COLLECTION HOMME FEMME. Les Caddys (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2018 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION HOMME FEMME. Les Caddys (1/2)
Ce dimanche matin moi qui aime faire la grâce mâtinée, je suis obligé de me lever pour aller à mon travail faire une réception.
J’ai eu toutes les malchances sur cette affaire, mon adjoint Fabien, en temps normal, c’est lui qui se serait lever pour réceptionner les nouveaux Caddys, mais ce week-end, il est descendu à Marseille pour voir OM – PSG et j’étais la seule à avoir le droit de contrôler l’arrivage.
Je suis la responsable d’un centre de moyenne importance d’un supermarché dont je cacherais l’enseigne à 30 kilomètres de Paris.
Nous changeons ces maudits Caddys régulièrement au lieu de les réparer, il paraît que cela coûte moins chère, faut voir, je ne suis pas persuadée.
À 29 ans, je suis célibataire sans enfant, je viens d’être nommée directrice adjointe d’un hyper en vue de remplacer le directeur principal qui prend sa retraite dans un peu plus d’un an.
Paris, plutôt Ozoir-la-Ferrière magasin bien achalandé, mais facile à gérer à Bordeaux ville d’un tout autre calibre dans l’est de la ville avec une surface de vente trois fois supérieure à ma surface actuelle.
Je me suis rendu à Bordeaux tous les frais payés, bien sûr, il y a 15 jours visités l’appartement de fonction qui m’a été attribué à quelques minutes du magasin et situé à Floirac.
À quelques pas de deux parcs dont l’un avec un lac où je pourrais aller faire du jogging matinal, car je fais une demi-heure tous les matins et surtout le dimanche vers onze heures avant d’aller manger au restaurant.
Quatre pièces, cuisine, salle de bain grande comme une salle de bal avec une baignoire d’angle où je vais pouvoir nager tous les jours vu ses dimensions, il faut bien avoir un peu d’humour.
J’ai aussi un balcon avec vue sur la Garonne qui m’assurera la tranquillité les nuits, les dimanches et lundis qui me sont attribués comme repos.
En attendant, je suis au magasin ou lorsque j’arrive, je vois le camion au nom de la société de livraison qui m’attend, je suis pourtant en avance, car j’ai rendez-vous à neuf heures.
Je gare ma voiture à leurs hauteurs, deux garçons en descendent, s’approchant de moi.
• Vous êtes la gérante avec qui nous avons rendez-vous, Véronique, je crois ?
• Oui, je suis bien la Véronique stipulée sur votre bordereau.
• Vous êtes notre rayon de soleil pour ce dimanche, qui semble vouloir être ensoleillé et où nous allons crever de chaud dans notre cabine avant de repartir après minuit, car les dimanches, ils nous interdisent de rouler.
• Merci pour le rayon de soleil, mais au travail, commencer à descendre les Caddys, nous allons les mettre en place dans chaque emplacement, le personnel de service hier au soir, à ma demande, a rangé les anciens le long du mur où vous pourrez facilement les charger.
• 1 500 Caddys à descendre, à contrôler et à mettre en place sans compter le rechargement, nous aurons fini à midi.
• Vous savez mon nom et vous !
• Ludovic pour moi, Hugo pour mon copain.
Ils déplacent le camion près du premier parc, le travail avance et quoique je fasse les contrôles, je suis en eau sous mon chemisier blanc.
Je sens les yeux de Ludo de plus en plus insistant m’interpellant, garçon de vingt-cinq à trente ans, aux cheveux bruns tombant sur ses épaules d’un mètre quatre-vingt environ aux yeux noisette et à la musculature saillante sous son marcel, m’interroge surtout lorsque Hugo son copain beau blond en tee-shirt écru a le même regard en me descendant une série de Caddys.
Ils sont au milieu du camion lorsque je les entends rigoler, lorsqu’ils descendent poussant une série, c’est vers ma poitrine qu’ils regardent.
Je baisse la tête et j’aperçois, mes aréoles bien marquées, le tissu étant devenu entièrement transparent à cause de la sueur, mon premier réflexe est de me cacher les seins avec mon bras.
• Véronique laisse les biens apparents, cela nous donne du cœur à l’ouvrage, regarde, nous avons déjà une demi-heure d’avance sur le temps que nous avions calculé pour tout mettre en place.
Je dois reconnaître que ces deux beaux garçons sont fortement à mon goût depuis le départ de Sissy et de Frédéric pour les États-Unis ouvrir une pizzeria à Manhattan, il y a deux mois.
