COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Fin de la saison II (8/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Fin de la saison II (8/9)
Dans quel monde suis-je tombée, dans celui des sadiques et des masochistes même si pour Claire subit le masochisme de son beau-père.
Elle marche derrière moi et malgré son violoncelle, j’imagine son petit cul défoncé par le gros gode noir qu’elle m’a montré.
La soirée suivante, je lui passe la pommade ce qui la soulage sauf son anus pour lequel je suis incapable de le masser.
Je vois qu’elle me regarde et semble vouloir me dire quelque chose.
- Tu as quelque chose sur la conscience, tu m’en as dit assez pour me dire tout, je t’ai promis de t’aider.
- Quand tu m’as dit que c’était mon beau-père Jean-Marc.
C’est vrai, il est notaire, il m’a amené ici et il m’a baisé me dépucelant.
C’était le jour où j’ai commencé les cours chez Pierre notre prof.
- Attends, je regarde mon parcours, tu avais…
- Oui, j’avais.
- Moins que l’âge autorisée par la loi !
Pourquoi en dire plus, j’ai compris qu’il est urgent de bloquer ce prédateur ?
Il est important de mettre mon plan à exécution.
Cette révélation me casse toute envie d’avoir des rapports avec mon amie.
Je l’entends dormir.
Tant mieux pour elle.
Jean-Marc notaire ça doit être possible de me servir de ces renseignements donnés par Claire.
Le matin, je sonne le clairon, je veux arriver en avance.
La chance est avec moi.
- Aline, Nat, je peux vous voir, j’ai un service à vous demander.
Aline, je sais que tu penses des choses qui sont loin de la vérité.
J’ai promis à Nat que ce que j’ai vu, je l’ai déjà oublié.
Nat tu m’as dit m’être redevable.
- Nous avons parlé avec Nat, elle m’a convaincu que tu étais une fille franche, je suis d’accord avec elle, nous sommes redevables.
Je leur explique le plan élaboré dans la nuit pour aider mon amie Claire.
Elles sont d’accord et Aline prend en main certains achats.
Nat m’apprend un renseignement qu’elle avait et qui va nous permettre de ferrer le salopard.
J’en ai un de mon côté.
- Claire, j’ai une course à faire pendant la pause de midi.
Excuse-moi auprès de nos amis.
C’est fait j’ai tout en main pour m’occuper de cette vieille charogne.
« Jean-Marc, je pars dimanche matin en tournée comme tu le sais. »
« C’est rare que ce soit toi qui me sollicites. »
« Je sais, mais j’ai compris ce que je te devais et j’aimerais que nous nous voyions avant mon départ. »
« Tu vois, je t’avais dit que notre amour même s’il est un peu extrême, tu finirais par en avoir besoin.
On peut se voir jeudi. »
« Non, nous avons liberté vendredi soir à partir de 20 heures. »
« Je vais m’arranger, je serais au garage à l’heure. »
« Impossible, au garage, tu sais que j’héberge une amie.
Elle doit rester, elle m’a demandé que ce soit moi qui lui laisse le garage.
J’ai trouvé une autre solution, une amie me prête son logement bien isolé lui aussi.
22 rue du petit bois 8e étages sur le Digicode, je t’ouvrirais. »
« J’y serais.
Merci de ton envie de me voir avant que nous soyons séparées de longues semaines. »
C’est bon, je le tiens le coco.
- Très bien Isabelle, tu as assumé, nous aussi.
C’est le grand soir, ça sonne.
- C’est ouvert monte.
Je cache ma voix, c’est Claire qu’il doit trouver.
- Qui êtes-vous, où est Claire ?
- Entrez, j’ai à vous parler, vous allez apprécier.
Je suis Isabelle l’amie de Claire.
Non restez.
Je vais vous expliquer.
J’étais seule dans le garage elle avait un rendez-vous chez son gynécologue.
Aucune crainte pour vous pas de bébé en vue, simplement une visite de routine.
Je me suis promenée et j’ai vu une porte fermée.
Je suis très curieuse, j’ai vu que la clef était sur la porte.
Plus tôt je l’avais entendu faire du ménage certainement dans cette pièce.
L’homme devant moi, petit, tout rond est quelconque.
Le parfait notaire de la très grande banlieue parisienne Est.
