COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (40/42)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (40/42)
• Je vous ai placé à la table 1, près de la baie vitrée,j puisque le temps des grandes marées rend la terrasse impraticable pour que vous puissiez manger dehors !
C’est la première année qu’elles sont si violentes, ce doit être dû au réchauffement climatique !
J’ignorais qu’en 1968, il y avait un réchauffement climatique.
Si c’est le cas, Patou qui sur son tailleur blanc a mis son vison blanc, lui aussi.
La pluie, heureusement, s’est arrêtée le temps de nous rendre au restaurant l’Océan, sur la promenade de Royan.
Comment peut-on parler de réchauffement climatique ?
Pourquoi, un jour, n’y aurait-il pas des mouvements contre la fourrure animale, privant Patou, de son magnifique manteau de vison blanc, qu’elle porte avec tant de grâce ?
Si c’était le cas, que deviendraient les fourreurs du sentier, du boulevard Saint-honoré, du Marais ou aussi de la place Vendôme.
Place Vendôme, là où nous sommes allés acheter la bague de fiançailles de mon amour avec Christine sa marraine.
Aidé par Christine et qu’elle a grand plaisir de montrer à tout le monde, chaque fois qu’elle parle de notre mariage le 11 mai 1968, dans moins de deux mois.
Après la grosse somme gagnée hier, lorsque nous nous installons et que je pousse la chaise de ma petite, en gentleman que j’ai appris à être, je vois la bague à son annulaire.
Petit bouchon en ce temps-là, à cause du prix, je pourrais lui en offrir une bien plus belle ce jour.
Nous commandons leur célèbre plateau de fruits de mer, spécialité de la maison, avec des produits de toute fraîcheur.
Le tourteau, les praires, mais aussi les bouquets, nous pourrions croire qu’ils ont sauté directement sur ce plateau posé entre nous sur un présentoir, le surélèvent au-dessus de nos assiettes.
Je découvre les praires, mais surtout les bigorneaux, c’est chiant à attraper dans leur coquille comme ceux des escargots, mais bien plus petits.
Avant, j’avais pris un Martini blanc, première fois que j’en buvais et Pat un cocktail sans alcool.
• Joyeux anniversaire, ma chérie, quelle chance que nous soyons tous les deux seuls.
• Merci à toi, mon amour, surtout après la nuit que le colonel et toi m’aviez fait passer.
À l’évocation de notre nuit de débauche, ma mémoire me la remontre suçant ma bite et se faisant enculer par le colonel.
Là d’où j’étais, comment je sais qu’il l’enculait, je voyais sa verge entrer et sortir sans capote de son petit trou.
Comme je l’ai dit, il était très respectueux des risques que courrait notre petite proie en la baisant dans la chatte, de se retrouver enceinte.
• Monsieur, madame, je vous ai installé table numéro 2, à côté de ces jeunes gens.
Prenez place, je vais revenir prendre votre commande et si vous désirez un apéritif.
Je suis en train de me battre avec une langoustine, je dois casser les pinces avec un casse-noix.
Je retarde le moment de m’occuper du tourteau et de ses grosses pinces.
Lorsque je relève ma tête pour saluer ces nouveaux arrivants, j’ai l’impression d’avoir vu cette rousse flamboyante autre part.
Ils s’installent et eux aussi commandent le plateau de fruits de mer royale, je suis face à cette merveille du monde, qui lorsqu’elle enlève sa fourrure, me montre des seins dignes de ceux de Lollobrigida, célèbre actrice italienne.
Avant son geste fatal, je l’ai vu dans Fanfan la Tulipe à la télé.
J’étais adolescent et c’est par chance sous la table de notre salle que j’ai eu ma première érection, hors cartes postales la nuit.
• Christophe, te serait-il, possible d’aller dans la cuisine me chercher un verre d’eau, j’ai soif…
On aurait dit que mon père voulait me mettre mal à l’aise en me demandant cela.
Maman a dû voir mon érection, tendant mon short et a ri sous cape, ayant certainement vu la situation dans laquelle je me trouvais.
