COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (23/24)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (23/24)
C’est après avoir défendu la veuve et l’orpheline que je me trouve à mon tour hospitalisé à l’hôpital Cochin.
Le docteur Lebrun a souhaité me garder cette nuit suite au coup pris par une batte de baseball dans la rue parallèle à celle habité par Christine et depuis peu par Mona Lisa.
C’est le comportement de cette dernière qui a redescendu cette rue menant vers la Seine que j’ai été étonné de la voir entrer dans un club au néon explicite « Bar Girl. »
Toujours dans les bons coups, je m’interpose devant des garçons au crâne rasé et c’est là qu’il semble que j’aie pris ce coup de batte.
Certains diront qu’il faut être fou pour se coltiner quatre ou cinq gars de ce type.
Mais ne le suis-je pas après m’être fait réformer afin de rester auprès de celle que la chance m’a fait rencontrer, Patou.
Ce n’est pas donné à tout le monde d’être déclaré P4 et de l’assumer, tous les fous de la terre ne sont pas enfermés alors pourquoi moi !
• Mon chéri, enfin seul, j’ai vu que tu avais été surpris de me voir avec ces béquilles lorsque tu es revenu parmi nous.
Ces béquilles sont la cause de la bêtise que j’ai faite avec Fabien, tu vois de quoi je dois t’avouer !
• J’aurais pu rentrer à l’atelier avec Christine et Mona Lisa, mais j’ai accepté de rester afin d’être comme nous le sommes en ce moment.
Présentement ayant eu à dîner et les soins de nuit, Patou m’a rejoint dans ma chambre contre tous les règlements.
Elle est arrivée soutenue par deux béquilles placées sous ses bras.
J’étais dans mon fauteuil et elle est venue directement s’asseoir sur mes genoux posant ses béquilles et prenant mon cou elle m’a embrassé à m’en faire couper le souffle.
• Alors parle-moi de ces béquilles qui semble être la cause d’un problème qui t’est arrivé.
• Le problème c’est fabien, tu te souviens de Fabien !
• Le beau gosse, le kiné qui a laissé un photographe te prendre en photo alors que tu commençais à te tenir sur tes jambes !
• Tu préférais que je sois en fauteuil roulant pour le restant de mes jours !
• Non, bien sûr, ce qui semble te mettre en colère, c’est la photo dans Paris-Match, Maggy a sa prise de service en avait un exemplaire qu’elle m’a montré.
Bichon, si tu acceptes toujours de m’épouser après ce que je vais t’avouer, tu vas devoir vivre avec ces gars qui nous pistent la plupart du temps nous les artistes afin de faire un bon cliché.
• Je sais Mona Lisa, m’a montré un exemplaire, je l’avais au moment de l’altercation avec ces fumiers, j’ai dû le faire tomber.
Elle m’a expliqué que ça vous serre pour que l’on parle de vous et que ça vous fasse de la publicité.
• Tu as tout compris, si nous réagissons négativement, ils vous traquent encore plus, du côté noir de votre personnage et peuvent ruiner votre réputation.
À la suite de cette photo et de cet article, pendant que tu te faisais massacrer, j’ai reçu une proposition d’une galerie parisienne me demandant quand je pourrais être prêt pour une exposition d’une trentaine de mes toiles.
J’ai déjà travaillé avec eux, jusqu’à ce jour il me prenait une, voire deux toiles certes qui toutes se vendaient et assez chère pour que je puisse assumer notre chez-nous.
Mais là trente d’un coup, tu comprends que je mette les bouchers doubles pour retrouver mon atelier.
Heureusement que j’ai de nombreux croquis fait avec toi et lors de notre voyage, presque comme un voyage de noces à Venise.
J’ignore ce que Patou va m’avouer, mais ce « chez nous » vos tous l’or du monde pour moi.
• Avec ces béquilles, j’ai pu descendre à la salle de gym et marché pour recommencer à me muscler.
Il m’a fait faire du vélo, si tu savais l’effet que ça fait de commander à ses jambes et qu’elles vous écoutent alors que depuis des années elles sont restées muettes.
