COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (41/42)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon. Tome II (41/42)
• Je vous ai placé près de la baie vitrée puisque le temps des grandes marées nous empêche d’ouvrir la terrasse afin de manger dehors.
C’est par ces mots que Patou et moi, nous nous retrouvons placés au restaurant l’Océan ou nous sommes venus pour manger un magnifique plateau de fruits de mer à côté de Luc et de Claude.
Il n’a pas attendu longtemps pour que Claude et Luc, nous rejoignent en s’installant à la table voisine.
Claude, très belle femme rousse avec tout ce qu’il faut là où il faut.
Je serais un garçon mal élevé, un instant je penserais que je me la mettrais bien sûr le bout de ma queue.
On connaît mon appétence pour les plaisirs sensuels, cette attirance presque instinctive qui me pousse vers ce qui éveille mes sens et mon désir.
Baiser alors que j’ai la plus belle fiancée du monde, serais-je anormal ou amoral ?
Certainement pas lorsque dans la véranda de leur villa à Saint-Georges-de-Didonne, Luc demande à Patou de venir près de lui s’assoir sur la balancelle.
Elle aurait pu refuser, mais c’est d’elle-même qu’elle s’assied à son côté.
J’admirai la beauté de Claude lorsque Luc m’a interpellé.
Je me souviens les avoir vus la veille, jour où l’on peut dire que j’ai fait sauter la banque au casino de Pontaillac, de l’autre côté de Royan et de notre hôtel le Cordouan.
S’il ne nous avait pas interpellés, aurions-nous pu faire connaissance et sympathiser en mangeant, tourteaux, praires et des huitres venues certainement des parcs d’ostréicultures de Marennes.
Manger, c’est sûr, mais boire du blanc, c’est certain, alors le verre de Cognac que Claude me sert, me monte à la tête.
Patou est en train de sucer la bite de Luc après que je l’ai vu sortir de son pantalon alors que Claude semble m’ignorer.
Par chance, elle se lève du fauteuil voisin du mien pour poser son verre vide de Pineau des Charentes sur la table basse.
Je l’attrape par le bras et je la fais pivoter afin qu’elle atterrisse sur mes genoux.
J’avance ma bouche vers la sienne, ouf, elle réagit et semble s’abandonner.
Je profite de mon avantage pour passer ma main libre sous sa jupe.
Merde…
Je repousse Claude qui tombe lourdement sur ses fesses.
Je saisis le col de sa blouse et je suis à deux doigts de lui mettre mon poing dans la gueule.
Avec mes excuses, mon poing dans sa jolie frimousse.
• Non, Christophe ne la frappe pas, je vais tout t’expliquer !
Je relâche ma tension attendant pourquoi sous cette jupe, j’ai clairement senti des attributs masculins.
Une belle bite, certes au repos, mais une bite tout de même.
• Christophe, Claude est un transsexuel.
Elle est née déclarée garçon, à cause de cette sorte de bite, qu’ils ont vue à sa naissance.
Ils se sont aperçus de leur erreur, car cette bite ne lui sert pas pour uriner, mais en dessous elle a un méat urinaire lui permettant de vider sa vessie.
Ce petit membre durci lorsqu’on le stimule, mais c’est tout.
À sa puberté, ses seins ont poussée la faisant apparaitre femme surtout après sa luxurieuse chevelure rousse.
Je l’ai rencontré et je suis de suite tombé amoureux.
J’ai eu la même réaction que toi, mais moi j’ai franchi le pas, je lui ai cassé le nez.
Nous étions chez ses parents où j’étais venu officiellement pour travailler un exposé pour le passage de notre bac.
• Je vais te dire Christophe, Luc, je l’aimais, mais je pressentais avoir une différence avec les autres garçons.
Quand mon corps s’est féminisé, j’ai vu un médecin qui m’a expliqué que j’étais comme je suis et qu’il fallait que je m’assume.
Ma mère a essayé de me protéger, mais mon père ne l’a pas accepté.
Il m’a mis dehors et j’ai fini de vivre en suçant des bites le long des boulevards extérieures parisiens.
• De mon côté de la province j’étais monté, moi aussi à Paris pour mes études de droit.