Nat avait une amie là-bas qui a facilement retrouvé le dénommé Jean-Marc notaire et qui nous a donné tous les renseignements dont nous avions besoin ce soir.
Quand elle a parlé d’amie, Aline a recommencé à lui poser des questions.
- Où là tu connus ?
As-tu baisé avec elle ?
Je passe le reste qui devenait grivois, même la couleur de sa chatte y est passée.
Nat sauf ses cheveux brun ignorait ce détail ou si elle était rasée.
Mais c’était Nat aimant asticoter Aline qui démarrait du premier coup.
- Eh bien, oui, elle était rasée, je lui bouffais la chatte à cette salope.
- Tu sais ce qui va t’arriver mamours, je vais être obligée de punir la méchante fille que tu es.
- Arrêter les filles, vous vous amuserez autant que vous voulez avec votre croix et vos menottes quand je serais partie.
J’ai calmé mes amies afin de finir de mettre en place notre plan.
La copine de Nat avait réussi à nous donner le 06 du pourri et c’est après avoir acheté le portable qui m’a servi à le faire venir en lui envoyant les SMS.
- J’ai ouvert et j’ai vu votre salle de plaisir pour Claire.
Elle m’a surprise car l’heure s’était avancée et elle était de retour.
Elle m’a aussi dit le plaisir qu’elle prenait sous vos coups de comment a-t-elle dit « Un chat à neuf queues. »
- Non, le mien en a sept.
- Neuf, sept, qu’importe, j’ai compris les marques que j’avais vues sur ces seins et ses fesses.
- Pourquoi suis-je ici dans cet appartement ?
- Vous êtes là car j’aimerais goutter au plaisir que vous apportez à Claire.
- Pourquoi ici ?
- Car il y a ce qu’il faut derrière cette porte et Claire vous aime tellement que dans votre pièce à tous les deux je me serais sentie mal à l’aise.
Venez.
J’entraîne le connard dans la chambre des filles.
- Drôle de croix Betty Boop mais marrant.
Je me déshabille.
Sur le lit il y a une cravache achetée par Aline dans un sex-shop qu’elle connaissait.
- Tu es d’accord de m’attacher et de me fouetter comme tu le fais avec mon amie.
- Plutôt deux fois qu’une.
- Je suis nue, veux-tu que je t’enlève tes vêtements.
- Inutile, aucune perte de temps, je vais m’occuper de ton petit cul.
C’est la première fois que je vois un homme enlever ses fringues si rapidement.
Quand il est nu, je manque d’éclater de rire, il est monté comme un bébé venant de naître.
Bon, un peu plus tout de même.
Je m’approche de lui en mode louve.
- Si tu me menottais, regarde, je mouille.
Il faut que je me force pour éviter d’éclater de rire.
Claire, il s’en fiche royalement.
C’est le sexe qui l’intéresse et surtout avilir les femmes
Il m’attache une main pendant que de l’autre je lui caresse les couilles.
La deuxième main y passe, je me trouve face à Betty Boop.
Ses yeux me regardent.
Ceux de Betty quand le premier coup de cravache s’abat sur mes fesses.
Je serre les dents car la douleur est extrême.
J’ai besoin de plus bien que je voudrais que ce jeu se prolonge un peu.
Je sens mon sang circuler avec intensité dans mes fesses.
- Dis-moi, tu préfères mon cul à celui de Claire.
- Le tien est plus rebondi pour le flageller.
- Aie.
- Douillette.
- Dis, Claire il y a longtemps que tu la baises, elle est bien jeune pour être ta maîtresse régulière.
- Aie, aie, aie.
- J’aime quand tu te tortilles.
Il faut de la constance pour se faire fesser le cul et rester lucide afin de l’amener à me dire ce que je veux entendre.
- Dis, ça a commencé tôt avec elle.
- Mais tu vas fermer ta gueule, si tu savais.
Elle venait avec sa maman et adorait s’asseoir sur mes genoux.
- Tu l’as sauté à quel âge ?
Si tu me le dis, je vais te laisser m’enculer.
Tu aimes enculer les filles beau gosse.
- Oh oui.
- Dis !
- Je voulais attendre qu’elle ait seize ans mais j’ai craqué deux mois avant.
La porte de l’armoire Betty Boop de la chambre s’ouvre en claquant.
