COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le renouveau ? Début de la saison II (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Le renouveau ? Début de la saison II (4/5)
Dans la saison I de l’histoire d’Iris et Phil du renouveau, l’hôpital prend de plus en plus de place.
À croire que Phil se trouve mieux entouré de jolies infirmières que d’être avec Iris sa très belle ex-femme blonde.
Iris qui s’accroche désespérément à Phil espérant un pardon de sa part malgré certaines évidences de sa tromperie avec un vieux Jordanien.
Voir peut-être du côté de l’Italie, mais là depuis le début de leur histoire, je dois reconnaitre qu’il y a seulement des suppositions surtout dans la tête de celui qui est devenu un ami.
Phil se remet d’une double opération.
Lors de sa chute de cette petite falaise, certains diront ce fossé profond, le côté de Phil a tapé une grosse pierre lui entraînant une hémorragie interne que les médecins ont su résorber.
Une plaie sur le côté et une fracture de la jambe sont le bilan de cet accident avec en prime un magnifique plâtre.
Notre copain est de nouveau à l’hôpital, on frappe à sa porte.
C’est à ce moment de leur histoire que je vous avais laissés.
Deux jeunes femmes entrent, une jolie femme blanche et une très jolie black.
• Monsieur Phil, nous nous excusons de vous déranger, je suis sûr que vous ignorez qui nous sommes.
• Eh non, je me doute que vous êtes Agathe et Marie, les femmes de service qui ont pris soin de moi pendant les longs mois où j’ai été dans le coma.
Je reconnais votre voix Agathe !
• Tu vois, la doctoresse avait raison de dire que dans certains cas un grand nombre d’entre eux nous entend quand on leur parle.
Je te dis tout le temps de faire attention quand tu t’exprimes devant eux.
• Marie à raison Agathe, êtes-vous venue me voir pour constater si ma verge fonctionne de nouveau.
• Oh ! monsieur Phil, vous allez me faire rougir, vous nous avez entendus.
Vous savez, j’étais très professionnelle, il fallait bien que je la prenne dans ma main pour vous la laver.
• Vous êtes pardonné, mais dites-moi, vous discutiez de votre voyage de noces !
Vous disiez que vous aviez rencontré un certain Livio, Agathe, l’avez-vous revu !
• Livio, non Ludovico, mais je connais Livio, Gaëtan m’a payé un week-end de quatre jours pour notre première année de mariage, là encore vous allez recommencer à me faire rougir.
• Agathe a ta façon de répondre, tu fais comprendre à monsieur Phil que tu en as profité pour tromper Gaëtan !
• Vos affaires avec votre bel italien, ça vous regarde, mais Livio !
• Monsieur Phil, il va vous falloir voir un médecin en psy de l’hôpital, vous faites une fixation sur Livio, que je connais.
Nous avons dîner avec lui et son copain Antonio, vous voyez ce que je veux dire !
Voyant certainement mon étonnement, Marie me donne le coup de grâce.
• Agathe veut vous dire que si c’est Livio qui vous a piloté pendant votre séjour, il est pédé comme un phoque et que c’est vous qui aviez plus à craindre qu’Iris votre femme.
• Oui, il vit en couple depuis peu ayant fait son coming-out comme on dit maintenant.
Avant il était caressant avec les femmes comme une façade pour cacher son homosexualité.
C’est à Paris où il a séjourné qu’il s’est découvert des penchants homosexuels, il nous en a parlé lors de ce repas.
• Homo, Livio, vous m’en boucher un coin.
• C’est finement dit monsieur Phil dommage que nous ayons changé d’aile dans notre travail au même moment où vous sortiez de votre coma, nous aurions bien rigolé.
• Merci Marie, moi aussi j’aurais aimé vous voir plus tôt, comme je vous vois aujourd’hui, ça m’aurait enlevé bien des soucis avec Iris concernant ce bon dieu de Livio.
