COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (14/15)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (14/15)
Le Formica, matière que l’on trouve partout dans les années 60, 70.
C’est dans un premier temps ce que je vois, assis sur mon canapé recouvert d’une peau de zèbre lorsque Noa, le mari de Vanille, Réunionnais tous les deux m’apporte un verre de rhum de ce pays.
La cuisine a des meubles blancs dans cette matière, alors que chez mes parents ils étaient jaunes.
Mais ce que je vois lorsque Vanille ressort du couloir qui doit conduire aux chambres et à la salle de bains, si dans ces vieilles maisons de nombreuses en est dépourvu.
De ce couloir Vanille nous rejoint en nuisette s’arrêtant ras sa petite chatte.
Christine en vend dans sa boutique, j’ai aidé Amélie l’employée de sa boutique à en ranger dans les rayons.
Je lui aurais bien demandé de les essayer, mais l’occasion ne s’est pas présentée et j’ai été pris par le tourbillon de la vie.
Ajouté à ça sa venue au garage ou ayant déjà baisé, j’ai lamentablement foiré lorsqu’elle est venue me laver le dos sous la douche se mettant nue.
Je préfère oublier ce sinistre moment.
• Chéri, depuis des semaines tu veux me voir faire l’amour avec un autre homme pendant que tu resteras à nous regarder.
J’étais réticente, car pour avoir des rapports avec un homme, l’affect est très important.
À ce jour, aucun de ceux que j’ai eu la chance de croiser n’était dans ce créneau.
Christophe lors de mon retour de nuit, après mon travail forcé, tu m’as soutenu pour éviter que la peur ne me submerge.
En plus tu as perdu ton pari dans la montée de l’escalier.
En nous tenant ces propos, Vanille arrive jusqu’à moi et sans me demander mon avis, s’assied sur mes genoux.
Dois-je dire qu’elle a le cul chaud.
Elle m’entoure le cou de son bras.
Je comprends ce que l’on attend de moi, je suis assez sérial niqueur pour lamentablement profiter de la situation, un petit cul rester un petit cul surtout s’il sent la vanille.
Je place ma main sur sa petite cuisse, la poupée caramel me laisse faire, elle est placée dans l’axe de vision de Noa qui semble ne pas en perdre une miette.
Ma main remonte, sans qu’elle déclenche une réaction négative des deux côtés du couple.
Mes doigts atteignent sa pilosité, qui est noire, ça je l’ai vu lorsqu’elle s’est approchée, mais assez soyeuse.
Il se glisse dans sa fente, Patou a des lèvres un peu proéminentes, Vanille, les siennes sont inexistantes.
Je caresse directement son bouton.
• Chéri, les doigts de Christophe sont divins, je vais pouvoir te faire le plaisir que tu me réclames depuis si longtemps.
Tu as vu, je grandis sur sa verge qui grossit de plus en plus.
C’est dingue la nature humaine, surtout lorsque je lui écarte les jambes afin que Noa profite pleinement de la vision de sa petite se faisant doigter par un autre mâle surtout moi qui suis en rut.
Mes doigts sont trempés, j’ai rarement vu une jeune femme mouillée autant, même mon bébé sur son lit de douleur ne mouille pas autant.
Malaurie est une femme fontaine au détriment de son lit, Vanille mouille d’une autre manière.
Je découvre du haut de mes vingt ans, la nature diversifiée de l’être humain surtout les femmes.
Lorsqu’elle tourne sa tête pour m’embrasser goulument, j’ai peine à penser que son amour pour Noa, assis à deux mètres soit très sincère.
Vanille quitte ma bouche pour apostropher son mari.
• Mon cœur, est-ce vraiment ce que tu veux, suis-je assez salope pour toi ?
• Ma chérie, tu es parfaite, continue à appartenir à celui que tu t’es choisi pour…
La brusque interruption de Noa au moment où il commençait à montrer des signes de divulgation de la vérité m’interpelle.
Quel jeu se couple joue-t-il dont je serais la pièce essentielle à leur bonheur ?
Chaque fois que j’ai prêté Pat à un autre homme, je participais activement ou alors j’ignorais que ma petite avait pris des initiatives.
