COLLECTION HOMME FEMME. Notre chalet isolé (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Notre chalet isolé (2/3)
• Maud, toi qui te plaignais depuis des années, du manque de Noël blanc, cette année tu vas être servie.
Ces propos s’étaient avant que Paul mon mari recommence à boire, verre de whisky sur verre de whisky alors qu’il m’avait promis de rester sobre pour ce réveillon de Noël.
Mes beaux-parents devaient venir réveillonner avec nous, mais mon beau-père a remis leur voyage vu les conditions météo.
Lorsque le réseau électrique du secteur disjoncte, c’est la totale et c’est la cerise sur le gâteau d’un réveillon de merde.
Lorsque l’on frappe fermement à notre porte d’entrée fermement, je sursaute, car Paul m’a prévenue que la route était coupée depuis le carrefour dans le village.
Le chasse neige du village étant en panne, théoriquement la route jusqu’à l’hôtel au début du champ de neige et passant devant chez nous, nous isole de tous.
Tous sauf une touriste Susy qui connaissant la route le long du torrent a essayée de monter afin de retrouver son ami à l’hôtel.
Coincé un virage plus bas par une congère, elle trouve son salut en venant jusque chez nous.
Jolie femme, mais surtout femme pleine de resourcer qui sauve notre réveillon et surtout notre dinde en la coupant en morceaux que nous ferons frire dans le poêlon chauffé à l’alcool.
Trempé dans de l’œuf puis de la chapelure que nous avons faite en pilant des biscottes, il paraît que cette fondue bressane est très à la mode dans cette région proche d’ici.
Pour réveillonner, nous montons dans ma chambre, pardon notre chambre avec Paul, bien que depuis quelques semaines, notre lit est loin d’être le champ de bataille qu’il a été lors de notre rencontre.
• Maud, est-il possible de prendre une douche ?
Lorsque j’étais jeune, avec les copains, j’allais me baigner dans de l’eau venue des torrents.
Elle était très froide, depuis j’ai horreur de l’eau chaude.
Elle a raison, le monde moderne est loin d’être adapté au changement climatique et lorsque mes parents ont fait refaire l’installation d’eaux chaudes et de chauffage, ils ont mis une chaudière avec un ballon.
Si Susy l’aime froide, je vais pouvoir la prendre chaude.
Sans plus attendre et sans pudeur, elle fait tomber ses vêtements me montrant la belle femme épanouie qu’elle ait.
• Allée à poil, on est entre femmes.
Je veux éviter de passer pour une gourde, je me dévêts, pour préparer le réveillon qui a failli avorter, moi aussi j’étais en jeans, chemisier et Mule noir.
• Quelle horreur, comment une femme élégante comme toi, peut-elle garder une telle touffe sur sa chatte ?
• C’est Paul qui y tient, il dit que les femmes rasées comme toi, sont des femmes qui refusent leur féminité.
• Et des hommes qui picolent au point d’être bourrés comme il l’est déjà, comment les appels, moi je dis des pochetrons et il y a longtemps que je lui aurais fait faire ses valises.
Je vois tu dépends de lui, c’est pour cela que tu restes.
Ces mots me rappellent ma promesse de le mettre dehors s’il se pochetronnait comme le dit Susy.
Nous verrons demain, il est impossible que je le mette dehors par un tel temps, il faut savoir rester humaine.
• Je vois du savon à barbe et un coup chou, c’est à Paul !
Pour une fois, il va nous servir à quelque chose dans cette maison.
Si tu as une bassine remplie là d’eau et viens dans la chambre, j’ai travaillé dans un institut de beauté pour payer mes études, je vais t’arranger ça.
C’est ainsi que je me retrouve sur mon lit, les jambes écartées de façon impudique devant une jeune femme qui par des coups précis m’enlève quatre-vingt-dix pourcents des poils sur ma chatte.
• Je t’ai laissé cette petite touffe, tu as un mont de Vénus asser proéminent, ça le met en valeur.
