COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le début de la fin, quoique... (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le début de la fin, quoique... (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le début de la fin, quoique... (2/3)
Un seul problème, quand je la quitte et que je me retourne, pourquoi ai-je repensé à Livio le gondolier italien ?
Pourquoi ce bel Italien, fait-il l’amour à ses nombreuses maîtresses ?

Pourquoi une telle pensée me vient alors que je viens de faire jouir Iris en la prenant par-derrière et que j’ai moi-même déchargé de longs frissons remontant le long de ma colonne vertébrale ?
Au matin, devant le café et les tartines que l’amour de ma vie m’a préparé, je repense à ce moment intense de la nuit.
Est-ce que ce voyage seul à Berlin sera l’occasion de devenir un mari cocu ou un mari adultère comme Livio semblant sauter sur tout, ce qui bouge ?
Ai-je des envies de tromperies, de libertés ?
Pour chasser ces pensées hors de ma nature, Iris passant vers moi dans son déshabillé plus que déshabillé, je passe ma main entre ses plis trouvant sa chatte blonde libre de toute entrave.

• Vieux lubrique, cette nuit, tu m’as pris comme un soudard, mais j’avoue que j’ai particulièrement aimé.
Maintenant, une journée de travail est devant nous, alors libère ta main de mon vagin.

C’est vrai, mes doigts, trois à ce que je sens, baignent dans mon sperme et sa cyprine, car nous déjeunons toujours avant d’aller prendre notre douche.
Elle devant moi derrière, elle est bien obligée de céder sous l’eau qui ruisselle sur nous.
En baisant comme des bêtes, j’espère effacer l’impression de l’avoir déjà trompée par mes pensées malsaines.

C’est dans nos voitures et par portable interposé que nous continuons notre conversation.
Je sais un couple, un même travail et prendre deux voitures, c’est un peu ridicule.
Mais nous aimons tellement conduire tous les deux que c’est tout naturellement que nous prenons nos deux voitures, restant en contact par téléphone.

Le jour fatidique arrive vite.
Je dois partir mercredi matin et revenir par le premier vol du jeudi.
De leur côté les réunions de mon père et d’Iris sont en place.
Monsieur Jacques est briffé, leur réunion devant avoir lieu en fin d’après-midi.
Je pars serein, notre séparation se faisant dans les larmes.

Je prends la route vers l’aéroport dans ma propre voiture.
Vol sans histoire, je passe mon temps à regarder les seins d’Iris que j’ai sur mon portable dans la galerie.
Ces photos, je les ai faites l’autre soir alors que nous étions seuls au bord de la piscine que j’avais montée en kit.
Assez pudiques en temps normal, elle comme moi, nous avons profité du soleil couchant pour sauter dans l’eau fraîche pendant cette canicule.
C’est elle qui a fait tomber le haut, d’où cette première photo.
J’ai posé l’appareil avant d’enlever le bas et de plonger attendant qu’elle me rejoigne.
Hélas pour moi, le temps que je fasse quelques brasses sous-marines dans cet espace restreint, lorsque je suis ressortie, c’est ses pieds que j’ai vus pénétrer l’onde fraiche.
Je me suis vite rattrapé quand reprenant pied, je l’ai reçue contre moi.
Il est drôle de constater alors que je venais de sortir de l’eau, la fraicheur de ses seins les miens m’ont fait frissonner.
Malgré ça, j’ai senti que ma verge au contact de sa toison blonde me faisait de l’effet.
Nous savions déjà que nous avions accepté de nous séparer, même pour un temps très court.
Mais j’avais envie d’emmagasiner des images que je me repasserais seul dans ma chambre d’hôtel attendant mon retour.
J’ai dit beaucoup de choses sur Iris.
Sa beauté bien sûr, sa blondeur encore mieux.
Son intelligence, dépassant souvent la mienne.
Mais aussi son insouciance lorsque ostensiblement les avances de Livio en Italie semblaient glisser sur elle.

