COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (33/33)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (33/33) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (33/33)
On ne peut pas baiser tranquillement sans que le téléphone vienne vous interrompre.
C’est ce qui nous arrive alors qu’avec Patou, nous venons de baiser comme des lapins couchés sur la haute moquette de l’hôtel de Royan où nous venons enfin d’arriver.
À l’extérieur, la tempête fait rage, comme elle a fait rage lorsque j’ai baisé mon être aimé.
C’est après l’avoir sauvé une nouvelle fois des risques de mourir, si une rafale l’avait emmenée du balcon, dominant la mer en furie, comme un fétu de paille au bas de ses six étages.
Je comprends que Patou se sente libre depuis que, par accident, elle a quitté ce fauteuil auquel elle était attachée depuis sa plus tendre enfance suite, déjà, à un accident ayant entraîné le décès de son papa.
Mais de là à faire le saut de la mort, elle a bien le temps.
Je veux encore pour de nombreuses années la rendre heureuse, même si c’est au fond de ce grand lit, le mauvais temps nous empêche de sortir.
Baiser, manger, manger, baiser avant de recommencer, ça m’ira très bien, même si je dois regarder la mer de cette fenêtre sans même aller sur ce balcon.
Pour une première fois à la mer avec Patou, je suis servi, mais j’aurais au moins pu voir l’océan démonté.
Si Patou, à tout moment, réveille ma bite avec sa bouche, avec ses seins, même s’ils ne sont pas très gros, ça m’ira bien, mais avant, je dois répondre à qui nous appelle.

• Christine, tu m’as reconnu !
Patou avait promis de m’appeler dès votre arrivée, Christophe.
Ouf, tu réponds, vous êtes vivant.
• Moi oui, mais ta filleule, je viens de l’achever avec ma bite !
Christine, nous venons d’arriver il y a une dizaine de minutes, je peux te dire que Pat a pensé à bien des choses, mais je crains que sous ma bite elle n’ait oublié sa promesse de t’appeler.
• Oh ! pardon, je comprends, j’espère que je ne t’ai pas bloqué dans tes élans, tu m’en verrais très contrariée.
• Soit sans crainte, je débande, mais c’est après avoir fait chanter sa chanson d’amour à ta filleule, elle récupère non loin de moi.

Patou me regarde avec les yeux de l’amour, j’aime lorsqu’elle me regarde avec ces yeux amoureux.
Ses cheveux sont en bataille après l’averse qu’elle a prise sur tout son corps, j’ai même l’impression qu’elle frissonne malgré la fenêtre refermée.

• Attends, Christine, ne raccroche pas, je te reprends dans moins d’une minute !

Je pose le combiné, je rejoins Pat, comme je le faisais lorsqu’elle avait perdu l’usage de ses jambes, je la soulève et je la porte sur le lit.
Je la recouvre pour éviter qu’elle ne me fasse une pneumonie, l’étang et maintenant la tempête, même si je sais qu’elle est loin d’être fragile, il faut savoir éviter le pire.

• C’est Marraine, dit-lui que je l’aime !

Sur ces mots, elle se retourne et commence sa nuit.
Il est vrai qu’avec sa boulimie créative, elle a du sommeil en retard, même si pendant le voyage elle a un peu récupéré.

• Bien ça va, je viens de l’entendre parler, tu l’as tué mais de plaisir comme tu sais si bien y faire.
J’ai entendu la météo, vous avez un temps de chien, allez vous promener tout de même, l’air du large ça revigore la santé, Pat en a bien besoin, après tout ce qui est arrivé.
Lorsqu’elle sera réveillée, dit lui que je suis passée à la galerie qui l’expose, ils ont déjà vendu deux toiles, l’une à 3 000 francs, l’autre à 5 000.

50 plus 30, donc 8 000, j’ajoute deux zéros.
Merde, ces francs et ces nouveaux francs, quel bordel !
Comme bon nombre de mes congénères, nés sous les francs, ce passage au nouveau est un casse-tête, je ne sais jamais où il faut ajouter deux zéros où les enlever.
Christine a dit huit mille les deux, si j’en enlève deux, ça fait, merde, je suis perdu, tout ce que je sais c’est que ça fait beaucoup de fric pour deux toiles vendues.

• Tu es là, Christophe, je ne t’entends plus !
Je sais, je t’ai déjà vu avec tes problèmes de conversion entre les anciens et les nouveaux francs, 3 000, ça fait 300 000 anciens francs et 5 000, 500 000 anciens francs.
J’ai déposé deux chèques sur le compte de Patou qui va être crédité de 800 000 francs anciens, vous pouvez passer de très bonnes vacances.
Surtout qu’ils m’ont dit qu’ils avaient une touche avec celui qu’elle a appelé, « garçon en goguette » celui à 10 000 francs.

Largué, je suis largué, mais j’évite de poser plus de questions.
Surtout que celui « garçon en goguette » c’est celui que Patou a fait me mettant le nez à la place des yeux.
Quant aux francs, nouveaux ou bien anciens, Christine pourrait penser que je suis nul.
Pourtant de nombreuses fois, j’ai démontré que j’avais d’autres atouts que ces histoires de conversion.
Là, je pense à quelle partie de mon corps je fais allusion.
Si la partie basse est exceptionnelle, le cerveau et je m’en excuse, semble un peu moins développer.

