COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (22/24)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 2569 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
  • • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 653 294 visites.
Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (22/24) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 69 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (22/24)
Je viens de me prendre ce que l’on appelle un « râteau » pour un jeune coq comme-moi c’est une découverte qu’il me faut assumer.
Pourtant j’ai eu le plaisir de voir Mona Lisa nue sous notre douche dans l’atelier de Patou.
Cet ancien garage, qu’elle a fait transformer en atelier, c’est un peu le mien depuis qu’elle a accepté à devenir l’amour définitif de ma vie.
Je me dirige vers le bus, afin d’aller la rejoindre, Mona Lisa devant moi va tourner à droite pour se rendre chez sa petite femme où je pense que Madeleine a laissé la place.
Ce 3 janvier, la vie semble revenue à la normale et moi j’ai hâte de voir les progrès de celle à qui j’ai offert mon cœur.
Mais à la Française et non à l’Italienne avec ses églises et ses dogmes.
Surprise, près de là où je dois prendre mon bus, Mona Lisa devrait tourner à droite, mais c’est tout droit qu’elle se dirige, sans se rendre compte que je suis derrière elle.
Je suis intrigué, pourquoi, je décide de la suivre surtout que rapidement elle descend, car elle va vers la Seine, elle descend dans une petite rue parallèle à celle ou est l’immeuble ou habite Christine.

« Bar Girl » sur la façade, en lettre rose au néon, très prisé à Paris depuis que ce mode d’enseigne ont été mis sur le marché.
Je comprends de suite, Mona Lisa doit avoir rendez-vous avec une autre nana et va cocufier Christine alors qu’elle s’est présentée à moi comme la sainte vierge personnifiée.
Elle vient de rentrer, je passe sans m’arrêter, sur la porte une pancarte marquée « Club privé. »
Je suis à dix mètres lorsque n’ayant pas vu que j’étais moi-même suivi me retournant pour rejoindre mon bus, je vois une jeune femme sonner.
On lui ouvre la porte, certainement quelqu’un par le judas a su la reconnaitre et elle va entrer lorsqu’une voiture déboule, s’arrête et que des types pas très sympathiques en descendent.

« Allez les mecs on va se taper de la gouine. »

J’ignore pourquoi, je fonce dans le tas, réaction normale, diront certains, réaction un peu conne, diront les autres.

• Ça y est, il ouvre un œil, mon chéri j’ai cru te perdre.

Qui a subi un k.o magistral, mais ayant eu le temps de distribuer quelques coups de poing doit savoir ce que je ressens couché sur un brancard.
Ou suis-je, qui suis-je, cela ça va, je m’en souviens, c’est une bonne chose Christophe, mais avec un trou dans mon emploi du temps.

• Reste calme, les gars qui t’ont agressé ont été métrisés et arrêtés après qu’ils t’aient mis un coup avec une batte de baseball.

Ça revient petit à petit.
J’étais intrigué et j’avais décidé de suivre Mona Lisa.
Elle est entrée dans une boîte, la porte avait un judas, je revenais sur mes pas.
Une jeune femme s’est présentée, intriguée que Mona Lisa soit venue dans ce club lorsqu’une voiture déboule.
Des gars en sont débarqués pour se taper de la gouine.
Je dirais club réservé aux lesbiennes parisiennes.
Mais là c’est le trou, le blanc, la rupture avec le monde, la mort sans aller jusqu’à son issue fatale, mais ça aurait pu.
Le plus intriguant c’est Patou qui est appuyé sur ce brancard semblant m’avoir fait revenir à la vie.

• Chéri, je vois ton regard étonné, tu dois te demander comment je suis arrivée près de toi.
Si c’est ce que tu penses, tu te trompes, c’est toi que les pompiers ont amené près de moi.
Tu es dans mon hôpital !

Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?
Ça y est, je finis par comprendre.
Du moins de ce que Patou, Christine, Mona Lisa m’explique après ce qu’il m’est arrivé devant la porte du « Club Privé » au nom de « Bar Girl » aux lettres au néon rose.

Je suis dans une chambre, amené par les pompiers après que le docteur Lebrun, encore lui, m’a placé en observation après être passé aux urgences de l’hôpital Cochin.
J’ai reçu un coup de batte de baseball en essayant de m’interposer avant que des gros bras au crâne rasé ne viennent s’en prendre à ce bar plutôt réservé aux femmes ayant des tendances homosexuelles.
Je suis bien entouré de ces femmes.
Maman Iris, Christine Mona Lisa, Maggy et même Patou, j’en passe et des meilleurs depuis que je fréquente ce milieu épris de liberté comme ça semble le cas dans une grande partie du pays.
J’ai appris à dire, « lesbienne » ou « à tendances homosexuelles » et non pas « gouines » comme ces mecs ont traité ces femmes me faisant entrer dans la bagarre.

• Tu es notre héros, Christophe, ce bar que Mona Lisa rejoignait après t’avoir quitté, c’est le mien, c’est un des investissements que j’ai fait après le décès de mon mari.
Les lieux réservés aux femmes ayant des tendances homosexuelles à notre époque sont rares et stigmatisés.
Ces connards que tu as affrontés venaient pour tout détruire, nous aurions pu avoir des morts parmi nos clientes et nos serveuses.

C’est Christine qui me parle de ces mecs qui m’ont fracassé le crâne.

