COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (13/15)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (13/15) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (13/15)
« Chérie, as-tu vu ce que tu as fait ? »

Question qui va amener réponse, du moins je le pense dans cette nuit de janvier 1968 où bravant tous les interdits, je suis resté incognito de Maggy l’infirmière de service de nuit, ce soir.
Incognito après dix heures fin de l’autorisation de visite, cachée dans les toilettes proches de la chambre de mon aimée.
Près d’elle lorsque je me suis faufilé après ce que je croyais être le dernier passage de mon infirmière préférée bien que je ne l’ai vu que de rare fois depuis que j’ai failli tuer la prunelle de mes yeux.
Hélas, je me trompais, Maggy est revenue à deux doigts de me surprendre, en revenant poser le bassin à Patou qu’elle avait oublié de lui mettre pour la préparer à passer une nuit tranquille.
C’est la porte de la salle de bain qui me sauve et qui m’évite qu’elle ne me voie en me cachant derrière lorsqu’elle vient vider et nettoyer le bassin avant de le ranger.

Ma petite vorace, reprend du poil de la bête en voulant que je la baise sur son lit de douleur.
Une fois définitivement tranquille lorsqu’elle quitte la chambre je ressors de ma cachette et je viens près de Patou.
Montant sur le lit, c’est sa bouche qui me pompe comme elle sait si bien le faire depuis que je l’ai dépucelé et que je l’ai initié aux jeux du sexe.
Mais surtout de l’amour sous toutes ses formes.
Le lit est étroit, mais lorsqu’une chatte vous fait envie, chaque garçon est capable à des exploits pour la perforer.
C’est ce que je réussis à faire, la pilonnant au point que son plaisir démarrant je suis obligé de la museler avec ma bouche.
Et c’est là que le miracle survient me faisant prononcer c’est quelques mots.

« Chérie, as-tu vu ce que tu as fait ? »

Depuis que nous sommes ensemble, jusqu’à Venise, petit à petit l’oiseau faisant son nid, j’étais loin d’imaginer qu’un tel miracle pouvait avoir lieu.
Miracle, il y a, lorsque l’on connaît tout ce que j’ai dû apprendre à découvrir pour vivre auprès de cette jeune fille découvrant tout du sexe, abandonné de tous les garçons ayant peur certainement de son handicap.
En règle générale, ce qui est loin de la normale, la majorité des gens repousse les choses inconnues.
C’est le cas de William, gigolo comme moi au service de Christine qui devrait être à ma place en ce moment où je prononce cette phrase.

« Chérie, as-tu vu ce que tu as fait ? »

Je pourrais en dire beaucoup sur la sexualité exacerbée que j’ai déclenchée en faisant l’amour à Patricia pour la première fois.

• Mademoiselle Patricia, moi aussi je comprends ce que monsieur Christophe veut dire !
Je passais devant votre chambre revenant d’aller voir ce que mémé Léonor voulait lorsqu’elle nous a sonnés.
Ayant entendu ce que j’ai pris pour des gémissements, je suis entrée et dans un premier temps j’ai vu les fesses de monsieur Christophe.
Mademoiselle, sans vous offusquer fort jolies fesses, je dois le dire.
Mais dans la fraction de seconde où j’ai réalisé que vous faisiez l’amour, j’ai vu vos jambes se relever pour enserrer les hanches de ce vilain garçon n’ayant rien à faire dans votre chambre !
Certes, elles sont retombées rapidement, mais vous avez pu les monter quelques secondes, votre cerveau les a commandés.
Le docteur Lebrun regardait vos radios du dos que nous venons de refaire.
Aucune trace au niveau de la colonne, la moelle épinière lui semble intacte.
Les procédés ont bien évolué depuis votre accident et on en sait plus sur les fonctions motrices.
Je dois me taire, c’est au docteur de poser le diagnostic, mais il est sûr que sous la jouissance de l’engin de monsieur Christophe, vos jambes se sont relevées.
Je peux et je pourrai en attester auprès de lui demain.
• Vous allez dire à votre patron que vous m’avez vu baisé ma fiancer après les heures de visites, je vous souhaite bien du plaisir !
• Monsieur Christophe, je vais vous demander de sortir et de partir, si le médecin de garde fait sa ronde et vous surprend, c’est moi qui me ferais taper sur les doigts.
Pour le comment, j’ai vu les jambes de Patou se relever, je vais m’en arranger.
Pardon mademoiselle de vous avoir appelée simplement Patou !

Je saute du lit, je dois reconnaitre que j’ai débandé.
Je me rajuste, remettant mes baskets et j’embrasse Patou qui me retient.
Dans mon dos Maggy doit lui faire les gros yeux, car je peux quitter la chambre et quitter l’hôpital sans le moindre problème avec le corps médical.
Arrêt de bus, il est 23 heures, il commence à neiger.
Sur le siège de l’abri de bus, je remarque une jeune femme bien moins noire que Fatou que j’ai baisée dans les hauteurs de Champigny et avec qui j’ai bu le lait de son bébé.
Caramel plutôt que chocolat, mais jolie comme un cœur.
Elle me regarde recroquevillée sur son siège et ce que je vois me fait penser qu’elle a plus peur qu’elle n’a froid.

