COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le début de la fin, quoique... Début de la saison IV (10/12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le début de la fin, quoique... Début de la saison IV (10/12)
À la fin de la saison III, Phil semble sortir du coma.
Certaines choses semblant lui revenir, il lui faut récupérer son portable, car la sonnerie appelant avant le trou noir l’interpelle.
C’est maman qui force presque papa à me le rendre.
• Mais donne-le-lui, il a le droit de sav.......
Elle coupe sa phrase, mais je l'ai fait moi-même, « savoir, » mais quoi !
Papa à contrecœur va le chercher dans sa table de nuit en marmonnant.
• Pourquoi tant de ta hâte, mais le voilà, il est resté en l’état depuis qu’à l’hôpital nous avons pu le récupérer ?
Je prends le téléphone maronnant moi aussi un merci à peine audible.
Je retourne dans ma chambre où je m’enferme.
Dans le couloir, j'aperçois une porte des chambres d'invités se refermer et se trouvant tout près de la mienne.
Certainement celle occupée par la fameuse Iris.
J'essaye d'allumer le téléphone, mais sa batterie était à plat.
En cherchant dans mes tiroirs je suis content de trouver plusieurs chargeurs qui me font comprendre que je retrouve une grande partie de mes facultés.
Iris, pour la première fois mon cerveau là aussi, même si j’ignore qui elle est à penser à cette femme.
Je la trouve belle, canon même, malgré la tristesse de son visage ce que je sais, c’est que j’ai des sentiments pour maman.
Papa entre hommes, c’est naturel, mais je suis certain qu’avec elle, les sentiments sont impossibles.
C’est drôle, Agathe, celle qui dans mon esprit me lavait la verge me vient à l’esprit.
Lorsque j’ai quitté l’hôpital, j’aurais bien voulu la voir pour parler de ce gondolier de pacotille, mais, hélas, avec Marie, sa copine black terreur des couloirs de l’hôpital dès qu’elle rencontre une chatte chaude.
C’était l’un de leurs deux jours de repos.
Ce gondolier restera certainement pour toujours une énigme pour moi.
Immédiatement après avoir raccordé mon portable au secteur, je l’allume.
Un instant mon cerveau bloque au moment de le déverrouiller.
À oui, naturellement mes doigts forment la figure me permettant de retrouver mes applications.
Je me rends compte que je vais devoir retrouver tous ces gestes simples que je faisais sans m’en rendre compte, avant.
Là, premier choc, le visage d’Iris m’apparaît, me laissant sans voix devant l'écran d'accueil.
Iris et moi aussi, souriant et pétant le bonheur la tenant dans mes bras visage collé à son visage.
Que signifie cette image ?
Serions-nous très proches, sans pour autant me souvenir comment et dans quelles circonstances cette photo a été prise ?
Je sens que, plus j’insiste, plus ce bon dieu de cerveau me fait défaut lorsqu’il s’agit d’Iris.
Passons, me dis-je, ça attendra, découvrons d'abord ce que cache mon téléphone et que mes parents voulaient me cacher.
26 appels tous d'Iris, ça devient de plus en plus énigmatique.
Quand je regarde l’heure de ces appels, ils ont tous été passés dans la nuit.
Que me voulait-elle à cette heure avancée de la nuit ?
Après ces 26 appels, suivent plusieurs appels de papa et de mamans, 6 en tout. Je reste plus que dubitatif.
C'est aussi inhabituel qu'étrange, surtout qu’il est rare que mes parents m’envoient des messages à cette heure avancée.
J’ai peur d’ouvrir le premier de l’un ou de l’autre connaissant la finalité, neuf mois de coma et un arbre qui m’obsède.
Qu'était-il arrivé pour provoquer tout ce branle-bas par SMS?
Je finis par ouvrir le tout premier d’Iris.
« Pardonne-moi mon amour, j’ignorais ce que je faisais.
Je t'aime, je t’en supplie, donne-moi des nouvelles. »
Le second.
« Reviens mon amour, je veux rester ta chérie, comme nous nous le sommes promis, ta femme t'attend.