• Mona Lisa venait me rejoindre, pour que je la présente à l’ensemble du personnel.
À partir de maintenant c’est elle qui va gérer cet espace réservé aux femmes.
Cette attaque nous a fait prendre conscience qu’il est encore tôt pour afficher notre différence.
Il y a trop de machos en France qui sont prêts à se faire de la gouine comme ils l’ont dit aux flics venus les arrêter lorsque voyant ce qu’il se passait, je les ai appelés.
J’ai aussi joint l'Élysée Montmartre, célèbre salle de spectacle où se déroulent des soirées catchs.
À partir de ce jour, ils vont mettre à notre disposition des catcheuses qui viendront surveiller les entrées.
Ces filles, s’entrainent avec des lutteurs comme Le Bourreau de Béthune, l'Ange Blanc et d’autres grands catcheurs comme l’Homme masqué.

Une image me revient, malgré la grosse migraine qui me donne envie de hurler
Roger Couderc et le catch à la télévision, une voix légendaire dans le monde du sport télévisé
Roger Couderc, figure emblématique du journalisme sportif en France, que je regardais avec mes parents heureux ensemble dans ce temps-là, bien que j’ignore si des distensions s’étaient déjà fait jour.
Je n’étais pas toujours là et ma présence pouvait les dissuader d’afficher la perte de leur amour, surtout si maman fréquentait déjà Iris.
Roger Couderc et ses « allées les petits » lorsqu’en plus du catch, il commentait le rugby.
Roger Couderc principalement connu pour son enthousiasme débordant lorsqu’il commentait ces matchs de rugby, au point qu’on l’a surnommé « Monsieur Rugby ». Son style était à la fois chaleureux et captivant, faisant de lui l'un des commentateurs les plus appréciés du public français.
Au catch, je me souviens d’une phrase, bien que je ne sois pas sur à cent pour cent qu’elle soit de lui.
« Mort lui l’œil tu auras la cuisse ! »
Il bonifiait auprès des milliers de téléspectateurs avides de sensations fortes ces sports pas tellement tendres à la base.
Les boures pifs étaient légion, mais toujours avec un certain tact de bon aloi.
Le catch, je me suis laissé dire que c’était du chiqué, les combats étant répété comme le pourrait être des ballets.
Si c’est vrai, tout de même, je verrais bien ces crânes rasés venir s’en prendre au bar de Christine et maintenant de Mona-Lisa.
Je pense que si ces catcheuses sont amenées à porter « le coup de la corde à linge, » ils devront se protéger les carotides, sinon leur tête risquerait de se détacher de leur tronc.

• Christophe, on vous laisse avec Patou/
• Évitez de profiter de vos chambres voisines pour faire de moi une nouvelle marraine.

Patou et moi nous nous retenons de pouffer ainsi que Maggy qui vient d’entrer dans la chambre, c’est l’heure que je prenne ma température.
Elle me donne un tube en verre, j’ignore ce que je dois en faire, je n’ai jamais été malade.
Si Christine savait que certes cette chambre, nous ne l’avons pas encore inaugurée, alors que la voisine on s’en est grandement occupé.
Un miracle, un miracle a lieu lorsque je prends conscience que Patou est debout à côté de mon lit.
Deux béquilles la soutiennent, par quel miracle cela est-il possible ?
C’est vrai Paris-Match, ou est cette revue, dans la bagarre, j’ai dû la perdre dans cette rue descendant vers la Seine ou j’ai failli laisser ma vie pour une bande de gouines.
Stop, lorsque mon cerveau prononce ces derniers mots, « bande de gouines. »
Certes j’ai failli y laisser ma vie, un coup de batte de baseball pour d’autres pourrait être fatal, mais j’ai une tête de pioche et je m’en sors avec mon amour dans la chambre voisine.
Un peu d’humour ne peut pas faire de mal, les filles peuvent m’appeler pour les défendre je le ferais avec plaisir.

• Patou, peux-tu m’expliquer les épisodes que j’ai loupés surtout que j’ai ce trou de mémoire qui vient tout chamboulé.
• Tu veux parler de la revue qui est dans ma chambre !
C’est Christine qui l’a apporté lorsqu’elle t’accompagnait dans l’ambulance des pompiers.
Ce journaliste nous a piégés lorsqu’il m’a reconnue dans la salle de rééducation de l’hôpital.
Là n’est pas le problème, je vais t’apprendre que nous sommes dans le début de l’air de la publicité et que ce scoop va me faire une pub gratuite.
Bien qu’à ce jour, cette publicité me soit complètement inutile, surtout coincée dans cet hôpital.
Le plus problématique pour moi, c’est qu’une nouvelle fois, j’ai trompé ta confiance.

De quoi Patou parle-t-elle, du magazine et de la pub gratuite, je peux l’entendre, mais le mot « trompé » arrive comme les cheveux sur la soupe.
Ou quand et comment Patou a-t-elle fait de moi un cocu ?...

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (22/24)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par CHRIS71

COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (22/24) - Récit érotique publié le 11-08-2025
COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (176) - Récit érotique publié le 10-08-2025
COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (9/9) - Récit érotique publié le 08-08-2025
COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (8/9) - Récit érotique publié le 07-08-2025
COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (7/9) - Récit érotique publié le 05-08-2025
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (21/21) - Récit érotique publié le 04-08-2025
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (20/21) - Récit érotique publié le 03-08-2025
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (19/21) - Récit érotique publié le 02-08-2025
COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (16/16) - Récit érotique publié le 01-08-2025
COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (15/16) - Récit érotique publié le 30-07-2025