• C’est votre petite amie, vous avez de la chance, si je vous montrais les seins de ma femme, vous risqueriez de faire plonger l’avion pour arrêter le massacre.
Dire qu’elle pesait 48 kilos à notre mariage pour 1 mètre 60.
Aujourd’hui, 20 ans après, toujours 1 mètre 60 mais pour plus de 100 kilos.
Je me présente Albert, quand vous avez demandé une orangeade à l’hôtesse, j’ai su que vous étiez français comme moi.


Lorsque j’ai pris mon portable et que je regardais si j’avais des messages, impossible de me connecter.
Je me suis rabattu sur la galerie de photos retrouvant une fraction de seconde l’être aimé.
Quel con ce mec de m’interrompt au moment où ma verge tendue, j’ai réussi malgré l’endroit où nous nous trouvions dans le vagin de mon amour.
C’était la première fois que je faisais l’amour dans l’eau froide, mais je bandais comme un âne.
Je dis ça, alors que j’ai vu des chevaux ayant la trique, mais des ânes jamais.
Il doit y avoir peu de différence entre les unes et les autres.
Une fraction de seconde, je me vois avec cette femme de plus de 100 kilos dans mes bras.
La baiser dans cette piscine, c’était la catastrophe assurée.
L’homme lui aussi rondouillard dont j’ignore le nom aurait pu attendre quelques secondes que j’ai rempli le vagin d’Iris avant de m’interpeler.
Quand Iris lira ces lignes, elle saura qu’elle a été vue nue par mon voisin, elle comme je l’ai dit être très prude.
Pour mon sperme, j’attendrai ce soir pour reprendre notre bain là où je l’ai laissé au moment où j’allais lâcher mon sperme.

• Vous descendez à quel hôtel à Berlin.

Merde, pardons d’être grossier, mais des emmerdeurs j’en ai connu, mais comme celui-là je vous le laisse.
Je me vois déjà ce soir au restaurant de l’hôtel à parler de sa grosse et de la beauté de mon épouse chérie qui me manque déjà.

• C’est un peu bête, j’aurais bien aimé vous inviter à dîner ce soir, mais c’est chez des amis que je vais résider.
• Dommage, j’irai seul à Neukölln, quartier sympa et un peu chaud de Berlin, je vous aurais fait connaître Olga et ses copines.
Je vais les voir chaque mois quand je viens ici, je vends des lacets pour chaussures, si vous saviez ce que les Allemands aiment les lacets.

Je me fiche de ce gros connard, c’est là qu’une idée me vient.

• Je travaille, moi aussi pour une société.
Avez-vous une carte ou un numéro que je pourrais noter ?
Si dans les semaines ou les mois prochains, je reviens et que vous soyez là, je pourrai vous présentiez Olga.
• Je peux te tutoyer, bien sûr, voilà ma carte.
Mais, dis-moi comment s’appelle cette jolie blonde avec des seins à faire bander un mort.
• Iris, pourquoi ?

En même temps que de ma bouche, sort à ce gros pervers le nom de mon amour, je me rends compte que je viens de le donner à un gros pervers.

• Attends, j’ai compris, comment ai-je pu être si bête, la photo que tu regardais est celle d’une escorte avec laquelle tu as rendez-vous pour t’éclater pendant ta soirée ici à Berlin.

Iris, une pute Berlinoise, je manque d’éclater de rire.

• Tu as tout compris, attends, je regarde son numéro sur mon portable et je te le donne.
Prends de quoi le noter.
• Je suis là pour trois jours, je te la laisse ce soir, demain je l’appelle dès demain matin, ça me changera d’Olga.

Nous venons d’atterrir, j’ai du réseau.
Pompes funèbres berlinoises.

• 01 78 26 58 314, tu dis que tu viens de la part de Phil et que tu veux passer la soirée avec Iris, tu verras, elle te fera revenir d’outre-tombe.
• À ce point, amuse-toi bien ce soir, demain ce sera mon tour
Nous débarquons, les formalités faites, je prends un taxi, Devant moi celui qu’en moi j’appelle le « con », monte dans le taxi suivant.
Il me fait un signe de la main.

À Berlin, les choses se passent très bien.
Déjeuner avec le staff dirigeant visite du siège de la société cliente, réunion de présentation de nos produits, signature du contrat.
Tout est terminé à 17 heures, une idée me vient...

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