Pardonne-moi bien que je sois impardonnable. »
En un éclair, toute la mémoire me revenait d'un coup.
Un bloc de souvenirs s’abat sur ma tête.
Inutile d’ouvrir tous les autres messages.
Mon déplacement à Berlin, sa réunion avec monsieur Jacques et le client jordanien.
Mon retour un peu précipité la nuit au lieu du lendemain comme prévu.
La découverte de la trahison sur notre propre lit conjugal, la correction sanglante de son vieil amant et tout le reste.
Je crie de colère comme si le tonnerre s’abattait sur la maison de mes parents.
• Iriiiiiiiiiiiiiiiiiiis.
Excusez de vous avoir fait peur...
Je m’effondre en entendant des cris et des pas précipités dans le couloir avant de perdre connaissance.
Lorsque je reviens à moi comme il fait nuit, je crois un moment que je suis encore à l'hôpital.
C’est le cas, je suis de retour dans mon lit à l’hôpital.
Je me souviens du SMS de la traîtresse.
En bougeant la tête, je découvre maman assoupie dans le fauteuil visiteurs.
Je la regarde un long moment avant de la voir émerger.
Elle me saute soudain au cou en m'embrassant, en pleurant et en criant une nouvelle fois.
• Merci mon Dieu, merci de m'avoir rendu mon enfant pour la seconde fois.
Alertées par le bruit, deux infirmières accoururent pour constater le deuxième miracle.
Un médecin arrive quelques minutes après, m'ausculte et me déclare que tout va bien.
Je découvre que j’ai replongé pour six jours de coma par chance sans suites notables.
Maman m'apprend qu'elle ainsi que papa se relayait pour être de nouveau à mon chevet en me parlant tout le temps en faisant de longues prières.
Est-ce que personne pour oser me parler d’Iris ?
Je décide d’en faire de même.
Je reste en observation quelques jours avant que l’on m’autorise à sortir.
Voulant parler à Agathe, j’ai la malchance d’être dans une autre aile que celle où j'étais lors de ma première visite.
Ce sont deux jeunes femmes fortes attrayantes qui s’occupent de ma toilette, très professionnelles, sans faire des confidences sur leur vie sexuelle.
Papa me ramène à la maison, j'ai eu tout le temps de ressasser ce qui m'était tombé sur la tête.
L'image d'Iris et de son vieil amant était gravée dans ma mémoire et restant dans mes yeux.
En cours de route, pas un seul mot.
À la maison, dans un coin du grand salon, une ombre est recroquevillée.
Maintenant, je sais qui elle est et froidement je l’ignore.
Assis sur un canapé avec maman à mes côtés, alors que papa occupe son fauteuil. Nous restons silencieux, chacun semblant absorbé par ses propres pensées.
C’est papa qui met fin à ce silence.
• Nous avons compris quand tu as hurlé le nom de ta femme que tes souvenirs t’étaient revenus.
Que comptes-tu faire maintenant ?
• Je vais reprendre rapidement le travail, ça me manque.
• Arrête de faire l’âne pour avoir du son.
Tu sais de quoi je parle.
• De quoi tu parles, explique-toi ?
• De votre cas, entre toi et ta femme Iris.
Je me lève.
• Quelle femme, moi j’ai une femme s’appelant Iris.
Je vais demander le divorce.
Le bruit de sanglots provient de l'autre côté du salon.
Une énième fois maman essaye de défendre l’impossible, même l’innommable.
• S'il te plaît écoute au moins ce que nous avons à te dire.
• Maman, je t’aime bien, je refuse de savoir ce que cette pute a à partager avec moi.
La manière froide que j’ai lorsque je prononce le mot « pute » dans ma bouche. Moi qui m’efforce toujours d’avoir un langage châtié surtout devant nos employés montre le degré de rejet qui me tient en évoquant cette salope.
Elle se remet à pleurer, balbutiant, ce qui semble être des mots de prière.
• S'il te plait mon fils, si tu m’aimes, tu pourrais nous écouter.
Les larmes de maman me font mal.
Le moins que je puisse faire après tout ce qu’ils ont traversé, c’est d’écouter.