J’allais dans un bar dans le Quartier Latin et un jour je l’ai vu.
Mon cœur s’est remis à battre, malgré que je connaisse sa différence.
• Luc a très vite su que je me prostituais le long des boulevards et c’est lui qui m’a sortie de la déchéance ou j’étais tombée à cause de mon père.
• Je voulais l’épouser, car j’avais trouvé un cabinet ou je gagnais ma vie.
Mais, nous nous sommes trouvés face à l’administration, il avait été déclaré mâle et ils nous étaient impossibles de nous marier entre hommes.
Peut-être un jour, les choses changeront, mais nous ne serons plus là pour le voir.
Là où nous vivions, certaines savaient ce qu’elle était et ce qu’elle avait fait pour vivre.
C’est moi que l’on traitait de pédé aimant les putes et mon patron l’a su et il m’a viré.
J’aimais Claude, telle qu’elle était, alors j’ai décidé que nous quittions Paris et j’ai ouvert mon propre cabinet ici à Royan et de cacher notre amour à Saint-Georges.
• J’ai très vite compris que nos rapports très limités vus mon handicap frustrait Luc.
C’est moi qui lui ai proposé de trouver de vraies femmes pour passer un moment.
Le casino est notre terrain de chasse, Patou, lorsque je t’ai vu te croyant seule avec ta béquille, je lui ai proposé de te draguer pour que tu passes la fin de soirée tous les trois.
• Oui, Patou, tu me faisais bander et comme nous ignorions que tu étais accompagnée, lorsque Christophe est arrivé, nous avions entamé un mouvement d’approche.
• Et je suis allé jouer et j’ai gagné une grosse somme à la roulette.
• Exact, on connaît la suite, nous nous sommes retrouvés fortuitement au restaurant.
• Vous trouvez, facilement des femmes pour passer un moment soit ici, soit chez elles !
• Au mois d’aout, nous avons rencontré une jeune Parisienne.
Vous auriez pu voir son fiancé, il vit comme un clochard croyant avoir une martingale pour gagner du fric facilement.
Sylvie, elle s’appelait Sylvie a vécu avec nous jusqu’à la fin de ses vacances.
C’est nous qui l’avons ramené à la gare, car elle devait rentrer faire ses études.
Christophe, tu as eu la chance de faire sauter la banque, fait attention il est facile de perdre ce que l’on a gagné plus vite qu’on ne le pense.
Je prends de nouveau ce conseil comme il se doit, être riche de plus de 2 millions gagnés sur un putain de coup de chance, il va de soi que je le suivrais dès notre retour à Paris.
Surtout que j’ai envie de m’assumer et pour cela j’ai une petite idée derrière la tête.
Inutile de chercher, comme je l’ai dit, je suis un queutard, mais pour une fois, si je réussis à amener mon idée à terme, ma queue restera sans le moindre problème dans mon pantalon.
J’aide Claude à se relever, ma bouche dès la première fois m’a permis d’avoir un contact avec Claude, je la plaque contre moi et je réitère mon baiser interrompu par ma découverte.
Claude plaque ses seins contre ma poitrine, si ce qui ressemblait à une bite était mou, ses seins sont presque prêts à exploser tellement leurs pointes sont dures.
Me faire sucer par une femme en même temps qu’elle est homme, simplement par son prénom Claude, c’est un pas que je franchis.
Ma queue qu’elle sort de mon pantalon bande comme jamais alors qu’un homme, rien que d’y penser je suis à deux doigts de dégueuler mes fruits de mer et mon Cognac.
Sa bouche est divine, aussi, prenant mon courage à deux mains, je veux lui apporter du plaisir.
Je me persuade que cette bite, est un clito surdimensionné, dix centimètres pour un clito, ce serait un record mondial, du moins je le crois.
Nous nous dénudons.
Je reporte mon regard vers Luc et Patou, ils ont repris leur marche vers le plaisir, la balancelle ne semblant pas l’endroit idéal pour avoir des rapports entre homme et femme.
• Christophe, viens dans notre chambre, je suis sûr que Luc veut prendre Patricia et ainsi prendre le plaisir que je lui conçois de temps en temps !