J’ai dû présumer de mes forces tellement je me sentais légère, j’aurais pu faire le tour de France.
Il m’a aidé à descendre, mais j’ai perdu l’équilibre et sans lui je me vautrais lamentablement.
J’ai atterri à quatre pattes, tu te rends compte à quatre pattes.
• En levrette, tu étais en levrette !
• Oui, si tu veux, mais sans mon pouf pour que je sois dans la bonne position.
• Eh ! là, vous êtes passé aux travaux pratiques, tu t’es laissé baiser !
• Oui !
Il a commencé à me caresser avec ce pantalon de survêtement que Christine m’a apporté pour que je fasse du sport.
• Et ça t’a apporté du plaisir et tu n’as pas pu résister.
• Oh ! Christophe, tu me fais mal, on dirait que tu y étais !
Inutile que Patou en dise plus, elle m’a fait cocu, juste retour des choses.
J’en ai fait de même avec Christine et si Mona Lisa avait été partante comme l’on dit, j’aurais remis le couvert et elle aurait fait partie de mon tableau de chasse.
Elle a baisé avec Fabien, juste retour des choses.
• Tu sais, il a mis un morceau de plastique au bout de sa queue, c’était la première fois que je me faisais baiser avec cette protection.
• Une capote bébé, ce morceau de plastique s’appelle « une capote, » un préservatif, ça évite d’avoir des enfants hors du mariage.
• Alors c’est comme-ci je n’avais rien fait !
• Je n’irais pas jusque-là, surtout que la pilule vient d’être mise au point, c’est vous les femmes qui décidées de vos maternités, ça s’appellent le progrès mon amour.
Sens-tu ?
Pour sentir, elle sent l’obsédé sexuel que je suis, elle est en pyjama, moi avec ces chemises de nuit que l’on vous donne dès votre arrivée dans ces hôpitaux.
La coquine, elle me fait sentir, que le bas de son corps elle en a la maitrise, du moins a-t-elle retrouvé une partie de sa maitrise en se tortillant déclenchant une érection, du plus bel effet.
• Si je sens, je sens, je voudrais te sucer, j’adore te sucer, ça me rappelle nos vacances avec marraine, à Royan.
Nous étions à l’hôtel le Cordouan avec vue sur ce phare à l’embouchure de la Gironde.
Après dîner, elle poussait mon fauteuil et nous sortions faire une balade jusqu’à un confiseur qui faisait des sucettes chaudes.
Suivant l’heure, l’employé faisait des parfums différents.
Il travaillait le sucre.
Je me souviens des différents mots que ma marraine employait pour me décrire ce qu’il faisait, mais je n’en ai pas retenu grand-chose.
Bref il faisait passer cette pâte de sucre sur un croc et plus il le passait plus les futures sucettes changeaient de couleur.
Quand il jugeait que c’était bon, sur un marbre il en faisait un long ruban en la roulant sous ses mains.
Une jeune femme, coupait les futures sucettes au ciseau et la suivante les écrasait avec la paume de sa main et y mettait un bâton.
• Oui, ils faisaient des sucettes, que tu t’empressais de mettre dans ta jolie bouche.
• Voilà une nouvelle fois tu te moques, oui si c’était un parfum qui me plaisait, sinon il fallait attendre la tournée suivante avec un autre parfum.
• Chérie, aimes-tu, parfum, petite fraise des bois ?
• Non, je vais attendre la tournée suivante, sur la liste derrière lui, les parfums du soir étant affichés, le prochain est goût « Coca-Cola, je préfère.
• Lève-toi.
• Oui, chef, tes désirs sont des ordres, attends, je suis un peu château branlant.
Dès qu’elle a mis pied à terre je lui descends son pantalon de pyjama et avec ma force légendaire, je la récupère et je l’empale comme au temps du Moyen Âge directement sur ma queue.
C’est sa chatte coulante de cyprine, qui doit fabriqué le parfum qui aurait dû être celui de la sucette qu’elle aurait dû manger si ma patience avait eu des limites.
Bien sûr, il ne lui faut pas longtemps pour faire entendre à l’hôpital qu’elle jouit une nouvelle fois sous ma queue.
