COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (15/15) - histoire érotique

Entre hier et aujourd’hui, lorsque je rejoins Pat, je veux lui parler de Vanille et de ce que j’ai fini par faire avec elle après l’avoir raccompagné près de son mari Noa à deux pas de son atelier.
Pat sait qui je suis et que j’aime profiter de ma jeunesse avant de convoler étant dans ma tête persuadée devenir un mari fidèle.
Sans aller à la messe, nous sommes tous les deux baptisés, j’ai été à quelques mariages de cousins ou cousines, je sais que je devrais dire.
« Fidèle jusqu’à la mort nous sépare… »
Nous sépare, par mon orgueil voulant me prendre pour plus fort que je le suis réellement, j’ai failli anticiper « que la mort nous sépare » avec mon système inventé pour que mon bouchon puisse entrer dans l’eau seule.
Mais Patou aussi semble vouloir me faire des révélations.

• Je vois qu’il y a un conflit de priorité, je vais trancher, étant plus vieille que toi de quelques jours, mais surtout une femme.
De plus, ce que j’ai a te révéler est la juste suite de ton départ après l’injonction de Maggy de quitter ma chambre et l’hôpital hier au soir.
• Moi aussi, ce que j’ai à t’avouer est lié à mon départ un peu précipité, ma Patou chérie.
• Bon, la femme prime sur l’homme, attaquons la suite logique de ce qui s’est passé entre Maggy et moi.
• Maggy, ne me dit pas que…
• Si, j’étais frustré que tu m’aies abandonné, après que tu te sois retiré de ma chatte lorsqu’elle est entrée et qu’elle nous ait surpris en pleine action.
J’étais à deux doigts de ma jouissance.
• Je commence à bien te connaître, lorsque j’étais en toi, que je me suis retiré et que j’ai quitté ta chambre, mon dernier regard s’est posé sur ta jolie chatte dénudée.
Ne me dis pas qu’elle est venue te… !
• Dis-le, me brouter, non, mais me doigter, oui, deux doigts ou trois, mais le nombre n’a peu d’importance.
J’étais tellement chaude au point de ne pas avoir de souvenir que lorsque tu me prenais de t’avoir enserré avec mes jambes mortes depuis tant d’années !
Je dois te dire que lorsqu’elle m’a fait jouir, avant de me souhaiter bonne nuit j’ai ressenti de nouveau des picotements dans mes jambes
• Eh ! c’est cela que tu voudrais que je te pardonne, tu as pris du plaisir avec Maggy en te faisant doigter !
Mais tu es petite joueuse après que moi, j’ai fait en quittant ta chambre.
Je t’explique, tu jugeras si nos fiançailles tiennent toujours !
• Tu me fais peur, Christophe, qu’as-tu fait de si terrible pour remettre en cause notre mariage ?
• J’ai fait, un…
• Alors, accouche, je suis sur des charbons ardents !
• Justement lorsque tu parles d’accouchement, Vanille, risque d’accoucher dans les neuf mois.
• Comment veux-tu que je comprenne, Vanille, le fruit des vanilliers dans les pays chauds ?
• Non, la jeune femme qui attendait le bus pour s’en retourner chez elle près de la Sorbonne.

J’explique à Patou l’enchainement des choses s’étant produit alors que je l’avais quittée un peu précipitamment.

• Tu penses avoir fait un enfant à cette Vanille qui a un drôle de prénom, car son mari est un peu limité côté queue !
Tu me dis que c’est un jeune comptable de cet établissement !

Je vois Patou se pencher, prendre le téléphone et faire tourner le cadran.

• C’est Patricia, chambre 69, non je ne veux pas de numéro à l’extérieur.
Oui, la jeune artiste peintre qui a été admise dans vos murs après un accident à la tête dans sa nouvelle piscine.
Oui je vous remercie d’être fan de ce que je fais.
Oui, je comprends, vous connaissez le prix d’une de mes toiles et vu votre salaire vous n’auriez pas les moyens de vous en payer une.
Comment vous appelez-vous ?
Ingrid, non, je vous demandais cela car vous avez une jolie voix au téléphone.
Tout cela est très bien, mais connaissez-vous une Vanille qui travaille à la comptabilité ?
Vous ne connaissez pas tout le personnel de l’hôpital, ça je veux bien le concevoir et l’entendre !
Bon faisons simple, passez-moi la comptabilité, eux doivent savoir si Vanille travaille dans leur service.

Vais-je découvrir une face cachée de Patou qui va insulter ma maîtresse, où comme telle, après ce que j’ai fait ?

• C’est vous Vanille, j’ai un problème d’ordre personnel avec vous, pourriez-vous prendre cinq minutes et venir me voir chambre 69 ?

Vanille doit lui répondre positivement, car elle recroche sans en dire plus.

• Que vas-tu faire, tu es dans l’impossibilité de te lever pour lui mettre ton pied au cul !
• Si tu m’aimes laisse-moi faire, lorsqu’elle arrivera, tu iras dans la salle de bains comme tu l’as fait hier lorsque Maggy est venue pour mon pipi, où tu attendras jusqu’à ce que je te demande de nous rejoindre.