Une petite partie carrée, ce n’est pas pour me déplaire.
Surtout que leur chambre possède un grand lit comme un champ de bataille.
69, c’est ce que je fais avec Claude alors que l’autre couple en fait de même.
Le clito de Claude, prenant même du volume, car comme une bite, il se gorge de sang.
La différence, c’est que je bande aussi surtout lorsque Claude me suce les couilles, c’est ainsi que je suis dans l’incapacité de résister lui arrosant les amygdales d’une grande rasade de sperme alors que ma bouche reste sèche.
Claude, ne relâche pas mon sexe et je me remets à bander, suffisamment pour suivre le conseil de Luc.
• Christophe, encule là si tu le désires, je comprendrais que tu te refuses de le faire.
• Oui, Chris, encule-moi, prends-moi par mes seins, tu auras l’impression de baiser cette belle salope que Luc prend en levrette.
La situation a évolué entre les deux autres protagonistes.
Lors du repas, Patou a expliqué une grande partie de notre vie depuis notre rencontre et qu’elle n’avait pas de protection contre les grosses espérant qu’elle puisse me donner un enfant.
À ce moment de notre rencontre autour de nos plateaux de fruits de mer, nous ignorions la particularité de Claude lorsqu’elle nous a dit regretté de ne pas avoir d’enfants.
Ce que j’ai vu c’est la capote qu’il s’est enfilé protégeant Patou d’une grossesse intempestive.
Ce que je vois aussi lorsque j’entre dans l’anus de Claude, ce sont les deux femmes qui s’embrassent dans la même position l’une de l’autre.
Une partie carrée reste une partie carrée.
Un clito-bite, reste un clito-bite, mais dans un de nos moments de délire, Patou s’offre le clito de Claude.
Alors que nul doute, je suce la bite de Luc, tout en enfonçant ma main dans la chatte de ma petite salope de fiancée.
Deux nuits, l’une comme l’autre pleines de plaisir, l’une avec le Colonel, l’autre avec cet homme et son transsexuel de femme.
• Dis-moi Luc, toi qui es un avocat, pourquoi ne fais-tu pas de démarche pour changer l’identité de Claude et en faire pleinement une femme ?...
C’est par ces mots que Patou et moi, nous nous retrouvons placés au restaurant l’Océan ou nous sommes venus pour manger un magnifique plateau de fruits de mer à côté de Luc et de Claude.
Il n’a pas attendu longtemps pour que Claude et Luc, nous rejoignent en s’installant à la table voisine.
Claude, très belle femme rousse avec tout ce qu’il faut là où il faut.
Je serais un garçon mal élevé, un instant je penserais que je me la mettrais bien sûr le bout de ma queue.
On connaît mon appétence pour les plaisirs sensuels, cette attirance presque instinctive qui me pousse vers ce qui éveille mes sens et mon désir.
Baiser alors que j’ai la plus belle fiancée du monde, serais-je anormal ou amoral ?
Certainement pas lorsque dans la véranda de leur villa à Saint-Georges-de-Didonne, Luc demande à Patou de venir près de lui s’assoir sur la balancelle.
Elle aurait pu refuser, mais c’est d’elle-même qu’elle s’assied à son côté.
J’admirai la beauté de Claude lorsque Luc m’a interpellé.
Je me souviens les avoir vus la veille, jour où l’on peut dire que j’ai fait sauter la banque au casino de Pontaillac, de l’autre côté de Royan et de notre hôtel le Cordouan.
S’il ne nous avait pas interpellés, aurions-nous pu faire connaissance et sympathiser en mangeant, tourteaux, praires et des huitres venues certainement des parcs d’ostréicultures de Marennes.
Manger, c’est sûr, mais boire du blanc, c’est certain, alors le verre de Cognac que Claude me sert, me monte à la tête.
Patou est en train de sucer la bite de Luc après que je l’ai vu sortir de son pantalon alors que Claude semble m’ignorer.
Par chance, elle se lève du fauteuil voisin du mien pour poser son verre vide de Pineau des Charentes sur la table basse.
