais bon, il semble vouloir me pardonner alors pourquoi refuser, je ferais plus attention la prochaine fois lorsque nous serons revenus chez nous.
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