Mais pourtant, je l’ai vu de mes yeux vus embrasser une serveuse, belle Italienne, près du pont Rialto, Serena je crois me souvenir.
• Mon pauvre monsieur Phil, vous aussi vous êtes tombé dans le piège, Serena est sa demi-sœur et Livio l’embrassait souvent d’un bisou sur la bouche.
Nous avons pris un verre dans le café de son mari, en bonne Italienne, elle est jalouse comme une teigne malgré que son mari soit un petit peu ventripotent.
J’ai été plus que con d’être jaloux de cet Italien, je décide de changer de conversation.
• Eh, dites-moi Marie, je découvre votre noire beauté, j’ai cru comprendre que vous et les hommes vous étiez, vous aussi de farouche ennemie ?
• Ennemie, c’est un bien grand mot, mais je vois que là encore on s’est un peu trop épanché devant vous.
J’ai connu un seul homme dans ma jeunesse, mais j’ai vite su que vos bites, vous pouviez les mettre dans votre poche.
J’aime les femmes et depuis presque un an je suis rangé des voitures.
Je vis avec une jolie infirmière qui travaille en pédiatrie.
Elle s’appelle Rajae, elle a eu des déboires elle aussi avec un homme qui la tabassait.
Nous sommes très heureuses ensemble, maintenant que nous avons le droit de nous marier, nous vous inviterons avec Iris à notre mariage.
• Comment avez-vous su que j’étais là immobilisé me faisant caresser la verge par d’autres femmes que les vôtres Agathe quand on me fait ma toilette ?
• Vous cherchez vraiment à me faire rougir monsieur Phil.
Une nouvelle fois Marie reprend la parole, une vraie pipelette.
• Nous quittions notre service avec Agathe, quand nous avons croisé Iris, votre femme.
Nous l’avons reconnue lorsque nous venions faire votre toilette et votre chambre, elle était souvent là à se morfondre.
Elle nous a dit que vous aviez eu un accident et que vous étiez en chirurgie réparatrice.
Dites-moi, monsieur Phil, il s’est dit dans nos couloirs que votre grave accident vous l’auriez eu après que madame Iris vous aurait trompé avec un étranger, vous lui avez pardonné ?
Si vous êtes toujours séparé, je pourrais tenter ma chance, elle a des forts jolis seins, comme j’aime en avoir dans mes mains.
• Marie, c’est toi qui nous disais il y a cinq minutes que je parlais trop.
• Agathe a raison, j’ignore si Iris aimerait faire l’amour avec une femme, même fort jolie comme vous.
Je me garderais bien de lui demander, je tiens à mes yeux, elle serait capable de devenir panthère.
Mais dites-moi, vous venez de nous dire que vous étiez rangée et que vous aimiez Rajae et que vous alliez vous marier ?
• Oui, mais pour une belle femme comme madame Iris, je saurais prendre quelques risques.
Bon, assez plaisantée, elle m’attend, elle m’a promis un couscous ce soir avec des loukoums, c’est son jour de repos.
• C’est une bonne cuisinière !
• Pas du tout, mais nous avons un très bon Marocain au pied de chez nous.
Rajae en sortait lorsque je l’ai percutée et que j’ai reconnu qu’elle travaillait dans notre hôpital.
Nous sommes entrés dans le restaurant et en sortant vous comprenez comment cela a fini.
• Partons, Marie, dans cinq minutes, tu vas finir par expliquer à monsieur Phil, comment vous les choses se passent entre deux femmes dans votre chambre.
Nous nous saluons et je repense à ce qu’elles m’ont dit.
Livio, Livio, le poison de ma vie depuis notre voyage de noces à Venise est un suceur de bite qui l’eût cru, certainement pas moi.
Je finis par être une nouvelle fois réparé malgré le plâtre.
Après avoir quitté l’hôpital, les jours passent très vite.