Femme ayant joui, femme aimante, je suis tout de même secoué de toutes ces péripéties.
En forme, j’aurais fait le nécessaire pour remettre le couvert, mais là je sens qu’il me faut éviter d’abuser de la situation et je crache mon venin au fond de la grotte de Patou.
Sa grotte, c’est moi, qui l’ai découverte, du moins façonné après pénétration ce que d’autres, pauvres cons, avaient refusé de faire.
• Ah ! ah ! ouiiiii.
Crie du cygne avant de mourir, mais crie du cygne comme le fennec ressuscitant de ses cendres dans les heures suivantes.
Je dis fennec, on sait très bien que je suis loin d’être une lumière.
En prononçant ce nom d’animal, je ne suis pas sûr de donner le bon, un autre nom me vient Phénix, comme les maisons du même nom.
• Patricia, vous faite de gros progrès, je libère votre fiancé à midi, vous je pense que dans deux ou trois jours Fabien me donnera le feu vert pour vous laisser rentrer chez vous.
Avec surveillance, il va de soi, Christine, votre marraine m’a dit que vous aviez une kiné qui venait à votre domicile.
Christine, marraine de mon petit bouchon et le docteur Lebrun, la carpe et le lapin, l’eau et le feu, on sait qui est le feu.
Le feu, celui que de jolies femmes comme Christine et maintenant Pat l’ont et que j’aime raviver.
Connaissant le personnage, sans être guindé, il est un peu précieux, mais j’ai moi-même assez pratiqué Christine pour savoir qu’elle a dû savoir dénicher que cette sommité, dans le domaine médical, avait une queue.
Lorsque je suivais Mona-Lisa, j’ai eu un moment l’impression qu’elle trompait Christine, mais n’est-ce pas le contraire qui se produisait, de toute façon avec moi une nouvelle fois ça a été réalité.
• Dis-moi, Christine, toi et Lebrun ça a collé ?
C’est dans le taxi qui nous ramène vers chez moi, ayant avec regret quitté Patou, avec l’espoir d’un retour à la maison plus que rapide maintenant…
Le docteur Lebrun a souhaité me garder cette nuit suite au coup pris par une batte de baseball dans la rue parallèle à celle habité par Christine et depuis peu par Mona Lisa.
C’est le comportement de cette dernière qui a redescendu cette rue menant vers la Seine que j’ai été étonné de la voir entrer dans un club au néon explicite « Bar Girl. »
Toujours dans les bons coups, je m’interpose devant des garçons au crâne rasé et c’est là qu’il semble que j’aie pris ce coup de batte.
Certains diront qu’il faut être fou pour se coltiner quatre ou cinq gars de ce type.
Mais ne le suis-je pas après m’être fait réformer afin de rester auprès de celle que la chance m’a fait rencontrer, Patou.
Ce n’est pas donné à tout le monde d’être déclaré P4 et de l’assumer, tous les fous de la terre ne sont pas enfermés alors pourquoi moi !
• Mon chéri, enfin seul, j’ai vu que tu avais été surpris de me voir avec ces béquilles lorsque tu es revenu parmi nous.
Ces béquilles sont la cause de la bêtise que j’ai faite avec Fabien, tu vois de quoi je dois t’avouer !
• J’aurais pu rentrer à l’atelier avec Christine et Mona Lisa, mais j’ai accepté de rester afin d’être comme nous le sommes en ce moment.
Présentement ayant eu à dîner et les soins de nuit, Patou m’a rejoint dans ma chambre contre tous les règlements.
Elle est arrivée soutenue par deux béquilles placées sous ses bras.
J’étais dans mon fauteuil et elle est venue directement s’asseoir sur mes genoux posant ses béquilles et prenant mon cou elle m’a embrassé à m’en faire couper le souffle.
• Alors parle-moi de ces béquilles qui semble être la cause d’un problème qui t’est arrivé.
• Le problème c’est fabien, tu te souviens de Fabien !
• Le beau gosse, le kiné qui a laissé un photographe te prendre en photo alors que tu commençais à te tenir sur tes jambes !