Prononçant ces mots, elle se penche pour embrasser cette touffe.
Sans vouloir le faire exprès, je me soulève légèrement, ses lèvres trouvent mon clito.
D’autres auraient reculé, mais Susy prend ça pour une invitation et c’est sa langue qui commence à le caresser.
Mon clito a toujours été très sensible bien que j’aime aussi être pénétré par la verge de mon mari, hélas, nous connaissons la suite les abus d’alcool diminuant sa libido.
Ses doigts, sa langue, c’est la première fois qu’une femme essaye de me donner du plaisir.
Comme je viens de le dire, étant très sensible et frustrée du manque d’intérêt de Paul pour le sexe, mon sexe, Susy me fait connaitre un orgasme féminin.
• Tu as aimé !
• Oh ! oui, tu es la première, comment je peux faire pour te rendre la pareille ?
• Plus tard, je suis contente de t’avoir donné du plaisir, après que tu m’es sauvé du risque de me retrouver isolée dans cette nuit de Noël.
Je vais rapidement me doucher, «en passant devant ma psyché, je m’arrête une seconde pour regarder les transformations pratiquées sur mon intimité.
La touffe que Susy a laissée sur mon mont de Vénus le met en valeur.
La fraicheur commence à envahir la pièce, je me douche rapidement et je la rejoins dans la chambre.
J’avais sorti la robe longue rouge de l’an dernier avec les chaussures allant avec.
Même taille, même pointure, lorsque une fois vêtu de ma robe blanche, ce sont deux très belles femmes qui rejoignent la salle et son feu revigorant ?
Paul est vautré sur le canapé en train de cuver, je le secoue.
• Ivrogne, va te préparer, nous nous le sommes, va passer ton smoking et arrête de boire, sinon tu sais ce que je t’ai promis.
Titubant à l’aller, la douche froide qu’il a dû prendre semble l’avoir remis sur pied.
C’est sans compter le vin de papa que Paul a sortie de la cave que papa a creusée de ses mains dans la montagne où le chalet est appuyé.
Muscat Frontignan servi un peu frais avec le foie gras.
Pommard 2009 avec la fondue bressane, ce sont des bouteilles que mon père a achetées pour mes dix-huit ans les faisant vieillir en vue du jour où j’aurais un enfant.
Paul a sorti une bouteille de Pouilly Fuissé en prévision si l’un de nous préfère le blanc au rouge.
Et avec la buche, une bouteille de champagne millésimé.
Susy et moi, nous buvons un demi-verre, Paul finit la totalité des bouteilles.
Le blanc il le boit seul, Susy comme moi nous préférons le rouge.
La seule bouteille que nous partageons à trois, ce sont les coupes de champagne ou chacune de nous en buvons une à deux.
Paul retourne sur son divan, une nouvelle fois il va cuver.
• J’aurais bien envie de danser, ce champagne me met toujours en joie.
• Hélas, sans courant la chaîne que j’ai offerte à Paul l’an passé est inutilisable, sans courant.
• Ce Gramophone sur le meuble, fonctionne-il ?
• Je l’ignore, il a toujours été là depuis que je suis toute petite et je suis dans l’incapacité de le faire fonctionner, d’ailleurs, il est peut-être hors de service.
• Je regarde, as-tu des disques ?
• Oui, dans le tiroir en dessous, ils doivent être poussiéreux.
• Merde, pardon de ma grossièreté, un des premiers disque de sing, voyons si ça marche, je tourne la manivelle et je place l’aiguille sur la galette.
Ça grésille, c’est loin d’être un son pur comme la chaîne ultra-moderne, mais ça fonctionne, je suis obligé de remonter ma robe longue et enlever mes talons hauts pour passer au-dessus de ses épaules, nous nous amusons comme deux folles.
Le swing terminé, elle place un disque de slow et c’est dans ses bras que sonnent les douze coups de minuit sur l’horloge comtoise.
Naturellement, comme si ça avait été écrit, je sens son souffle dans mon cou.