J’ignore pourquoi, comme si nous étions confrontés à un dilemme insaisissable, il reste de la distance entre nous avec Iris.
Ma cicatrice au ventre est impeccable, je l'ai une nouvelle fois échappé belle.
Le jour de mon rendez-vous pour l'enlèvement du plâtre approche.
Durant ces derniers jours, je doutais de ce que j'attendais de la vie.
Nos parents étaient aux petits soins avec moi et un peu moins avec Iris.
On dirait qu'ils s'attendaient à un nouveau miracle.
J’avais du mal à exorciser le démon qui m’habite.
Iris et nos parents en étaient affectés.
Ils évitaient de le montrer, mais je le sentais.
Moi-même je commençais à désespérer de retrouver un jour ma propre voie.
Le jour j, tous les cinq ont tenu à m'accompagner à l'hôpital dans l'une des nouvelles voitures que papa a tenu à nous offrir à Iris, un Range Rover et une belle Audi 8 pour moi.
Cette fois c'est l'allemande qui nous transporte tous les six vers l'hôpital, nous sommes tous forts, mais sveltes.
Lorsque papa m’a donné les clefs et que j’ai vu que c’était une Allemande.
Un moment, j’ai cru qu’il faisait de l’humour noir après ce qui s’était passé avec le dernier modèle de voiture de ce pays limitrophe.
À l’hôpital, cela m'a paru comme une simple formalité.
Le médecin a examiné ma belle cicatrice.
Il m'a ôté le plâtre et fait faire quelques pas en claudiquant légèrement pour finir par nous déclarer que tout était parfait.
Il me prescrit quelques séances de rééducation pour récupérer à 100 %.
Nous saluons le corps médical et nous prenons une nouvelle fois le chemin de la sortie.
Iris euphorique nous précède, nous la suivons de près pour descendre au rez-de-chaussée.
C'est décidément une période noire pour nos deux familles.
Je la regarde lorsque son pied gauche trébuche.
Elle part en vol plané pour retomber trois ou quatre marches plus basses.
• Iriiiiiiiiis.
Une nouvelle fois, c'est moi qui ai crié...
À croire que Phil se trouve mieux entouré de jolies infirmières que d’être avec Iris sa très belle ex-femme blonde.
Iris qui s’accroche désespérément à Phil espérant un pardon de sa part malgré certaines évidences de sa tromperie avec un vieux Jordanien.
Voir peut-être du côté de l’Italie, mais là depuis le début de leur histoire, je dois reconnaitre qu’il y a seulement des suppositions surtout dans la tête de celui qui est devenu un ami.
Phil se remet d’une double opération.
Lors de sa chute de cette petite falaise, certains diront ce fossé profond, le côté de Phil a tapé une grosse pierre lui entraînant une hémorragie interne que les médecins ont su résorber.
Une plaie sur le côté et une fracture de la jambe sont le bilan de cet accident avec en prime un magnifique plâtre.
Notre copain est de nouveau à l’hôpital, on frappe à sa porte.
C’est à ce moment de leur histoire que je vous avais laissés.
Deux jeunes femmes entrent, une jolie femme blanche et une très jolie black.
• Monsieur Phil, nous nous excusons de vous déranger, je suis sûr que vous ignorez qui nous sommes.
• Eh non, je me doute que vous êtes Agathe et Marie, les femmes de service qui ont pris soin de moi pendant les longs mois où j’ai été dans le coma.
Je reconnais votre voix Agathe !
• Tu vois, la doctoresse avait raison de dire que dans certains cas un grand nombre d’entre eux nous entend quand on leur parle.
Je te dis tout le temps de faire attention quand tu t’exprimes devant eux.
• Marie à raison Agathe, êtes-vous venue me voir pour constater si ma verge fonctionne de nouveau.
• Oh ! monsieur Phil, vous allez me faire rougir, vous nous avez entendus.
Vous savez, j’étais très professionnelle, il fallait bien que je la prenne dans ma main pour vous la laver.