Je l’attrape par le bras et je la fais pivoter afin qu’elle atterrisse sur mes genoux.
J’avance ma bouche vers la sienne, ouf, elle réagit et semble s’abandonner.
Je profite de mon avantage pour passer ma main libre sous sa jupe.
Merde…
Je repousse Claude qui tombe lourdement sur ses fesses.
Je saisis le col de sa blouse et je suis à deux doigts de lui mettre mon poing dans la gueule.
Avec mes excuses, mon poing dans sa jolie frimousse.
• Non, Christophe ne la frappe pas, je vais tout t’expliquer !
Je relâche ma tension attendant pourquoi sous cette jupe, j’ai clairement senti des attributs masculins.
Une belle bite, certes au repos, mais une bite tout de même.
• Christophe, Claude est un transsexuel.
Elle est née déclarée garçon, à cause de cette sorte de bite, qu’ils ont vue à sa naissance.
Ils se sont aperçus de leur erreur, car cette bite ne lui sert pas pour uriner, mais en dessous elle a un méat urinaire lui permettant de vider sa vessie.
Ce petit membre durci lorsqu’on le stimule, mais c’est tout.
À sa puberté, ses seins ont poussée la faisant apparaitre femme surtout après sa luxurieuse chevelure rousse.
Je l’ai rencontré et je suis de suite tombé amoureux.
J’ai eu la même réaction que toi, mais moi j’ai franchi le pas, je lui ai cassé le nez.
Nous étions chez ses parents où j’étais venu officiellement pour travailler un exposé pour le passage de notre bac.
• Je vais te dire Christophe, Luc, je l’aimais, mais je pressentais avoir une différence avec les autres garçons.
Quand mon corps s’est féminisé, j’ai vu un médecin qui m’a expliqué que j’étais comme je suis et qu’il fallait que je m’assume.
Ma mère a essayé de me protéger, mais mon père ne l’a pas accepté.
Il m’a mis dehors et j’ai fini de vivre en suçant des bites le long des boulevards extérieures parisiens.
• De mon côté de la province j’étais monté, moi aussi à Paris pour mes études de droit.
J’allais dans un bar dans le Quartier Latin et un jour je l’ai vu.
Mon cœur s’est remis à battre, malgré que je connaisse sa différence.
• Luc a très vite su que je me prostituais le long des boulevards et c’est lui qui m’a sortie de la déchéance ou j’étais tombée à cause de mon père.
• Je voulais l’épouser, car j’avais trouvé un cabinet ou je gagnais ma vie.
Mais, nous nous sommes trouvés face à l’administration, il avait été déclaré mâle et ils nous étaient impossibles de nous marier entre hommes.
Peut-être un jour, les choses changeront, mais nous ne serons plus là pour le voir.
Là où nous vivions, certaines savaient ce qu’elle était et ce qu’elle avait fait pour vivre.
C’est moi que l’on traitait de pédé aimant les putes et mon patron l’a su et il m’a viré.
J’aimais Claude, telle qu’elle était, alors j’ai décidé que nous quittions Paris et j’ai ouvert mon propre cabinet ici à Royan et de cacher notre amour à Saint-Georges.
• J’ai très vite compris que nos rapports très limités vus mon handicap frustrait Luc.
C’est moi qui lui ai proposé de trouver de vraies femmes pour passer un moment.
Le casino est notre terrain de chasse, Patou, lorsque je t’ai vu te croyant seule avec ta béquille, je lui ai proposé de te draguer pour que tu passes la fin de soirée tous les trois.
• Oui, Patou, tu me faisais bander et comme nous ignorions que tu étais accompagnée, lorsque Christophe est arrivé, nous avions entamé un mouvement d’approche.
• Et je suis allé jouer et j’ai gagné une grosse somme à la roulette.
• Exact, on connaît la suite, nous nous sommes retrouvés fortuitement au restaurant.
• Vous trouvez, facilement des femmes pour passer un moment soit ici, soit chez elles !
• Au mois d’aout, nous avons rencontré une jeune Parisienne.
Vous auriez pu voir son fiancé, il vit comme un clochard croyant avoir une martingale pour gagner du fric facilement.