Je sais me contrôler depuis et je jette simplement un regard lorsqu’elle se penche en avant pour avancer sa chaise.
Nous sommes concentrés sur nos assiettes, la patronne amenant les apéros à ces deux personnes.
Une Suze pour monsieur et un Martini rouge pour madame.
Après les agapes de la nuit, je suis au muscadet, Sèvre et Maine préconisé par la patronne.
Patou bois de l’eau, c’est presque un crime de boire un tel breuvage avec les huitres de Marennes, lieu, on s’en souvient, où nous avions rencontré Paola.
Paola avec laquelle Patou se sont fait du bien, me laissant comme un con seul certes au chaud dans la voiture.
Je conterais bien fleurette à cette jolie femme, même si elle est avec son mari.
Je suis bien avec ma future femme et elle comme moi, nous aimons nous partager.
J’ai peut-être une chance avec elle, qui sait, il va falloir que j’arrive à entamer la conversation avec ce couple ressemblant à Ophélie et Samy ?
Ophélie et Samy, que de chemin parcouru depuis le temps où Malaurie et elle s’amusaient à faire la pute dans le bois de Vincennes.
Dire que c’est elle qui m’a fait embaucher par Christine me propulsant dans les bras de mon bouchon, lapant une huitre après l’avoir détaché de sa partie blanche.
Comment s’appelle cette partie qui retient l’huitre dans sa coquille, ignorance lorsque tu me tiens ?
• Monsieur, je vous prie de m’excuser de vous importuner pendant votre déjeuner avec votre fiancé !
Je sors de ma torpeur, je rêvais à des jeux plus érotiques avec cette belle femme et c’est son mari qui m’interpelle alors que je pensais vouloir trouver comment prendre contact avec eux.
• Oui, pardon, je pensais aux huitres ayant grossi dans la mer pour finir dans nos assiettes et à cette partie qui la retient dans sa coquille, vous me disiez !
• Je vous demandais de m’excuser de vous importuner !
Cette partie d’une huitre, que vous cherchez s’appelle le muscle adducteur.
Il s’agit d’un petit muscle rond et ferme, situé sur le côté de l’huître, qui la maintient fermée et lui permet de résister à l’ouverture.
Lorsque l’on déguste une huître, il faut souvent détacher ce muscle pour séparer complètement la chair de la coquille.
• Merci de m’apporter une réponse à cette question, je me pose souvent des questions sans pour autant avoir la réponse.
Je suis à deux doigts de lui parler du petit Robert qui est resté à Paris près du livre Edmonde Charles-Roux.
• Merci de me donner ce renseignement, avez-vous une question à laquelle je suis susceptible de vous répondre ?
• Hier, vous étiez bien au casino et vous avez eu une chance rare, trois coups gagnant sur un numéro à la roulette !
• Oui, j’ai été dépassé par les événements, mais je viens de déposer le chèque à la banque qui n’a jamais eu autant d’argent.
• Nous vous parlions avec Patou et vous, Christophe, je me souviens, vous êtes venu la rejoindre !
Le jeu et votre grosse victoire, nous ont séparés.
Nous vous avons revu en fin de soirée au bar, mais nous n’avons pas osé vous importuner, vous fêtiez votre victoire avec le colonel.
C’est ainsi sur un malentendu que nous nous faisons des amis que je me souviens les avoir vus à mon arrivée au casino après avoir raccompagné jusqu’à la gare Alain mon copain d’enfance.
Deux bouteilles de blanc plus tard, nos plateaux de fruits de mer nettoyés, nous avons deux nouveaux amis, Luc et Claude la jolie femme qui semble être réceptive à mon charme.
• Et si nous finissions notre journée chez nous !
Connaissez-vous Saint-Georges-de-Didonne ?
• Non, c’est du côté du casino, je n’ai pas vu ce nom lorsque nous avons fait la côte jusqu’à Marennes !
• Non, vous avez tout faux, c’est de l’autre côté de la plage de Royan.
Notre villa donne sur la mer et nous avons subi la tempête en étant aux premières loges.