J’en ai pour preuve notre voyage à Venise, Pedro notre steward, chef de cabine, c’est elle qui était à la manœuvre alors que j’étais au wagon piano-bar.
Dans la chambre de notre hôtel lorsque nous avons joué avec elle, Christophe, l’autre et moi, c’est une partie à trois que nous avons entamé.
C’est Vanille qui divulgue leur secret à une question que je lui pose.
• Vanille, tu sens comme j’ai envie de toi, tu me fais bander comme un âne.
Pour apporter plus de plaisir à Noa que je remercie qu’il ne te prête, veux-tu me sucer ça te fera des images à Noa.
Ça nous fera tenir plus longtemps avant que je te baise, petite Vanille.
Dis-moi aussi Vanille, avec quelle contraception te protèges-tu d’éventuelles grossesses ?
Là encore, je sens un certain malaise s’instaurer entre nous trois, mais elle ouvre la bouche alors que je lui caresse le clito.
• Aucune !
• Et si je suis le père de ton enfant Noa, tu penses et crois-tu que je veuille être père, même si Vanille est une très jolie fille !
• Christophe, tu as raison, on te doit une explication, même si ta défaite dans l’escalier me permettrait de t’imposer de me faire l’amour jusqu’au bout.
• Vanille arrête mon infirmité côté sexe, c’est moi qui te place dans cette situation.
Christophe, je te regarde caresser ma femme et comme tu le constates, tu nages dans un océan de cyprine, j’ai un sexe si petit que je suis dans l’impossibilité de procréer avec l’amour de ma vie.
Nous sommes très croyants à la Réunion, j’ai proposé de divorcer, mais sur notre île c’est impossible, nous serions bannis de tous.
Nous avons essayé les jeux érotiques, mais Vanille sort frustrée, car elle veut m’offrir un enfant.
Je comprends la situation et je comprends aussi qu’un voyeur comme Noa, ne s’astique pas le manche en regardant sa femme se faire sauter.
Je détache ma ceinture, je sors ma verge libérant sa chatte.
C’est-elle qui m’enjambe plaçant ses jambes de chaque côté de mon corps et c’est elle qui s’empale sur ma verge ?
Un instant je me demande si l’on ne se fiche pas de moi.
• Christophe, j’ai dépucelé Vanille avec un gode.
Je comprends mieux, mais je pense au fond de moi que j’ai dépucelé une femme mariée.
Rapidement nous prenons le rythme d’un coït de bonne facture comme je sais le pratiquer depuis que j’honore ces dames.
C’est à ce moment que ce que Vanille susurre à mon oreille gauche la cachant de Noa me rend peu fière.
• Continue Christophe, prend ton temps, c’est la première fois qu’un homme est réellement en moi.
Je sens que ça monte et je veux jouir de toi et pour toi.
• Vanille que dis-tu à l’oreille de notre ami !
• Peu de chose, je le remerciais simplement d’accepter d’essayer d’être le géniteur de notre fils.
• Si c’est le cas, nous lui serons éternellement reconnaissants.
• Ah ! ah ! ah ! chéri, je vais être mère, ah ! ah ! ouiiii.
• Ma chérie, tu as joui, ça facilitera la fécondation de notre futur enfant, merci Christophe, mais si je suis profondément jaloux de ta participation là où j’ai failli.
Vanille joui encore, mais avec moins de démonstration extérieure, je sens ses muscles vaginaux enserrer ma verge convulsivement jusqu’à m’embrasser pour effacer un dernier râle de plaisir.
J’ai nettement l’impression que Noa vient d’être cocufié sans s’en rendre compte.
• Merci les amis, je rentre chez moi, demain il me faut retourner vers Patou de bonne heure, je veux savoir si ce que j’espère s’avérera vrai.
• Revient quand tu veux, tu serais le bienvenu, surtout si notre soirée a été fructueuse, a tout moment tu pourras venir voir notre fils.
Dehors la neige redouble presque dix centimètres dans Paris et je fais très attention de ne pas me casser la gueule, ce serait dommage qu’à mon tour je sois immobilisé dans un fauteuil roulant.