• Tu diras à Patou que j’ai installé Vanille dans le garage, j’ai fait livrer un canapé-lit sur lequel elle va dormir en attendant que sa situation s’éclaircisse depuis qu’elle a quitté Noa.
Lors de votre absence, lorsqu’elle rentrera de son travail, elle fera du ménage,.
Ne vous inquiétez pas, je gère.

Je dois quitter la conversation avec Christine, car je la connais, elle va me tenir la jambe jusqu’au matin.

• Et à part ça, comment ça va ?

Quel con, lorsque je suis au téléphone avec Christine, c’est la dernière des choses à lui demander !
J’en aurais jusqu’au matin si je ne trouve pas de subterfuge.

• Christine, je te laisse, le roomservice nous apporte notre repas.
Vu le temps et la fatigue de Patou, j’ai commandé de quoi faire un repas entre amoureux dans notre chambre.
• Bien, je raccroche.
Tu as raison, je suis une horrible bavarde, surtout lorsqu’il s’agit de ma filleule.
• Bises, Christine, ils insistent, ça va être froid.

Ouf, je raccroche, mais si Patou est endormi, j’ai une faim de loup, la carte du roomservice se trouve à côté du téléphone.
Que vais-je nous commander ?
Les prix en nouveaux francs sont à côté des plats proposés.
Comme l’on dit vulgairement, je m’en bats la queue, 5 ou 500 ou 5 et 0,05 franc.
Le compte en banque de Patou, maintenant que j’ai perdu mon travail, remplacé par Muzéo, le bel italien est assez fourni pour ne pas m’inquiéter de simple problème d’argent.
Un instant, je me rends compte que je suis devenu le gigolo de celle qui va devenir ma femme.
Je me promets de remédier à cette situation, dès notre retour à Paris.
Mon père était souvent un grand con.
En plongeant dans la Marne, ça en a été la preuve.
Il m’a tout de même élevé dans la dignité humaine.

• Chérie, réveille-toi, ils ont monté notre repas.
J’ai commandé deux omelettes aux truffes du Périgord, accompagnées de leur salade verte et en dessert des crêpes Suzette.

Deux jours, pendant deux jours, on baise, on mange et on baise, lorsqu’un serveur nous apporte notre table roulante, j’ai mangé les deux repas, Patou refusant de se réveiller une nouvelle fois.
Depuis, elle bouge, de la salle de bains à notre lit ou l’inverse si elle doit se laver la chatte, après avoir baisé comme des malades.

• Et si nous trouvions un magasin pour nous fringuer dans un style tempête du grand nord et que nous allions affronter les éléments !

J’ai des fourmis dans les jambes, enfin, nous quittons la chambre, surtout que la tempête s’est un peu calmée.
Nous rejoignons la promenade et ses terrasses, hélas, toutes fermées à cette période hivernale.
L’été, ce doit être valable de venir manger un plateau de fruits de mer, mais à cette époque, rien n’est ouvert.
Enfin des terrasses, car certains restos sont ouverts, mais il faut manger à l’intérieur.
Les boutiques vendant des souvenirs et du matos de plage, elles sont toutes fermées, mais par chance « la boutique du matelot » est ouverte.
Marinières, pulls marins, pantalons et vestes imperméables contre la pluie et un bonnet beige, lui avec pompon, pour chacun de nous, nous voilà près pour affronter les éléments.
J’oublie les bottes fourrées, elles aussi imperméabilisées, qui vont nous permettre de passer une fin de séjour au chaud dans ces vêtements.
Nous venons de rentrer pour déposer nos paquets lorsque l’on frappe à la porte de notre chambre.
Je vais ouvrir, depuis notre arrivée seul le garçon du roomservice est venu dans notre espace, nous apporter de quoi nous substanter.

• Bonjour, je suis la kiné que votre maman a contactée pour que je vienne faire travailler vos jambes, Patou !
Excusez de ne pas être venue plus tôt, mais hors saison, je suis la seule à venir à domicile et j’ai des soins à faire par-dessus la tête.
Je vois que vous êtes debout, je vais vous faire travailler comme il le faut pour que vous récupériez votre masse musculaire et je vous ferais un massage.
Pardon, je sais que vous vous appelez Patou, votre maman ne m’a pas parlé de ce beau jeune homme qui est avec vous ?
• Mon fiancé s’appelle, Christophe et maman n’est pas ma maman, mais la sœur de mon papa, c’est ma marraine.
Je suis dans la tenue d’Ève, cela vous ennuie-t-il de me masser comme cela, j’ai l’habitude d’être nue dans mon atelier parisien ?
• Non, sans problème, mais une nouvelle fois, excusez, je m’appelle Aglaé, ma maman était fan d’Aglaé et de Sidonie.
• C’est parfait Vicky ma kiné de Paris à l’habitude !

Cette jolie brune, comme Vicky à Paris, je sens qu’avant la fin de notre séjour, elle fera connaissance avec popol.
Popol, mon pénis et j’espère la chatte de celle qui commence à faire des flexions pour se remuscler…

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