Heureusement que nous avons la véranda chauffée, nous avons pu admirer sans risque de prendre froid.
• Parle pour toi Luc, j’étais terrorisée, je me suis terrée au fond de notre lit jusqu’à ça ce calme et que nous puissions retourner au casino.
Je me verrais bien au fond de son lit, l’aidant à vaincre sa peur.
Ma bite aidant, je suis sûr qu’elle aurait eu d’autres choses à penser que le « bruit et la fureur » des vagues de l’océan Atlantique.
Nous avons laissé la Rolls à l’hôtel, c’est dans leur grosse Citroën garée de l’autre côté de la route que nous montons.
Je monterais bien avec Claude à l’arrière, ignorant le temps que nous allons mettre pour rejoindre leur villa, mais Claude monte à côté de son mari.
Je n’aurais aucun motif de me plaindre, ne suis-je pas à côté de celle qu’il y a peu, je l’ai demandé en mariage et qu’elle a accepté !
De toute façon nous longeons la plage de Royan passant devant notre hôtel et la Rolls sagement garée à deux pas de l’entrée.
Luc entre dans une villa où le portail est ouvert.
Ils nous ont appris lors du repas que Luc est avocat, leur permettant de s’offrir cette villa avec cette véranda où Luc a installé son bureau.
Claude doit être une bonne ménagère, la maison est une véritable bonbonnière, l’ensemble ayant une base de couleur rose.
Un bureau face à la mer, une balancelle sur le côté et deux fauteuils avec des coussins.
Luc s’assied dans la balancelle.
• Patou, venez, vous assoir à mes côtés, Christophe prend place dans ce fauteuil, Claude sert nous un petit Pineau des Charentes à moins que tu préfères un Cognac, nous les achetons directement à un petit producteur local.
Nous nous installons, Luc aurait-il des vues sur Patou comme moi j’en ai sur Claude !
Aurions-nous les mêmes centres d’intérêt pour les femmes l’un de l’autre
Nos verres en mains, nous trinquons et je bois une grande gorgée de Cognac à la perspective de dénuder cette merveille de la nature à la chevelure rousse…
C’est la première année qu’elles sont si violentes, ce doit être dû au réchauffement climatique !
J’ignorais qu’en 1968, il y avait un réchauffement climatique.
Si c’est le cas, Patou qui sur son tailleur blanc a mis son vison blanc, lui aussi.
La pluie, heureusement, s’est arrêtée le temps de nous rendre au restaurant l’Océan, sur la promenade de Royan.
Comment peut-on parler de réchauffement climatique ?
Pourquoi, un jour, n’y aurait-il pas des mouvements contre la fourrure animale, privant Patou, de son magnifique manteau de vison blanc, qu’elle porte avec tant de grâce ?
Si c’était le cas, que deviendraient les fourreurs du sentier, du boulevard Saint-honoré, du Marais ou aussi de la place Vendôme.
Place Vendôme, là où nous sommes allés acheter la bague de fiançailles de mon amour avec Christine sa marraine.
Aidé par Christine et qu’elle a grand plaisir de montrer à tout le monde, chaque fois qu’elle parle de notre mariage le 11 mai 1968, dans moins de deux mois.
Après la grosse somme gagnée hier, lorsque nous nous installons et que je pousse la chaise de ma petite, en gentleman que j’ai appris à être, je vois la bague à son annulaire.
Petit bouchon en ce temps-là, à cause du prix, je pourrais lui en offrir une bien plus belle ce jour.
Nous commandons leur célèbre plateau de fruits de mer, spécialité de la maison, avec des produits de toute fraîcheur.
Le tourteau, les praires, mais aussi les bouquets, nous pourrions croire qu’ils ont sauté directement sur ce plateau posé entre nous sur un présentoir, le surélèvent au-dessus de nos assiettes.
Je découvre les praires, mais surtout les bigorneaux, c’est chiant à attraper dans leur coquille comme ceux des escargots, mais bien plus petits.
Avant, j’avais pris un Martini blanc, première fois que j’en buvais et Pat un cocktail sans alcool.