Je sais que l’amour conduit à tout, mais lorsque je vois la Rolls, toujours arrêté à sa place, ce serait dommage de ne pas l’avoir conduit au moins une foi.
Est-ce par superstition ou pour écarter le mauvais sort, le fauteuil électrique est là à sa place débarrassée de son drap.
Est-ce mal venu, je m’assieds dedans et je vais pour voir comment il fonctionne.
J’ai vu Patou tourner la clef et se servir de la petite poignée pour avancer ou reculer.
Hélas, rien ne se passe, je pense que son immobilité a fait que sa batterie est à plat.
Je vais me doucher, je vais être franc, ma queue est enduite de la cyprine de Vanille et de mon sperme quand j’ai éjaculé.
Un instant, je me surprends à me masturber, il est l’heure de rejoindre notre lit qui m’accueille les bras ouverts tellement cette journée m’a épuisé.
• Bonjours Patou, as-tu passé une bonne nuit, je m’excuse de m’être presque enfui hier au soir, Maggy semblait avoir du mal à accepter ma présence.
Le docteur Lebrun est passé, y a-t-il un espoir s’il est confirmé que tu m’as enserré de tes jambes au moment où je te faisais jouir.
Pour ma part j’étais si concentré à te satisfaire et à rester en équilibre entre tes jambes sur ce lit moins large que le nôtre que je n’ai aucun souvenir si tu as été capable de le faire.
• Non, Maggy est passée il y a moins d’une heure, elle est de repos et sera là à 14 heures.
Lebrun fera sa tournée avec Fabien le kiné, mais elle ne m’en a pas dit plus.
Chéri, j’ai un aveu à te faire.
• Ça tombe bien moi aussi.
Qu’a-t-elle à m’avouer ?
Qui y a-t-il de nouveau entre hier au soir et ce matin qui lui donne un air si grave, surtout à celle que j’aime plus que tout ?
J’ai moi aussi des aveux à lui faire après qu’hier j’ai plongé ma queue dans la chatte de Vanille, avec les conséquences qu’elle espère et surtout Noa…
C’est dans un premier temps ce que je vois, assis sur mon canapé recouvert d’une peau de zèbre lorsque Noa, le mari de Vanille, Réunionnais tous les deux m’apporte un verre de rhum de ce pays.
La cuisine a des meubles blancs dans cette matière, alors que chez mes parents ils étaient jaunes.
Mais ce que je vois lorsque Vanille ressort du couloir qui doit conduire aux chambres et à la salle de bains, si dans ces vieilles maisons de nombreuses en est dépourvu.
De ce couloir Vanille nous rejoint en nuisette s’arrêtant ras sa petite chatte.
Christine en vend dans sa boutique, j’ai aidé Amélie l’employée de sa boutique à en ranger dans les rayons.
Je lui aurais bien demandé de les essayer, mais l’occasion ne s’est pas présentée et j’ai été pris par le tourbillon de la vie.
Ajouté à ça sa venue au garage ou ayant déjà baisé, j’ai lamentablement foiré lorsqu’elle est venue me laver le dos sous la douche se mettant nue.
Je préfère oublier ce sinistre moment.
• Chéri, depuis des semaines tu veux me voir faire l’amour avec un autre homme pendant que tu resteras à nous regarder.
J’étais réticente, car pour avoir des rapports avec un homme, l’affect est très important.
À ce jour, aucun de ceux que j’ai eu la chance de croiser n’était dans ce créneau.
Christophe lors de mon retour de nuit, après mon travail forcé, tu m’as soutenu pour éviter que la peur ne me submerge.
En plus tu as perdu ton pari dans la montée de l’escalier.
En nous tenant ces propos, Vanille arrive jusqu’à moi et sans me demander mon avis, s’assied sur mes genoux.
Dois-je dire qu’elle a le cul chaud.
Elle m’entoure le cou de son bras.
Je comprends ce que l’on attend de moi, je suis assez sérial niqueur pour lamentablement profiter de la situation, un petit cul rester un petit cul surtout s’il sent la vanille.