• Tu préférais que je sois en fauteuil roulant pour le restant de mes jours !
• Non, bien sûr, ce qui semble te mettre en colère, c’est la photo dans Paris-Match, Maggy a sa prise de service en avait un exemplaire qu’elle m’a montré.
Bichon, si tu acceptes toujours de m’épouser après ce que je vais t’avouer, tu vas devoir vivre avec ces gars qui nous pistent la plupart du temps nous les artistes afin de faire un bon cliché.
• Je sais Mona Lisa, m’a montré un exemplaire, je l’avais au moment de l’altercation avec ces fumiers, j’ai dû le faire tomber.
Elle m’a expliqué que ça vous serre pour que l’on parle de vous et que ça vous fasse de la publicité.
• Tu as tout compris, si nous réagissons négativement, ils vous traquent encore plus, du côté noir de votre personnage et peuvent ruiner votre réputation.
À la suite de cette photo et de cet article, pendant que tu te faisais massacrer, j’ai reçu une proposition d’une galerie parisienne me demandant quand je pourrais être prêt pour une exposition d’une trentaine de mes toiles.
J’ai déjà travaillé avec eux, jusqu’à ce jour il me prenait une, voire deux toiles certes qui toutes se vendaient et assez chère pour que je puisse assumer notre chez-nous.
Mais là trente d’un coup, tu comprends que je mette les bouchers doubles pour retrouver mon atelier.
Heureusement que j’ai de nombreux croquis fait avec toi et lors de notre voyage, presque comme un voyage de noces à Venise.
J’ignore ce que Patou va m’avouer, mais ce « chez nous » vos tous l’or du monde pour moi.
• Avec ces béquilles, j’ai pu descendre à la salle de gym et marché pour recommencer à me muscler.
Il m’a fait faire du vélo, si tu savais l’effet que ça fait de commander à ses jambes et qu’elles vous écoutent alors que depuis des années elles sont restées muettes.
J’ai dû présumer de mes forces tellement je me sentais légère, j’aurais pu faire le tour de France.
Il m’a aidé à descendre, mais j’ai perdu l’équilibre et sans lui je me vautrais lamentablement.
J’ai atterri à quatre pattes, tu te rends compte à quatre pattes.
• En levrette, tu étais en levrette !
• Oui, si tu veux, mais sans mon pouf pour que je sois dans la bonne position.
• Eh ! là, vous êtes passé aux travaux pratiques, tu t’es laissé baiser !
• Oui !
Il a commencé à me caresser avec ce pantalon de survêtement que Christine m’a apporté pour que je fasse du sport.
• Et ça t’a apporté du plaisir et tu n’as pas pu résister.
• Oh ! Christophe, tu me fais mal, on dirait que tu y étais !
Inutile que Patou en dise plus, elle m’a fait cocu, juste retour des choses.
J’en ai fait de même avec Christine et si Mona Lisa avait été partante comme l’on dit, j’aurais remis le couvert et elle aurait fait partie de mon tableau de chasse.
Elle a baisé avec Fabien, juste retour des choses.
• Tu sais, il a mis un morceau de plastique au bout de sa queue, c’était la première fois que je me faisais baiser avec cette protection.
• Une capote bébé, ce morceau de plastique s’appelle « une capote, » un préservatif, ça évite d’avoir des enfants hors du mariage.
• Alors c’est comme-ci je n’avais rien fait !
• Je n’irais pas jusque-là, surtout que la pilule vient d’être mise au point, c’est vous les femmes qui décidées de vos maternités, ça s’appellent le progrès mon amour.
Sens-tu ?
Pour sentir, elle sent l’obsédé sexuel que je suis, elle est en pyjama, moi avec ces chemises de nuit que l’on vous donne dès votre arrivée dans ces hôpitaux.
La coquine, elle me fait sentir, que le bas de son corps elle en a la maitrise, du moins a-t-elle retrouvé une partie de sa maitrise en se tortillant déclenchant une érection, du plus bel effet.
• Si je sens, je sens, je voudrais te sucer, j’adore te sucer, ça me rappelle nos vacances avec marraine, à Royan.