Deux mois que ma chatte est vierge de toute sollicitation, car le couple était seuls à profiter de mes seins qui semblent impatients de prendre l’air.
C’est grâce à Sissy que notre relation a commencée.
Nous étions avec trois copines dans la boîte la plus proche d’Ozoir-la-Ferrière, à fêter la fin de la vie de jeune fille de Lucia qui allait convoler avec Éric en justes noces deux semaines plus tard.
Cette boîte proche des gens de cinquante ans gardait la vieille formule, danse moderne par séries de trois et danse douce par le même nombre.
• Tu danses ma belle.
C’est par ces mots que Sissy m’a interpellé tout en me prenant la main m’entraînant sur la piste poitrine contre poitrine.
Le courant électrique passant entre nous dès le premier contact m’avait évité de me poser la moindre question sur l’invitation de cette fille belle comme une déesse de la mythologie.
Ces longs cheveux blonds descendant jusqu’à ses reins, qu’elle tenait serrée par un ruban rouge soulignant le blanc de la peau de son cou a enlevé en moi toute trace de scrupule de frotter nos seins et nos pubis.
Nous aurions été dans un endroit plus intime, je pense que nous serions embrassés devant son mari qui semblait aimer voir sa femme me draguer.
Deux séries de slows et ils m’ont entraîné vers leur nid qui est devenu l’un de nos deux nids, car nous vivions tantôt chez les uns tantôt chez les autres.
• As-tu déjà fait l’amour avec une femme.
• Non.
• Veux-tu que je t’apprenne.
• Oui, et ton homme ?
• Johnny, acceptes-tu qu’il nous rejoigne.
• Peut-être, on verra.
J’étais assise entre deux chaises, la queue des hommes, j’aimais beaucoup, j’étais loin d’être pucelle, j’avais connu le sexe de plusieurs hommes dont la queue du frère de mon beau-père qui m’avait dépucelé dès que j’ai eu l’âge pour ces jeux.
Faire l’amour avec Sissy, je pouvais après Albert, Lorette m’avait appris les plaisirs féminins, j’aimais la manière qu’elle avait de me sucer le clitoris qui s’enflammait dès qu’elle le prenait entre ses lèvres.
Plan à trois pour moi, c’était encore dans le domaine de l’inconnu, je l’ai franchi rapidement pour notre plus grand plaisir, sucer Sissy la queue de Johnny bien fiché au fond de mon vagin alors que je suis en levrette ne m’a pas posé de problème.
Quand ils m’ont appris leur départ, j’ai senti le vide que leur abandon créait en moi.
Je suis mauvaise langue, ils voulaient que je vienne avec eux, mais j’attendais mon nouveau poste et j’ai refusé.
Je me suis amusé de mes seins qui se manifestaient à cause de la sueur et nous avons fini notre labeur, l’atmosphère pesante à cause de la chaleur devenait plus décontractée, après que les emplacements pour Caddys se remplissaient, au point de nous tutoyer.
Le déchargement fini, le chargement des vieux caddys s’est fait rapidement, il n’y avait ni contrôle, ni précaution pour ne pas les abîmer, à onze heures nous avions terminé.
• Véronique, est-il possible que nous prenions une douche à l'intérieur de ton magasin, certaines fois, il y en a pour le personnel dans les vestiaires.
• Hélas, non, pas ici, mais si…
J’arrêtais là ma phrase voyant le risque que je prenais à ce que j’allais dire, Ludo la termine, je suis piégée.
• Mais si vous voulez venir chez moi, je vous permettrais de vous rafraîchir, allant même jusqu’à vous inviter à manger.
• Je voudrais bien, mais je vais être muté à Bordeaux et mon frigo est vide.
• Pour la bouffe, aucun problème, j’ai vu une boutique de pizza à emporter 7 jours sur 7, en arrivant ici ce matin, il suffira que tu nous arrêtes avec ta voiture, c’est nous qui payons.
Pour la boisson, j’ai deux packs de bière dans ma glacière dans la cabine, tu nous raccompagneras à minuit.
Arrêt à la boutique, trois maxi pizzas, quatre saisons, Napolitaine, Fruit de mer avant de me trouver chez moi.
• La salle de bains est en face, vous y allez, je vous apporte des serviettes, attendez que je les aie déposés avant de vous mettre nue.
• Compte sur nous, nous ne sommes pas des sauvages, nous avons de l’éducation.