Je place ma main sur sa petite cuisse, la poupée caramel me laisse faire, elle est placée dans l’axe de vision de Noa qui semble ne pas en perdre une miette.
Ma main remonte, sans qu’elle déclenche une réaction négative des deux côtés du couple.
Mes doigts atteignent sa pilosité, qui est noire, ça je l’ai vu lorsqu’elle s’est approchée, mais assez soyeuse.
Il se glisse dans sa fente, Patou a des lèvres un peu proéminentes, Vanille, les siennes sont inexistantes.
Je caresse directement son bouton.
• Chéri, les doigts de Christophe sont divins, je vais pouvoir te faire le plaisir que tu me réclames depuis si longtemps.
Tu as vu, je grandis sur sa verge qui grossit de plus en plus.
C’est dingue la nature humaine, surtout lorsque je lui écarte les jambes afin que Noa profite pleinement de la vision de sa petite se faisant doigter par un autre mâle surtout moi qui suis en rut.
Mes doigts sont trempés, j’ai rarement vu une jeune femme mouillée autant, même mon bébé sur son lit de douleur ne mouille pas autant.
Malaurie est une femme fontaine au détriment de son lit, Vanille mouille d’une autre manière.
Je découvre du haut de mes vingt ans, la nature diversifiée de l’être humain surtout les femmes.
Lorsqu’elle tourne sa tête pour m’embrasser goulument, j’ai peine à penser que son amour pour Noa, assis à deux mètres soit très sincère.
Vanille quitte ma bouche pour apostropher son mari.
• Mon cœur, est-ce vraiment ce que tu veux, suis-je assez salope pour toi ?
• Ma chérie, tu es parfaite, continue à appartenir à celui que tu t’es choisi pour…
La brusque interruption de Noa au moment où il commençait à montrer des signes de divulgation de la vérité m’interpelle.
Quel jeu se couple joue-t-il dont je serais la pièce essentielle à leur bonheur ?
Chaque fois que j’ai prêté Pat à un autre homme, je participais activement ou alors j’ignorais que ma petite avait pris des initiatives.
J’en ai pour preuve notre voyage à Venise, Pedro notre steward, chef de cabine, c’est elle qui était à la manœuvre alors que j’étais au wagon piano-bar.
Dans la chambre de notre hôtel lorsque nous avons joué avec elle, Christophe, l’autre et moi, c’est une partie à trois que nous avons entamé.
C’est Vanille qui divulgue leur secret à une question que je lui pose.
• Vanille, tu sens comme j’ai envie de toi, tu me fais bander comme un âne.
Pour apporter plus de plaisir à Noa que je remercie qu’il ne te prête, veux-tu me sucer ça te fera des images à Noa.
Ça nous fera tenir plus longtemps avant que je te baise, petite Vanille.
Dis-moi aussi Vanille, avec quelle contraception te protèges-tu d’éventuelles grossesses ?
Là encore, je sens un certain malaise s’instaurer entre nous trois, mais elle ouvre la bouche alors que je lui caresse le clito.
• Aucune !
• Et si je suis le père de ton enfant Noa, tu penses et crois-tu que je veuille être père, même si Vanille est une très jolie fille !
• Christophe, tu as raison, on te doit une explication, même si ta défaite dans l’escalier me permettrait de t’imposer de me faire l’amour jusqu’au bout.
• Vanille arrête mon infirmité côté sexe, c’est moi qui te place dans cette situation.
Christophe, je te regarde caresser ma femme et comme tu le constates, tu nages dans un océan de cyprine, j’ai un sexe si petit que je suis dans l’impossibilité de procréer avec l’amour de ma vie.
Nous sommes très croyants à la Réunion, j’ai proposé de divorcer, mais sur notre île c’est impossible, nous serions bannis de tous.
Nous avons essayé les jeux érotiques, mais Vanille sort frustrée, car elle veut m’offrir un enfant.
Je comprends la situation et je comprends aussi qu’un voyeur comme Noa, ne s’astique pas le manche en regardant sa femme se faire sauter.
Je détache ma ceinture, je sors ma verge libérant sa chatte.
