COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Voyage de noces à Venise. Début de la saison II (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME – FEMME. Phil et Iris. Voyage de noces à Venise. Début de la saison II (4/6)
Le pont des soupirs, on aurait bien voulu le voir depuis le pont après notre hôtel.
Il est bien là entre le tribunal et la prison, mais des tourismes comme nous sont si nombreux qu’il est impossible de s’en approcher.
Par chance la place San Marco est là pour nous rasséréner dans toute sa splendeur due à sa grandeur et à l’architecture de ses immeubles et de ses différents bâtiments.
Chance car une table se libère au café Florian.
Boire un chocolat pour Iris et un Perrier pour moi avec cette ambiance vieille Europe avec l’orchestre dont une virtuose au violon est une chance.
Moment divin quand je prends la main de ma compagne et que nous restons là dans ce lieu d’enchantement.
Nous rentrons en amoureux, ce qui est normal dans le pays de Colombine et d’Arlequin.
Il fait nuit et je peux faire une photo de ma belle avec le pont des soupirs en arrière-plan, mis en valeur par des jeux de lumière.
• Je peux vous prendre ensemble si vous le dédirez !
Livio, pour une fois je suis content de le voir.
Surtout quand je lui fais prendre une photo de nous devant le pont et ma bouche sur la bouche de ma belle.
• Tu as fini ta journée !
• Oui, je vais retrouver mes pâtes que je vais manger seul.
• Tu es célibataire.
• Ici, à Venise, nous sommes tous célibataire.
Cousin et célibataire.
Je vois ce qu’il veut dire, surtout quand il parle de son célibat.
Ce genre de beau gosse doit attendre la proie à saisir.
• Demain après-midi, je peux vous faire visiter les canaux avec ma gondole.
Iris, je te ferais découvrir ma ville.
Il est incorrigible, il est sympa, mais incorrigible, c’est dans sa nature d’essayer avec les femmes surtout jolies comme la mienne.
• Si tu veux 14 heures à ton embarcadère.
Le voyage, notre petit intermède dans notre chambre, il était inutile d’avoir un lit si grand, Iris dort dans le creux de mon bras.
Il est midi, ce sont les cloches de l’église Palladio sur l’île San Giorgio Maggiore en face de notre chambre qui me permet de reprendre pied dans ce monde enchanteur.
Iris est dans la salle de bains, elle chante, elle est heureuse.
Église Palladio, sur l’île San Giorgio Maggiore.
Je connais beaucoup de choses dans ma vie, mais c’est sur mon portable parlant de Venise, que j’ai saisie sur la table de nuit, que je trouve ce renseignement.
Je sonne le roomservice, qui nous monte notre petit déjeuner posé sur la table en essence rare, surtout un bon café, normal en Italie.
Une fois la serveuse ayant quitté la chambre, c’est nu sur les chaises recouvertes de tissu bleu que nous le dégustons.
Treize heures cinquante nous sommes dans le hall, Livio est là à l’embarcadère près de sa gondole.
Hier, lorsque nous l’avons croisé, il était dans sa tenue de gondolier sauf la ceinture en tissu rouge et son chapeau de paille avec aussi un ruban rouge.
Le regard du jeune homme se porte directement sur les cuisses de ma belle qui par ce beau temps a mis son petit shorte en cuir noir avec sa marinière à bande rouge et blanche.
Elle la porte sans aucun soutien, ce qui met ses magnifiques seins en valeur.
Rouge et blanche pour elle, bleu et blanche pour lui.
Si Iris m’avait quitté à un moment depuis hier, j’aurais pu penser qu’ils s’étaient rencontrés pour harmoniser leurs habits à bandes bleues ou rouges.
Comme pour l’aider à monter sur son canot taxi, il lui prend la main.
Il la tient un temps infini jusqu’à ce qu’elle soit assise sur un siège recouvert d’un coussin de couleur parme.
Lorsque je parle de siège, c’est réellement un fauteuil avec accoudoirs.
On pourrait presque croire qu’il a pris un des fauteuils de l’hôtel Danieli d’où nous venons de sortir.
La gondole est une œuvre d’art, car toute la coque est recouverte de moulures noires de forme tarabiscotées.
Pour ma part, j’ai droit à un des sièges en bois sur les bords de la gondole.
Il a recouvert le plancher de pétales de roses.
J’ai du mal à croire que tout ceci est pour moi, alors que du côté d’Iris, elle semble touchée par toutes ces marques d’attention que lui présente notre gondolier.
Livio détache la gondole du quai, saute prestement sur la partie arrière et prenant sa grande perche commence à faire reculer l’embarcation.
• Nous allons remonter jusqu’à l’entrée du canal à gauche menant au pont des soupirs.
