COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (31/33)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (31/33)
« Nationale Sept, il faut la prendre qu'on aille à Rome à Sète.
Que l'on soit deux, trois, quatre, cinq, six ou sept.
C'est une route qui fait recette, route des vacances… »
J’ai cet air dans la tête, « nationale sept » de Charles Trenet.
Il est surnommé « le fou chantant, » lui aussi aimé de papa qui passait ce disque en vinyle sur la chaine qu’ils avaient achetée avec maman, au Noël 62, si je me souviens bien.
Ce tourne-disque c’était, là encore, une source de conflits, papa travaillant la nuit et maman la démarrant alors qu’il dormait.
Papa s’était Trenet et maman Sacha Distel et précisément « l’incendie à Rio. »
« Où sont passés les pompiers ? »
Pourtant, très peu fort lorsqu’elle le mettait, ça lui tapait sur le système et ces midis-là, c’était la soupe à la grimace à la maison.
Moi, je serais plutôt Johnny, mais je n’avais pas mon mot à dire et ça gueulait pour un oui ou pour un non.
Je me réfugiais dans ma chambre, ou au lieu d’apprendre Pitagore, je lisais « Tintin au Congo » que je connaissais par cœur, mieux que la récitation qui m’était imposée en vue de mon certificat d’études primaires.
Il porte bien son nom celui-là, je me considère comme un être primaire, mais ça semble plaire à ces dames depuis que Chantal a fait de moi un homme.
Un ignare, non, mon certificat d’études primaires, je l’ai eu ce qui m’a permis d’aller au collège certes après avoir redoublé deux fois ce qui m’a permis d’être en âge de séduire Malaurie ma prof d’anglais.
Mais ça, on le sait déjà.
D’ailleurs, lors de la soirée s’étant terminée en partouze, Malaurie et Chantal, venues en tenue de dominatrice, se sont bien occupées du petit cul d’Amélie, l’employée de Christine.
Ma vengeance a été complète, aidé par Ingrid, aussi bien sur le siège arrière de la voiture que j’ai enfin le plaisir de conduire.
Non pas sur la nationale sept, mais sur certains tronçons de l’autoroute A 10 qui va de Paris à Bordeaux, pardon qui ira de Paris à Bordeaux, Paris ne s’étant pas fait en un jour !
Nous devons descendre jusqu’à Saintes avant de le quitter direction l’océan et Royan.
Je parlais d’Amélie, après ce que je lui avais mis lorsque j’avais rejoint les deux filles, dans la Rolls, sur le pont du garage.
Mais, ce qu’elle a ramassé avec mes tigresses et leurs cravaches, ce n’est pas demain qu’elle recommencera à me faire passer pour un impuissant.
Tout ce joli monde est parti alors qu’ayant récupéré notre lit, je me suis effondré de fatigue après avoir encore fait l’amour à Patou.
• Firmin, pouvez-vous tourner votre rétroviseur, s’il vous plait !
C’est l’ordre que je viens de recevoir de Patou il y a peu, mais suffisamment longtemps pour entendre maintenant que je suis privé des images de ce que ces deux petites femelles en chaleur font à l’arrière.
Nul doute que les soupirs, les petits bruits bizarres sortant de leur bouche », me disent que Patou a fini de feindre la jeune femme endormie.
Je la connais mieux que personne et comme elle sait si bien le faire, Alizée est tombée dans ses filets.
Patou est comme ces araignées qui mangent leurs partenaires une fois l’acte pratiqué.
Elle, c’est certainement la chatte de l’autostoppeuse qui lui sert de festin, même si la belle va s’en relever.
J’ai envie de pisser, les gens stylés diraient, « j’ai une petite envie pressante personnelle. »
Nous sommes hors agglomération sur la nationale un petit chemin.
J’engage la Rolls et sans attendre les ordres, je saute à terre pour me soulager.
Jets très puissants qui, là encore, me rappellent des moments de délire avec mon père.
C’est con, maintenant qu’il n’est plus là comme il me manque, l’ai-je assez aimé ?
Lors des vacances mal commencées, lorsqu’ils s’engueulaient alors que nous étions perdus, nous nous sommes arrêtés dans un endroit à peu près identique.
Papa a sorti sa queue à côté de moi et nous avons fait un concours de celui qui pisserait le plus loin.