Son souffle m’émoustille, mais son vagin venant se plaquer sur mon mont de Vénus me rappelle que je suis une femme aimant faire l’amour.
Puis lorsque nous tournons, le spectacle de Paul dormant la bouche ouverte me rappelle que j’ai aimé cet homme et qu’à ce moment tout vient de se terminer, je l’avais pourtant prévenu.
Ma robe tombante, moi aussi je tombe là où Susy veut que nous recommencions les jeux commencés dans ma chambre.
Bouches qui se cherchent, bouches qui se trouvent, mains sur mes seins, mains sur ces seins.
Avec Paul il y aurait longtemps qu’il aurait sorti sa queue pour me la mettre à la place de la langue de Susy.
Avec elle, je découvre les moments tendres que deux femmes sont capables de se donner.
Je me souviens de mon envie de faire à ma compagne ce qu’elle m’a fait sur mon lit après qu’elle m’ait rasé la touffe.
Je me laisse glisser, passant par son nombril alors que ses mains viennent enserrer ma tête.
Un instant j’hésite à franchir le pas et de m’attaquer à ce vagin glabre.
Elle a trouvé mon clitoris, je trouve le sien.
Susy se tortille sur ma langue qui vient de plonger en elle ainsi que trois de mes doigts.
Elle est trempée, le feu crépite à quelques mètres de nous, mais je sais que c’est son plaisir qui démarre.
D’un coup son corps se tend et elle me pisse littéralement au visage, tachant aussi mon tapis.
Une partie du liquide arrive sur mes papilles, c’est drôle, le goût est bien différent de l’urine qu’un corps peut expulser.
Susy m’attire jusqu’à elle.
• Pardon, tu comprends pourquoi je t’ai refusé de me rendre ce que je t’avais donné avec ma bouche dans ta chambre.
Je suis une femme fontaine, ce que tu as reçu dans ta figure et dans ta bouche, c’est de la cyprine que mon corps expulse lorsque ma jouissance est trop intense.
Pour une première expérience lesbienne, je suis servie, j’ignorais que ce genre de chose existait...
Ces propos s’étaient avant que Paul mon mari recommence à boire, verre de whisky sur verre de whisky alors qu’il m’avait promis de rester sobre pour ce réveillon de Noël.
Mes beaux-parents devaient venir réveillonner avec nous, mais mon beau-père a remis leur voyage vu les conditions météo.
Lorsque le réseau électrique du secteur disjoncte, c’est la totale et c’est la cerise sur le gâteau d’un réveillon de merde.
Lorsque l’on frappe fermement à notre porte d’entrée fermement, je sursaute, car Paul m’a prévenue que la route était coupée depuis le carrefour dans le village.
Le chasse neige du village étant en panne, théoriquement la route jusqu’à l’hôtel au début du champ de neige et passant devant chez nous, nous isole de tous.
Tous sauf une touriste Susy qui connaissant la route le long du torrent a essayée de monter afin de retrouver son ami à l’hôtel.
Coincé un virage plus bas par une congère, elle trouve son salut en venant jusque chez nous.
Jolie femme, mais surtout femme pleine de resourcer qui sauve notre réveillon et surtout notre dinde en la coupant en morceaux que nous ferons frire dans le poêlon chauffé à l’alcool.
Trempé dans de l’œuf puis de la chapelure que nous avons faite en pilant des biscottes, il paraît que cette fondue bressane est très à la mode dans cette région proche d’ici.
Pour réveillonner, nous montons dans ma chambre, pardon notre chambre avec Paul, bien que depuis quelques semaines, notre lit est loin d’être le champ de bataille qu’il a été lors de notre rencontre.
• Maud, est-il possible de prendre une douche ?
Lorsque j’étais jeune, avec les copains, j’allais me baigner dans de l’eau venue des torrents.
Elle était très froide, depuis j’ai horreur de l’eau chaude.