La gondole manœuvrée de main de maître par Livio passe sur le pont ou les visiteurs font des photos et ou hier nous nous sommes trouvés dans l’impossibilité d’approcher.
Quelques secondes et nous glissons jusqu’au pont mythique.
Mieux, il plante sa perche fermement dans la vase nous arrêtant dessous.
• Phil fait des photos, j’ignorais qu’il était possible de passer sous ce pont des amoureux.
J’ai mon portable, je fais des photos lorsque nous sommes sous le pont.
Je finis par mitrailler Iris qui en se baissant pour ramasser un pétale de rose me montre une bonne partie de ses mappemondes.
• Je t’ai dit le pont, pas mes seins obsédés.
J’entends Livio rire.
• Iris, je serais à la place de Phil, toute la journée, tu serais mon modèle.
Pardon, Phil, par moments en bon Italien, j’ai tendance à fantasmer.
Fantasme mec, que tu nous tutoies, j’admets, mais que tu exprimes tes envies de voir ma femme à poil, cours toujours et cours vite.
Nous repartons, d’autres gondoles arrivent dans les deux sens.
Lorsqu’ils se croisent, les deux jeunes hommes se parlent en Italien.
À part « bondgiorno », bonjour bien sûr, l’Italien et nous c’est du Chinois.
Extrapolons, dans les heures et les jours suivants nous prononçons un mot qui a les faveurs d’Iris, « quanto », combien.
Chaque fois ma carte bleue va chauffer.
Par chance, nous sommes venues en avion et le poids des bagages est limité, cela va me permettre de freiner sa boulimie d’achat.
Dire qu’un moment nous avions envisagé de venir en voiture.
Coffre et siège arrière aurait été rempli à ras bord.
Je vois poindre les reproches, il veut une belle femme, il veut une femme aimante, mais il a des oursins dans son portefeuille et ses poches.
Pensez ce que vous voudrez.
Mais revenons à notre bellâtre trop proche de ma femme par moments, même si la plupart du temps ce sont dans les mots.
Ce qui m’énerve c’est que plein d’insouciance, Iris semble plus l’encourager que de le repousser vertement et définitivement.
La gondole glisse de nouveau, nous continuons notre chemin dans des canots plus ou moins larges.
Pour se croiser dans les virages, les gondoliers ont une technique marquant les murs aux files des années voire des décennies, allant jusqu’aux siècles.
Avec leur perche, ils font pivoter l’embarcation et pour la relancer posent un pied sur le mur poussant pour faire repartir la gondole dans la bonne direction.
À chaque coin de rue, pardon canots, les murs sont lisses et même usés à l’emplacement où ils appuient.
Nouveau croisement avec une autre gondole, Livio freine et parle avec son collègue.
• Ciao Roméo.
• Ciao Livio.
Bonjour Roméo, ça c’est facile, ils semblent ignorer que certains mots ont la même consonance en Français qu’en Italien.
Je tends l’oreille quand notre gondolier parle d’Iris et aussi je dois le reconnaître de moi.
Par contre, plusieurs mots m’interpellent s’ils ont réellement le même sens.
J’ai nettement l’impression que ma femme est le centre de leur intérêt surtout quand Roméo regarde dans sa direction.
Mais non l’embarcation continue à glisser vers d’autres merveilles de cette cité légendaire.
Nous tournons dans le « rio de Lio », je vois ce nom à l’entrée de cette nouvelle artère sur la plaque sur une maison.
La gondole s’arrête à l’approche d’une maison rouge.
• Mes amis, après le pont des soupirs, cette maison, tu aurais certainement eu l’occasion de la visiter par l’intérieur si son occupant t’avait rencontrés et était toujours de ce monde.
• Mon amour, Livio te montre la maison ou résidait, le sire Casanova lors de son passage à Venise.
Merci mon portable où je viens de taper le nom de ce nouveau canal, et où je vois cette maison en photo assez caractéristique pour savoir qui l’avait habité.
• Il avait sauvé un notable de la ville, d’une crise d’apoplexie, il le considérait comme son fils et il en a profité pour s’incruster pendant de nombreuses années.
• Phil, tu devrais faire mon travail, tu sembles doué.
Iris, j’allais te dire que Casanova est arrivé à Venise, en 1746, c’est vrai qui a secouru le sénateur Matteo Bragadin et qu’il a vécu à ses crochets jusqu’en 1755.
À sa mort en octobre 1767, Bragadin lui a légué 1 000 scudos, écus de l’époque.
• Phil écoute Livio au lieu de vouloir m’impressionner par ton savoir, je sais que tu es intelligent, c’est même l’un des facteurs qui m’ont fait t’épouser.
Qui vais-je étrangler, elle ou lui qui semble se lier contre moi.