Jeu puéril, mais gagné haut la main, non, haut la bite, j’ai atteint une sauterelle qui se trouvait là et qui a dû se demander pourquoi il pleuvait dessus par ce beau soleil.
Là, hors de mes pensées, je pisse normalement, mais dans un petit étang qui se trouve là.
Hélas, les concours de ce genre sont terminés à jamais, sauf si ma salope d’amour dans sa voiture sait me donner un fils qui concourra avec moi.
Je vais pour remonter, un œil à l’arrière, très discret, ne suis-je pas le chauffeur de ces dames.
Quatre seins, j’ai le temps d’en voir quatre, heureusement que je n’en vois pas cinq, il y aurait une anomalie.
• Firmin, venez nous rejoindre à l’arrière, nous avons quelques mots à vous dire.
Et dire que j’ai traité Pat de salope, d’immense salope, de salope intégrale, de celle qui comme salope est plus grande que l’anapourna, alors que ça faisait partie de notre jeu.
J’ôte ma veste et ma casquette, j’ouvre la portière arrière, je baisse mon pantalon, et je me glisse entre mes deux femelles, du moins celles qui vont devenir mes femelles plus que rapidement.
Deux bouches de chaque côté de ma verge, qui dès que je me suis installé entre elles bande à fond.
• Firmin, depuis que vous êtes entré à mon service, j’avais envie de vous sucer avant que vous me baisiez.
Vous avez choisi de prendre cette jeune femme sans mon accord, vu que je dormais.
Il est normal que vous la baisiez d’ici à la fin de notre voyage, j’aurais bien le temps de le faire.
Montrez-nous si j’ai bien fait de vous embaucher, j’avais de nombreuses autres candidatures pour cet emploi, au prix que je vous rémunère pour conduire cette voiture d’exception.
Azalée, dis-moi, j’ai pu constater que tu n’étais plus vierge, as-tu un fiancé qui pourrait prendre ombrage qu’un autre homme te défonce la chatte ?
• Au nom Patou, tu as bien vu avec tes doigts, mais il y a deux ans que cela c’est produit.
Un soir, j’avais fêté l’anniversaire de ma cousine et j’avais trop bu.
Un cousin m’a proposé de me raccompagner et lorsqu’il s’est couché sur moi, j’ignore ce qu’il m’a fait, j’avais perdu conscience.
Firmin, entre en moi, on peut dire que tu seras le premier, tu es tellement beau, j’adore ta musculature.
Lorsque je dis que cela sert de faire des tractions sur le pont sous la voiture dont j’ai abandonné le volant le temps de rejoindre, Azalée et Patou.
Deux femmes, je ne suis pas à mon coup d’essai, mais ma fiancée et une inconnue chargée sur le bord de la route à la sortie de Paris, si ça ce n’est pas du pot, ça y ressemble énormément.
• Elle est grosse, mais va-y, quelle chance j’ai eue de monter dans ta voiture Patou, viens et embrasse-moi !
Je viens de prendre Azalée dans cette cabine arrière que je commence à bien connaitre, suis-je voué à baiser mes femmes dans cet endroit clos, mais je m’en sors bien.
Azalée commence à chanter mes louanges, aidée de ma petite qui s’est glissée sur le côté et qui en plus de l’embrasser, leurs langues étant à quelques centimètres de mes yeux, lui caresse le sein.
L’un des deux et non l’un des trois.
• Ah ! je jouis, à que c’est bon, oui, Firmin encore.
Si son cousin a un peu abusé d’elle, c’est dégueulasse, mais ça a un bon côté, Azalée aurait été vierge, aurait-elle eu ce très bel orgasme que je viens de lui apporter avec ma verge ?
Je récupère, j’ai moi aussi joui sans me poser la moindre question.
• Et si nous allions nous baigner, cet étang me paraît un très bel endroit pour faire quelques brasses mes amis.
En nous disant cela, Patou ouvre sa portière et si je ne savais pas par où elle est passée, je pourrais me dire qu’elle a simulé, mais pour faire semblant pendant des années, ça me semble impossible.
Surtout qu’Azalée démarre et lui prenant la main, l’entraîne vers l’étang.
Quelle température fait-il dehors ?
Lorsque j’ai pissé, j’ai eu peur que mon urine ne gèle à la sortie de ma verge.
Quatre, cinq degrés tout au plus, mais comme un con, je cours vers l’onde claire.