• Je vous vois apeurée, soyez sans crainte, le dernier violeur est parti dans le bus précédent, je viens de quitter ma fiancée et je rentre chez nous près du boulevard Saint-Germain.

Elle me regarde, souri à ma remarque qu’elle prend comme elle se doit pour de l’humour.

• Mais pourquoi êtes-vous dehors à cette heure dans les rues de Paris !
• Je travaille à la comptabilité de l’hôpital Cochin et nous avions un problème dans les comptes de fin d’année.
Nous devons rendre les bilans au ministère de la santé et il nous a fallu travailler tard pour trouver l’erreur.
C’est fait, même s’il est tard, et je rentre auprès de mon mari près de la Sorbonne.
• Il aurait pu venir vous chercher, pour vous éviter d’avoir peur comme vous l’êtes en ce moment.
• Nous n’avons pas encore le téléphone, nous avons demandé la ligne, mais les listes d’attente sont interminables.
Il est instituteur et nous avons déménagé à la rentrée scolaire.
• Soyez rassuré, j’habite tout près et je vais vous accompagner jusqu’à votre porte, vous vous sentirez en sécurité, du moins je l’espère.
À une seule condition, vous me donnez votre prénom, moi ma maman m’a baptisé Christophe j’ai bientôt vingt ans.
• Vanille Fontaine, j’ai 22 ans, mon mari, c’est Noa Fontaine, il en a 24 ans.

Vanille me suffit, surtout que le bus arrive et que la neige redouble.

• Voilà tu es arrivée, salut mon mari pour moi, en espérant te revoir un jour.

Drague habituelle d’un garçon de mon âge, je sais, je suis un homme fiancé.

• Je te propose quelque chose, si tu es assez sportif, ce que je ne doute pas vu tes épaules carrées, monte avec moi jusqu’au septième sans ascenseur et je te le présenterais.
Il est rarement couché avant une heure du matin, il prépare ses cours et corrige les interrogations.

J’ai envie de me coucher, les journées sont longues en ce moment et l’accident qu’on le veuille ou non, amplifie ce phénomène.

• Voyons voir qui de toi ou de moi est le plus en forme, le premier ou la première arrivée devra étonner l’autre.

Je sais, c’est relou, surtout que je suis sûr de gagner, lorsque l’on voit les kilomètres que je fais à pied alors que si je le désire, j’ai une putain de bagnole à ma disposition.
Patou pourrait-elle me refuser ce plaisir moi qui lui ait fait construire une piscine.
Dois-je mentionner cet exploit ayant conduit mon amour avec la tête rasée pour éviter que ses cheveux se collent sur la plaie et les 22 points de suture que je vois lorsque Maggy lui enlève le bandeau enserrant sa tête.

Premier, deuxième, deuxième et demi, je suis devant.
Troisième, l’écart se réduit, je commence à être essoufflé, quatre et cinq, j’entends les talons de ses chaussures bien au-dessus de moi.
Septième, un noir comme Adama le mari de Fatou, plutôt caramel comme Vanille qui est à ses côtés.

• Chérie, je parie que tu as parié avec ce garçon qui sera la ou le premier, vas-te changer, tu es toute mouillée.
Je te pardonne ton retard malgré que j’étais mort d’inquiétude, mais c’est la faute de la compagnie du téléphone.
J’y suis passé en rentrant du boulot, pour demander où en était notre implantation, pas moins de six mois avant d’avoir une connexion.
Ma femme a eu le temps de me dire que tu t’appelais Christophe, c’est bien reprend ton souffle, je n’ai jamais gagné à la montée de ces escaliers, elle est imbattable.
Entre je vais te servir un petit remontant de mon pays, je le prépare moi-même.

J’entre Vanille est déjà dans le couloir, voire même dans la salle de bain, ayant disparu de ma vue, mais faisant assez de bruit pour que nous l’entendions.
Noa me fait assoir sur un canapé recouvert d’une peau de bête, certainement un zèbre.
Plutôt animal originaire du pays de Fatou et d’Amara que de la Réunion pays de Vanille et Noa.
Ce grand garçon passe derrière un bar, mais de là où je suis-je peux voir la cuisine.
Je retrouve, à sa vision, la cuisine de mes parents, âge d’or de ce que l’on appelle les années « Formica. »
Âge de l’après-guerre période que je n’ai pas connu étant né en 1949.
Depuis le peu d’heures où j’ai quitté Patou, alors que nous avons été pris en flague par Maggy l’infirmière de service de nuit à baiser sur son lit de douleur la tête éclatée.
Des périodes ou des dates, me reviennent en mémoire.
Sans remonter à 1515 ou 800 dates faciles à retenir.
J’oublie 1936, mon père qui me manque alors que j’étais un jeune coq m’opposant à ce vieux coq.
1936, premiers congés payés dont il parlait fréquemment les ayant vécus avec maman sans savoir qu’ils allaient subir la guerre avant de se connaitre.
1967, date de demande en mariage de mon petit bouton de rose.
Années 60, 70, années du « Formica » et de nombreuses voitures roulant dans Paris en parallèle du développement des bus et du métro.
Sans parler du moment extraordinaire où Vanille nous rejoint alors que je sirote un verre de rhum, jus de fruits, moi il y a peu refusant de boire le moindre alcool.
1968, sans savoir pourquoi, je sens que se va être une année inoubliable, à long terme, pour les millions de Français que nous sommes…

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