- Bien joué Isabelle, c’est dans la boîte, j’ai tout filmé avec le son.
Nat chope le…
Elle marche derrière moi et malgré son violoncelle, j’imagine son petit cul défoncé par le gros gode noir qu’elle m’a montré.
La soirée suivante, je lui passe la pommade ce qui la soulage sauf son anus pour lequel je suis incapable de le masser.
Je vois qu’elle me regarde et semble vouloir me dire quelque chose.
- Tu as quelque chose sur la conscience, tu m’en as dit assez pour me dire tout, je t’ai promis de t’aider.
- Quand tu m’as dit que c’était mon beau-père Jean-Marc.
C’est vrai, il est notaire, il m’a amené ici et il m’a baisé me dépucelant.
C’était le jour où j’ai commencé les cours chez Pierre notre prof.
- Attends, je regarde mon parcours, tu avais…
- Oui, j’avais.
- Moins que l’âge autorisée par la loi !
Pourquoi en dire plus, j’ai compris qu’il est urgent de bloquer ce prédateur ?
Il est important de mettre mon plan à exécution.
Cette révélation me casse toute envie d’avoir des rapports avec mon amie.
Je l’entends dormir.
Tant mieux pour elle.
Jean-Marc notaire ça doit être possible de me servir de ces renseignements donnés par Claire.
Le matin, je sonne le clairon, je veux arriver en avance.
La chance est avec moi.
- Aline, Nat, je peux vous voir, j’ai un service à vous demander.
Aline, je sais que tu penses des choses qui sont loin de la vérité.
J’ai promis à Nat que ce que j’ai vu, je l’ai déjà oublié.
Nat tu m’as dit m’être redevable.
- Nous avons parlé avec Nat, elle m’a convaincu que tu étais une fille franche, je suis d’accord avec elle, nous sommes redevables.
Je leur explique le plan élaboré dans la nuit pour aider mon amie Claire.
Elles sont d’accord et Aline prend en main certains achats.
Nat m’apprend un renseignement qu’elle avait et qui va nous permettre de ferrer le salopard.
J’en ai un de mon côté.
- Claire, j’ai une course à faire pendant la pause de midi.
Excuse-moi auprès de nos amis.
C’est fait j’ai tout en main pour m’occuper de cette vieille charogne.
« Jean-Marc, je pars dimanche matin en tournée comme tu le sais. »
« C’est rare que ce soit toi qui me sollicites. »
« Je sais, mais j’ai compris ce que je te devais et j’aimerais que nous nous voyions avant mon départ. »
« Tu vois, je t’avais dit que notre amour même s’il est un peu extrême, tu finirais par en avoir besoin.
On peut se voir jeudi. »
« Non, nous avons liberté vendredi soir à partir de 20 heures. »
« Je vais m’arranger, je serais au garage à l’heure. »
« Impossible, au garage, tu sais que j’héberge une amie.
Elle doit rester, elle m’a demandé que ce soit moi qui lui laisse le garage.
J’ai trouvé une autre solution, une amie me prête son logement bien isolé lui aussi.
22 rue du petit bois 8e étages sur le Digicode, je t’ouvrirais. »
« J’y serais.
Merci de ton envie de me voir avant que nous soyons séparées de longues semaines. »
C’est bon, je le tiens le coco.
- Très bien Isabelle, tu as assumé, nous aussi.
C’est le grand soir, ça sonne.
- C’est ouvert monte.
Je cache ma voix, c’est Claire qu’il doit trouver.
- Qui êtes-vous, où est Claire ?
- Entrez, j’ai à vous parler, vous allez apprécier.
Je suis Isabelle l’amie de Claire.
Non restez.
Je vais vous expliquer.
J’étais seule dans le garage elle avait un rendez-vous chez son gynécologue.
Aucune crainte pour vous pas de bébé en vue, simplement une visite de routine.
Je me suis promenée et j’ai vu une porte fermée.
Je suis très curieuse, j’ai vu que la clef était sur la porte.
Plus tôt je l’avais entendu faire du ménage certainement dans cette pièce.
L’homme devant moi, petit, tout rond est quelconque.
Le parfait notaire de la très grande banlieue parisienne Est.
Nat avait une amie là-bas qui a facilement retrouvé le dénommé Jean-Marc notaire et qui nous a donné tous les renseignements dont nous avions besoin ce soir.