Deux bombes, suivies d’une troisième, certainement Patou, encore légèrement handicapé avec ses jambes.
Je sais que des gens prennent des bains glacés, mais l’eau est presque plus chaude que la température extérieure.
Un problème, cet étang parait être profond d’une trentaine de centimètres, heureusement qu’on a fait des bombes, nous nous retrouvons assis, pour ma part avec un peu mal au cul.
J’aide les filles à sortir, surtout Pat qui a du mal a équilibrer son corps, je récupère sa béquille qui va l’aider à revenir à la voiture.
Nous nous nettoyons les uns les autres et une fois la boue ôtée, nous retournons à la voiture.
Les filles s’enroulent dans la couverture, j’entends leurs dents claquer.
Mais ais-ce vraiment les leurs et non les miennes, je grelotte de froid.
Un plaide, trois transi, je démarre le moteur et je mets le chauffage à fond.
Ce qu’il y a de bien avec belles anglaises, c’est que tout fonctionne au doigt et à l’œil.
Une fois réchauffé, je me retourne, j’arrive à attraper caleçon et pantalon, mais nous ne sommes pas loin de Sainte, là où nous laisserons Azalée se débrouiller pour la fin de son voyage.
Je finis par me rhabiller, je remets en place le rétro, en me bouchant la vue, Patou a pu en toute tranquillité chauffer suffisamment Azalée pour qu’elle accepte ma présence dans un deuxième temps.
Je reconnais bien là ma petite, toujours prête à créer pour moi des situations érotiques toutes très intenses.
Je repars vers la nationale.
D’un coup, je pense que nous avons un léger temps de retard, par chance un nouveau tronçon nous permet de déposer Azalée à une aire d’autoroute où se trouve station d’essence et possibilité de boire un café.
Patou s’étant rendormi, je décharge le sac à dos de ma nouvelle maîtresse, un gros baiser plus que bien appuyé, je prends un dernier renseignement et je me dépêche d’aller boire un café.
Lorsque je reviens à la voiture, je retrouve Patou à l’avant, mais Azalée où a déjà retrouvé une voiture où elle est aussi entrée derrière moi dans le Restoroute.
Nous quittons très rapidement de nouveau l’autoroute lorsque la pluie commence à tomber…
Que l'on soit deux, trois, quatre, cinq, six ou sept.
C'est une route qui fait recette, route des vacances… »
J’ai cet air dans la tête, « nationale sept » de Charles Trenet.
Il est surnommé « le fou chantant, » lui aussi aimé de papa qui passait ce disque en vinyle sur la chaine qu’ils avaient achetée avec maman, au Noël 62, si je me souviens bien.
Ce tourne-disque c’était, là encore, une source de conflits, papa travaillant la nuit et maman la démarrant alors qu’il dormait.
Papa s’était Trenet et maman Sacha Distel et précisément « l’incendie à Rio. »
« Où sont passés les pompiers ? »
Pourtant, très peu fort lorsqu’elle le mettait, ça lui tapait sur le système et ces midis-là, c’était la soupe à la grimace à la maison.
Moi, je serais plutôt Johnny, mais je n’avais pas mon mot à dire et ça gueulait pour un oui ou pour un non.
Je me réfugiais dans ma chambre, ou au lieu d’apprendre Pitagore, je lisais « Tintin au Congo » que je connaissais par cœur, mieux que la récitation qui m’était imposée en vue de mon certificat d’études primaires.
Il porte bien son nom celui-là, je me considère comme un être primaire, mais ça semble plaire à ces dames depuis que Chantal a fait de moi un homme.
Un ignare, non, mon certificat d’études primaires, je l’ai eu ce qui m’a permis d’aller au collège certes après avoir redoublé deux fois ce qui m’a permis d’être en âge de séduire Malaurie ma prof d’anglais.
Mais ça, on le sait déjà.
D’ailleurs, lors de la soirée s’étant terminée en partouze, Malaurie et Chantal, venues en tenue de dominatrice, se sont bien occupées du petit cul d’Amélie, l’employée de Christine.
Ma vengeance a été complète, aidé par Ingrid, aussi bien sur le siège arrière de la voiture que j’ai enfin le plaisir de conduire.
Non pas sur la nationale sept, mais sur certains tronçons de l’autoroute A 10 qui va de Paris à Bordeaux, pardon qui ira de Paris à Bordeaux, Paris ne s’étant pas fait en un jour !