Quelques minutes et l’on frappe, je me replis dans la salle d’eau.

• Bonjour, je pense que tu es Vanille, tu es jolie comme un cœur et je comprends à ta couleur pourquoi ta maman t’a surnommé Vanille !
• Ça doit être vraie, mon mari me le dit tous les jours lorsque nous nous réveillons ou que je rentre du travail ou lui du sien, il est professeur des écoles !
• Justement, c’est de ton mari que je voulais te parler, tu as besoin d’un donneur afin d’avoir un enfant, connais-tu ce jeune homme qui se cache dans ma salle de bains !

Je comprends que je dois sortir de ma cachette et venir jusqu’à elle.

• Vous allez me faire virer, oh, mademoiselle, je vous en conjure, j’ai besoin de mon travail pour que nous payions les traites de l’appartement que nous venons d’acheter !
• Je vois que tu connais Christophe mon fiancé, te faire virer, mais pourquoi, car tu t’es fait sauter devant ton mari ?
Après ce que vous avez fait hier au soir, je le pourrais, oui, c’est certain.
Je suis une artiste ayant des relations, surtout après un certain abus.
• Lequel madame ?
• Lequel, lui avoir caché ou plutôt ton mari, ce qu’il pense être son infirmité et te servir de Christophe comme un étalon sans me demander mon avis.
• Mais je ne vous connaissais pas mademoiselle !
• La bite de Christophe, t’ayant fait poser moins de questions !
De plus pendant l’acte, il semble que tu aies eu quelques remords.
• Que puis-je faire pour que vous me pardonniez, tu as vu Christophe que j’étais réticente au début !
Non pas que tu ne sois pas beau gosse, mais lorsque je t’ai vu, j’ai pensé qu’avec toi ce serait possible.
Je dois t’avouer que c’était la première fois depuis que Noa voulait que je trouve un donneur pour notre enfant.
• C’est bien Vanille, c’est un début de repenti, mais j’ai mieux à te proposer.
• Je vous écoute, mademoiselle, j’accepte d’avance.

Pat prend son drap, seule chose qui la recouvre, nous faisant apparaitre sa chatte que j’ai été le premier à honorer.

• Un coup c’est peu pour être sûr d’être fécondée, deux ce serait plus efficace, mais je veux sentir en moi le sperme que Christophe va déverser en toi.
Ton mari a aimé regarder même si j’ai bien compris que c’était un peu contraint.
Moi, je veux mieux, bouffe ma chatte, Christophe va te saillir comme un étalon sailli sa jument au moment des amours.
Ma chatte, ta bouche, ta chatte la bite de mon mec.
Comme on ignore si tu attends un enfant, si ça a marché hier chez toi ou aujourd’hui dans ma chambre qu’il aura été conçu, ça vaudra acceptation de ma part !
• Oh ! oui, mademoiselle, c’était si bon avec Christophe !
• Je ne te le fais pas dire, ainsi moi aussi j’aurais ma part de jouissance lorsque tu éjaculeras mon vieux salopard.

Aussitôt dit aussitôt la mise en action a lieu.
Vanille se penche sur la chatte de Patricia et j’ai le temps de voir sa petite langue s’insinuer entre les lèvres vaginales de Patou qu’elle écarte avec ses doigts.
Je sais la sensibilité du bouton de Patou, elle me traite de salopard, mais la salope, s’est-elle.
Connaissant ce que j’ai insufflé en elle de perversité après l’avoir défloré, elle doit vouloir me faire voir que la maîtresse de nos jeux, c’est elle et non moi.
Patou, maîtresse de nos jeux un peu pervers en sautant ma maîtresse, depuis hier au soir, venue des îles, sentant bon la vanille.
Je passe derrière ma gousse, je soulève sa jupe de tailleur qu’elle porte ce jour et je lui descends sa petite culotte.
Pat me semble apprécier la langue qui la taraude, à ses yeux qui s’embuent.
Surtout qu’une fois que je m’installe par-derrière dans le vagin réunionnais, mes coups de reins se propagent jusqu’à la langue qui accentue les effets que notre trio ressent.
La situation, est si bizarre et bandante que rapidement la chatte de mon amour éclate.
Vanille donne aussi des coups de cul à l’unisson de ses coups de langue de plus en plus important.
Ça me plonge encore plus profondément en elle, c’est ainsi que je fini par éclater et déverser mon sperme qui dans quelques mois donnera naissance à mon premier enfant.
Chacun revient sur terre ou plutôt là ou nous sommes dans une chambre d’hôpital, c’est Patou qui la première reprend la parole.
Je prends conscience d’avoir de nouveau baiser une femme dans l’hôpital, une première fois dans les toilettes des dames et deux fois dans la chambre de celle qui est l’amour de ma vie.
Noa est une petite bite, frustrée, moi je suis un serial niqueur plus près du coq roi de la basse-cour dans ces lieux insolites, même si je n’ai pas les pattes dans la merde.
Heureusement que Maggy est absente, le trio aurait pu se transformer en quadrille sans la musique bien sûre, un peu de respect nous sommes dans un hôpital où, hélas, des gens se meurent.
Heureusement, tous les trois sommes bien vivants…