Elle a raison, le monde moderne est loin d’être adapté au changement climatique et lorsque mes parents ont fait refaire l’installation d’eaux chaudes et de chauffage, ils ont mis une chaudière avec un ballon.
Si Susy l’aime froide, je vais pouvoir la prendre chaude.
Sans plus attendre et sans pudeur, elle fait tomber ses vêtements me montrant la belle femme épanouie qu’elle ait.
• Allée à poil, on est entre femmes.
Je veux éviter de passer pour une gourde, je me dévêts, pour préparer le réveillon qui a failli avorter, moi aussi j’étais en jeans, chemisier et Mule noir.
• Quelle horreur, comment une femme élégante comme toi, peut-elle garder une telle touffe sur sa chatte ?
• C’est Paul qui y tient, il dit que les femmes rasées comme toi, sont des femmes qui refusent leur féminité.
• Et des hommes qui picolent au point d’être bourrés comme il l’est déjà, comment les appels, moi je dis des pochetrons et il y a longtemps que je lui aurais fait faire ses valises.
Je vois tu dépends de lui, c’est pour cela que tu restes.
Ces mots me rappellent ma promesse de le mettre dehors s’il se pochetronnait comme le dit Susy.
Nous verrons demain, il est impossible que je le mette dehors par un tel temps, il faut savoir rester humaine.
• Je vois du savon à barbe et un coup chou, c’est à Paul !
Pour une fois, il va nous servir à quelque chose dans cette maison.
Si tu as une bassine remplie là d’eau et viens dans la chambre, j’ai travaillé dans un institut de beauté pour payer mes études, je vais t’arranger ça.
C’est ainsi que je me retrouve sur mon lit, les jambes écartées de façon impudique devant une jeune femme qui par des coups précis m’enlève quatre-vingt-dix pourcents des poils sur ma chatte.
• Je t’ai laissé cette petite touffe, tu as un mont de Vénus asser proéminent, ça le met en valeur.
Prononçant ces mots, elle se penche pour embrasser cette touffe.
Sans vouloir le faire exprès, je me soulève légèrement, ses lèvres trouvent mon clito.
D’autres auraient reculé, mais Susy prend ça pour une invitation et c’est sa langue qui commence à le caresser.
Mon clito a toujours été très sensible bien que j’aime aussi être pénétré par la verge de mon mari, hélas, nous connaissons la suite les abus d’alcool diminuant sa libido.
Ses doigts, sa langue, c’est la première fois qu’une femme essaye de me donner du plaisir.
Comme je viens de le dire, étant très sensible et frustrée du manque d’intérêt de Paul pour le sexe, mon sexe, Susy me fait connaitre un orgasme féminin.
• Tu as aimé !
• Oh ! oui, tu es la première, comment je peux faire pour te rendre la pareille ?
• Plus tard, je suis contente de t’avoir donné du plaisir, après que tu m’es sauvé du risque de me retrouver isolée dans cette nuit de Noël.
Je vais rapidement me doucher, «en passant devant ma psyché, je m’arrête une seconde pour regarder les transformations pratiquées sur mon intimité.
La touffe que Susy a laissée sur mon mont de Vénus le met en valeur.
La fraicheur commence à envahir la pièce, je me douche rapidement et je la rejoins dans la chambre.
J’avais sorti la robe longue rouge de l’an dernier avec les chaussures allant avec.
Même taille, même pointure, lorsque une fois vêtu de ma robe blanche, ce sont deux très belles femmes qui rejoignent la salle et son feu revigorant ?
Paul est vautré sur le canapé en train de cuver, je le secoue.
• Ivrogne, va te préparer, nous nous le sommes, va passer ton smoking et arrête de boire, sinon tu sais ce que je t’ai promis.
Titubant à l’aller, la douche froide qu’il a dû prendre semble l’avoir remis sur pied.
C’est sans compter le vin de papa que Paul a sortie de la cave que papa a creusée de ses mains dans la montagne où le chalet est appuyé.
Muscat Frontignan servi un peu frais avec le foie gras.