C’est-elle qui m’enjambe plaçant ses jambes de chaque côté de mon corps et c’est elle qui s’empale sur ma verge ?
Un instant je me demande si l’on ne se fiche pas de moi.
• Christophe, j’ai dépucelé Vanille avec un gode.
Je comprends mieux, mais je pense au fond de moi que j’ai dépucelé une femme mariée.
Rapidement nous prenons le rythme d’un coït de bonne facture comme je sais le pratiquer depuis que j’honore ces dames.
C’est à ce moment que ce que Vanille susurre à mon oreille gauche la cachant de Noa me rend peu fière.
• Continue Christophe, prend ton temps, c’est la première fois qu’un homme est réellement en moi.
Je sens que ça monte et je veux jouir de toi et pour toi.
• Vanille que dis-tu à l’oreille de notre ami !
• Peu de chose, je le remerciais simplement d’accepter d’essayer d’être le géniteur de notre fils.
• Si c’est le cas, nous lui serons éternellement reconnaissants.
• Ah ! ah ! ah ! chéri, je vais être mère, ah ! ah ! ouiiii.
• Ma chérie, tu as joui, ça facilitera la fécondation de notre futur enfant, merci Christophe, mais si je suis profondément jaloux de ta participation là où j’ai failli.
Vanille joui encore, mais avec moins de démonstration extérieure, je sens ses muscles vaginaux enserrer ma verge convulsivement jusqu’à m’embrasser pour effacer un dernier râle de plaisir.
J’ai nettement l’impression que Noa vient d’être cocufié sans s’en rendre compte.
• Merci les amis, je rentre chez moi, demain il me faut retourner vers Patou de bonne heure, je veux savoir si ce que j’espère s’avérera vrai.
• Revient quand tu veux, tu serais le bienvenu, surtout si notre soirée a été fructueuse, a tout moment tu pourras venir voir notre fils.
Dehors la neige redouble presque dix centimètres dans Paris et je fais très attention de ne pas me casser la gueule, ce serait dommage qu’à mon tour je sois immobilisé dans un fauteuil roulant.
Je sais que l’amour conduit à tout, mais lorsque je vois la Rolls, toujours arrêté à sa place, ce serait dommage de ne pas l’avoir conduit au moins une foi.
Est-ce par superstition ou pour écarter le mauvais sort, le fauteuil électrique est là à sa place débarrassée de son drap.
Est-ce mal venu, je m’assieds dedans et je vais pour voir comment il fonctionne.
J’ai vu Patou tourner la clef et se servir de la petite poignée pour avancer ou reculer.
Hélas, rien ne se passe, je pense que son immobilité a fait que sa batterie est à plat.
Je vais me doucher, je vais être franc, ma queue est enduite de la cyprine de Vanille et de mon sperme quand j’ai éjaculé.
Un instant, je me surprends à me masturber, il est l’heure de rejoindre notre lit qui m’accueille les bras ouverts tellement cette journée m’a épuisé.
• Bonjours Patou, as-tu passé une bonne nuit, je m’excuse de m’être presque enfui hier au soir, Maggy semblait avoir du mal à accepter ma présence.
Le docteur Lebrun est passé, y a-t-il un espoir s’il est confirmé que tu m’as enserré de tes jambes au moment où je te faisais jouir.
Pour ma part j’étais si concentré à te satisfaire et à rester en équilibre entre tes jambes sur ce lit moins large que le nôtre que je n’ai aucun souvenir si tu as été capable de le faire.
• Non, Maggy est passée il y a moins d’une heure, elle est de repos et sera là à 14 heures.
Lebrun fera sa tournée avec Fabien le kiné, mais elle ne m’en a pas dit plus.
Chéri, j’ai un aveu à te faire.
• Ça tombe bien moi aussi.
Qu’a-t-elle à m’avouer ?
Qui y a-t-il de nouveau entre hier au soir et ce matin qui lui donne un air si grave, surtout à celle que j’aime plus que tout ?
J’ai moi aussi des aveux à lui faire après qu’hier j’ai plongé ma queue dans la chatte de Vanille, avec les conséquences qu’elle espère et surtout Noa…
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