Nous étions à l’hôtel le Cordouan avec vue sur ce phare à l’embouchure de la Gironde.
Après dîner, elle poussait mon fauteuil et nous sortions faire une balade jusqu’à un confiseur qui faisait des sucettes chaudes.
Suivant l’heure, l’employé faisait des parfums différents.
Il travaillait le sucre.
Je me souviens des différents mots que ma marraine employait pour me décrire ce qu’il faisait, mais je n’en ai pas retenu grand-chose.
Bref il faisait passer cette pâte de sucre sur un croc et plus il le passait plus les futures sucettes changeaient de couleur.
Quand il jugeait que c’était bon, sur un marbre il en faisait un long ruban en la roulant sous ses mains.
Une jeune femme, coupait les futures sucettes au ciseau et la suivante les écrasait avec la paume de sa main et y mettait un bâton.
• Oui, ils faisaient des sucettes, que tu t’empressais de mettre dans ta jolie bouche.
• Voilà une nouvelle fois tu te moques, oui si c’était un parfum qui me plaisait, sinon il fallait attendre la tournée suivante avec un autre parfum.
• Chérie, aimes-tu, parfum, petite fraise des bois ?
• Non, je vais attendre la tournée suivante, sur la liste derrière lui, les parfums du soir étant affichés, le prochain est goût « Coca-Cola, je préfère.
• Lève-toi.
• Oui, chef, tes désirs sont des ordres, attends, je suis un peu château branlant.
Dès qu’elle a mis pied à terre je lui descends son pantalon de pyjama et avec ma force légendaire, je la récupère et je l’empale comme au temps du Moyen Âge directement sur ma queue.
C’est sa chatte coulante de cyprine, qui doit fabriqué le parfum qui aurait dû être celui de la sucette qu’elle aurait dû manger si ma patience avait eu des limites.
Bien sûr, il ne lui faut pas longtemps pour faire entendre à l’hôpital qu’elle jouit une nouvelle fois sous ma queue.
Femme ayant joui, femme aimante, je suis tout de même secoué de toutes ces péripéties.
En forme, j’aurais fait le nécessaire pour remettre le couvert, mais là je sens qu’il me faut éviter d’abuser de la situation et je crache mon venin au fond de la grotte de Patou.
Sa grotte, c’est moi, qui l’ai découverte, du moins façonné après pénétration ce que d’autres, pauvres cons, avaient refusé de faire.
• Ah ! ah ! ouiiiii.
Crie du cygne avant de mourir, mais crie du cygne comme le fennec ressuscitant de ses cendres dans les heures suivantes.
Je dis fennec, on sait très bien que je suis loin d’être une lumière.
En prononçant ce nom d’animal, je ne suis pas sûr de donner le bon, un autre nom me vient Phénix, comme les maisons du même nom.
• Patricia, vous faite de gros progrès, je libère votre fiancé à midi, vous je pense que dans deux ou trois jours Fabien me donnera le feu vert pour vous laisser rentrer chez vous.
Avec surveillance, il va de soi, Christine, votre marraine m’a dit que vous aviez une kiné qui venait à votre domicile.
Christine, marraine de mon petit bouchon et le docteur Lebrun, la carpe et le lapin, l’eau et le feu, on sait qui est le feu.
Le feu, celui que de jolies femmes comme Christine et maintenant Pat l’ont et que j’aime raviver.
Connaissant le personnage, sans être guindé, il est un peu précieux, mais j’ai moi-même assez pratiqué Christine pour savoir qu’elle a dû savoir dénicher que cette sommité, dans le domaine médical, avait une queue.
Lorsque je suivais Mona-Lisa, j’ai eu un moment l’impression qu’elle trompait Christine, mais n’est-ce pas le contraire qui se produisait, de toute façon avec moi une nouvelle fois ça a été réalité.
• Dis-moi, Christine, toi et Lebrun ça a collé ?
C’est dans le taxi qui nous ramène vers chez moi, ayant avec regret quitté Patou, avec l’espoir d’un retour à la maison plus que rapide maintenant…
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