Nous devons descendre jusqu’à Saintes avant de le quitter direction l’océan et Royan.
Je parlais d’Amélie, après ce que je lui avais mis lorsque j’avais rejoint les deux filles, dans la Rolls, sur le pont du garage.
Mais, ce qu’elle a ramassé avec mes tigresses et leurs cravaches, ce n’est pas demain qu’elle recommencera à me faire passer pour un impuissant.
Tout ce joli monde est parti alors qu’ayant récupéré notre lit, je me suis effondré de fatigue après avoir encore fait l’amour à Patou.
• Firmin, pouvez-vous tourner votre rétroviseur, s’il vous plait !
C’est l’ordre que je viens de recevoir de Patou il y a peu, mais suffisamment longtemps pour entendre maintenant que je suis privé des images de ce que ces deux petites femelles en chaleur font à l’arrière.
Nul doute que les soupirs, les petits bruits bizarres sortant de leur bouche », me disent que Patou a fini de feindre la jeune femme endormie.
Je la connais mieux que personne et comme elle sait si bien le faire, Alizée est tombée dans ses filets.
Patou est comme ces araignées qui mangent leurs partenaires une fois l’acte pratiqué.
Elle, c’est certainement la chatte de l’autostoppeuse qui lui sert de festin, même si la belle va s’en relever.
J’ai envie de pisser, les gens stylés diraient, « j’ai une petite envie pressante personnelle. »
Nous sommes hors agglomération sur la nationale un petit chemin.
J’engage la Rolls et sans attendre les ordres, je saute à terre pour me soulager.
Jets très puissants qui, là encore, me rappellent des moments de délire avec mon père.
C’est con, maintenant qu’il n’est plus là comme il me manque, l’ai-je assez aimé ?
Lors des vacances mal commencées, lorsqu’ils s’engueulaient alors que nous étions perdus, nous nous sommes arrêtés dans un endroit à peu près identique.
Papa a sorti sa queue à côté de moi et nous avons fait un concours de celui qui pisserait le plus loin.
Jeu puéril, mais gagné haut la main, non, haut la bite, j’ai atteint une sauterelle qui se trouvait là et qui a dû se demander pourquoi il pleuvait dessus par ce beau soleil.
Là, hors de mes pensées, je pisse normalement, mais dans un petit étang qui se trouve là.
Hélas, les concours de ce genre sont terminés à jamais, sauf si ma salope d’amour dans sa voiture sait me donner un fils qui concourra avec moi.
Je vais pour remonter, un œil à l’arrière, très discret, ne suis-je pas le chauffeur de ces dames.
Quatre seins, j’ai le temps d’en voir quatre, heureusement que je n’en vois pas cinq, il y aurait une anomalie.
• Firmin, venez nous rejoindre à l’arrière, nous avons quelques mots à vous dire.
Et dire que j’ai traité Pat de salope, d’immense salope, de salope intégrale, de celle qui comme salope est plus grande que l’anapourna, alors que ça faisait partie de notre jeu.
J’ôte ma veste et ma casquette, j’ouvre la portière arrière, je baisse mon pantalon, et je me glisse entre mes deux femelles, du moins celles qui vont devenir mes femelles plus que rapidement.
Deux bouches de chaque côté de ma verge, qui dès que je me suis installé entre elles bande à fond.
• Firmin, depuis que vous êtes entré à mon service, j’avais envie de vous sucer avant que vous me baisiez.
Vous avez choisi de prendre cette jeune femme sans mon accord, vu que je dormais.
Il est normal que vous la baisiez d’ici à la fin de notre voyage, j’aurais bien le temps de le faire.
Montrez-nous si j’ai bien fait de vous embaucher, j’avais de nombreuses autres candidatures pour cet emploi, au prix que je vous rémunère pour conduire cette voiture d’exception.
Azalée, dis-moi, j’ai pu constater que tu n’étais plus vierge, as-tu un fiancé qui pourrait prendre ombrage qu’un autre homme te défonce la chatte ?
• Au nom Patou, tu as bien vu avec tes doigts, mais il y a deux ans que cela c’est produit.
Un soir, j’avais fêté l’anniversaire de ma cousine et j’avais trop bu.
