COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (24/24)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (24/24) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (24/24)
• Dis-moi, Christine, toi et Lebrun ça a collé ?
• De quoi me parles-tu Christophe !

C’est dans le taxi qui nous ramène vers chez moi, ayant avec regret quitté Patou, avec l’espoir d’un retour à la maison plus que rapide pour l’amour de ma vie.
Nous quittons Cochin faisant retour vers le quartier Saint-Germain.
Le quartier Saint-Germain qui je l’ignore pourquoi a une atmosphère explosive, les mouvements d’étudiants se faisant de plus en plus sentir.
À de nombreux endroits, je constate des rassemblements, les propos qui y sont tenus sont de plus en plus virulents.
Comme les militaires le diraient, ça sent la poudre.
Militaire ce que je ne serais jamais depuis que j’ai été classer P4 !
Je le rappelle fou à lier et dans l’impossibilité à ce que l’on me confie une arme à feu.
Surtout que dans l’armée elles soient loin d’être les mêmes que celles de la foire du trône ou j’étais champion du monde de pipes cassées ou de ballons crevés dans des cages avec des souffleries.

• Allez, allez, beau gosse, trois ballons crevés et tu gagnes un bon pour un lot.
Dix bons et tu peux choisir dans les grosses peluches…

Idem qu’à l’école, « si tu es sage et que tu travailles bien, tu gagneras un bon point. »
Dix bons points et tu auras le droit à une image.
Dix images et ce sera un tableau d’honneur, moi j’ai plutôt gagné le tableau d’horreur.
Tout au long de ma scolarité interrompue grâce à la marine que je ne rejoindrais jamais, j’ai couru après les bons points sans jamais les rattraper.
Alors que dire de l’image, qui est restée lettre morte !
Alain, lui mon copain les collectionnait, car c’était « monsieur premier de la classe, » « premier en discipline. »
Si moi, j’étais bon en sport seul endroit étant en extérieur où aucune de ces petites étiquettes n’était distribuée.
Avec sa paire de binocles que mon père disait que c’était un signe d’intelligence pensant certainement que moi j’étais un con, j’ignore vers quelles études il s’est orienté.
Moi pour la première fois depuis longtemps je sais ce que je veux.
Patou, Patou, Patou, sans oublier, il va de soi quelques jolis petits culs en passant, n’oublions pas que je m’ouvre à la vie.
Mais revenons à ce qui a fait dévier ma pensé, « la poudre » et la foire du trône.
Si elle le souhaite dans ma chambre du pavillon de mes parents, paix à l’âme de mon père, je possédais de nombreuses peluches à chaque fois que j’explosais les pipes et les ballons.
Les bons points après sa mort, maman a vendu le pavillon, ou se trouve mes rares bons points, comme certains disent, Dieu seul le sait et il n’est pas bavard.
Toutes ces pensées d’une philosophie hors du commun, me font perdre le fil de la route que nous suivons dans le taxi qui est venu nous prendre à la sortie de Cochin.
C’est Ingrid à l’accueil qui l’a appelé me regardant comme de nombreuses jeunes femmes le fait depuis que j’ai pu séduire Malaurie ma prof d’anglais.
Je suis immangeable, je pense déjà à comment faire pour la sauter, j’ai pris une baffe par Amélie, ça ne m’a pas servi de leçon.
Tient, pont de la Concorde, place de la Concorde, je pensais que Christine allait me faire revenir au garage, mais nous nous en éloignons de plus en plus.
Non, je suis con, elle m’emmène à sa boutique au bas des Champs, non encore erreur, Hôtel de Crillon, rue Royal, Maxim’s.
Une larme, j’ai de nombreuses fois entendues mon père dire à ma mère qu’un jour c’est là qu’il l’emmènerait pour lui prouver son amour.
C’était au temps où le couple était encore un couple, combien de fois me suis-je bouché les oreilles lorsqu’il faisait son devoir conjugal surtout au retour de mon déniaisement par Chantal dans le Doubs.
C’est con d’aimer baiser et d’avoir du mal à penser à envisager que mes parents en faisaient de même et que dire de ce qui se passe dans leur alcôve entre Iris et ma mère.
J’ai volontairement ignoré de parler de l’hôtel de la marine, après ce que j’ai osé faire pour rester près de Patou, ai-je encore le droit de parler de cette arme que je l’ai délaissé.
Palais Garnier et ses ors comme les ors de bon nombre de ces merveilles parisiennes.
Encore un endroit où je devrais emmener Patou, je pense que ce sont des endroits dignes de la jeune femme qu’elle ait.
Je vais dire, encore chez mes parents, la grande musique, nous faisions notre bonne action une fois par an le 1er janvier ou en mondiovision nous regardions le concert du nouvel an de Vienne.
Maman en était fan, comme je le suis de Jonnhy et de Sylvie, les idoles de nous la jeunesse.

• Vous nous attendez, nous en avons pour quelques minutes.

Je viens une nouvelle fois de remettre les pieds sur terre.
Nous quittons le taxi et nous traversons le trottoir, pour entrer dans une boutique, Christine ayant échappé à ma question sur ses rapports avec Lebrun.

