COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (11/15)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (11/15) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (11/15)
« Qui vient dîner ce soir ? »

Qui vient me rendre visite en ces moments de grande incertitude sur le rétablissement de Patou à l’hôpital après la rupture sans doute accidentelle du système mis en place pour l’aider à entrer se baigner ?
Serait-ce Christine qui revient quémander encore un nouveau coup de queue pour calmer ses nerfs ?
Pourtant je l’ai défoncé pensant l’avoir sevré de sexe pour un long moment !
De plus nous avons convenu que cette façon de baiser compulsivement serait la dernière en respect de sa filleule.

Je suis sous la douche, savonnant mon corps d’athlète, l’amour à haute dose me réussissant bien.
Mon âge aussi, je suis encore en pleine croissance et mes muscles se dessinent de plus en plus.
Dans la douche, il y a une grande glace.
En me regardant, je me vois bien acteur de cinéma Bébel et Delon devront bien se tenir, le Valentino français arrive devant vos yeux.
Je plaisante, je me vois mal me retrouver en boîte dans des salles obscures.
Je dirais plutôt un « gigolo » comme dans l’un des derniers films que j’ai vu au cinéma avec Jean-Claude Brialy.

• Christophe, c’est toi qui te trouves là ?
Veux-tu que je te savonne le dos ?

Certains protégeraient ses couilles et sa bite avec ses mains.
Bien qu’elle ait rendu les armes pendant lamentablement celle qui m’interpelle semble apprécier le spectacle.
Je tends la savonnette à celle qui veut se dévouer pour le faire.
Sans la moindre retenue elle défait un à un ses vêtements finissant par me montrer qu’elle est aussi brune de la tête jusqu’à ses pieds bien que je m’arrête bien volontiers à la hauteur de sa chatte.

• Amélie que viens-tu faire ici ?
• Il semble qu’il y ait une panne de téléphone général sur Paris.
J’étais avec Mona Lisa la nouvelle amie de Christine notre patronne lorsqu’une cliente nous en a parlé.
Mona Lisa savait pour Patricia voulait savoir si les choses s’arrangeaient, elle m’a envoyé avec mon vélo chez madame, je savais ou elle habitait.
Madeleine m’a dit qu’elle était ici alors je suis venue.

Je pourrais me poser la question où se trouve Christine, mais c’est une adulte consentante, les moments que nous venons de passer jusqu’à ce que je l’encule le prouvant.

• Tu as une jolie musculature, j’aimerais qu’Adam ait la même !
• Adam, qui est Adam, ton copain, continue oui là devant, tes mains sont douces, petite Amélie !
• Adam, c’est mon fiancé, mais c’est un lourdaud qui me refuse ce que je te fais en ce moment avant notre mariage.
Il est pilier au Paris université club, on m’appelle la puce à ses côtés, mais il va au rugby le dimanche après-midi et le matin à la messe.
• Et toi tu es une jeune fille de ton temps et tu voudrais t’amuser un peu avant, je me trompe !
• Que crois-tu Christophe, je m’amuse déjà depuis l’âge de seize ans, mais il m’est impossible de le dire à Adam, il me croit vierge, il me quitterait et je tiens à lui tout de même ?

Un cocu en puissance, on peut se demander pourquoi je laisse autant de liberté à Patou.
Outre son retard à se faire dépuceler pour la première fois par William en étant le bon exemple, après le malheur l’ayant frappé.

• Mais dit-moi, c’est ça la coqueluche de ces dames au magasin de madame Christine ?
Une limace flaque qui doit être dans l’impossibilité de trouver son chemin malgré ma main qui se fatigue à l’astiquer !
• Ce doit être le surmenage, ça arrive à tout le monde d’avoir un coup de mou !
• Le coup de mou, je l’écrirais plutôt « cou » comme un cou de poulet qui vient d’être tranché.
Rince-toi et va te reposer espèce d’impuissant.
• Revient là et suce moi la queue, tu verras de quoi je suis capable, tu repartiras la chatte fumante de s’être fait défoncer espèce de petite salope.
• Cause toujours, je vais aller voir un copain d’Adam qui lui saura me faire reluire à la valeur de mon petit cul.
• Je t’ordonne de revenir ici, espèce de malade, quelques minutes à me reprendre et tu vas voir comme je bande, je suis une bête !

Je tape du pied de dépit, c’est la première fois que je suis trahi par ma verge.
J’ai beau la regarder, c’est une véritable limace que j’ai dans ma main, suis-je malade ?
Aurélie remet ses affaires alors qu’elle est encore toute mouillée et c’est à ce moment que le téléphone sonne.

• Tient, ça remarche, madame Mona Lisa pourra appeler madame Christine.
Ça me laisse le temps de trouver un étalon, qui lui saura me jauger à ma juste valeur.

Je me précipite vers le téléphone, je décroche et j’entends la tonalité de fin de communication.
On a raccroché à l’autre bout.
Nu, je m’assieds non loin de lui pour espérer que l’on me rappellera, ça sonne, je décroche.

• Comment va Patou, je suis mort d’inquiétude ?
• Pardon, c’est l’épicerie du boulevard Saint-Germain, pourrais-je passer d’ici dix minutes livrer la commande de madame Patricia qu’elle nous a passée par téléphone, il y a deux jours ?
• Excusez de ma méprise, oui je vous attends, je suis son fiancé.