Un cousin m’a proposé de me raccompagner et lorsqu’il s’est couché sur moi, j’ignore ce qu’il m’a fait, j’avais perdu conscience.
Firmin, entre en moi, on peut dire que tu seras le premier, tu es tellement beau, j’adore ta musculature.
Lorsque je dis que cela sert de faire des tractions sur le pont sous la voiture dont j’ai abandonné le volant le temps de rejoindre, Azalée et Patou.
Deux femmes, je ne suis pas à mon coup d’essai, mais ma fiancée et une inconnue chargée sur le bord de la route à la sortie de Paris, si ça ce n’est pas du pot, ça y ressemble énormément.
• Elle est grosse, mais va-y, quelle chance j’ai eue de monter dans ta voiture Patou, viens et embrasse-moi !
Je viens de prendre Azalée dans cette cabine arrière que je commence à bien connaitre, suis-je voué à baiser mes femmes dans cet endroit clos, mais je m’en sors bien.
Azalée commence à chanter mes louanges, aidée de ma petite qui s’est glissée sur le côté et qui en plus de l’embrasser, leurs langues étant à quelques centimètres de mes yeux, lui caresse le sein.
L’un des deux et non l’un des trois.
• Ah ! je jouis, à que c’est bon, oui, Firmin encore.
Si son cousin a un peu abusé d’elle, c’est dégueulasse, mais ça a un bon côté, Azalée aurait été vierge, aurait-elle eu ce très bel orgasme que je viens de lui apporter avec ma verge ?
Je récupère, j’ai moi aussi joui sans me poser la moindre question.
• Et si nous allions nous baigner, cet étang me paraît un très bel endroit pour faire quelques brasses mes amis.
En nous disant cela, Patou ouvre sa portière et si je ne savais pas par où elle est passée, je pourrais me dire qu’elle a simulé, mais pour faire semblant pendant des années, ça me semble impossible.
Surtout qu’Azalée démarre et lui prenant la main, l’entraîne vers l’étang.
Quelle température fait-il dehors ?
Lorsque j’ai pissé, j’ai eu peur que mon urine ne gèle à la sortie de ma verge.
Quatre, cinq degrés tout au plus, mais comme un con, je cours vers l’onde claire.
Deux bombes, suivies d’une troisième, certainement Patou, encore légèrement handicapé avec ses jambes.
Je sais que des gens prennent des bains glacés, mais l’eau est presque plus chaude que la température extérieure.
Un problème, cet étang parait être profond d’une trentaine de centimètres, heureusement qu’on a fait des bombes, nous nous retrouvons assis, pour ma part avec un peu mal au cul.
J’aide les filles à sortir, surtout Pat qui a du mal a équilibrer son corps, je récupère sa béquille qui va l’aider à revenir à la voiture.
Nous nous nettoyons les uns les autres et une fois la boue ôtée, nous retournons à la voiture.
Les filles s’enroulent dans la couverture, j’entends leurs dents claquer.
Mais ais-ce vraiment les leurs et non les miennes, je grelotte de froid.
Un plaide, trois transi, je démarre le moteur et je mets le chauffage à fond.
Ce qu’il y a de bien avec belles anglaises, c’est que tout fonctionne au doigt et à l’œil.
Une fois réchauffé, je me retourne, j’arrive à attraper caleçon et pantalon, mais nous ne sommes pas loin de Sainte, là où nous laisserons Azalée se débrouiller pour la fin de son voyage.
Je finis par me rhabiller, je remets en place le rétro, en me bouchant la vue, Patou a pu en toute tranquillité chauffer suffisamment Azalée pour qu’elle accepte ma présence dans un deuxième temps.
Je reconnais bien là ma petite, toujours prête à créer pour moi des situations érotiques toutes très intenses.
Je repars vers la nationale.
D’un coup, je pense que nous avons un léger temps de retard, par chance un nouveau tronçon nous permet de déposer Azalée à une aire d’autoroute où se trouve station d’essence et possibilité de boire un café.
Patou s’étant rendormi, je décharge le sac à dos de ma nouvelle maîtresse, un gros baiser plus que bien appuyé, je prends un dernier renseignement et je me dépêche d’aller boire un café.
Lorsque je reviens à la voiture, je retrouve Patou à l’avant, mais Azalée où a déjà retrouvé une voiture où elle est aussi entrée derrière moi dans le Restoroute.
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