Surtout quand elle se retourne et lui fait ses yeux de biche qui jusqu’à ce jour m’étaient réservés...
Il est bien là entre le tribunal et la prison, mais des tourismes comme nous sont si nombreux qu’il est impossible de s’en approcher.
Par chance la place San Marco est là pour nous rasséréner dans toute sa splendeur due à sa grandeur et à l’architecture de ses immeubles et de ses différents bâtiments.
Chance car une table se libère au café Florian.
Boire un chocolat pour Iris et un Perrier pour moi avec cette ambiance vieille Europe avec l’orchestre dont une virtuose au violon est une chance.
Moment divin quand je prends la main de ma compagne et que nous restons là dans ce lieu d’enchantement.
Nous rentrons en amoureux, ce qui est normal dans le pays de Colombine et d’Arlequin.
Il fait nuit et je peux faire une photo de ma belle avec le pont des soupirs en arrière-plan, mis en valeur par des jeux de lumière.
• Je peux vous prendre ensemble si vous le dédirez !
Livio, pour une fois je suis content de le voir.
Surtout quand je lui fais prendre une photo de nous devant le pont et ma bouche sur la bouche de ma belle.
• Tu as fini ta journée !
• Oui, je vais retrouver mes pâtes que je vais manger seul.
• Tu es célibataire.
• Ici, à Venise, nous sommes tous célibataire.
Cousin et célibataire.
Je vois ce qu’il veut dire, surtout quand il parle de son célibat.
Ce genre de beau gosse doit attendre la proie à saisir.
• Demain après-midi, je peux vous faire visiter les canaux avec ma gondole.
Iris, je te ferais découvrir ma ville.
Il est incorrigible, il est sympa, mais incorrigible, c’est dans sa nature d’essayer avec les femmes surtout jolies comme la mienne.
• Si tu veux 14 heures à ton embarcadère.
Le voyage, notre petit intermède dans notre chambre, il était inutile d’avoir un lit si grand, Iris dort dans le creux de mon bras.
Il est midi, ce sont les cloches de l’église Palladio sur l’île San Giorgio Maggiore en face de notre chambre qui me permet de reprendre pied dans ce monde enchanteur.
Iris est dans la salle de bains, elle chante, elle est heureuse.
Église Palladio, sur l’île San Giorgio Maggiore.
Je connais beaucoup de choses dans ma vie, mais c’est sur mon portable parlant de Venise, que j’ai saisie sur la table de nuit, que je trouve ce renseignement.
Je sonne le roomservice, qui nous monte notre petit déjeuner posé sur la table en essence rare, surtout un bon café, normal en Italie.
Une fois la serveuse ayant quitté la chambre, c’est nu sur les chaises recouvertes de tissu bleu que nous le dégustons.
Treize heures cinquante nous sommes dans le hall, Livio est là à l’embarcadère près de sa gondole.
Hier, lorsque nous l’avons croisé, il était dans sa tenue de gondolier sauf la ceinture en tissu rouge et son chapeau de paille avec aussi un ruban rouge.
Le regard du jeune homme se porte directement sur les cuisses de ma belle qui par ce beau temps a mis son petit shorte en cuir noir avec sa marinière à bande rouge et blanche.
Elle la porte sans aucun soutien, ce qui met ses magnifiques seins en valeur.
Rouge et blanche pour elle, bleu et blanche pour lui.
Si Iris m’avait quitté à un moment depuis hier, j’aurais pu penser qu’ils s’étaient rencontrés pour harmoniser leurs habits à bandes bleues ou rouges.
Comme pour l’aider à monter sur son canot taxi, il lui prend la main.
Il la tient un temps infini jusqu’à ce qu’elle soit assise sur un siège recouvert d’un coussin de couleur parme.
Lorsque je parle de siège, c’est réellement un fauteuil avec accoudoirs.
On pourrait presque croire qu’il a pris un des fauteuils de l’hôtel Danieli d’où nous venons de sortir.
La gondole est une œuvre d’art, car toute la coque est recouverte de moulures noires de forme tarabiscotées.
Pour ma part, j’ai droit à un des sièges en bois sur les bords de la gondole.
Il a recouvert le plancher de pétales de roses.
J’ai du mal à croire que tout ceci est pour moi, alors que du côté d’Iris, elle semble touchée par toutes ces marques d’attention que lui présente notre gondolier.
Livio détache la gondole du quai, saute prestement sur la partie arrière et prenant sa grande perche commence à faire reculer l’embarcation.
• Nous allons remonter jusqu’à l’entrée du canal à gauche menant au pont des soupirs.
La gondole manœuvrée de main de maître par Livio passe sur le pont ou les visiteurs font des photos et ou hier nous nous sommes trouvés dans l’impossibilité d’approcher.