• Fiston, je suis un peu responsable de ce qui est arrivé...
Certaines choses semblant lui revenir, il lui faut récupérer son portable, car la sonnerie appelant avant le trou noir l’interpelle.
C’est maman qui force presque papa à me le rendre.
• Mais donne-le-lui, il a le droit de sav.......
Elle coupe sa phrase, mais je l'ai fait moi-même, « savoir, » mais quoi !
Papa à contrecœur va le chercher dans sa table de nuit en marmonnant.
• Pourquoi tant de ta hâte, mais le voilà, il est resté en l’état depuis qu’à l’hôpital nous avons pu le récupérer ?
Je prends le téléphone maronnant moi aussi un merci à peine audible.
Je retourne dans ma chambre où je m’enferme.
Dans le couloir, j'aperçois une porte des chambres d'invités se refermer et se trouvant tout près de la mienne.
Certainement celle occupée par la fameuse Iris.
J'essaye d'allumer le téléphone, mais sa batterie était à plat.
En cherchant dans mes tiroirs je suis content de trouver plusieurs chargeurs qui me font comprendre que je retrouve une grande partie de mes facultés.
Iris, pour la première fois mon cerveau là aussi, même si j’ignore qui elle est à penser à cette femme.
Je la trouve belle, canon même, malgré la tristesse de son visage ce que je sais, c’est que j’ai des sentiments pour maman.
Papa entre hommes, c’est naturel, mais je suis certain qu’avec elle, les sentiments sont impossibles.
C’est drôle, Agathe, celle qui dans mon esprit me lavait la verge me vient à l’esprit.
Lorsque j’ai quitté l’hôpital, j’aurais bien voulu la voir pour parler de ce gondolier de pacotille, mais, hélas, avec Marie, sa copine black terreur des couloirs de l’hôpital dès qu’elle rencontre une chatte chaude.
C’était l’un de leurs deux jours de repos.
Ce gondolier restera certainement pour toujours une énigme pour moi.
Immédiatement après avoir raccordé mon portable au secteur, je l’allume.
Un instant mon cerveau bloque au moment de le déverrouiller.
À oui, naturellement mes doigts forment la figure me permettant de retrouver mes applications.
Je me rends compte que je vais devoir retrouver tous ces gestes simples que je faisais sans m’en rendre compte, avant.
Là, premier choc, le visage d’Iris m’apparaît, me laissant sans voix devant l'écran d'accueil.
Iris et moi aussi, souriant et pétant le bonheur la tenant dans mes bras visage collé à son visage.
Que signifie cette image ?
Serions-nous très proches, sans pour autant me souvenir comment et dans quelles circonstances cette photo a été prise ?
Je sens que, plus j’insiste, plus ce bon dieu de cerveau me fait défaut lorsqu’il s’agit d’Iris.
Passons, me dis-je, ça attendra, découvrons d'abord ce que cache mon téléphone et que mes parents voulaient me cacher.
26 appels tous d'Iris, ça devient de plus en plus énigmatique.
Quand je regarde l’heure de ces appels, ils ont tous été passés dans la nuit.
Que me voulait-elle à cette heure avancée de la nuit ?
Après ces 26 appels, suivent plusieurs appels de papa et de mamans, 6 en tout. Je reste plus que dubitatif.
C'est aussi inhabituel qu'étrange, surtout qu’il est rare que mes parents m’envoient des messages à cette heure avancée.
J’ai peur d’ouvrir le premier de l’un ou de l’autre connaissant la finalité, neuf mois de coma et un arbre qui m’obsède.
Qu'était-il arrivé pour provoquer tout ce branle-bas par SMS?
Je finis par ouvrir le tout premier d’Iris.
« Pardonne-moi mon amour, j’ignorais ce que je faisais.
Je t'aime, je t’en supplie, donne-moi des nouvelles. »
Le second.
« Reviens mon amour, je veux rester ta chérie, comme nous nous le sommes promis, ta femme t'attend.
Pardonne-moi bien que je sois impardonnable. »
En un éclair, toute la mémoire me revenait d'un coup.