• Joyeux anniversaire, ma chérie, quelle chance que nous soyons tous les deux seuls.
• Merci à toi, mon amour, surtout après la nuit que le colonel et toi m’aviez fait passer.
À l’évocation de notre nuit de débauche, ma mémoire me la remontre suçant ma bite et se faisant enculer par le colonel.
Là d’où j’étais, comment je sais qu’il l’enculait, je voyais sa verge entrer et sortir sans capote de son petit trou.
Comme je l’ai dit, il était très respectueux des risques que courrait notre petite proie en la baisant dans la chatte, de se retrouver enceinte.
• Monsieur, madame, je vous ai installé table numéro 2, à côté de ces jeunes gens.
Prenez place, je vais revenir prendre votre commande et si vous désirez un apéritif.
Je suis en train de me battre avec une langoustine, je dois casser les pinces avec un casse-noix.
Je retarde le moment de m’occuper du tourteau et de ses grosses pinces.
Lorsque je relève ma tête pour saluer ces nouveaux arrivants, j’ai l’impression d’avoir vu cette rousse flamboyante autre part.
Ils s’installent et eux aussi commandent le plateau de fruits de mer royale, je suis face à cette merveille du monde, qui lorsqu’elle enlève sa fourrure, me montre des seins dignes de ceux de Lollobrigida, célèbre actrice italienne.
Avant son geste fatal, je l’ai vu dans Fanfan la Tulipe à la télé.
J’étais adolescent et c’est par chance sous la table de notre salle que j’ai eu ma première érection, hors cartes postales la nuit.
• Christophe, te serait-il, possible d’aller dans la cuisine me chercher un verre d’eau, j’ai soif…
On aurait dit que mon père voulait me mettre mal à l’aise en me demandant cela.
Maman a dû voir mon érection, tendant mon short et a ri sous cape, ayant certainement vu la situation dans laquelle je me trouvais.
Je sais me contrôler depuis et je jette simplement un regard lorsqu’elle se penche en avant pour avancer sa chaise.
Nous sommes concentrés sur nos assiettes, la patronne amenant les apéros à ces deux personnes.
Une Suze pour monsieur et un Martini rouge pour madame.
Après les agapes de la nuit, je suis au muscadet, Sèvre et Maine préconisé par la patronne.
Patou bois de l’eau, c’est presque un crime de boire un tel breuvage avec les huitres de Marennes, lieu, on s’en souvient, où nous avions rencontré Paola.
Paola avec laquelle Patou se sont fait du bien, me laissant comme un con seul certes au chaud dans la voiture.
Je conterais bien fleurette à cette jolie femme, même si elle est avec son mari.
Je suis bien avec ma future femme et elle comme moi, nous aimons nous partager.
J’ai peut-être une chance avec elle, qui sait, il va falloir que j’arrive à entamer la conversation avec ce couple ressemblant à Ophélie et Samy ?
Ophélie et Samy, que de chemin parcouru depuis le temps où Malaurie et elle s’amusaient à faire la pute dans le bois de Vincennes.
Dire que c’est elle qui m’a fait embaucher par Christine me propulsant dans les bras de mon bouchon, lapant une huitre après l’avoir détaché de sa partie blanche.
Comment s’appelle cette partie qui retient l’huitre dans sa coquille, ignorance lorsque tu me tiens ?
• Monsieur, je vous prie de m’excuser de vous importuner pendant votre déjeuner avec votre fiancé !
Je sors de ma torpeur, je rêvais à des jeux plus érotiques avec cette belle femme et c’est son mari qui m’interpelle alors que je pensais vouloir trouver comment prendre contact avec eux.
• Oui, pardon, je pensais aux huitres ayant grossi dans la mer pour finir dans nos assiettes et à cette partie qui la retient dans sa coquille, vous me disiez !
• Je vous demandais de m’excuser de vous importuner !
Cette partie d’une huitre, que vous cherchez s’appelle le muscle adducteur.