• Vous êtes pardonné, mais dites-moi, vous discutiez de votre voyage de noces !
Vous disiez que vous aviez rencontré un certain Livio, Agathe, l’avez-vous revu !
• Livio, non Ludovico, mais je connais Livio, Gaëtan m’a payé un week-end de quatre jours pour notre première année de mariage, là encore vous allez recommencer à me faire rougir.
• Agathe a ta façon de répondre, tu fais comprendre à monsieur Phil que tu en as profité pour tromper Gaëtan !
• Vos affaires avec votre bel italien, ça vous regarde, mais Livio !
• Monsieur Phil, il va vous falloir voir un médecin en psy de l’hôpital, vous faites une fixation sur Livio, que je connais.
Nous avons dîner avec lui et son copain Antonio, vous voyez ce que je veux dire !
Voyant certainement mon étonnement, Marie me donne le coup de grâce.
• Agathe veut vous dire que si c’est Livio qui vous a piloté pendant votre séjour, il est pédé comme un phoque et que c’est vous qui aviez plus à craindre qu’Iris votre femme.
• Oui, il vit en couple depuis peu ayant fait son coming-out comme on dit maintenant.
Avant il était caressant avec les femmes comme une façade pour cacher son homosexualité.
C’est à Paris où il a séjourné qu’il s’est découvert des penchants homosexuels, il nous en a parlé lors de ce repas.
• Homo, Livio, vous m’en boucher un coin.
• C’est finement dit monsieur Phil dommage que nous ayons changé d’aile dans notre travail au même moment où vous sortiez de votre coma, nous aurions bien rigolé.
• Merci Marie, moi aussi j’aurais aimé vous voir plus tôt, comme je vous vois aujourd’hui, ça m’aurait enlevé bien des soucis avec Iris concernant ce bon dieu de Livio.
Mais pourtant, je l’ai vu de mes yeux vus embrasser une serveuse, belle Italienne, près du pont Rialto, Serena je crois me souvenir.
• Mon pauvre monsieur Phil, vous aussi vous êtes tombé dans le piège, Serena est sa demi-sœur et Livio l’embrassait souvent d’un bisou sur la bouche.
Nous avons pris un verre dans le café de son mari, en bonne Italienne, elle est jalouse comme une teigne malgré que son mari soit un petit peu ventripotent.
J’ai été plus que con d’être jaloux de cet Italien, je décide de changer de conversation.
• Eh, dites-moi Marie, je découvre votre noire beauté, j’ai cru comprendre que vous et les hommes vous étiez, vous aussi de farouche ennemie ?
• Ennemie, c’est un bien grand mot, mais je vois que là encore on s’est un peu trop épanché devant vous.
J’ai connu un seul homme dans ma jeunesse, mais j’ai vite su que vos bites, vous pouviez les mettre dans votre poche.
J’aime les femmes et depuis presque un an je suis rangé des voitures.
Je vis avec une jolie infirmière qui travaille en pédiatrie.
Elle s’appelle Rajae, elle a eu des déboires elle aussi avec un homme qui la tabassait.
Nous sommes très heureuses ensemble, maintenant que nous avons le droit de nous marier, nous vous inviterons avec Iris à notre mariage.
• Comment avez-vous su que j’étais là immobilisé me faisant caresser la verge par d’autres femmes que les vôtres Agathe quand on me fait ma toilette ?
• Vous cherchez vraiment à me faire rougir monsieur Phil.
Une nouvelle fois Marie reprend la parole, une vraie pipelette.
• Nous quittions notre service avec Agathe, quand nous avons croisé Iris, votre femme.
Nous l’avons reconnue lorsque nous venions faire votre toilette et votre chambre, elle était souvent là à se morfondre.
Elle nous a dit que vous aviez eu un accident et que vous étiez en chirurgie réparatrice.