Le temps d’aller déposer les pizzas, dans ma chambre prendre les serviettes quand j’entre, ils sont devant la baignoire entièrement nus…
J’ai eu toutes les malchances sur cette affaire, mon adjoint Fabien, en temps normal, c’est lui qui se serait lever pour réceptionner les nouveaux Caddys, mais ce week-end, il est descendu à Marseille pour voir OM – PSG et j’étais la seule à avoir le droit de contrôler l’arrivage.
Je suis la responsable d’un centre de moyenne importance d’un supermarché dont je cacherais l’enseigne à 30 kilomètres de Paris.
Nous changeons ces maudits Caddys régulièrement au lieu de les réparer, il paraît que cela coûte moins chère, faut voir, je ne suis pas persuadée.
À 29 ans, je suis célibataire sans enfant, je viens d’être nommée directrice adjointe d’un hyper en vue de remplacer le directeur principal qui prend sa retraite dans un peu plus d’un an.
Paris, plutôt Ozoir-la-Ferrière magasin bien achalandé, mais facile à gérer à Bordeaux ville d’un tout autre calibre dans l’est de la ville avec une surface de vente trois fois supérieure à ma surface actuelle.
Je me suis rendu à Bordeaux tous les frais payés, bien sûr, il y a 15 jours visités l’appartement de fonction qui m’a été attribué à quelques minutes du magasin et situé à Floirac.
À quelques pas de deux parcs dont l’un avec un lac où je pourrais aller faire du jogging matinal, car je fais une demi-heure tous les matins et surtout le dimanche vers onze heures avant d’aller manger au restaurant.
Quatre pièces, cuisine, salle de bain grande comme une salle de bal avec une baignoire d’angle où je vais pouvoir nager tous les jours vu ses dimensions, il faut bien avoir un peu d’humour.
J’ai aussi un balcon avec vue sur la Garonne qui m’assurera la tranquillité les nuits, les dimanches et lundis qui me sont attribués comme repos.
En attendant, je suis au magasin ou lorsque j’arrive, je vois le camion au nom de la société de livraison qui m’attend, je suis pourtant en avance, car j’ai rendez-vous à neuf heures.
Je gare ma voiture à leurs hauteurs, deux garçons en descendent, s’approchant de moi.
• Vous êtes la gérante avec qui nous avons rendez-vous, Véronique, je crois ?
• Oui, je suis bien la Véronique stipulée sur votre bordereau.
• Vous êtes notre rayon de soleil pour ce dimanche, qui semble vouloir être ensoleillé et où nous allons crever de chaud dans notre cabine avant de repartir après minuit, car les dimanches, ils nous interdisent de rouler.
• Merci pour le rayon de soleil, mais au travail, commencer à descendre les Caddys, nous allons les mettre en place dans chaque emplacement, le personnel de service hier au soir, à ma demande, a rangé les anciens le long du mur où vous pourrez facilement les charger.
• 1 500 Caddys à descendre, à contrôler et à mettre en place sans compter le rechargement, nous aurons fini à midi.
• Vous savez mon nom et vous !
• Ludovic pour moi, Hugo pour mon copain.
Ils déplacent le camion près du premier parc, le travail avance et quoique je fasse les contrôles, je suis en eau sous mon chemisier blanc.
Je sens les yeux de Ludo de plus en plus insistant m’interpellant, garçon de vingt-cinq à trente ans, aux cheveux bruns tombant sur ses épaules d’un mètre quatre-vingt environ aux yeux noisette et à la musculature saillante sous son marcel, m’interroge surtout lorsque Hugo son copain beau blond en tee-shirt écru a le même regard en me descendant une série de Caddys.
Ils sont au milieu du camion lorsque je les entends rigoler, lorsqu’ils descendent poussant une série, c’est vers ma poitrine qu’ils regardent.
Je baisse la tête et j’aperçois, mes aréoles bien marquées, le tissu étant devenu entièrement transparent à cause de la sueur, mon premier réflexe est de me cacher les seins avec mon bras.
• Véronique laisse les biens apparents, cela nous donne du cœur à l’ouvrage, regarde, nous avons déjà une demi-heure d’avance sur le temps que nous avions calculé pour tout mettre en place.
Je dois reconnaître que ces deux beaux garçons sont fortement à mon goût depuis le départ de Sissy et de Frédéric pour les États-Unis ouvrir une pizzeria à Manhattan, il y a deux mois.