Pommard 2009 avec la fondue bressane, ce sont des bouteilles que mon père a achetées pour mes dix-huit ans les faisant vieillir en vue du jour où j’aurais un enfant.
Paul a sorti une bouteille de Pouilly Fuissé en prévision si l’un de nous préfère le blanc au rouge.
Et avec la buche, une bouteille de champagne millésimé.
Susy et moi, nous buvons un demi-verre, Paul finit la totalité des bouteilles.
Le blanc il le boit seul, Susy comme moi nous préférons le rouge.
La seule bouteille que nous partageons à trois, ce sont les coupes de champagne ou chacune de nous en buvons une à deux.
Paul retourne sur son divan, une nouvelle fois il va cuver.
• J’aurais bien envie de danser, ce champagne me met toujours en joie.
• Hélas, sans courant la chaîne que j’ai offerte à Paul l’an passé est inutilisable, sans courant.
• Ce Gramophone sur le meuble, fonctionne-il ?
• Je l’ignore, il a toujours été là depuis que je suis toute petite et je suis dans l’incapacité de le faire fonctionner, d’ailleurs, il est peut-être hors de service.
• Je regarde, as-tu des disques ?
• Oui, dans le tiroir en dessous, ils doivent être poussiéreux.
• Merde, pardon de ma grossièreté, un des premiers disque de sing, voyons si ça marche, je tourne la manivelle et je place l’aiguille sur la galette.
Ça grésille, c’est loin d’être un son pur comme la chaîne ultra-moderne, mais ça fonctionne, je suis obligé de remonter ma robe longue et enlever mes talons hauts pour passer au-dessus de ses épaules, nous nous amusons comme deux folles.
Le swing terminé, elle place un disque de slow et c’est dans ses bras que sonnent les douze coups de minuit sur l’horloge comtoise.
Naturellement, comme si ça avait été écrit, je sens son souffle dans mon cou.
Son souffle m’émoustille, mais son vagin venant se plaquer sur mon mont de Vénus me rappelle que je suis une femme aimant faire l’amour.
Puis lorsque nous tournons, le spectacle de Paul dormant la bouche ouverte me rappelle que j’ai aimé cet homme et qu’à ce moment tout vient de se terminer, je l’avais pourtant prévenu.
Ma robe tombante, moi aussi je tombe là où Susy veut que nous recommencions les jeux commencés dans ma chambre.
Bouches qui se cherchent, bouches qui se trouvent, mains sur mes seins, mains sur ces seins.
Avec Paul il y aurait longtemps qu’il aurait sorti sa queue pour me la mettre à la place de la langue de Susy.
Avec elle, je découvre les moments tendres que deux femmes sont capables de se donner.
Je me souviens de mon envie de faire à ma compagne ce qu’elle m’a fait sur mon lit après qu’elle m’ait rasé la touffe.
Je me laisse glisser, passant par son nombril alors que ses mains viennent enserrer ma tête.
Un instant j’hésite à franchir le pas et de m’attaquer à ce vagin glabre.
Elle a trouvé mon clitoris, je trouve le sien.
Susy se tortille sur ma langue qui vient de plonger en elle ainsi que trois de mes doigts.
Elle est trempée, le feu crépite à quelques mètres de nous, mais je sais que c’est son plaisir qui démarre.
D’un coup son corps se tend et elle me pisse littéralement au visage, tachant aussi mon tapis.
Une partie du liquide arrive sur mes papilles, c’est drôle, le goût est bien différent de l’urine qu’un corps peut expulser.
Susy m’attire jusqu’à elle.
• Pardon, tu comprends pourquoi je t’ai refusé de me rendre ce que je t’avais donné avec ma bouche dans ta chambre.
Je suis une femme fontaine, ce que tu as reçu dans ta figure et dans ta bouche, c’est de la cyprine que mon corps expulse lorsque ma jouissance est trop intense.
Pour une première expérience lesbienne, je suis servie, j’ignorais que ce genre de chose existait...
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Aussi inattendu qu'excitant!