Quelques secondes et nous glissons jusqu’au pont mythique.
Mieux, il plante sa perche fermement dans la vase nous arrêtant dessous.
• Phil fait des photos, j’ignorais qu’il était possible de passer sous ce pont des amoureux.
J’ai mon portable, je fais des photos lorsque nous sommes sous le pont.
Je finis par mitrailler Iris qui en se baissant pour ramasser un pétale de rose me montre une bonne partie de ses mappemondes.
• Je t’ai dit le pont, pas mes seins obsédés.
J’entends Livio rire.
• Iris, je serais à la place de Phil, toute la journée, tu serais mon modèle.
Pardon, Phil, par moments en bon Italien, j’ai tendance à fantasmer.
Fantasme mec, que tu nous tutoies, j’admets, mais que tu exprimes tes envies de voir ma femme à poil, cours toujours et cours vite.
Nous repartons, d’autres gondoles arrivent dans les deux sens.
Lorsqu’ils se croisent, les deux jeunes hommes se parlent en Italien.
À part « bondgiorno », bonjour bien sûr, l’Italien et nous c’est du Chinois.
Extrapolons, dans les heures et les jours suivants nous prononçons un mot qui a les faveurs d’Iris, « quanto », combien.
Chaque fois ma carte bleue va chauffer.
Par chance, nous sommes venues en avion et le poids des bagages est limité, cela va me permettre de freiner sa boulimie d’achat.
Dire qu’un moment nous avions envisagé de venir en voiture.
Coffre et siège arrière aurait été rempli à ras bord.
Je vois poindre les reproches, il veut une belle femme, il veut une femme aimante, mais il a des oursins dans son portefeuille et ses poches.
Pensez ce que vous voudrez.
Mais revenons à notre bellâtre trop proche de ma femme par moments, même si la plupart du temps ce sont dans les mots.
Ce qui m’énerve c’est que plein d’insouciance, Iris semble plus l’encourager que de le repousser vertement et définitivement.
La gondole glisse de nouveau, nous continuons notre chemin dans des canots plus ou moins larges.
Pour se croiser dans les virages, les gondoliers ont une technique marquant les murs aux files des années voire des décennies, allant jusqu’aux siècles.
Avec leur perche, ils font pivoter l’embarcation et pour la relancer posent un pied sur le mur poussant pour faire repartir la gondole dans la bonne direction.
À chaque coin de rue, pardon canots, les murs sont lisses et même usés à l’emplacement où ils appuient.
Nouveau croisement avec une autre gondole, Livio freine et parle avec son collègue.
• Ciao Roméo.
• Ciao Livio.
Bonjour Roméo, ça c’est facile, ils semblent ignorer que certains mots ont la même consonance en Français qu’en Italien.
Je tends l’oreille quand notre gondolier parle d’Iris et aussi je dois le reconnaître de moi.
Par contre, plusieurs mots m’interpellent s’ils ont réellement le même sens.
J’ai nettement l’impression que ma femme est le centre de leur intérêt surtout quand Roméo regarde dans sa direction.
Mais non l’embarcation continue à glisser vers d’autres merveilles de cette cité légendaire.
Nous tournons dans le « rio de Lio », je vois ce nom à l’entrée de cette nouvelle artère sur la plaque sur une maison.
La gondole s’arrête à l’approche d’une maison rouge.
• Mes amis, après le pont des soupirs, cette maison, tu aurais certainement eu l’occasion de la visiter par l’intérieur si son occupant t’avait rencontrés et était toujours de ce monde.
• Mon amour, Livio te montre la maison ou résidait, le sire Casanova lors de son passage à Venise.
Merci mon portable où je viens de taper le nom de ce nouveau canal, et où je vois cette maison en photo assez caractéristique pour savoir qui l’avait habité.
• Il avait sauvé un notable de la ville, d’une crise d’apoplexie, il le considérait comme son fils et il en a profité pour s’incruster pendant de nombreuses années.
• Phil, tu devrais faire mon travail, tu sembles doué.
Iris, j’allais te dire que Casanova est arrivé à Venise, en 1746, c’est vrai qui a secouru le sénateur Matteo Bragadin et qu’il a vécu à ses crochets jusqu’en 1755.
À sa mort en octobre 1767, Bragadin lui a légué 1 000 scudos, écus de l’époque.
• Phil écoute Livio au lieu de vouloir m’impressionner par ton savoir, je sais que tu es intelligent, c’est même l’un des facteurs qui m’ont fait t’épouser.
Qui vais-je étrangler, elle ou lui qui semble se lier contre moi.
Surtout quand elle se retourne et lui fait ses yeux de biche qui jusqu’à ce jour m’étaient réservés...
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