Sylvie, elle s’appelait Sylvie a vécu avec nous jusqu’à la fin de ses vacances.
C’est nous qui l’avons ramené à la gare, car elle devait rentrer faire ses études.
Christophe, tu as eu la chance de faire sauter la banque, fait attention il est facile de perdre ce que l’on a gagné plus vite qu’on ne le pense.
Je prends de nouveau ce conseil comme il se doit, être riche de plus de 2 millions gagnés sur un putain de coup de chance, il va de soi que je le suivrais dès notre retour à Paris.
Surtout que j’ai envie de m’assumer et pour cela j’ai une petite idée derrière la tête.
Inutile de chercher, comme je l’ai dit, je suis un queutard, mais pour une fois, si je réussis à amener mon idée à terme, ma queue restera sans le moindre problème dans mon pantalon.
J’aide Claude à se relever, ma bouche dès la première fois m’a permis d’avoir un contact avec Claude, je la plaque contre moi et je réitère mon baiser interrompu par ma découverte.
Claude plaque ses seins contre ma poitrine, si ce qui ressemblait à une bite était mou, ses seins sont presque prêts à exploser tellement leurs pointes sont dures.
Me faire sucer par une femme en même temps qu’elle est homme, simplement par son prénom Claude, c’est un pas que je franchis.
Ma queue qu’elle sort de mon pantalon bande comme jamais alors qu’un homme, rien que d’y penser je suis à deux doigts de dégueuler mes fruits de mer et mon Cognac.
Sa bouche est divine, aussi, prenant mon courage à deux mains, je veux lui apporter du plaisir.
Je me persuade que cette bite, est un clito surdimensionné, dix centimètres pour un clito, ce serait un record mondial, du moins je le crois.
Nous nous dénudons.
Je reporte mon regard vers Luc et Patou, ils ont repris leur marche vers le plaisir, la balancelle ne semblant pas l’endroit idéal pour avoir des rapports entre homme et femme.
• Christophe, viens dans notre chambre, je suis sûr que Luc veut prendre Patricia et ainsi prendre le plaisir que je lui conçois de temps en temps !
Une petite partie carrée, ce n’est pas pour me déplaire.
Surtout que leur chambre possède un grand lit comme un champ de bataille.
69, c’est ce que je fais avec Claude alors que l’autre couple en fait de même.
Le clito de Claude, prenant même du volume, car comme une bite, il se gorge de sang.
La différence, c’est que je bande aussi surtout lorsque Claude me suce les couilles, c’est ainsi que je suis dans l’incapacité de résister lui arrosant les amygdales d’une grande rasade de sperme alors que ma bouche reste sèche.
Claude, ne relâche pas mon sexe et je me remets à bander, suffisamment pour suivre le conseil de Luc.
• Christophe, encule là si tu le désires, je comprendrais que tu te refuses de le faire.
• Oui, Chris, encule-moi, prends-moi par mes seins, tu auras l’impression de baiser cette belle salope que Luc prend en levrette.
La situation a évolué entre les deux autres protagonistes.
Lors du repas, Patou a expliqué une grande partie de notre vie depuis notre rencontre et qu’elle n’avait pas de protection contre les grosses espérant qu’elle puisse me donner un enfant.
À ce moment de notre rencontre autour de nos plateaux de fruits de mer, nous ignorions la particularité de Claude lorsqu’elle nous a dit regretté de ne pas avoir d’enfants.
Ce que j’ai vu c’est la capote qu’il s’est enfilé protégeant Patou d’une grossesse intempestive.
Ce que je vois aussi lorsque j’entre dans l’anus de Claude, ce sont les deux femmes qui s’embrassent dans la même position l’une de l’autre.
Une partie carrée reste une partie carrée.
Un clito-bite, reste un clito-bite, mais dans un de nos moments de délire, Patou s’offre le clito de Claude.
Alors que nul doute, je suce la bite de Luc, tout en enfonçant ma main dans la chatte de ma petite salope de fiancée.
Deux nuits, l’une comme l’autre pleines de plaisir, l’une avec le Colonel, l’autre avec cet homme et son transsexuel de femme.
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