Que de désillusion, une vulgaire livraison, de choux et de navets, surtout que le livreur est un homme la soixantaine ou presque.
Je range ce qui est à ranger dans le frigo.
Je me suis rhabillé, sans attendre.
Je ferme le garage et je reprends le bus pour l’hôpital Cochin autant être dans la salle d’attente qu’ici surtout pour se faire traiter d’impuissant par une petite péronnelle méritant tout au plus une bonne fessée.
D’un autre côté, je regarde le petit cul d’une jeune femme, c’est l’heure de sortie des bureaux, sans m’en rendre compte, je me frotte à elle.
Je me ramasse une véritable baffe.

• Espèce d’obsédé, il y a le bois pour trouver des femmes intéressées, voilà ce que vous méritez !

Par chance, le bus s’arrête.
Je saute rapidement en passant par la plateforme arrière, là où se tient le contrôleur, attendant que les clients descendent ou montent avant de tirer sur la poignée au bout d‘une chaîne déclenchant la sonnette prévenant le chauffeur que le bus peut repartir.
Aujourd’hui, c’est loin d’être mon jour de chance, d’abord Amélie et maintenant cette passagère, de plus je dois marcher quatre kilomètres pour rejoindre l’hôpital ou j’arrive bien fourbu.
Ce n’est pas encore maintenant que ma queue va pouvoir retrouver de la vigueur, même lorsque Maggy l’infirmière aux yeux bleus me voyant vient vers moi dès que je rentre dans le hall.

• Mademoiselle Patricia a de la chance d’avoir un amoureux comme vous, vous auriez pu prendre un peu plus de repos, bien que les nouvelles soient bonnes.
Votre amie montre des signes de retour parmi nous.
• Puis-je la voir ?
• Le médecin est auprès d’elle, allez près de sa chambre je le préviendrais pour qu’il vous fasse entrer lorsque cela sera possible.

Je monte près de sa chambre, la salle d’attente je la connais trop, mais je tiens à être sage, j’ai assez fait de connerie pour aujourd’hui.
Ça fait dix minutes que je suis là, une jeune femme entre à son tour, je suis à deux doigts de détaler.

• Nous nous connissons, j’ai l’impression de vous avoir déjà vu !
• Vous devez faire erreur, ça fait des heures que je suis ici, attendant que mon amie sorte du coma !
• Vous avez des faux airs d’un frotteur qui vient de m’agresser dans un bus, alors que je venais voir mon mari qui a fait un infarctus.
• Il y a des malades partout, à moins qu’il n’ait eu des circonstances atténuantes.
• Vous me sembliez un garçon sérieux, je prends cette attaque comme un viol, je me demande si je ne devrais pas aller au commissariat le dénoncer !
• Croyez-vous que la police a du temps pour rechercher quelqu’un dont vous n’êtes même pas capable de dire qui il est, regardez, vous m’avez pris pour lui.
• Vous avez raison, vous êtes bien plus charmant que ce jeune homme qui ressemblait plus à Dracula qu’à un homme du monde.
• Avez-vous déjà vu Dracula ?
• J’adore votre humour, je me présente baronne du Pré-Saint-Jean, Huguette plus particulièrement.
• Adolphe de la Queue en Berne, pour vous servir gante dame.
• Quel humour, même s’il est vrai que je suis baronne, vous méritez à être connu.
Ou allez-vous ?
• Suivez-moi, vous le saurez assez tôt !

Je passe devant elle, une baronne dans un bus, elle est descendue vraiment très basse.
Une baronne dans des chiotes, ou peut-elle descendre plus bas que ses mains sur la cuvette des chiotes.
Sa chatte tendue vers l’arrière afin d’être prise avec vigueur.
Baronne, même pas capable de se payer le moindre string, sa jupe relevée, sa chatte digne d’un tablier de sapeur est prête à se faire saillir, ce dont je ne me prive pas.
Je suis rassuré de pouvoir rebander au quart de tour comme c’était le cas avant qu’Amélie me surprenne en pleine débâcle après la sodomie infligée à Christine sur la table de l’atelier.
Amélie à qui je réserve une belle surprise dans les jours prochains, dès que Patou aura repris connaissance.
Mais je me garde bien l’idée que j’ai de me venger de la panne de quéquette survenue pendant la panne de téléphone.

• Monsieur Christophe, je vous cherchais, votre amie vient de reprendre vie parmi nous, vous allez pouvoir la voir !

Heureusement, j’ai quitté la baronne, qu’aurais pensé cette infirmière si elle avait été obligée de venir me chercher dans les chiottes, surtout celle des dames me lavant la queue dans le lavabo.
La baronne une fois que je lui ai fait atteindre l’orgasme, est assise à récupérer, c’est ça lorsqu’une bête vous tringle

Maggy est la plus merveilleuse des femmes et la plus femme que j’ai envie de prendre dans mes bras.
En quelques minutes, je récupère ma bite légendaire ayant fait de moi le gigolo de ces dames et mon petit bouchon que j’aime plus que tout malgré mes infidélités.
Est-ce anormal à mon âge ?
La baronne n’aurait pas rejoint son mari, je la ramènerais dans les toilettes et c’est son cul que je perforerais.
Calme toi, Christophe, n’oublie pas la panne avec Amélie pas plus tard qu’en début de matinée.
Je suis sûr qu’elle apprécierait une bonne sodomie.
Je suis indécrottable…

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