Quand elle a parlé d’amie, Aline a recommencé à lui poser des questions.
- Où là tu connus ?
As-tu baisé avec elle ?
Je passe le reste qui devenait grivois, même la couleur de sa chatte y est passée.
Nat sauf ses cheveux brun ignorait ce détail ou si elle était rasée.
Mais c’était Nat aimant asticoter Aline qui démarrait du premier coup.
- Eh bien, oui, elle était rasée, je lui bouffais la chatte à cette salope.
- Tu sais ce qui va t’arriver mamours, je vais être obligée de punir la méchante fille que tu es.
- Arrêter les filles, vous vous amuserez autant que vous voulez avec votre croix et vos menottes quand je serais partie.
J’ai calmé mes amies afin de finir de mettre en place notre plan.
La copine de Nat avait réussi à nous donner le 06 du pourri et c’est après avoir acheté le portable qui m’a servi à le faire venir en lui envoyant les SMS.
- J’ai ouvert et j’ai vu votre salle de plaisir pour Claire.
Elle m’a surprise car l’heure s’était avancée et elle était de retour.
Elle m’a aussi dit le plaisir qu’elle prenait sous vos coups de comment a-t-elle dit « Un chat à neuf queues. »
- Non, le mien en a sept.
- Neuf, sept, qu’importe, j’ai compris les marques que j’avais vues sur ces seins et ses fesses.
- Pourquoi suis-je ici dans cet appartement ?
- Vous êtes là car j’aimerais goutter au plaisir que vous apportez à Claire.
- Pourquoi ici ?
- Car il y a ce qu’il faut derrière cette porte et Claire vous aime tellement que dans votre pièce à tous les deux je me serais sentie mal à l’aise.
Venez.
J’entraîne le connard dans la chambre des filles.
- Drôle de croix Betty Boop mais marrant.
Je me déshabille.
Sur le lit il y a une cravache achetée par Aline dans un sex-shop qu’elle connaissait.
- Tu es d’accord de m’attacher et de me fouetter comme tu le fais avec mon amie.
- Plutôt deux fois qu’une.
- Je suis nue, veux-tu que je t’enlève tes vêtements.
- Inutile, aucune perte de temps, je vais m’occuper de ton petit cul.
C’est la première fois que je vois un homme enlever ses fringues si rapidement.
Quand il est nu, je manque d’éclater de rire, il est monté comme un bébé venant de naître.
Bon, un peu plus tout de même.
Je m’approche de lui en mode louve.
- Si tu me menottais, regarde, je mouille.
Il faut que je me force pour éviter d’éclater de rire.
Claire, il s’en fiche royalement.
C’est le sexe qui l’intéresse et surtout avilir les femmes
Il m’attache une main pendant que de l’autre je lui caresse les couilles.
La deuxième main y passe, je me trouve face à Betty Boop.
Ses yeux me regardent.
Ceux de Betty quand le premier coup de cravache s’abat sur mes fesses.
Je serre les dents car la douleur est extrême.
J’ai besoin de plus bien que je voudrais que ce jeu se prolonge un peu.
Je sens mon sang circuler avec intensité dans mes fesses.
- Dis-moi, tu préfères mon cul à celui de Claire.
- Le tien est plus rebondi pour le flageller.
- Aie.
- Douillette.
- Dis, Claire il y a longtemps que tu la baises, elle est bien jeune pour être ta maîtresse régulière.
- Aie, aie, aie.
- J’aime quand tu te tortilles.
Il faut de la constance pour se faire fesser le cul et rester lucide afin de l’amener à me dire ce que je veux entendre.
- Dis, ça a commencé tôt avec elle.
- Mais tu vas fermer ta gueule, si tu savais.
Elle venait avec sa maman et adorait s’asseoir sur mes genoux.
- Tu l’as sauté à quel âge ?
Si tu me le dis, je vais te laisser m’enculer.
Tu aimes enculer les filles beau gosse.
- Oh oui.
- Dis !
- Je voulais attendre qu’elle ait seize ans mais j’ai craqué deux mois avant.
La porte de l’armoire Betty Boop de la chambre s’ouvre en claquant.
- Bien joué Isabelle, c’est dans la boîte, j’ai tout filmé avec le son.
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