Dites-moi, monsieur Phil, il s’est dit dans nos couloirs que votre grave accident vous l’auriez eu après que madame Iris vous aurait trompé avec un étranger, vous lui avez pardonné ?
Si vous êtes toujours séparé, je pourrais tenter ma chance, elle a des forts jolis seins, comme j’aime en avoir dans mes mains.
• Marie, c’est toi qui nous disais il y a cinq minutes que je parlais trop.
• Agathe a raison, j’ignore si Iris aimerait faire l’amour avec une femme, même fort jolie comme vous.
Je me garderais bien de lui demander, je tiens à mes yeux, elle serait capable de devenir panthère.
Mais dites-moi, vous venez de nous dire que vous étiez rangée et que vous aimiez Rajae et que vous alliez vous marier ?
• Oui, mais pour une belle femme comme madame Iris, je saurais prendre quelques risques.
Bon, assez plaisantée, elle m’attend, elle m’a promis un couscous ce soir avec des loukoums, c’est son jour de repos.
• C’est une bonne cuisinière !
• Pas du tout, mais nous avons un très bon Marocain au pied de chez nous.
Rajae en sortait lorsque je l’ai percutée et que j’ai reconnu qu’elle travaillait dans notre hôpital.
Nous sommes entrés dans le restaurant et en sortant vous comprenez comment cela a fini.
• Partons, Marie, dans cinq minutes, tu vas finir par expliquer à monsieur Phil, comment vous les choses se passent entre deux femmes dans votre chambre.
Nous nous saluons et je repense à ce qu’elles m’ont dit.
Livio, Livio, le poison de ma vie depuis notre voyage de noces à Venise est un suceur de bite qui l’eût cru, certainement pas moi.
Je finis par être une nouvelle fois réparé malgré le plâtre.
Après avoir quitté l’hôpital, les jours passent très vite.
J’ignore pourquoi, comme si nous étions confrontés à un dilemme insaisissable, il reste de la distance entre nous avec Iris.
Ma cicatrice au ventre est impeccable, je l'ai une nouvelle fois échappé belle.
Le jour de mon rendez-vous pour l'enlèvement du plâtre approche.
Durant ces derniers jours, je doutais de ce que j'attendais de la vie.
Nos parents étaient aux petits soins avec moi et un peu moins avec Iris.
On dirait qu'ils s'attendaient à un nouveau miracle.
J’avais du mal à exorciser le démon qui m’habite.
Iris et nos parents en étaient affectés.
Ils évitaient de le montrer, mais je le sentais.
Moi-même je commençais à désespérer de retrouver un jour ma propre voie.
Le jour j, tous les cinq ont tenu à m'accompagner à l'hôpital dans l'une des nouvelles voitures que papa a tenu à nous offrir à Iris, un Range Rover et une belle Audi 8 pour moi.
Cette fois c'est l'allemande qui nous transporte tous les six vers l'hôpital, nous sommes tous forts, mais sveltes.
Lorsque papa m’a donné les clefs et que j’ai vu que c’était une Allemande.
Un moment, j’ai cru qu’il faisait de l’humour noir après ce qui s’était passé avec le dernier modèle de voiture de ce pays limitrophe.
À l’hôpital, cela m'a paru comme une simple formalité.
Le médecin a examiné ma belle cicatrice.
Il m'a ôté le plâtre et fait faire quelques pas en claudiquant légèrement pour finir par nous déclarer que tout était parfait.
Il me prescrit quelques séances de rééducation pour récupérer à 100 %.
Nous saluons le corps médical et nous prenons une nouvelle fois le chemin de la sortie.
Iris euphorique nous précède, nous la suivons de près pour descendre au rez-de-chaussée.
C'est décidément une période noire pour nos deux familles.
Je la regarde lorsque son pied gauche trébuche.
Elle part en vol plané pour retomber trois ou quatre marches plus basses.
• Iriiiiiiiiis.
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