Il s’agit d’un petit muscle rond et ferme, situé sur le côté de l’huître, qui la maintient fermée et lui permet de résister à l’ouverture.
Lorsque l’on déguste une huître, il faut souvent détacher ce muscle pour séparer complètement la chair de la coquille.
• Merci de m’apporter une réponse à cette question, je me pose souvent des questions sans pour autant avoir la réponse.
Je suis à deux doigts de lui parler du petit Robert qui est resté à Paris près du livre Edmonde Charles-Roux.
• Merci de me donner ce renseignement, avez-vous une question à laquelle je suis susceptible de vous répondre ?
• Hier, vous étiez bien au casino et vous avez eu une chance rare, trois coups gagnant sur un numéro à la roulette !
• Oui, j’ai été dépassé par les événements, mais je viens de déposer le chèque à la banque qui n’a jamais eu autant d’argent.
• Nous vous parlions avec Patou et vous, Christophe, je me souviens, vous êtes venu la rejoindre !
Le jeu et votre grosse victoire, nous ont séparés.
Nous vous avons revu en fin de soirée au bar, mais nous n’avons pas osé vous importuner, vous fêtiez votre victoire avec le colonel.
C’est ainsi sur un malentendu que nous nous faisons des amis que je me souviens les avoir vus à mon arrivée au casino après avoir raccompagné jusqu’à la gare Alain mon copain d’enfance.
Deux bouteilles de blanc plus tard, nos plateaux de fruits de mer nettoyés, nous avons deux nouveaux amis, Luc et Claude la jolie femme qui semble être réceptive à mon charme.
• Et si nous finissions notre journée chez nous !
Connaissez-vous Saint-Georges-de-Didonne ?
• Non, c’est du côté du casino, je n’ai pas vu ce nom lorsque nous avons fait la côte jusqu’à Marennes !
• Non, vous avez tout faux, c’est de l’autre côté de la plage de Royan.
Notre villa donne sur la mer et nous avons subi la tempête en étant aux premières loges.
Heureusement que nous avons la véranda chauffée, nous avons pu admirer sans risque de prendre froid.
• Parle pour toi Luc, j’étais terrorisée, je me suis terrée au fond de notre lit jusqu’à ça ce calme et que nous puissions retourner au casino.
Je me verrais bien au fond de son lit, l’aidant à vaincre sa peur.
Ma bite aidant, je suis sûr qu’elle aurait eu d’autres choses à penser que le « bruit et la fureur » des vagues de l’océan Atlantique.
Nous avons laissé la Rolls à l’hôtel, c’est dans leur grosse Citroën garée de l’autre côté de la route que nous montons.
Je monterais bien avec Claude à l’arrière, ignorant le temps que nous allons mettre pour rejoindre leur villa, mais Claude monte à côté de son mari.
Je n’aurais aucun motif de me plaindre, ne suis-je pas à côté de celle qu’il y a peu, je l’ai demandé en mariage et qu’elle a accepté !
De toute façon nous longeons la plage de Royan passant devant notre hôtel et la Rolls sagement garée à deux pas de l’entrée.
Luc entre dans une villa où le portail est ouvert.
Ils nous ont appris lors du repas que Luc est avocat, leur permettant de s’offrir cette villa avec cette véranda où Luc a installé son bureau.
Claude doit être une bonne ménagère, la maison est une véritable bonbonnière, l’ensemble ayant une base de couleur rose.
Un bureau face à la mer, une balancelle sur le côté et deux fauteuils avec des coussins.
Luc s’assied dans la balancelle.
• Patou, venez, vous assoir à mes côtés, Christophe prend place dans ce fauteuil, Claude sert nous un petit Pineau des Charentes à moins que tu préfères un Cognac, nous les achetons directement à un petit producteur local.
Nous nous installons, Luc aurait-il des vues sur Patou comme moi j’en ai sur Claude !
Aurions-nous les mêmes centres d’intérêt pour les femmes l’un de l’autre
Nos verres en mains, nous trinquons et je bois une grande gorgée de Cognac à la perspective de dénuder cette merveille de la nature à la chevelure rousse…
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