• Christine, voici donc, le jeune homme que je dois préparer pour qu’il passe son permis de conduire, la semaine prochaine.
Christophe je crois, leçon de conduite une heure par jour, même dimanche prochain.
Voici un exemplaire du code de la route, l’inspecteur qui vous le fera passer est à cheval sur le règlement, c’est un ancien colonel de l’armée de terre à la retraite.
Je compte sur vous pour faire honneur à Christine mon amie, je n’ai jamais eu de refus aux élèves que j’ai présenté, je compte bien qu’il en sera de même pour vous.

Lebrun, Victor Zvunka, c’est écrit sur la porte de sa boutique d’auto-école, sans oublier ma petite personne et Mona Lisa, Christine semble avoir un cœur d’artichaut pourtant, je ne crois pas qu’elle soit bretonne.
Je suis satisfait bien qu’une lourde tâche soit devant moi, non pas la conduite, mais le code qu’il va valoir digérer moi qui ai du mal à apprendre les choses par coeur.
Nous avons repris le taxi et là nous faisons retour vers le garage.
Je reconnais le camion de monsieur Léon Blanc, le responsable du chantier auquel Christine avait confié le chantier de la piscine avec les conséquences que l’on connaît pour Patricia.
Une Citroën Ami6 bleue est garée à son côté.

• Excusez notre petit retard, à Paris il devient impossible de se déplacer, nous devions régler un autre problème avec mon ami !
• Baronne, je n’ai pas retenu le reste de votre titre, Huguette si je me souviens bien, que faite vous chez moi.
• Ne me dite pas, Adolphe de la Queue en Berne que vous avez cru le nom que je vous ai donné lors de notre rencontre dans les couloirs de l’hôpital Cochin !
Seule Huguette était réelle, Huguette Molard, experte en assurance, voici ma carte.
• Et votre mari vous vous êtes remise de son décès !
• Mon Dieu qu’il est gentil, j’adore votre puérilité Christophe, j’étais là pour évaluer les risques que ma société prenait en assurant le docteur Lebrun comme chirurgien.
Vous avez été un gentil passe-temps, aujourd’hui je suis là pour une affaire hautement préjudiciable pour notre assurée suite à son accident.
Allons voir cette piscine et le système ayant été défaillant.
Bien monsieur Blanc, je vois d’où est venu le problème.
L’architec sur ses plans, parlait d’une poulie Hacra de 60 et vous avez posé, certes une poulie de 60 mais de marque Zut, bien moins performante l’une que l’autre.
J’ai aussi lu qu’un de vos employé, monsieur Red je lis ici, aurait parlé de 30 % de remise sur le modèle posé.
• Madame Molard, si vous concluez votre rapport comme vous semblez vouloir le faire, je vais être obligé de mettre la clef sous la porte et au chômage, huit personnes.
• Du chantage au chômage, j’ai l’habitude, c’est toutes les fois la même chose, avec vous, vous trichez et vous voulez que ce soit nous qui en payions les pots cassés.
• Huguette, je me permets d’intervenir, qui ne triche pas dans la vie pour faire un petit bénéfice supplémentaire.
Je sais qu’il suffit de traverser la rue pour retrouver un emploi, comme l’a dit dernièrement notre président.

(Je sais, je suis un peu en avance sur l’actualité en ce jour de janvier 1968, mais bon, en 1968 la crise couvait, de Gaulle était de plus en plus contestée dans sa façon de diriger, le pays.
Je sens que ça va péter si nous n’y prenons garde.)

• Justement mon métier c’est de détecter les fraudes et de faire le nécessaire pour que ce soit la partie adverse qui règle la facture de ce que nous devons à notre assurée.
• À cette date, je n’ai plus d’assurance, un retard à cause de deux clients qui ont refusé de payer le reste des travaux qu’ils m’avaient commandés, mon assureur va refuser de payer.
• Huguette, n’as-tu jamais triché, par exemple dans les couloirs d’un hôpital où tu m’as fait croire que ton mari était à l’article de la mort.

Je vois qu’Huguette était un instant déstabilisé.

• Que vais-je mettre dans mon rapport, mes patrons verront qu’aucun élément explique ce changement de marque de poulie ?
• Léon, Red ton employé est bien retourné au maroc, comme il nous l’a dit !
• Oui en fin d’année !
• Huguette tu as la solution pour tes patrons, c’est lui qui a triché pour se faire plus de fric avant de rentrer au pays !
• Je veux bien, avancer cette version et que ce soit pour cette fois ma compagnie qui paye les 3 millions de francs concernant le contrat que vous avez souscri madame Christine.

Monsieur Léon quitte le garage, sans demander son reste, Christine et Huguette en fond de même, je me retrouve seul.
Je prends le transistor, je le mets en marche, c’est la météo, Albert Simon, le préféré de ma mère sur la radio donnant ses prévisions.

« Ma grenouille aujourd’hui a monté de deux barreaux à l’échelle dans son aquarium.
Attendez-vous à quelques averses aujourd’hui. »

Ça c’est la météo des années 60 – 70, c’est à ce moment qu’à la porte, l’on sonne.
Je vais ouvrir.

• Huguette, tu as oublié quelque chose ou as-tu des remords de la décision que tu as prise ?...

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