Deux mois que ma chatte est vierge de toute sollicitation, car le couple était seuls à profiter de mes seins qui semblent impatients de prendre l’air.
C’est grâce à Sissy que notre relation a commencée.
Nous étions avec trois copines dans la boîte la plus proche d’Ozoir-la-Ferrière, à fêter la fin de la vie de jeune fille de Lucia qui allait convoler avec Éric en justes noces deux semaines plus tard.
Cette boîte proche des gens de cinquante ans gardait la vieille formule, danse moderne par séries de trois et danse douce par le même nombre.
• Tu danses ma belle.
C’est par ces mots que Sissy m’a interpellé tout en me prenant la main m’entraînant sur la piste poitrine contre poitrine.
Le courant électrique passant entre nous dès le premier contact m’avait évité de me poser la moindre question sur l’invitation de cette fille belle comme une déesse de la mythologie.
Ces longs cheveux blonds descendant jusqu’à ses reins, qu’elle tenait serrée par un ruban rouge soulignant le blanc de la peau de son cou a enlevé en moi toute trace de scrupule de frotter nos seins et nos pubis.
Nous aurions été dans un endroit plus intime, je pense que nous serions embrassés devant son mari qui semblait aimer voir sa femme me draguer.
Deux séries de slows et ils m’ont entraîné vers leur nid qui est devenu l’un de nos deux nids, car nous vivions tantôt chez les uns tantôt chez les autres.
• As-tu déjà fait l’amour avec une femme.
• Non.
• Veux-tu que je t’apprenne.
• Oui, et ton homme ?
• Johnny, acceptes-tu qu’il nous rejoigne.
• Peut-être, on verra.
J’étais assise entre deux chaises, la queue des hommes, j’aimais beaucoup, j’étais loin d’être pucelle, j’avais connu le sexe de plusieurs hommes dont la queue du frère de mon beau-père qui m’avait dépucelé dès que j’ai eu l’âge pour ces jeux.
Faire l’amour avec Sissy, je pouvais après Albert, Lorette m’avait appris les plaisirs féminins, j’aimais la manière qu’elle avait de me sucer le clitoris qui s’enflammait dès qu’elle le prenait entre ses lèvres.
Plan à trois pour moi, c’était encore dans le domaine de l’inconnu, je l’ai franchi rapidement pour notre plus grand plaisir, sucer Sissy la queue de Johnny bien fiché au fond de mon vagin alors que je suis en levrette ne m’a pas posé de problème.
Quand ils m’ont appris leur départ, j’ai senti le vide que leur abandon créait en moi.
Je suis mauvaise langue, ils voulaient que je vienne avec eux, mais j’attendais mon nouveau poste et j’ai refusé.
Je me suis amusé de mes seins qui se manifestaient à cause de la sueur et nous avons fini notre labeur, l’atmosphère pesante à cause de la chaleur devenait plus décontractée, après que les emplacements pour Caddys se remplissaient, au point de nous tutoyer.
Le déchargement fini, le chargement des vieux caddys s’est fait rapidement, il n’y avait ni contrôle, ni précaution pour ne pas les abîmer, à onze heures nous avions terminé.
• Véronique, est-il possible que nous prenions une douche à l'intérieur de ton magasin, certaines fois, il y en a pour le personnel dans les vestiaires.
• Hélas, non, pas ici, mais si…
J’arrêtais là ma phrase voyant le risque que je prenais à ce que j’allais dire, Ludo la termine, je suis piégée.
• Mais si vous voulez venir chez moi, je vous permettrais de vous rafraîchir, allant même jusqu’à vous inviter à manger.
• Je voudrais bien, mais je vais être muté à Bordeaux et mon frigo est vide.
• Pour la bouffe, aucun problème, j’ai vu une boutique de pizza à emporter 7 jours sur 7, en arrivant ici ce matin, il suffira que tu nous arrêtes avec ta voiture, c’est nous qui payons.
Pour la boisson, j’ai deux packs de bière dans ma glacière dans la cabine, tu nous raccompagneras à minuit.
Arrêt à la boutique, trois maxi pizzas, quatre saisons, Napolitaine, Fruit de mer avant de me trouver chez moi.
• La salle de bains est en face, vous y allez, je vous apporte des serviettes, attendez que je les aie déposés avant de vous mettre nue.
• Compte sur nous, nous ne sommes pas des sauvages, nous avons de l’éducation.
Le temps d’aller déposer les pizzas, dans ma chambre prendre les serviettes quand j’entre, ils sont devant la baignoire entièrement nus…
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