Un bloc de souvenirs s’abat sur ma tête.
Inutile d’ouvrir tous les autres messages.
Mon déplacement à Berlin, sa réunion avec monsieur Jacques et le client jordanien.
Mon retour un peu précipité la nuit au lieu du lendemain comme prévu.
La découverte de la trahison sur notre propre lit conjugal, la correction sanglante de son vieil amant et tout le reste.
Je crie de colère comme si le tonnerre s’abattait sur la maison de mes parents.
• Iriiiiiiiiiiiiiiiiiiis.
Excusez de vous avoir fait peur...
Je m’effondre en entendant des cris et des pas précipités dans le couloir avant de perdre connaissance.
Lorsque je reviens à moi comme il fait nuit, je crois un moment que je suis encore à l'hôpital.
C’est le cas, je suis de retour dans mon lit à l’hôpital.
Je me souviens du SMS de la traîtresse.
En bougeant la tête, je découvre maman assoupie dans le fauteuil visiteurs.
Je la regarde un long moment avant de la voir émerger.
Elle me saute soudain au cou en m'embrassant, en pleurant et en criant une nouvelle fois.
• Merci mon Dieu, merci de m'avoir rendu mon enfant pour la seconde fois.
Alertées par le bruit, deux infirmières accoururent pour constater le deuxième miracle.
Un médecin arrive quelques minutes après, m'ausculte et me déclare que tout va bien.
Je découvre que j’ai replongé pour six jours de coma par chance sans suites notables.
Maman m'apprend qu'elle ainsi que papa se relayait pour être de nouveau à mon chevet en me parlant tout le temps en faisant de longues prières.
Est-ce que personne pour oser me parler d’Iris ?
Je décide d’en faire de même.
Je reste en observation quelques jours avant que l’on m’autorise à sortir.
Voulant parler à Agathe, j’ai la malchance d’être dans une autre aile que celle où j'étais lors de ma première visite.
Ce sont deux jeunes femmes fortes attrayantes qui s’occupent de ma toilette, très professionnelles, sans faire des confidences sur leur vie sexuelle.
Papa me ramène à la maison, j'ai eu tout le temps de ressasser ce qui m'était tombé sur la tête.
L'image d'Iris et de son vieil amant était gravée dans ma mémoire et restant dans mes yeux.
En cours de route, pas un seul mot.
À la maison, dans un coin du grand salon, une ombre est recroquevillée.
Maintenant, je sais qui elle est et froidement je l’ignore.
Assis sur un canapé avec maman à mes côtés, alors que papa occupe son fauteuil. Nous restons silencieux, chacun semblant absorbé par ses propres pensées.
C’est papa qui met fin à ce silence.
• Nous avons compris quand tu as hurlé le nom de ta femme que tes souvenirs t’étaient revenus.
Que comptes-tu faire maintenant ?
• Je vais reprendre rapidement le travail, ça me manque.
• Arrête de faire l’âne pour avoir du son.
Tu sais de quoi je parle.
• De quoi tu parles, explique-toi ?
• De votre cas, entre toi et ta femme Iris.
Je me lève.
• Quelle femme, moi j’ai une femme s’appelant Iris.
Je vais demander le divorce.
Le bruit de sanglots provient de l'autre côté du salon.
Une énième fois maman essaye de défendre l’impossible, même l’innommable.
• S'il te plaît écoute au moins ce que nous avons à te dire.
• Maman, je t’aime bien, je refuse de savoir ce que cette pute a à partager avec moi.
La manière froide que j’ai lorsque je prononce le mot « pute » dans ma bouche. Moi qui m’efforce toujours d’avoir un langage châtié surtout devant nos employés montre le degré de rejet qui me tient en évoquant cette salope.
Elle se remet à pleurer, balbutiant, ce qui semble être des mots de prière.
• S'il te plait mon fils, si tu m’aimes, tu pourrais nous écouter.
Les larmes de maman me font mal.
Le moins que je puisse faire après tout ce qu’ils ont traversé, c’est d’écouter.
• Fiston, je suis un peu responsable de ce qui est arrivé...
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